Laura Devient Sa Chose 03

Informations sur Récit
Laura est transformée pour plaire au maître.
3.2k mots
4.27
12.2k
3
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 06/15/2021
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Après avoir passé avec succès de la fellation à mon propriétaire, je devais maintenant être transformée selon les souhaits de mon maître.

Et un homme vint me chercher pour m'amener à Caroline

« Salut Jessica, je suis Caroline, ta maitresse m'as demandé de te préparer. Alors on va te relooker en bourgeoise bcbg, c'est bien ça? »

J'étais surprise « Euh.... »

« Je plaisante, mais bien sur qu'on va te transformer en petite pute au rabais, ne t'inquiète pas, installe toi sur le fauteuil »

Après une teinture blond platine, Caroline pratiqua une épilation intégrale de ma toison pubienne. Elle enchaina :

« Jimmy fera les tatouages, moi je fais les piercings, je vais te poser une boule sur la langue, ça c'est pour mieux sucer toutes les bites qui passerons par ta bouche, je vais prendre un matériel qui ne s'use pas trop. Ensuite un piercing au nombril, pour l'instant j'y mettrais un bijou en forme de bite, ça t'ira bien. Un piercing sur ta lèvre intérieur pour une petite boule nacrée sera sans doute le truc le plus classe que je te fais. Et pour finir, un simple anneau sur la narine gauche complètera mon œuvre.

Je suis sûr que tu meurs d'envie que je perce tes seins de pute, mais pas pour l'instant. Je finis et je te laisse à Jimmy"

Après qu'elle eut fini, j'étais préoccupée. Le bijou de nombril en forme de bite m'inquiétait sérieusement, mais j'oubliais cela quand Jimmy rentra. Il était accompagné de Marie-Jeanne, ma maitresse.

Jimmy était petit et gras. Il devait peser au moins 110 kg. Sa peau semblait sale et huileuse.

« Moi c'est Jimmy, et je vais faire les tatouages. J'ai juste une question avant de commencer : - Combien d'homme tu as connu avant d'être ici? »

« Euh, 4 » répondis-je, sans réfléchir à l'intérêt de la question

« Et depuis que tu es ici? »

« Euh, ben...je ne sais pas... » dis-je en ravalant une larme.

Jimmy se tourna vers Marie-Jeanne qui répondit. « Jessica ne sait pas bien compter tu sais, mais dans le cadre de sa formation, elle a sucé 52 hommes différents, plus son propriétaire »

53 pensais-je, et cela ne faisais qu'une semaine, qu'étais-je devenue....

Marie-Jeanne enchaina :

« Je sais que ce n'est pas cher payer pour ton talent, mais tu peux la baiser pour te payer, et comme tu passeras pour des mises à jour, tu pourras te la taper à chaque fois que tu passeras, c'est bon comme ça »

J'eu juste droit à un grognement d'approbation...

« Ok, mais je me paie d'avance, parc qu'après mes tatouages, ça va lui faire mal si je lui passe dessus ».

J'étais encore allongé sur le fauteuil quand il m'ordonnât :

« Ecarte tes cuisses, Jessica, tout travail mérite salaire, enfin, pour moi je veux dire. »

Lutter n'aurait servi qu'a rendre cela plus pénible, alors j'obéit. Ce gros porc de Jimmy réussi péniblement à se poser sur moi, et commença à me besogner sans talent. Il sua vite à grosse goutte, et le poids de son ventre adipeux reposait en totalité sur mon abdomen. Visiblement il avait un peu de mal à jouir, et au bout de 15 minutes de va et vient, je m'entendis simuler des petits cris de plaisir afin de l'encourager un peu...10 minutes plus tard, sa graisse s'agitant toujours dans et sur moi, je m'osais à lui dire : « euh, vous ne voulez pas que je vous suce plutôt? »

« Ta gueule petite pute, j'y suis presque » et effectivement, moins de 2 minutes après je sentit son membre se raidir une dernière fois avant de se vider dans ma chatte.

Il s'essuya le front et le torse avec son T-shirt en reprenant son souffle.

Marie-Jeanne et Jimmy discutèrent à voix basse pendant un certain temps, puis Jimmy sorti son matériel de tatouage, il me fit retourner, puis m'annonça.

