Le Bois du Loup

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Une paysanne rencontre un loup-garou une nuit.
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Traduction par EnderDarkos. Merci beaucoup, mon amie!

Ethel s'engouffra rapidement dans le chemin forestier. Les arbres sombres se tenaient à sa gauche comme à sa droite, les branches mortes s'étirant vers les cieux comme des mains de pécheurs priant pour la rédemption. Elle était partie chercher du travail dans la ville de Grindstone, mais personne n'avait daigné ne serait-ce que lui donner que l'heure de la journée. Tous ceux acceptant de lui parler n'avait que souri lubriquement, et lui avait dit d'aller voir au bordel de Madame Horehound dans les quartiers plus obscurs de la ville. Elle savait qu'elle pouvait obtenir une belle somme comme ça - elle était une belle femme aux cheveux roux bouclés, à la peau claire constellée de grain de beautés sur les épaules et le nez, et aux yeux oscillant entre le doré et le halé - mais elle ne pouvait pas s'y forcer. Elle était déjà ostracisée dans sa ville natale, et faire ce genre de travail ne ferait qu'empirer les choses. De plus, elle voulait enfin obtenir l'acceptation de son père. Comment pouvait-elle faire en travaillant comme prostituée? Donc, elle retourna dans sa ville de Wiltfield, sans avoir gagné le moindre sou.

"Allez à travers cette forêt rapidement, madame," lui avait dit un garde, "car une bête rôde ici la nuit tombée." Il tourna la tête vers le ciel et dit "La lune est pleine. Je vous ais prévenu de ne pas continuer, mais vous souhaitez y aller, et il n'y a rien que je puisse faire pour vous arrêter. Sache juste que si quelque chose se produit, je dirais que nos chemins ne se sont jamais croisés."

Ethel avait tenté de l'ignorer. Elle le remercia pour sa préoccupation et poursuivit malgré tout, au départ arrogante, allant nonchalamment , mais son humeur changea au moment où elle entendit une branche rompre. Elle avait craqué sous son pied, et elle se gronda alors non seulement pour ne pas avoir fait attention mais aussi pour sa paranoïa. Le garde avait seulement dit cela pour lui faire peur. Elle se demanda s'il était seul. "Si j'avais une femme ou une fille," avait-il dit, "je lui interdirais d'aller dans ses bois toute seule." Peut-être que cela n'était qu'un piège, une mascarade pour l'effrayer, pour la faire tomber dans ses bras, et peut-être après ça, l'amener dans son lit. Oui, elle pouvait presque l'entendre à présent "Ne t'inquiète pas, chérie. Je n'ai pas d'or pour payer une auberge pour toi, mais je peux t'offrir un toit au-dessus de ta tête, et un lit où dormir. Au fait, on t'a déjà dit à quel point tu es belle au clair de lune? Maintenant, dis moi ce que tu aimes..."

Elle ria. C'était la première fois depuis très longtemps. Elle n'était pas sûre de pourquoi elle riait. Peut-être que c'était par rapport à quel point les hommes pouvaient être faciles à cerner, ou peut-être que c'était la pensée de coucher avec quelqu'un, ou peut-être...peut-être qu'elle voulait juste que quelqu'un veuille d'elle. Son sourire s'effaça dès la pensée venue. Bien sûr, elle avait de l'attention chez elle, mais aucune n'était gentille. Wiltfield était un pauvre petit hameau. Personne là-bas n'était heureux. Et ils avaient décidé d'en fait le problème de tout le monde. Elle soupira tristement.

L'horrifiant, il lui sembla que la forêt soupira avec elle.

