Le bal des cocus

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Michelle dans la tourmante s'enfonce dans le vice.
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Jipai
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C'est ainsi que la jalousie qui me tiraillait les tripes au début de notre mariage a évolué peu à peu vers la perversité.

Je me vengeais, en tout cas j'en avais le sentiment. Je voulais que cette femme qui avait trahi mes attentes devienne l'esclave de ses propres dérives sexuelles. Mieux encore, j'avais l'intention de la guider sur le chemin de la perversité jusqu'à la déchéance totale. Bien sur, je ne m'avouais pas ce but du jour au lendemain, je restais fasciné de constater de quoi elle était capable, j'en avais eu un échantillon en la suivant ce fameux Dimanche chez Gille, j'en avais été profondément marqué, je me masturbais quotidiennement en me remémorant ce que j'avais vu chez son amant, comment elle s'était faite prendre, avec le plus grand naturel, par des hommes qui lui étaient inconnus ou quasi inconnus. J'avais admiré sa maîtrise, son sang froid, en un mot son professionnalisme, car Michelle était désormais une professionnelle du sexe. Certes, elle ne pratiquait pas tous les jours, elle faisait ça occasionnellement et discrètement dans le huis clos d'un appartement bourgeois parisien, se rendant deux fois par semaine chez Gille où elle rencontrait des hommes à qui elle prodiguait ses biens faits. J'ai eu l'occasion de dire combien elle savait sucer un sexe, avec quelle douceur elle le prenait en bouche et le caressait de sa langue, je comprends que des hommes qui avaient goûté ce genre de libéralité y reviennent et payent pour ses prestations. Je savais aussi la douceur de son sexe poilu et brun, qu'elle laissait proliférer l'hiver, je l'avais connue étroite au début de nos relations, toujours humide cependant, mais je pus me rendre compte assez vite que le passage répété de sexes bien plus forts que le mien et peut être aussi la pluralité avait amené des changements dans son anatomie. Peu à peu je constatais que ses grandes lèvres n'étaient plus aussi closes au repos, le renflement de sa fente se faisait plus accentué. Son vagin me semblait plus lâche quand j'y insérais mon sexe. Je ne suis pas un homme excessivement bien monté, tout juste dans la moyenne, mais au bout de six mois je pus constater les transformations anatomiques de Michelle, j'allais et je venais en elle sans que je sente réellement les parois vaginales qu'elle avait du mal maintenant à contracter autour de ma bite. Son anus était plus accessible, j'y entrais facilement presque sans forcer, elle acceptait cela sans un cri sans une plainte et je me disais que Gille avait transformé son corps, le modelant à sa guise, à la taille de son membre plus gros que le mien, ma femme était à sa pointure, mais non plus à la mienne.

Elle rapportait des sommes rondelettes dont elle me faisait profiter un peu, mais le plus gros de ses gains partaient en toilette, en lingerie fine qu'elle ramenait de boutiques réputées. Quand elle revenait, elle me montrait fièrement, comme des trophées ses culottes de dentelle, ses soutiens gorges assortis ou ses porte-jarretelles qui faisaient maintenant partie de sa lingerie courante. Elle avait aussi acheté deux guêpières qui lui prenaient la taille et magnifiaient son corps. Je regardais tout cela d'un œil égrillard imaginant mon épouse face à ces hommes qui la désiraient et la prenaient dans l'appartement de Gille. Je sais aussi qu'une partie de sa lingerie restait chez Gille, la partie la plus coquine, voir la plus putassière qu'elle enfilait à la demande de ses clients. Tout ceci m'émoustillait, me taquinait l'imagination, je la voyais s'excitant sur une bite dans sa bouche, alors qu'elle était en dessous affriolants ou encore prise par des hommes qui exigeaient qu'elle garde ses dessous pendant l'acte sexuel. J'imaginais! Mais je n'osais solliciter une place de voyeur comme le fameux Dimanche. Pourtant un jour je pris mon courage à deux mains et je téléphonais à Gille, ne pourrait il pas, par exemple, organiser une séance ou je la verrais en action? Il répondit favorablement à ma demande, me promettant d'organiser bientôt une soirée. Ainsi donc j'attendis dans l'impatience, qu'il me rappelle. Cela dura deux semaines environ et un soir le téléphone sonna à mon domicile. Michelle n'était pas encore rentrée, je reconnu la voix de Gille et la conversation commença sur le ton badin de deux amis qui discutent au téléphone. Sans que je m'y attende, Gille changea soudain le sens de la conversation et me demanda si je pouvais me rendre libre pour le Jeudi soir suivant. Un peu décontenancé je lui bredouillais que la, à priori je n'en savais rien mais que j'allais voir...il me dit alors qu'il avait concocté une soirée dans un lieu à la fois branché et discret, loin de la capitale où il comptait inviter Michelle. Il m'invitait aussi, mais il voulait que je n'en parle pas à mon épouse, que je vienne seul. Mon cerveau tournait à cent à l'heure, bien vite je me persuadais que ma voisine pourrait se charger de la garde des enfants et que oui, je pourrai me libérer. J'en fis part à l'amant de ma femme qui sembla satisfait.