« Bon je commence par le bas des reins, je vais écrire en assez gros : « Fière d'être d'une putain », je vais te faire cela en lettre calligraphiée, ça sera très...élégant. »

Je ne m'imaginais pas cela, j'allais être marqué à vie de mon statut, je ne pouvais pas accepter cela.

Les larmes montèrent, je suppliais Jimmy de ne pas faire ça...sa seule réponse fut de s'adresser à Marie-Jeanne.

« Ecoutez, je ne peux pas travailler comme cela, fait la taire s'il vous plait »

« Humm. Ok, je vais gérer » répondis la femme

Elle sortit pour revenir 3 minutes après avec un homme. Il me disait vaguement quelque chose, j'avais sans doute sucé ce mec mais je n'étais pas sûr.

Marie-Jeanne parla :

« Allez donc fourrer votre sexe dans la bouche de cette putain, on en a mare de l'entendre supplier à tous va »

Il ne se fit pas prier et força assez vite sa bite à travers de ma gorge. Jimmy repris

« C'est mieux comme cela, j'aime travailler dans le calme »

Jimmy repris son travail. Je sentais les aiguilles s'agiter sur mon corps et puis Jimmy repris la parole en s'adressant à l'homme :

« J'ai presque fini, tu peux te faire plaisir avec sa bouche maintenant »

Instantanément, les mouvements de va et vient commencèrent dans ma bouche. D'abord lentement, puis avec vigueur, jusqu'au déversement du foutre au fond de ma bouche. Je n'en voulais pas partout alors j'avalais.

Jimmy alors, m'annonça : « tu peux te lever et admirer ton corps de pute, je ne doute pas que beaucoup d'homme vont profiter de toi. En plus il faudra qu'on se revoie régulièrement, ta propriétaire voulait un truc soft pour commencer et il faudra mettre à jour celui de ta cuisse. Il dit cela en me tapotant la cuisse.

Je lu avec horreur, un tatouage en haut de ma cuisse. « Ici je compte le nombre de bites que j'ai satisfaite » Il y avait bien 55 bâtonnets formant carré barré au milieu et 2 trais représentant avec justesse les 57 partenaires sexuels différents qui avaient profités de moi....

Je me levai ensuite les yeux vers le miroir pour y voir la pute que j'étais devenue

Mon blond platine et mes piercings au nez et à la lèvre me donnais une tête de catin parfaitement souligné par mon collier JESSICA / PUTE. Le reste de mon corps était pire. Sans même repenser au « Fière d'être une putain » qui ornait maintenant le bas de mes reins, je pus constater avec effroi la liste de marquage suivant :

-Sous l'aisselle gauche, mon nouveau prénom, Jessica et en dessous un code barre souligné d'un numéro de série. On m'expliqua que cela servait à ma traçabilité en cas de location, prêt ou vente.

-Sous l'aisselle gauche 2 cœurs imbriqués dans laquelle était écrit : « je ne dis jamais non »

-Sur mes avant-bras, deux mentions calligraphiées bien visible : J'aime sucer à gauche, et j'aime baiser à droite. Toute le monde pourrait lire cela d'assez loin....

-Mon compteur à hommes sur la cuisse gauche

-Une fine ligne sur la cuisse droite avec au-dessus une petite mention « Ligne à ne pas dépasser pour la jupe ». Cette ligne, située à environ 3 cm sous mon cul servirait aux personnes qui m'habillerait m'explique-t-on.

-Mon pubis était marqué d'une inscription majuscule « Libre-Service » très lisible.

J'étais démolie. Même quand je m'échapperais, je serais marqué à vie. L'effacement futur des tatouages ne pourra jamais corriger la blessure mentale.

Je pleurais à chaude larme, mais faisait attention à ne pas faire trop de bruit de peur de recevoir une bite en bouche en guise de bâillon. Ma maitresse me ramena dans ma cellule, en me disant que demain serait un grand jour, que je serais présenté au personnel.