Ethel s'immobilisa d'un coup, ses pieds comme collés au chemin poussiéreux. Tous ses poils étaient hérissés. Elle regarda autour d'elle. Elle voulait, stupidement, appeler quiconque était là, mais elle savait que rien de bon ne viendrait de ça. Elle analysa les arbres, cherchant pour n'importe quoi qui semblait incongru. Les rayons de la lune perçaient les nuages et passaient au travers des arbres, mais l'entièreté de la forêt, qu'elle n'avait jamais visité, lui semblait étrange. Elle se força à continuer d'avancer, pas à pas, rentrant péniblement chez elle. C'était le vent, se disait-elle, juste le vent, tu deviens ridicule. Une autre branche craqua. Elle baissa les yeux, et cette fois, ce n'était pas sa faute. Les branches des arbres s'agitèrent. Elle trembla. Elle regarda autour d'elle à nouveau. Toujours rien. Elle se força à avancer, un pas après l'autre. Il y eut un grognement. Des larmes apparurent au coin de ses yeux. C'était son estomac, elle avait à peine mangé aujourd'hui. Elle continua d'avancer. Elle réanalysa les arbres et s'arrêta. N'était-elle pas déjà passée à côté de ce rocher? Elle porta une main à son cœur battant. Puis, le rocher bougea. Il leva la tête argentée, et ouvrit ses yeux dorés, semblant luire de leur propre lumière. Elle couina. La chose l'observa. Elle essaya de courir mais trébucha et tomba sur le chemin. Elle roula sur son dos au moment où la chose se tint au-dessus d'elle. C'était une bête en apparence, mais un homme en forme.

Elle avala lourdement.

C'était un loup-garou.

Le loup-garou jeta sa tête en arrière et hurla. Ethel roula sur son ventre et se remit sur ses pieds. Il agrippa sa robe entre ses griffes. Elle tourna et tenta de s'extirper, mais n'arriva qu'à attirer ses griffes vers sa poitrine. Elle respira difficilement. Ses griffes déchirèrent son haut, dévoilant ses seins à la nuit froide. Elle cria. Elle tira sur sa robe en essayant de courir et la vieille tenue se déchira entre ses griffes. Elle tituba mais se rattrapa, et se jeta en avant du chemin. Le monstre hurla. Puis il se lança vers le chemin après elle.

Il n'y avait aucune lumière devant elle. Il n'y avait aucune lumière derrière. Elle coura le long du chemin. Un nuage passa devant la lune, la plongeant dans le noir. Tout au-delà de son cinquième pas devint un mystère pour elle. Mais elle continua de courir, la bête la suivant de près. Un arbre sur la route apparut à ses yeux. Elle sauta par dessus, accrochant sa robe mais se libérant rapidement, laissant toutefois plus de tissu derrière elle. Elle continua à courir.

Le loup sauta sur l'arbre, le brisant en deux. Il y avait une branche plus basse que les autres devant elle. Elle la poussa sur le côté et la laissa revenir à sa position. Le loup la saisit entre ses crocs et ferma la bouche, la brisant en morceaux. Il gagnait du terrain. Il y avait un peu juste devant. Elle avait toujours entendu que les mauvais esprits ne pouvaient pas traverser de l'eau mouvante. Si elle pouvait y arriver-

Le loup la griffa encore. Encore plus de sa robe fut déchirée, exposant tout en dessous des genoux.

Elle ne pouvait pas encore se montrer impudente. Elle courut plus vite, ses jambes en feu, ses poumons la brûlant comme un brasier, avant qu'elle ne se jette sur le pont en bois. Elle tomba de l'autre côté, se tirant quelque mètres devant avant de se tourner sur son dos, souriant comme une folle, pour voir l'ennemi qu'elle avait vaincu.

Le loup-garou sauta dans les airs.

Son sourire s'effaça.

Il traversa la rivière sans problème.

Elle essaya de s'enfuir mais fut trop lente.

Le monstre tomba sur elle, lui coinçant les bras sous ses mains et ses jambes sous ses genoux. Elle se débattit pour se libérer mais sans succès. Ses doigts étaient aussi épais que ses coudes, son corps quasiment entièrement composé de muscle sous sa fourure grise-brune. Il expira, son souffle chaud soufflant ses cheveux de son visage, les répandant telles des cendres sur sa nuque. Surprenamment, le sentiment de solitude revint. Etait-ce à ça que ça ressemblait, de mourir? La solitude? L'attention du loup-garou se porta sur le reste de son corps, expirant encore sur son visage, sur son cou, sur sa poitrine. Sa truffe frôla ses seins. Ses yeux dorés étaient sauvages, mais pas dénués d'intelligence, et il semblait presque l'étudier. Il expira encore, sa chaleur enveloppant sa poitrine, la protégeant da la nuit froide. Elle respira. Son coeur battit et sa gorge se noua mais la peur échoua à s'installer pleinement. Le poids au-dessus d'elle et le souffle chaud sur ses parties lui rappela un amant qu'elle avait connu jadis. Quelque chose d'aussi primaire que la peur et deux fois plus honteux commençait à éclore. Le loup-garou était fort au delà de toute compréhension, la faisant se sentir petite and faible et vulnérable et...charmée! Et à quel point était-ce était, de se souvenir de se rappeler ce voyageur et la manière dont il l'avait fait se sentir! Et à quel point était-ce honteux que ce monstre soit le catalyseur de ce souvenir! Mais, s'il la tuait maintenant, au moins elle pourrait mourir en se souvenant de ce bel inconnu qui lui avait coupé le souffle.