Il me décrivit alors l'endroit, une ancienne ferme isolée en campagne, transformée en boite de nuit où des couples branchés, plus ou moins légitimes, venaient s'encanailler le soir venu. Il me donna l'itinéraire pour m'y rendre, il me donna aussi l'heure à laquelle je devais me présenter, en prenant bien soin de cacher ma voiture aux yeux de tous pour que je sois vraiment incognito.

Michelle rentra un peu plus tard et pendant le souper, elle me dit qu'elle partait en séminaire le Jeudi suivant et que, par conséquent, elle me laissait la garde des enfants car elle ne comptait rentrer que le Vendredi soir. Je la laissais dire instruit par avance de la soirée qui s'annonçait. Je posais une ou deux questions banales sur le séminaire, elle me répondit de façon évasive et tout fut dit sur le sujet.

Le Mercredi soir je la vis faire sa valise ou elle entassa de la lingerie fine en nombre, incluant portes jarretelles et autres bas coutures, bref, tout ce que l'on doit porter quand on part en séminaire!

Le Jeudi matin elle me fit un baiser doux comme jour avant de refermer la porte et j'entendis son pas décroître dans l'escalier.

La journée fut longue, je la passais à tourner en rond, à l'heure de la sortie des classes, je conduisis les enfants chez la voisine et puis je me préparais. Rien de bien particulier, sinon un costume une chemise sans cravate, une tenue décontractée.

Puis je pris la route.

J'étais en avance, je le savais, je m'efforçais de rouler lentement, de toute façon je ne connaissais pas la route, me fiant à l'itinéraire de Gille. Après deux heures de conduite j'arrivais devant le portail d'une ferme que je reconnu au descriptif que Gille m'en avait fait. Un battant du portail était ouvert, la place était suffisante pour entrer une voiture sans problème, j'engageais la mienne et je débouchais dans une cour vaste. Un chien se mit à aboyer, attirant sur le pas de la porte une femme dans sa quarantaine, blonde et qui vint vers moi. Je me présentais comme étant un ami de Gille et tout de suite son visage se détendis, « Je vous attendais » me dit elle.

« Vous allez me suivre, je vais ouvrir ce hangar la bas où vous allez garer votre voiture. »

Ce que je fis.

Après ça elle m'invita à entrer chez elle, je me trouvais dans une immense pièce aménagée en dancing. Une piste centrale et tout autour des box sombres à peine éclairés ou l'on devinait ce qui pouvait arriver. Plus loin il y avait d'autres pièces, plus petites, plus intimes aussi, avec des divans, des sofas, des canapés profonds. La blonde me guidait dans son intérieur, avec simplicité et décontraction. Cette ferme isolée en pleine campagne était parfaite pour les rendez vous discrets, il m'avoua d'ailleurs que parfois en journée, des couples venaient s'isoler et qu'à l'étage elle avait un certain nombre de chambre d'ôtes. J'acquiesçais en hochant la tête, impressionné par le luxe tranquille qui émanait du lieu. Elle me fit entrer dans une petite pièce discrète, à l'écart de ce que nous venions de visiter.