Je dormais très mal, et quand Marie jeanne vint me chercher, elle ne me fit que m'enfiler une nuisette tenue par deux fines bretelles, et des escarpins noirs vernis. Bien sûr elle me fit maquiller façon pute, avec de longs faux cils et du brillant à lèvre rose .

Ma maitresse m'amena sur une sorte d'estrade ou environ une cinquantaine d'homme était assis en contrebas. Beaucoup avait déjà dû fourrer leur sexe dans ma bouche, mais je ne les reconnaissais pas trop. Marie-Jeanne parla :

« Je vous présente Jessica, elle vient d'arriver et à très envie de s'intégrer à l'équipe. Je vous demande de lui réserver un accueil très chaleureux. Mon mari ne la veux pas en exclusivité, donc vous êtes libre de profiter de ses charmes quand vous le souhaitez! voyez-le comme un cadeau de sa part, n'hésitez pas à transmettre ses infos à vos collègues!»

Il est maintenant temps pour vous d'admirer votre future distraction! »

De ce fait elle découpa les fines lanières de ma nuisette, ce qui me dévoila intégralement. Je tentais bien de me cacher, mais...la maitresse saisi mes bras pour les mettre au plus près de mon corps »

Les sifflets et applaudissement fusèrent, signes annonciateurs que j'aillais beaucoup donner de ma personne...

Marie-Jeanne ne me donna pas ensuite à ces hommes, elle tira sur la laisse pour me sortir de l'estrade. En chemin vers ma chambre cellule, elle m'expliqua. « Bon petite pute, voici ton programme, en journée tu auras des tâches ménagères à faire, mais on sera un peu tolérant au début car tu vas probablement te faire pas mal passer dessus.

Allez, tu commences par la vaisselle de la salle commune, ensuite tu recevras d'autre instruction par l'intermédiaire du petit personnel ». Elle me tendit une microjupe et un débardeur beaucoup trop petit. « Habille-toi et bonne journée, esclave. »

Une fois en tenue, Cindy, habillée en soubrette et qui sentait fort la semence, me montra ma liste de tache.

Je devais laver la vaisselle du petit déjeuner dans une cuisine qui faisait la taille de mon ancien appartement. Globalement la résidence de mon propriétaire ressemblait plutôt à un manoir qu'une simple maison, je n'avais pas encore fait le tour de toutes les pièces, et probablement pas de tout le personnel non plus...

Un homme lavait les carreaux, un grand black assez fin d'une trentaine d'année. Il jetât un coup d'œil appuyé à ma tenue de catin. Je commençais la vaisselle en essayant d'être la plus discrète possible, mais je ne rêvais pas trop.

En effet, j'étais en train de laver un bol dans une main ferme passa sans difficulté sous ma jupe pour attraper avec fermeté ma fesse gauche.

Je savais qu'il n'allait pas en rester là, mais je continuais mon occupation, dans l'espoir qu'il se lasse de mon manque de réaction. Malheureusement, il poursuivit avec ses mains, et rapidement ses doigts explorèrent ma chatte. Je ne pus laver plus d'assiette, et à ce moment-là j'entendit le « zip » caractéristique d'une braguette.

Il me pencha sur l'égouttoir en inox, mes seins lourds s'écrasant sur la surface froide. Il n'eut pas à soulever ma jupe tant celle-ci était courte, et quelque instant plus tard, il limait déjà ma fente, puis il s'arrêta et ressorti son engin pour le présenter devant mon anus. Je n'avais jamais pratiqué cela avant, mais bien sûr il n'était pas question de dire non..., chaque centimètre pénétré fut un supplice, et il y avait beaucoup de centimètre...sa colonne de chaire me remplissait entièrement le fondement, et ses vas et vient commencèrent.

D'abord doucement, puis avec une grande vigueur, s'aidant de ses mains posées sur mes frêles épaules...Heureusement pour mon cul, cela ne dura pas tant que ça, et il se retira vite pour vider le contenu de ses bourses sur mes fesses.

Il retourna à son activité sans dire un mot, et je fis de même, mais sans oser m'essuyer avec un torchon de la maison.

J'avais fini la vaisselle depuis 10 minutes quand la jeune soubrette revint me chercher. Elle m'amena dans la salle du réfectoire ou je devais mettre la table. Elle refusait de me parler, visiblement terrorisé dans son regard. Seule son tatouage sur la nuque, ou était indiqué « Cindy aime servir » me permis de découvrir son statu.