Le loup-garou la regarda de nouveau, et expira encore une fois. "Je sens plus que de la peur," grogna-t-il. Sa voix la choqua. C'était le parfait mélange d'homme et de bête, profond et résonant, sauvage mais avec un morceau de civilisation. Ethel sentit ses yeux luisants sur elle, analysant sa poitrine nue, sa robe déchirée. "Qu'est-ce que c'est?"

"Quelque chose que je ne peux expliquer," s'étouffa-t-elle. "Peut-être le désir...de négocier." Elle aurait dû aller travailler au bordel! Qui de sain d'esprit répondrait aussi sincèrement? Au moins, elle avait pu couvrir ses traces à la fin. Mais peut-être...Oui, peut-être qu'elle pourrait essayer de remplir ce besoin-là.

"De quelle façon? Je n'ai pas besoin d'or"

"Parle moi de tes autres besoins." Elle déglutit fortement. Des perles de sueur apparurent sur son front. Elle pensa à ce que tellement d'hommes lui avait dit, à Wiltfield comme à Grindstone. "Je peux sûrement t'être d'une quelconque utilité."

Le monstre grogna, laissant la peau d'Ethel frissonner de peur, et ses jambes se pressant ensemble dans quelque chose qui ressemblait à une excitation enfantine. Il se pencha vers elle, la surprenant, la toisant de haut une nouvelle fois, alors qu'une nouvelle forme déformait sa silhouette. Ethel retint sa respiration en réalisant ce que c'était.

L'organe de la bête était aussi long que son avant-bras et juste aussi épais. Il était rouge comme la peau d'une pomme avec un bulbe près de la base, donnant à la chose la forme d'un vase.

"Vas-y," grogna le loup, "montre que tu es utile. Prouve ta valeur"

Ethel s'agenouilla. Ses mains tremblaient comme des feuilles au gré du vent. Elle entoura ses doigts autour de l'organe du loup-garou. La peau était douce et souple, presque luxueuse au toucher, mais aussi droite qu'un os. Elle commença à bouger. Rien à propos de la respiration lourde du monstre ne changea. Elle regarda le bout avec inquiétude. Ce n'était pas comme la bite d'un vrai humain. C'était bien plus gros, et ça ne rentrerait dans sa bouche que si elle était morte.

"J'attends," dit le loup-garou, impatiemment.

Ethel respira. Agitant ses deux mains, elle approcha son visage. Elle lécha le gland, qui tressaillit en réponse. Elle lécha encore, et encore, et puis une dernière fois avant de réunir le courage de le prendre entre ses lèvres. Ça rentrait à peine. Le gland à lui tout seul remplissait sa bouche entière.

"Bonne fille," dit le loup.

Ethel se laissa respirer. Elle avança et recula la tête en très courts mouvements. Elle garda ses lèvres fermement entourées autour de l'organe du loup-garou, léchant le gland du mieux qu'elle put, pour lui faire plaisir du mieux qu'elle pouvait. Elle forma un O avec ses doigts, et continua de bouger ses mains autour de sa bite, prenant de la vitesse alors qu'elle tentait toujours avec son gland. Ca la rendait nerveuse. Elle se sentait dangereusement proche de l'étouffement, mais était allée trop loin pour arrêter. Si elle abandonnait maintenant, le monstre la tuerait assurément.

"Ne sois pas timide, gamine," dit le loup-garou, portant une main à sa tête. "Montre moi que tu aimes ça."

Le loup commença à pousser sa tête en même temps. Le gland entra dans la gorge d'Ethel. Elle s'étouffa, ses yeux s'écarquillant, mais n'osa pas résister. Pendant un horrible moment, elle craignait qu'il n'enfonce l'entièreté dans sa bouche, une action qui tuerait sans aucun doute quelqu'un d'aussi inexpérimenté qu'elle. Mais il ne le fit pas. Il n'alla pas beaucoup plus loin que le gland.