« Voila, ici vous serez bien? » Annonça t'elle tout de go. Comme je la regardais sans comprendre elle me montra les vitres qui donnaient sur la salle de bal et sur les salons attenants. Comme elle voyait que je ne comprenais toujours pas, elle partit d'un rire léger, et me montrant les vitres en question, elle me dit « Ce sont des miroirs sans tain! D'ici vous pouvez voir ce qui se passe de l'autre coté sans être vu vous-même. »

Oh! Belle installation. Ainsi donc tout en restant ici je pourrait jouer au mateur. La blonde me souriait. « Des messieurs paient parfois très cher pour venir ici. Mais rassuré vous tout est pris en charge pour vous. Installez vous je vous apporte de quoi passer la soirée, à manger et à boire. A bientôt. »

Elle tourna les talons et je me retrouvais seul face à mes glaces sans tains ayant en perspective la salle et les deux premiers salons.

Elle revint avec une collation et je m'installais pour dîner. Pendant ce temps les convives arrivaient un à un ou par groupes, des hommes, des femmes, plus d'hommes que de femmes. La musique envahit l'espace sans l'accaparer et la soirée commença, les couples se mirent à danser lascivement sous mes yeux, il était évident que tous étaient des habitués, il n'y avait aucune gène, les femmes avaient déjà les mains au cul et les hommes se faisaient caresser le sexe sans complexe. Ma femme apparut avec Gille quelques temps plus tard, on les défit de leurs manteaux et ils commencèrent à danser à leur tour. Ma femme portait une robe moulante noire et courte que je ne connaissais pas. Quand Gille la prit dans ses bras pour une danse, il était évident que la robe n'était pas assez longue pour cacher le lisière des bas et l'attache des jarretelles, il s'arrangeait pour remonter suffisamment la robe et rendre visible à tous les bas de ma femme. Elle attirait les regards des hommes qui la déshabillaient de leurs œillades salaces fixés que ses jambes dénudées. Quand la musique se tut, Gille la mena vers une banquette où elle n'eut pas le loisir de s'asseoir car la musique repris aussitôt et elle fut sollicitée par un homme qui vint s'incliner devant elle. J'observais tout ça depuis ma pièce, déjà très excité par ce que je voyais. L'homme la serra d'entrée très fort, et puis ses mains se perdirent sur ses fesses qu'il palpait ouvertement plutôt qu'il ne caressait. Comme Gille, il remonta a robe bien plus haut que la lisière des bas si bien qu'elle dansa en offrant le spectacle de ses cuisse gainées de bas noirs à toute l'assistance. Gille s'était assis et contemplait le spectacle en compagnie d'invités qui visiblement le connaissaient, à voir leur expression, je me doutais qu'ils parlaient de mon épouse à qui ils jetaient des regards gourmands. Quand cet air la fut fini il y en eut un autre et ma femme fut prise dans d'autres bras tout aussi vigoureux mais plus excités encore, le troisième danseur lui releva la robe si haut que ses mains passèrent sous la robe pour lui masser les fesses à même la peau. Ma femme n'était pas la seule dans ce cas, toutes les femmes sur la piste avaient les fesses à l'air, mais moi je ne voyais qu'elle et ses mains qui palpaient son cul sans vergogne.

Je bandais, dois je le dire?

Le jeu continua encore un bon moment, Michelle passait de mains en mains qui chaque fois la pelotaient, certains hommes lui firent aussi tâter leur sexe et je constatais qu'elle prenait goût à masser les protubérances qui gonflaient les pantalons. Au cours d'une danse, son cavalier lui glissa la main dans sa culotte par devant et je la vis fermer les yeux, rejetant la tête en arrière en une posture proche de l'extase, déjà!

Il la masturba sur la piste et je crois bien qu'il obtint sa jouissance car il dut la soutenir quand la musique se tut. Il la mena à la table de Gille ou elle se laissa tomber avant de boire le contenu d'un grand verre ambré. Gille l'embrassa à pleine bouche tout en glissant sa main entre ses cuisses, puis il lui demanda quelques chose, elle répondit en souriant et il la massa de plus belle, obtenant d'elle qu'elle ouvre davantage ses cuisses. Visiblement elle était chaude bouillante et prête pour la suite. Gille lui parla à l'oreille et ils se mirent debout pour se diriger vers le premier salon attenant. Le canapé était profond et quand Michelle se laissa aller, elle s'étala de tout son long en riant sur les coussins moelleux. Il y avait déjà la deux hommes et une femme qui rirent à leur tour. Gille se mit un peu plus loin et laissa Michelle avec les deux hommes tandis qu'il s'intéressait à la femme.

