L'autostoppeuse!

Jean, la quarantaine, les traits fatigués mais encore séduisant, roule sur une route déserte, il rentre d'un déplassement pour le boulot de 2 semaines et va rejointe sa femme dans leur maison proche de Paris. Il aperçoit soudain une autostoppeuse, Lucy, une jeune femme de 25 ans libertine, très sexy et provocante : Lucy, vêtue d'une salopette en Jeans, fait du stop.

Jean s'arrête, hésitant un instant, puis ouvre la portière.

Jean dit d'un ton gêné « Vous allez où? «

Lucy souriante « Où tu veux »

Jean « Monte alors »

Lucy s'installe, en passant sa langue sur ses lèvres de manière suggestive. Jean déglutit, essayant de garder les yeux sur la route.

Lucy, avec un sourire séducteur, se présente « Bonjour, je suis Lucy. »

Jean, essayant de cacher son trouble, répond « Jean. Enchanté, Lucy. »

Jean repris la route »

Lucy se tourne vers Jean et remarque qu'il regarde sa poitrine. La salopette ne cachant pas grand-chose « Qu'est-ce qu'il y a, Jean? Tu te rince bien l'œil?» demande-t-elle.

Jean, se sentant pris en flagrant délit, rougit et bafouille « Désolé, je... Je... j'ai remarqué que tu n'as pas de soutien-gorge. »

Lucy, avec un sourire séducteur, répond, « Je n'en porte jamais Tu aimes mes seins? » continua t'elle en détachant les bretelles de sa salopette, exposant ainsi ces jolis seins aux tétons tendus

Jean, les yeux rivés sur sa poitrine « Ils sont magnifiques, Lucy. »

Lucy, en le taquinant, lui dit, « Tu veux les toucher? » Jean, hésitant, répond, « Je ne sais pas... » Lucy, en le toisant, lui dit, « Allez, Jean. Je sais que tu en meurs d'envie. »

Jean, cédant à la tentation, enlève une main du volant et la pose sur le sein de Lucy, le caressant doucement. Lucy, gémissant de plaisir, dit, « C'est ça, Jean. Tu aimes ça, hein? »

Jean répond, « Oui, Lucy. Ils sont si doux et fermes. »

Lucy, retirant la main de Jean, répond avec un sourire coquin, « Si tu en veux plus, il va falloir être un peu plus aventureux. » Elle rattache ces bretelles, cachant ainsi ses seins

Elle poursuit en le provoquant et lui dit « Tu es marié, n'est-ce pas? »

Jean en baissant les yeux répond « oui »

Lucy riante « Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te manger »

Elle pose sa main sur sa cuisse, le regardant droit dans les yeux.

Enfin, pas tout de suite.

Jean frissonne, luttant contre le désir qui monte en lui.

Jean en essayant de résister « Écoute, Lucy... Je ne suis pas ce genre de mec...,, je suis marié, désolé de ne pas avoir pu me tenir toute à l'heure, mais tu es si belle, ta poitrine est merveilleuse »

Lucy glisse sa main plus haut, lui touchant la bite qui est déjà bien dure et en le regardant avec désir.

Lucy murmure t'elle « Et si tu étais exactement ce genre de mec »

Jean perd le contrôle, il bande comme un taureau. Et Lui dit « Et si je l'étais? «

Lucy sourit, se penchant vers lui et en chuchotant lui dit « Alors montre-moi «

Il se gare sur le bas-côté, se retournant vers Lucy avec un regard noir

Lucy lui demande d'un air moqueur, pourquoi tu t'arrêtes, tu as envie de piser?

Jean très exciter par cette petite allumeuse, lui dit : "Tu me chauffe depuis que tu es monté dans la voiture alors maintenant il va falloir assumer petite salope".

Lucy toujours en train de lui masser la queue à travers son pantalon lui dit avec ces yeux coquins " Ok, et je fais quoi pour assumer".

Jean sur un ton ferme lui dit " Suce moi petite pute"

Lucy, avec un sourire coquin, répond « Avec plaisir Monsieur. »

Elle se penche vers lui, déboutonne son pantalon, sort sa queue et commence à lui sucer goulument. Jean, haletant de plaisir, lui caresse les cheveux. « Vas y salope, pompe-moi la bite »

Lucy, entre deux coups de langue, dit « Tu aimes ça, je suce mieux que ta femme? Tu aimes être sucer par une petite salope? je vais boire tout ton jus, tu auras les couilles vides en rentrant chez toi et tu ne pourras pas baisser ta femme »

Jean, les yeux fermés, gémissant de plaisir, répond « Oui, putain, Lucy, tu es une bonne pipeuse. Tu suces comme une déesse, je vais te remplir la bouche de sperme, des petites salopes comme toi, il faut les nourrir au jus de couilles »

Lucy, retirant la bite de sa bouche, répond avec un sourire coquin « Ah bon! j'attends de voir ça ou plutôt de gouter ça, mon salop. Mais tu peux être sûr que tes couilles seront vides avant que l'on se quitte »

Jean attrape Lucy par les cheveux et la force à reprendre sa queue dans sa bouche. « Suce, salope, suce comme la petite pute que tu es », ordonne-t-il avec un grognement. Lucy, soumise, obéit, suçant et léchant sa bite avec une habileté experte, faisant monter le plaisir de Jean à un niveau insoutenable.

« Putain, Lucy, je vais jouir, tu vas avoir ta dose salope», dit Jean, gémissant Lucy, en réponse, lui masse les couilles et accélère le rythme, voulant tout prendre. Avec un râle profond, Jean se déverse dans sa bouche, Lucy avalant chaque jet avec un sourire satisfait.