"Ne t'arrête pas d'agiter tes mains," dit le loup-garou en léchant ses lèvres. "Prouve-moi ta valeur."

Et elle le fit. Elle le branla avec une vigueur renouvellée, même si ses bras commençaient déjà à fatiguer. Elle laissa la main du loup lui donner le rythme jusqu'à ce qu'il la laisse. Elle recula sa tête, prenant une profonde inspiration nasale, puis suça autant de sa bite qu'elle pouvait. C'était comme essayer d'avaler un poing, mais dans sa volonté de survivre et sa détermination de prouver sa valeur à cette bête, ça devenait plus facile à chaque fois. Rapidement, elle accueillit son gland dans sa gorge, et se trouva même à essayer de sucer davantage, ne s'arrêtant que quand son corps menaça de vomir ou de lâcher.

La queue du loup-garou s'agita avec tant de férocité qu'elle soufflait les feuilles autour d'eux.

"Oui!" Rugit-il. "OUI! TU ES DIGNE!" Sans avertissement, il sortit sa bite de sa bouche; Il lui bondit dessus, la plaquant sur le dos une fois encore. Il sentit sa poitrine, son souffle chaud sur sa peau. Puis, il sort sa langue et commença à lécher ses seins.

Ethel gémit, ses poignets s'agitant malgré la prise du loup. Elle se sentait petite à nouveau. Ses seins semblaient n'être pas plus gros que des baies contre la langue du loup-garou. Il continua de les lécher, la sensation devenant de plus en plus intense à chaque fois. Puis, il entoura sa gueule autour de son téton et commença à sucer comme un enfant affamé.

Ethel gémit une fois de plus. "Qu'est-ce que tu fais?" La peur et la curiosité se battaient en elle, ses jambes remuant, n'arrivant pas à se décider entre essayer de se lever pour s'enfuir, ou s'écarter pour le monstre qui était au-dessus d'elles.

"Tu es digne," dit-il. Il suça son sein en entier, sa langue massant la peau et le muscle en dessous d'elle.

Elle gémit une fois encore, ses cuisses s'écartant par réflexe. "D-Digne de quoi?" Elle avait pensé se battre pour prouver qu'elle était digne de vivre. Elle commençait à se demander si elle n'avait pas été trop bonne à ça.

Le loup-garou ne répondit pas. Il prit son autre sein dans sa bouche, suçant avec une férocité qui aurait dû être douloureuse, mais la laissa à la place désireuse de plus. Après un petit moment, il retira sa gueule, laissant ses seins tranquilles, relacha ses bras, attrapa ses jambes et les ouvrit.

"H-Huh!"

Le loup-garou fit passer sa langue sur sa fente et sur son clitoris. Ethel gémit comme une bête. C'était comme s'il avait gratté une démangeaison qu'elle ne pouvait pas atteindre avant, ou peut-être comme s'il avait aidé à sortir d'un piège extrêmement inconfortable. Et il continua. Il la lécha une demi-douzaine de fois, chacune plus intense que la précédente, avant de plonger sa langue en elle.

"Oh~"

Il fit entrer et sortir sa langue, remuant comme un serpent falsifiant sa mort, en haut et en bas, sur les côtés, à l'intérieur et à l'extérieur, avec une férocité rapide mais primaire. Et il ria. Il ria d'un rire guttural pendant qu'elle se tordait et se tortillait sous lui, son esprit peu sûr de son traitement, son corps désespéré de plus.

Aussi rapidement que ça avait commencé, ça s'arrêta. Le loup-garou sortit sa langue, celle-ci dégoulinant de salive et de son désir.

"Pourquoi t'as arrêté?" demanda Ethel, la déception pointant dans sa voix.

"Parce que tu es prête." Il leva sa robe au-dessus de ses cuisses, l'attrapa fermement par les cuisses, et plongea sa bite en elle.

"AAH!"

La bête ria. Il lança ses cuisses en avant pendant qu'il tirait ses jambes en arrière. Leurs corps se rencontrèrent par de violentes collisions. Ethel pouvait voir la bosse dans son abdomen monter vers son nombril et puis redescendre à chaque coup de butoir. Ça aurait dû faire mal. Il était tellement gros que ça aurait dû être une agonie, mais à la place, elle se trouva à écarter ses cuisses du mieux qu'elle pouvait, le laissant aller encore plus loin.