Les deux vigoureux quarantenaires se mirent aussitôt à dénuder Michelle, bien vite elle abandonna sa robe noire qui gisait au sol, informe. Elle était désormais en culotte soutien gorge et porte jarretelles, entre les mains fouilleuses des deux hommes qui lui massaient les seins et les cuisses. Celui qui lui massait les seins lui sortit les tétons du soutien gorge à balconnets et se pencha pour les sucer tandis que l'autre plongeait sa main entre ses cuisses et lui fouillait vigoureusement l'entre jambes. Elle jouissait sans relâche, tendant son corps comme un arc, prise entre les deux males qui excitaient ses sens. Je ne l'avais jamais vue dans un tel état, s'offrant, appelant les caresses, ouvrant ses cuisses s'offrant aux hommes qui lui prodiguaient leurs caresses intimes. D'autres hommes passaient à coté d'eux et ils s'arrêtaient, je vis l'un d'eux défaire son pantalon et s'agenouiller entre les cuisses de Michelle.

Je vois le sexe tendu il me parait gros vu d'ici je ne vois pas très bien mais il avance vers elle et lui place sa bite contre la fente. Il pousse il entre en elle, elle se tend sous le membre qui la pénètre, elle est offerte les cuisses à l'équerre elle engloutit ce membre jusqu'aux couilles. Lui sans attendre la besogne à grands coups de reins qui lui tirent des plaintes roques et en peu de temps je le vois se raidir et s'enfoncer bien à fond en grimaçant. Il a des spasmes et il gicle au fond du ventre de ma femme. Il se retire mais aussitôt c'est la curée, un autre homme se précipite il est gros et transpire en se mettant a genoux, je vois son sexe plus petit que le précédent, il n'a aucun mal à s'enfiler à la place laissée par l'autre, je vois ses reins qui s'agitent et puis il se raidit très vite et se vide lui aussi. Les yeux révulsés il se répand dans le vagin de Michelle avant de partir très vite comme il est venu, un peu comme un voleur. Et aussitôt un autre homme se présente, son sexe est bien plus conséquent et quand il la pénètre, elle pousse un cri rauque et tend son bassin vers lui. Il se plante en elle et la besogne sans attendre, je vois sa bite aller et venir, c'est fascinant! il entre et sort d'elle a coups réguliers, elle gémit, elle crie, elle est folle! La bite qui la défonce s'emballe, je le vois serrer les dents et se tendre à son tour, avant de se planter au fond du ventre de Michelle et lui lâcher des giclées drues de sperme au fond.

Déjà trois hommes se sont soulagés en elle, derrière ma vitre je bande, je vois son sexe ruisseler de sperme, un des hommes qui la pelotaient juste avant se penche et examine sa fente coulante de fluide. Il bande lui aussi, il passe sa main sur les poils englués de sperme de Michelle, il lui écarte les lèvres intimes, un flot de foutre coule sur ses cuisses. Il allonge Michelle dans le canapé et il la couvre à son tour, sa bite est entrée en elle sans problème et maintenant il la baise sans retenue. Sans s'attarder il jouit en d'elle, je dirais plutôt qu'il jouit d'elle. Il bascule sur le coté et avec un grand sourire il invite son compagnon à prendre sa place. L'autre a un ricanement complice et il couvre le corps de Michelle, d'un coup de rein sec il introduit sa bite et il la lime rapidement. Ma femme est sans réaction, ce n'est plus qu'un vagin offert à toutes les sollicitations, sans pouvoir se défendre elle semble droguée, acceptant tout.

Derrière ma vitre je bande, le sexe a la verticale, je l'ai même sorti car il me faisait mal dans mon pantalon.

C'est à ce moment que j'ai senti une présence derrière moi, vivement j'ai tourné la tête pour apercevoir la blonde hôtesse qui m'avait accueilli deux heures plus tôt.

