L'avilissement d'Aurore - Partie 09

BÊTA PUBLIQUE

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L'auxiliaire est redressée. Elle sent du sperme couler le long de ses jambes. Gênée au plus haut point, elle ressent toutefois des picotements, signes d'une excitation qui n'est pas retombée! Elle doit encore assouvir ses honteuses pulsions.

Le vieux a décidé de la pousser jusqu'au bout de ses limites psychologiques : - Regarde-toi! A poil devant six hommes avec du foutre qui dégouline! Alors, dis-nous, quels sont tes fantasmes inassouvis depuis ta puberté? Que caches-tu comme sales petits secrets depuis ton adolescence? Plusieurs hommes en même temps? Et combien?

Et le voisin de renchérir : - Je suis sûr qu'elle aime la bite depuis des années. Qu'elle ne vit que pour cela. Elle est blonde et elle est loin d'avoir l'intelligence d'Einstein...

Tout concorde : à part niquer, elle ne sait faire rien d'autre. C'est une superbe bimbo idiote.

- C'est vrai? demande l'exploitant agricole, se tournant vers Aurore : - Sous cet air extérieur de pétasse, tu as toujours désiré être prise par de nombreux mecs?

- Non, Monsieur! halète-t-elle frénétiquement : - Je ne suis pas du tout comme cela! Je veux juste... Faire l'amour à mon mari... Et lui rester fidèle! Rien d'autre! - C'est pour cela que tu viens de te faire baiser en public par Simon? En couinant comme une truie? Je ne te crois pas! Dis à tout le monde qui tu es vraiment avec tes rêves humides.

La mariée, sous l'emprise du stimulant, a du mal à contenir ses désirs. Souhaitant malgré tout rester honorable, elle poursuit dans le déni, soucieuse de conserver une dignité minimale.

Elle voit alors le fermier sadique se rendre à l'étable et en ressortir, quelques instants plus tard, en tenant dans sa main un long bâton d'argent avec une poignée noire et se terminant par deux dents en acier. Maintenant, ce mâle terrifiant est devant elle, un air mauvais dans le regard et avec un aiguillon « électrique» entre les doigts. Un nœud d'angoisse naît subitement dans l'estomac de la subordonnée, mais elle sait aussi qu'il vaut mieux ne pas s'enfuir. Aussi reste-t-elle en place, les genoux tremblants, attendant avec nervosité sa punition prochaine.

Brandissant la tige à l'aspect sinistre, le responsable de l'exploitation agricole hurle dans ses oreilles : - Maintenant, avoue à tout le monde tes fantasmes sexuels pervers. Ou il t'en cuira!

- Je... Je...

La fille sait ce qu'elle doit dire, mais dans un sursaut d'orgueil, elle ne peut tout simplement pas se résoudre à le faire. L'instant d'après, elle sent un feu atroce lui traverser l'abdomen, et avec un cri, tombe à genoux. - Je n'ai pas de temps à perdre avec ta désobéissance, crie le vieillard, et avant que la blondinette n'ait le temps de se remettre du premier choc, il pose le bout du bâton contre sa cuisse droite.

Si Aurore croyait jusqu'alors naïvement que la ceinture ou la cravache étaient les pires douleurs imaginables, elle voit soudain son initiation au sadomasochisme s'élargir de façon spectaculaire! Elle se penche alors vers l'arrière, de sorte que ses jambes sont pliées en deux et que l'arrière de sa tête repose sur le sol. En plein milieu de l'agonie, elle réalise qu'elle a adopté cette position ridicule à cause de l'effet de la décharge sur ses muscles, suite à une réaction purement biologique.

L'agriculteur pointe maintenant la terrible trique vers son sein droit, mais la secrétaire lève la main et secoue la tête sauvagement. - Tu as compris maintenant? s'enquiert Paul : - Si tu n'en veux plus, tu vas te remettre sur pied et répondre... à mes questions correctement et honnêtement. Alors, qu'as-tu à confesser?

Les yeux embués de larmes, la secrétaire marmonne : - J'aime... J'aime être... Vicieuse...

- Pas assez bien! Je veux des détails, des descriptions et de la passion. Prouve-nous que tu adores être baisée dans tous tes trous par plusieurs types en même temps.

