LAURA 068: je cède au chantage 07/13

Informations sur Récit
Soumise aux volontés de mes maîtres.
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Partie 68 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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Un matin de très bonne heure après le petit déjeuner, accroupie aux pieds de mon maître j'attends patiemment et résignée qu'Amandine vienne me chercher pour m'amener dans la chalet qui me sert de lieu de détention et ou je dois faire l'amour à Max son chien.

Elle entre chez Mathieu sans frapper à la porte et après avoir parlé un peu avec mon maître elle se saisit de ma laisse.

- allez la putain, je n'ai pas que toi "la feignante" à m'occuper et puis tu fais attendre ton mâle -

J'ai à peine le temps de me relever qu'elle me tire brutalement vers l'extérieur de la maison puis direction le chalet.

Au passage elle récupère Max son qui attend patiemment allongé sur le seuil de la porte d'entrée.

En chemin il tourne autour de moi, saute, se frotte contre moi et il essaie de lécher mon sexe.

Pas besoin de dessin pour comprendre ce qu'il veut mais il attendra encore un peu pour profiter de sa femelle.

Arrivées dans le chalet je suis débarrassée des chaînes et du bâillon.

- occupes toi bien de ton mâle, il a besoin de tendresse et aussi de se soulager car ça fait plusieurs jours que tu le négliges et ses couilles sont bien pleines.

- je m'excuse madame, mais j'ai été beaucoup occupée depuis que mon maître m'a mise sur le trottoir.

- au moins et pour une fois tu te rends utile, tu n'es pas bonne à grand chose à part servir de vide-couilles aux hommes qui ne sont pas rebutés par ta laideur. Je suis certaine que cela te plait toutes ces bites qui te rentrent dans le cul -

Elle sort et referme la porte à clé.

Impatient Max s'excite contre mes jambes. Je me baisse et je l'embrasse sur les babines, il lèche mon visage. Ensuite je caresse son museau puis son dos et enfin son ventre. Il commence à avoir ses habitudes, il se couche sur le dos et attend la suite. Je continue à le caresser pendant un moment pour l'exciter.

Une de mes mains caresse son sexe qui sort rapidement de son fourreau et grossit suffisamment pour que je puisse le lécher puis lui faire une fellation, je suis habituée au liquide qui coule pendant que ma langue et bouche s'occupent du pénis.

Immobile il semble apprécier les va-et-vient de ma bouche sur sa queue que j'avale entièrement.

Je m'accroupis et me mets à califourchon sur lui, avec une main je présente son sexe contre mon anus, je me baisse pour la faire pénétrer dans mon cul puis tenant toujours le membre j'imprime des mouvements verticaux à mon corps.

Il tremble pendant les va et vient de mon cul sur son pénis puis après un petit moment il s'agite et éjacule arrosant mes intestins.

Je continue un peu à remuer pour être sure qu'il a bien fini de se vider puis je me relève doucement en mettant une main entre mes fesses mais cela n'empêche pas la semence abondante de couler sur les planches.

Je vais au lavabo me laver puis je nettoie le plancher pendant que le chien reste immobile satisfait de ce qui lui est arrivé.

Je prends ma muselière/bâillon qui se trouve sur la table, je la pose à côté de moi sur le plancher qui me sert de lit puis je m'allonge attendant le retour de ma tortionnaire. La clé tourne dans la serrure, Amandine entre dans la pièce.

Elle s'adresse à moi:

- dépêches toi de boire la liqueur que Max souhaite t'offrir car tu dois être prête quand Mathieu va arriver -

Je ne la contrarie pas. Après l'avoir mis sur le dos je caresse Max qui avec l'habitude est rapidement en érection puis je lui fais une pipe tout en masturbant son pénis.

Comme les aller-retour de ma bouche sur le membre sont rapides la boule du pénis ne tarde pas à gonfler et une bonne quantité de sperme gicle dans ma gorge. J'avale et continue un peu la fellation mais il se dérobe.

Pour ne pas changer c'est tenue en laisse que la méchante femme m'emmène chez Mathieu.

Je déjeune et me lave.

Après le maquillage voyant je mets une mini jupe rose, pas de culotte ni de soutien-gorge, un maillot assorti laissant à l'air une bonne partie de mes seins et je chausse des cuissardes.

J'attends mon maître. Quand il arrive en voiture, il klaxonne.

Je sors de la maison, je le rejoins et monte dans l'auto. Il démarre et nous prenons la route direction l'endroit où je tapine.

- aujourd'hui je ne viendrais pas te chercher -

- comment je vais faire pour revenir chez vous maître -

- un homme viendra te chercher, tu le remercieras pour sa bonté car sans lui tu aurais du passer la nuit sur place -

- oui maître je vais le remercier ce qui est normal -

Je ne cherche pas à me rebeller et cela ne me vient pas à l'idée car je suis programmée pour donner du plaisir aux hommes et mon maître est en droit de faire ce qu'il veut de moi.

Il fait beau et cela inspire sexuellement les hommes. De nombreuses voitures et des poids lourds s'arrêtent à l'endroit où je me prostitue.

Ma bouche et ma chatte ne chôment pas, je crains de manquer de préservatifs.

Devant l'étonnement permanent de mes clients quand ils voient que je ne porte pas de culotte je leur dis que cela me fatigue de devoir en permanence l'enlever et la remettre.