Après s'être essuyé sa bouche, Lucy dit, « Tu vois, Jean, je peux être une très bonne compagnie pour une longue route » Jean, encore essoufflé, ne peut que hocher la tête en signe d'accord.

Lucy, avec un sourire séducteur, dit, « Mais je n'ai pas encore fini avec toi. » Elle se déshabille lentement, révélant son corps magnifique. « Baise-moi, Jean », dit-elle, s'allongeant sur la banquette arrière. « Montre-moi ce que tu es capable de faire avec ta belle queue. »

Jean commence à embrasser passionnément Lucie, leurs langues se mélangent et leurs mains baladeuses explorent leurs corps respectifs. Jean descend lentement vers son cou, suçotant et mordillant sa peau douce, puis continue sa descente vers ses seins, les caressant et les malaxant avec avidité. Lucie gémit de plaisir et se cambre, offrant sa poitrine à Jean.

Jean continue sa descente, embrassant le ventre de Lucie et descendant encore plus bas jusqu'à atteindre sa chatte trempée. Il commence à lécher sa fente lise avec sa langue experte, explorant chaque recoin de son intimité. Lucie gémit de plus en plus fort, se tortillant sous les coups de langue de Jean. Il s'attaque ensuite à son clitoris, le suçotant et le titillant avec sa langue, tout en enfonçant deux doigts dans sa chatte dégoulinante.

Lucie halète et gémit de plus en plus fort, se tordant de plaisir sous les doigts et la langue de Jean. Elle crie : "Oh oui, Jean, c'est tellement bon! Continue comme ça, ne t'arrête pas!" Jean continue son petit jeu, accélérant le rythme de ses doigts et de sa langue, jusqu'à ce que Lucie jouisse dans un cri de plaisir intense. Une énorme tache de mouille apparaît sur la banquette arrière de la voiture, ce qui fait rebander Jean instantanément.

Jean enleva son pantalon et la pénètre avec force, la baisant avec une passion qu'il n'avait pas ressentie depuis des années. Lucy, criant de plaisir, griffe son dos, l'encourageant à aller plus profondément. « Oui, salop, oui, baise-moi, baise-moi comme la salope que je suis », crie-t-elle.

Jean, au bord de l'orgasme, se retire et jouit sur le ventre et les seins de Lucy. « Putain, Lucy, tu es un sacré coup », dit-il, haletant. Lucy, souriant, dit, « Je sais. ».

Lucie récupère le sperme sur son corps avec ses doigts et les portes à sa bouche. « J'aime ça, le jus de cochon » dit-elle en le regardant et lui montrant comment elle déguste son sperme«

Après s'être rhabillés, ils reprennent la route. Après 30 minutes de routes, Lucy, se tournant vers Jean, et dit, « Merci, tu m'as bien baisé et ton jus est succulent. » Jean, la regardant, dit, « C'était un plaisir de nourrir et baiser une si jolie cochonne. »

Lucy regarde Jean avec un sourire séducteur et lui demande : "Tu as les couilles vides maintenant?" Jean répond avec un soupir : "Ben, je pense..." Lucy répond avec un air malicieux : "Moi, je veux en être sûre. Alors, tu vas me défoncer le cul, tu dois rentrer chez ta femme les couilles vides, mon salop."

Jean quitte la route et se dirige vers un hôtel. Il prend une chambre Une fois à l'intérieur, ils se déshabillent. Lucy lui demande : "Ta femme aime se faire enculer?" Jean, surpris et gêné par la question, répond en baissant les yeux : "Et non, malheureusement, elle n'aime pas ça." Lucy lui ordonne alors : "Viens me lécher la rondelle, puis défonce-moi mon petit cul de trainée."

Jean obéit et commence à lécher le trou du cul de Lucy, qui gémit de plaisir. Il lui maltraite les seins en même temps. Après un certain temps, il se redresse et en levrette il la pénètre lentement, puis lui donne des coups de reins de plus en plus forts en la fessant fortement. Lucy crie de plaisir, encourageant Jean à aller plus profondément. "Oui, Jean, oui, baise-moi, sodomise-moi comme une salope ", crie-t-elle.

Jean continue de la baiser sauvagement, jusqu'à ce qu'il jouisse à nouveau, cette fois dans le cul de Lucy. "Putain, Lucy, ton cul est un aspirateur à bite", dit-il, haletant. Lucy sourit, satisfaite, et répond : "Il parait."

Lucy alors se baisse, et commence à nettoyer la bite de Jean qui est recouverte de sperme et sent l'odeur de son cul, elle lui masse les couilles, fini par les lécher, les gober et avec un aire satisfait, lui dit « là je suis sûr qu'elles sont vide, mon salop »

Après s'être rhabillés, ils quittent l'hôtel et reprennent la route. Lucy se tourne vers Jean et lui dit : "Merci, c'était génial." Jean la regarde et répond : "Merci à toi, Lucy. C'était... juste parfait." Lucy sourit et répond : "De rien, Jean. C'était un plaisir et un devoir de te renvoyer chez toi les couilles à secs."

Ils continuent leur route, chacun perdu dans ses pensées. Jean se sent coupable d'avoir trompé sa femme, mais il ne peut s'empêcher de repenser à l'expérience intense qu'il vient de vivre avec Lucy. Lucy, quant à elle, se sent satisfaite et heureuse d'avoir pu donner et recevoir du plaisir avec un homme qu'elle vient à peine de rencontrer. Ils savent tous les deux que cette rencontre était unique et qu'ils n'oublieront jamais ce moment