« Le spectacle vous plait? » dit elle en se penchant à son tour vers la vitre aveugle.

« Il faut dire que votre femme a du succès ce soir, elle semble très en beauté et très sollicitée. »

Je ne peux écarter mon regard du spectacle qui se déroule devant mes yeux, et ma gorge sèche m'interdit une quelconque réponse.

« Il est vrai que le cocktail que Gille lui a commandé pourrait rendre chaude une centenaire! »

« Que...que voulez vous dire? »

Elle partit d'un rire de gorge, « Gille a versé dans son verre un mélange fait d'extraits de champignons, ceux la même qu'utilisait l'armée chilienne du temps de la dictature pour rendre les femmes plus dociles! »

« Co...comment?! Vous avez drogué ma femme? »

« Oui un peu, mais ne vous en faites pas, il n'y aura pas de séquelles, demain il n'y paraîtra plus, sauf son vagin bien sur! » Et elle partit de son horripilant rire de gorge.

Je ne dis plus rien, je n'avais que mes yeux qui soient actifs et ce qu'ils voyaient était si incroyable, maintenant il y avait une file d'hommes qui faisaient la queue devant le divan où se trouvait allongée Michelle, j'en comptais huit à la queue leu leu, la bite à la main. Avec les cinq précédents nous en étions à treize, mon cerveau pouvait encore faire cette addition.

A ce moment la blonde se pencha sur moi, un sourire sallace au coin des lèvres.

« On dirait que tu apprécies! » Me lâcha t elle. Elle faisait allusion à ma bite dressée.

« Voir ta femme se faire prendre te fait bander? »

« Oui » Lâchais je dans un souffle. »

« Elle prend plus de coups de bites que jamais tu ne pourras lui donner! »

« C'est... c'est si .... »

« Oui! Si excitant! C'est ça que tu veux dire? »

« Oui, enfin, je ne pensais pas qu'un jour.... »

« Bien sur, je comprends, la plupart des hommes ne songent même pas que leur femmes puissent un jour se trouver dans cette situation. »

« Mais comment fais t elle? »

« Les femmes ont des ressources! »

Elle s'agenouilla près de moi et pencha la tête vers ma bite. Bientôt je sentis le souffle chaud de sa respiration et ses lèvres douces autour de mon membre qu'elle commença à sucer consciencieusement, en vraie professionnelle qu'elle devait être. Je me laissais aller, bandant de plus belle au spectacle extraordinaire de ma femme prise à la chaîne par des hommes toujours plus nombreux et que j'avais renoncé à compter. Il en venait toujours s'ajouter à la file, les uns derrière les autres, je me dis qu'il y en avait de beaux d'autres de laids et tous allaient couvrir le corps de mon épouse, enfin, de celle qui était mon épouse mais que je voyais offerte au monde entier s'il avait été la!

La blonde s'activait si bien sur ma queue que je sentis que j'allais jouir sous peu. Elle le sentit aussi et raffermit sa prise autour de ma bite jusqu'à ce que je me répande en elle en jets de sperme chaud plus nombreux que d'habitude. Le spectacle m'avait fortement excité. Elle avala tout et se redressa dans un sourire que je trouvais ambigu, sinon ironique.

« Comment vous êtes vous procuré cette drogue? »

« Nous avons des militaires dans notre clientèle, ils reviennent d'opération et ils ont toutes les drogues nécessaires, et aussi des désirs, ajouta t elle en gloussant. »

« Mais vous m'avez parlé des chiliens... »

« Oui, cette drogue fut mise au point pour eux par la CIA, ils s'en servaient pour faire parler les femmes, et pas seulement. »

« Que voulez vous dire? »

« Ils s'amusaient! »

Devant mes yeux ronds elle repartit dans un rire sans joie.

« Seriez vous naïf? »

« Oui, je l'avoue. »

« Hé bien ils se sont vite rendu compte que ces champignons rendaient les femmes si excitées qu'elle devenaient leurs jouets. Ils ont organisés des orgies durant lesquelles, se sont les femmes qui les suppliaient de les prendre, il n'y avait pas de viol de ce fait, et puis elles devenaient si bavardes! »

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