Je dus mettre la table et Cindy parti en cuisine. Un homme ne tarda pas à rentrer et dis à haute voix :

« Et bien je suis en avance, ça tombe pas plus mal... »

Il me dévisagea, et je savais déjà qu'il me voudrait.

« Jessica, c'est, ça? »

« Oui monsieur »

« Viens me sucer tout de suite, avant que les autres arrive, on va dire que c'est ton apéro, petite pute »

Je ne voulais pas être surprise en train de sucer les autres alors je m'afférai vite sur son membre. J'avais été bien formé, et il ne résista pas longtemps à ma gorge profonde..., il arrosa mes seins de sa semence pour me montrer sa satisfaction.

Il y avait 10 hommes, et moi. Stacy faisait le service. Mes deux voisins passèrent l'entrée à me peloter allégrement ce qui ne rendit pas le début du repas particulièrement agréable.

Cindy apporta le plat, j'allais manger, quand mon voisin de droite m'interrompit...

« Jessica, tu mangeras après, on a tous très envie de te baiser, donc... »

Il me fit relever, et quelques hommes se levèrent pour faire de la place sur la table. Ils étaient trop nombreux pour moi, alors j'implorait

« S'il vous plait, pas tous en même temps, pitié »

Cela ne les ralentis pas, et j'étais déjà à moitié allongé sur la table quand je demandais de l'aide à Cindy, qui pour l'instant était resté impassible.

« Cindy, pitié ne les laisse pas faire, aide-moi! »

Ce fut un des hommes qui répondit à sa place, en attrapant Cindy par le bras

« C'est vrai Cindy, tu pourrais l'aider! »

Cindy ne dit pas un mot, mais alla spontanément s'allonger à côté de moi sur la table, relevant son jupon d'une aire resignée. J'étais partagée, entre la joie de ne pas être seule et de n'avoir que 5 hommes à satisfaire et la honte d'avoir entrainée Cindy dans mon calvaire.

Allongée à côté, les hommes commencèrent leur défilé. Cindy semblait ailleurs, mais je n'arrivais pas à avoir son détachement. Le troisième homme qui me prit commença à me procurer un plaisir que je tâchais de refouler, sans grand succès. Le quatrième mec fini par me procurer un orgasme vraiment intense et qui dura longtemps, alors que Cindy me regardait jouir avec son regard vide. Le dernier profita de mon intimité sans aucune résistance de ma part, j'étais honteuse et brisée.

Cindy honora son dernier homme quelques instant après moi, et ce fut en se relevant que j'entendit pour la première fois sa voie qui me murmura :

« Et bien, t'es vraiment une pute toi... »

Je ne savais pas quoi répondre, empourprée par la honte et mon orgasme récent.

Les hommes avaient fini et quittèrent le réfectoire, laissant leurs assiettes vide à débarrasser. On se releva pour manger à notre tour, quand on s'aperçu qu'il ne restait qu'une assiette de pizza, abondamment assaisonné de sperme.

Je tâchais de trier un peu et picorait les zones pas trop arrosées, mais Cindy elle, avait l'air affamée, et dévora sans broncher sa pizza au foutre en me jetant régulièrement des regards noirs.

Le reste de ma journée fut plus calme en comparaisons, je fis beaucoup de nettoyage et seulement un mec me pris en levrette pendant que je nettoyais des WC, je ne l'avais même pas entendu venir et ne pus donc le décrire, a part sa bite qui était de taille moyenne.

En fin de journée, ce fut ma maitresse qui alla me chercher, je sentais le mâle, mais elle me tira quand même par ma laisse de chienne. Nous empruntions le chemin de mon propriétaire.

Il me prit le visage, et remarqua assez vite que j'avais dû servir un certain nombre d'homme. Il parla :

« Alors Jessica, tu as fait connaissance de tes collègues? ils ont été gentils avec toi? »

« Oui maitre, il se sont bien occupé de moi » - je répondais ce qu'il voulait entendre, de peur de la sanction.