"Bonne fille," il grogna encore. Il fredonna de plaisir, son organe pulsant à l'intérieur d'elle. "AGH! TELLEMENT BON!" Il pressa ses cuisses contre les siennes. Ethel sentit quelque d'encore plus épais entrer en elle, mais ça ne recula pas cette fois. Il était coincé en elle.

Le loup se pencha vers elle. Elle pouvait sentir la nuit sur sa fourrure. Il relâcha ses jambes et puis saisit ses seins, ses énormes pattes rendues dures par une vie entière à courir dans la forêt. Pendant cela, il lécha sa nuque et sa poitrine. Et en même temps, il continua de s'enfoncer, sa bite pratiquement dans son utérus. Ca aurait dû faire mal, mais non. Il passa ses pouces calleux sur ses tétons. Elle gémit. Elle voulait qu'il continue.

Le loup tira sa tête vers l'arrière et hurla. Ses cuisses se collèrent à celles d'Ethel, et une explosion chaude et épaisse la remplit. Le nœud à la base de son organe désenfla, et il sortit, sa bite dégoulinant de mouille et de semence. Ethel sentit son éjaculat couler d'elle. "N-N'arrête pas maintenant..." dit-elle pathétiquement.

Il se poussa sur ses pattes arrières. Sa bite devait encore désenfler. Elle était encore aussi épaisse et grande que quand il la prit pour la première fois entre ses lèvres. En fait, elle pulsait même, comme s'il n'avait jamais fini. Le loup-garou fit parcourir ses mains jusqu'à ses cuisses et les saisit. "Oh ne t'en fais pas." Il la fit pivoter pour la mettre à quatre pattes. Elle soupira de surprise et de joie. "Ce n'était que le commencement!" Puis, il poussa sa bite massive en elle encore.

"OHHH"

Le loup ria. "Tu sonnes comme l'un d'entre nous!"

Ethel gémissa. La bite du loup-garou était rentrée de nouveau sans une once de résistance. Elle était devenue tellement humide. En avant et en arrière il allait, son organe la remplissait entièrement, illuminant des parties d'elle jamais vraiment connues. Car aussi délicieuse que la nuit avec le voyageur avait été, il n'avait pas la bite monstrueuse de cette bête. Ses seins, semblant mystérieusement plus gros qu'ils ne l'étaient avant, bougeaient avec les coups de boutoir de l'homme-loup. Elle glissa une main vers son entrejambe et commença à caresser son clitoris, qui pulsait.

"Qu'est-ce que tu," Ethel s'arrêta pour gémir d'un délice primaire, "m'as fait?"

"R-Rien!" grogna l'homme-loup. "C'était là depuis le début!"

Elle ne savait pas ce qu'il voulait dire, et s'en fichait. Tout ce qui l'intéressait était l'extase qui coulait en elle; Elle voulait hurler de joie, remercier le loup-garou pour la remplir avec ce plaisir.

"Merci pour ça," croassa-t-elle. Elle gémit, sa bite frappant tous les bons endroits, mettant ses nerfs en feu.

"Tout le plaisir est pour moi," grogna-t-il. Il éloigna ses cuisses alors qu'il reculait puis les rapprocha en s'enfonçant en elle. Même si elle était serrée, elle accueillit son organe parfaitement à chaque coup. C'était comme si la pauvre fille avait attendu pour lui. Il allongea ses coups de boutoir, poussant aussi profondément en elle que possible, se prélassant dans ses gémissements.

Ethel pouvait sentir le nœud commencer à enfler de nouveau. Il entrait et sortait d'elle, indétectable au début avant de devenir une bosse qui lui emmenait une autre vague de plaisir en passant dans sa fente. Elle abaissa son torse, levant ses cuisses pour qu'il puisse aller plus profondément encore. Elle était proche, elle était tellement proche. Et alors que le nœud enflait encore en elle, piégeant sa bite à l'intérieur, elle était enfin à boud.

"AAH-AAH!"

Ses muscles se resserrèrent autour de la bite du loup-garou. Tout comme sa bouche, ils la pressaient avec une avidité vorace. Il pressa ses cuisses contre les siennes, une autre vague lui échappant et allant profondément en elle. Il donna à Ethel un moment pour se rétablir, son souffle chaud et haletant soufflant les feuilles sur le sol de la forêt, avant de commencer à aller et venir encore.

"Oh, bon sang!" gémit-elle. "Comment ça se fait que t'aies pas fini?"

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