Et sois convaincante, ou sinon...!

Se pinçant la lèvre, elle apporte quelques précisions : - J'aime être prise comme une cochonne à la broche : à quatre pattes, avec une queue dans la bouche et une autre dans la moule!

- Prise? Qu'est-ce que cela signifie? reprend le patron de l'exploitation agricole : Les chiennes ne parlent pas comme cela! Utilise le bon langage! Parle cru, espèce de garage à bites!

L'employée d'administration fait l'erreur de traîner une seconde de trop avant de répondre, et le bras du cultivateur s'abat sur le mamelon gauche. La douleur est indescriptible. Elle pousse un cri de souffrance et ses jambes s'écartent de manière incontrôlable.

Le regard vers le sol, elle concède : - J'aime les bites! Toutes les pines! Celles des jeunes comme celles de vieux! J'adore avoir mes trois trous remplis en même temps! Cela me fait mouiller! Sucer une queue sur le bout, puis descendre ma langue tout le long de la hampe! La rendre bien dure, puis la voir s'enfoncer jusqu'à ma gorge!

Et tandis que je la lèche, en sentir une autre dans ma chatte ou dans mon cul...

Une larme de désespoir s'échappe de son œil gauche. A genoux, en sanglotant, elle prend sans le vouloir une posture de soumission, pendant que le second suppositoire, désormais dissout, entraîne une deuxième vague de désir. Son bas-ventre la picote à nouveau et elle n'a plus qu'une envie : satisfaire un appétit sexuel décuplé.

- Veux-tu que nous te rendions le service d'être utilisée?

Aurore a de plus en plus de mal à contenir la nécessité de faire baisser la tension licencieuse qui l'assaille. Aussi, d'une voix à peine audible, répond-elle dans un murmure :

- Oui...

- De combien de mâles peux-tu t'occuper simultanément?

Elle réfléchit quelques instants, ses pensées, sous l'effet du stimulant, étant un peu brouillées :

- Heu... Trois...

- Réfléchis voyons! En plus de tes orifices, n'aurais-tu pas des mains?

- Si, Monsieur... Cinq?

- Problème : nous sommes six! Il te faudra donc en sucer deux en même temps, afin que personne ne soit oublié! Allez, va dans l'étable! On va te baiser sur de la paille! C'est tout ce que tu vaux! Si tu étais une dame, une épouse aimante et fidèle, tu aurais droit à un lit! Mais comme tu es la dernière des traînées, c'est déjà bien assez pour toi!

Et la secrétaire d'ouvrir la marche. La « torpille », dissoute, entraîne l'effet escompté : pendant deux heures, subissant spasme sur spasme, elle sombre dans la débauche et une dépravation innommable. Après avoir réussi à satisfaire conjointement les six individus, couverte de sperme, elle est ensuite pénétrée de multiples fois, dans le cadre d'une tournante entre des pines mortes de faim...

Une fois celles-ci rassasiées, un dernier message lui est indirectement adressé, via un échange entre Paul le patriarche et Pierre le voisin : - Voilà, mes amis, elle est prête. Votre salope a été dressée et répondra désormais à vos moindres volontés. Puis tendant une grosse boîte à Pivert, l'exploitant poursuit : - Cadeau de la maison! Ce petit présent contient une centaine de suppositoires. Faites-en bon usage!

Les hommes se quittent. Brisée, Aurore, qui a dormi durant tout le trajet de retour la ramenant chez elle, se retrouve enfin déposée sur le pas de la porte de son domicile.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Une situation d'humiliation, de non consentement, de dégradation poussée très loin et quand on aime comme moi c'est très excitant bravo. Oui c'est inhumain mais crédible sans tomber dans la simple baise. Ceux qui n'aime pas ne lisez pas.

Aurailiens qui dans la vie réel a un profond respect pour les femmes

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Degradant

Est-il possible d’être aussi dégradé ?

Tous ces hommes méritent une bonne leçon, à commencer par Daniel Guerin qui l’a mise dans cette situation. Son mari, sportif de haut niveau, devrait être informé et l’aider à faire subir les mêmes turpitudes à tous ces tourmenteurs....

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Et pendant ce temps, son mari, le sportif

La trompe avec une collègue.,,

La ferme, c’était mieux !

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