« Bien, cette nuit je souhaite profiter de mon esclave. Tu vas me sucer, et ensuite tu pourras te doucher, tu dormiras dans mon lit ce soir »

Encore une fois, j'étais partagé entre le plaisir d'un lit confortable et d'une bonne douche, et celui de servir d'objet sexuel.

Je me mise à genoux, docilement et commença à prodiguer une tendre pipe à mon Maître, j'y mis tout mon talent et il ne mit pas longtemps à se vider sur mon visage avec plusieurs jets de foutre tiède.

Je pu ensuite prendre une douche dans sa salle de bain. Elle était immense et décorée avec beaucoup de gout. Je pu enfin me laver de tous ses hommes qui m'était passé dessus. Après de longue minute à profiter sans penser à la nuit qui suivrait, je sorti pour mettre la tenue qu'on m'avait préparé : juste deux bas resilles blanc dans des chaussures plateformes associé.

Je dû attendre ce qui me parue une éternité avant que le Maître revînt. Il se déshabilla et me pris sans dire le moindre mot. Je n'étais pas de force à lutter avec cet homme et je me contentais d'écarter mes cuisses comme il le voulait, après tout je n'étais que sa pute....

Heureusement, il se vida juste avant que je puisse jouir. Je détestais avoir des orgasmes avec des hommes qui me détenait contre ma volonté

Néanmoins et un peu inconsciemment, je fus presque heureuse quand il revint vers moi au milieu de la nuit. Je me rendis compte qu'il m'avait attaché au lit, et je me vis écarter les cuisses dans l'espoir d'une jouissance futur. Quelle ne fut pas ma déception quand il me retourna pour m'enculer avec vigueur. Il m'insultait tout en besognant mon fondement. Malgré tout, et après une douloureuse phase initiale, je me vis prendre du plaisir à être maltraité ainsi. Je me sentais honteuse et se fut avec soulagement que je sentis mon propriétaire se vidant en moi.

Je passais le reste de la nuit terriblement excité, mes mains attachées ne me permettait pas de me masturber pour faire passer le désir. Au matin je tentais d'obtenir les faveurs de mon Maitre, mais sans succès. Son épouse me détacha alors qu'il était déjà parti. Elle me tendit une tenue d'écolière sexy.

« Visiblement tu satisfais bien mon mari, continue comme cela et tout ira bien. Bon on a décidé avec lui que tu allais pouvoir nous assister dans nos soirées.

Nous invitons régulièrement des amis, et parfois nous organisons des fêtes un peu plus conséquentes...et on leur offre souvent nos esclaves. On te sollicitera un peu moins le matin, mais tu viendras ce soir au diner, pour voir si tu peux bien servir pour les soirées plus importantes. C'est un honneur que l'on te fait, en reconnaissance de ton travail de putain, Jessica, j'espère que tu en est fier »

« Oui je suis fière de pouvoir servir vos amis », répondis-je docilement.

« Bien, maintenant tu commences ta journée habituelle, l'esclave Cindy ira te chercher un peu plus tôt pour la soirée »

Et le principe des soirées de mes maîtres m'annonçait que le pire pour moi était encore à venir....mais j'étais toujours honteusement excité de la nuit avec mon Maitre ou je n'avais pu être satisfaite...

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Anonymous
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5 Commentaires
LuciferseptLuciferseptil y a environ 1 an

L'histoire pourrait être intéressante mais l'orthographe, à la limite de l'impolitesse vis à vis de la lectrice ou du lecteur, est rédhibitoire.

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Très bonne idée la ligne sur la cuisse pour limiter la longueur des jupes

Et le comptage de ses partenaires…. Il n’y aura pas assez de place !

Vivement d’autres piercings : plus visibles plus gros plus obscènes

François

lecocqlecocqil y a presque 3 ans

vivement la suite très belle suite

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Lors d'inondations dans la bonne ville d'Agen en 1890, le Président Mac-Mahon s'était écrié : "Que d'eau, que d'eau!" Alors là, sur les trois textes, c'est une inondation de fautes, un raz de marée, un tsunami.

Que dire de plus.

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Ils sont géniaux ces tatouages et sans aucune équivoque possible.

Super !

Rudy

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