Le bal des cocus

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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Je restais sans voix, pendant ce temps de l'autre coté de la vitre, Michelle avait les cuisses toujours ouvertes et recevait l'un après l'autre des hommes et encore des hommes qui la couvraient et la baisaient.

« Ils ont été très loin vous savez? »

« Hein... » Fis je, soudain tiré de mes rêves.

« Je dis ils ont été très loin! »

« Qui? »

« Hé bien les chiliens! »

« Ah! »

« Vous voulez savoir jusqu'où? »

« Oh... je ...je n'ose imaginer! »

« Non vous n'imaginez pas. Bien souvent ils raflaient toute la famille, le père la mère et les enfants. Ils torturaient le père devant eux, vous imaginez la détresse de la femme et des enfants. Ensuite ils interrogeaient la femme qu'ils droguaient et souvent les enfants aussi, ensuite ils jetaient tout le monde dans la même cellule au lit étroit. »

« Et alors? »

Un nouveau ricanement accueillit mon interrogation.

« Le fils montait la mère, le frère montait la sœur, etc... »

Je la regardais. Son visage grimaçait plus qu'il ne souriait. Mes yeux allaient de Michelle à ce visage si près du mien et pourtant si éloigné. Je reportais mon regard au delà de la vitre et j'imaginais le Chili dans la dictature, Michelle arrêtée et livrée à ses bourreaux, telle que maintenant, offerte sans défense.

Je rebandais! Je la voyais prise encore et encore, cela dura plus de deux heures avant que les hommes ne se lassent d'elle. Je vis alors approcher Gille qui vint se pencher sur elle à demi inconsciente. Il lui murmura à l'oreille et il la mis sur le coté face à moi. Puis il passa derrière elle, il s'allongea contre elle, lui écartant les fesses, je vis son sexe tendu chercher sa voie qu'il trouva dans l'anus de mon épouse. Devant mes yeux, son sexe était recouvert de sperme, ses cuisses luisantes de la même substance.

Gille sembla fixer la vitre par où je regardais, il eut un sourire en même temps que je vis son membre s'enfoncer dans le petit trou de ma femme. Elle se raidit, j'entendis le son rauque de sa voix qui implorait en même temps que Gille, par de solides coups de rein, entrait au plus profond de son ventre. Sans tenir compte d'elle, il besogna son cul pendant qu'elle se cambrait, et je ne savais s'il s'agissait de douleur ou de jouissance. Quand vint le moment de jouir pour son amant, il se raidit et ficha en elle son engin avec une sorte de rage que je lus sur son visage, et puis il tressaillit à plusieurs reprises, ses yeux se révulsèrent et je vis qu'il se déversait dans son ventre.

Il fixa encore la vitre, il avait le sourire triomphant, je baissais les yeux, je n'en pouvais plus.

Je me tournais vers la blonde qui ne perdait rien du spectacle.

« Je crois que je vais m'en aller. »

« Déjà?! » Dit elle faignant la surprise.

« Oui je vais rentrer. » Dis je d'une voix morte.

Je vis son ironie rentrée. Cependant elle ne dit rien, se contentant de me ramener poliment à ma voiture.

Je pris congé, en démarrant je lui adressais un signe, elle répondit à mon signe et je m'enfonçais dans la nuit, dans ma nuit.

Jipai
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