Je ne veux pas leur expliquer qu'un homme chez qui je venais pour être punie de mes infidélités, inspiré par mes performances sexuelles et le fait que je n'ai jamais refusé de coucher avec les hommes qu'il faisait payer, s'est mué en souteneur et qu'il me prostitue et m'interdit de porter une culotte.

En fin d'après-midi une auto s'arrête mais le conducteur n'en descend pas.

Je décide d'approcher de la voiture.

- alors chéri on est timide, je ne mords pas, descends je vais te donner du plaisir, tu veux que je te fasse une pipe ou bien préfères tu me faire l'amour? -

- je m'appelle Théo et ne suis pas là pour ça, j'attends que tu aies terminé ton tapin pour te ramener chez Mathieu -

- excusez moi monsieur, je continue à tapiner car je n'ai pas encore gagné assez d'argent mais je me plie à vos ordres et quand vous le déciderez je prends mes affaires et j'arrive -

Il ne patiente pas longtemps et quand je reviens en compagnie d'un client à qui je viens de faire une pipe il me siffle puis avec une main me fait signe de le rejoindre.

Je récupère mes sacs dans un fourré et je monte dans sa voiture, nous ne parlons pas pendant qu'il me ramène chez mon maître.

Il pénètre dans la propriété et roule dans l'allée jusqu'à ce que je lui indique ou stopper, nous descendons et je l'invite à me suivre.

Amandine est là debout devant l'habitation, elle nous observe sans intervenir.

Je guide Théo jusqu'au chalet dans lequel nous entrons.

Sans perdre de temps je passe mes bras autour de son cou, je pose mes lèvres sur les siennes, ma langue pénètre dans sa bouche.

Après un moment d'hésitation sa langue vient à la rencontre de la mienne et ils se mêlent dans un longe baiser.

Rapidement je suis nue ne gardant que mes cuissardes qui semblent l'exciter car il ne cesse de les fixer.

Je commence à le déshabiller.

- je peux le faire moi même -

- c'est mon travail monsieur -

- tu n'es pas obligée de te comporter comme une putain avec moi, une pipe m'aurait suffi -

- je suis une prostituée et c'est mon travail de tout faire pour votre plaisir et vous faire l'amour en fait partie -

- comme tu veux -

- je dois aussi montrer à mon maître que je suis très obéissante et que je suis ses ordres -

- mais ici on est entre nous, il n'aurait rien su -

Il croit ça, il ignore que tout ce qui se passe dans la propriété est filmé et que dans le chalet il y a plusieurs caméra.

- laissez vous aller monsieur, profitez de mon corps -

Tout en le déshabillant j'embrasse et lèche ses pectoraux puis son ventre ensuite ses cuisses avant de finir par son entre-jambes.

A genoux je continue à lécher partout son pénis gros et court en insistant sur le gland. Il pose ses mains sur ma tête quand je commence une fellation, j'avale complètement son membre et mon nez vient buter contre son pubis.

je varie la vitesse des aller-retour de ma bouche sur la verge, il me faut peu de temps pour arriver à mes fins. Ses mains se crispent et appuient sur ma tête puis son pénis agité par des soubresauts déverse des jets de sperme dans ma bouche.

Je continue à sucer tout en avalant le liquide, la queue reste bien érigée.

Je me couche sur le lit de bois, il s'allonge sur moi et me pénètre puis nous remuons de concert pendant un moment tout en nous caressant. Nous nous activons jusqu'à ce qu'il éjacule dans ma chatte.

Il s'allonge sur le dos et à genoux entre ses jambes je caresse puis masturbe son pénis puis quand celui-ci commence à redonner signe de vie je le lèche partout puis je le suce, je sens qu'il gonfle dans ma bouche pour arriver à une excellente érection.

Je me met à califourchon sur lui et avec une main je fais pénétrer son sexe dans mon intimité puis je commence à donner des coups de reins pendant qu'il caresse mes seins et triture les tétons.

Au bout d'un moment je me soulève laissant sortir la queue de ma chatte, je la prends dans une main et la positionne contre mon anus puis je me baisse et elle s'enfonce dans mon cul, ensuite je recommence à donner des coups de reins pour faire aller venir le pénis en moi.

Je remue pendant un bon moment puis je me retire et me couche sur le dos, je plie mes jambes tout en les écartant et j'invite mon partenaire à venir sur moi et à profiter des deux orifices qui s'offrent à lui.

Il passe de l'un à l'autre suivant ses envies jusqu'au moment ou son plaisir devient trop fort, il ne peut plus se retenir et jouit dans mon cul.

Allongé il récupère un peu puis il se rhabille.

- Mathieu a eu du flair avec toi, comme putain il n'y a pas mieux, tu es douée -

- merci monsieur pour le compliment -

- tu dois attirer beaucoup de clients et bien lui rapporter en te prostituant -

- oui monsieur je fais le maximum pour être une bonne prostituée et lui rapporter un maximum d'argent, j'espère qu'il est satisfait de mon travail -

- je dois dire que tu ne m'as pas déçu pendant le moment que nous avons passé ensemble, Mathieu peut être fière du dressage qu'il t'a imposé car le résultat est remarquable -

- je vous remercie pour le compliment, cela a été un plaisir pour moi de vous satisfaire monsieur -

Théo parti je me lave, je me rhabille et gagne la maison.

Un camion est là dans l'allée et des livreurs débarquent de volumineux colis.

Amandine surgit et je reçois une paire de gifles.

- c'est quoi cette tenue -

Je n'ai pas le temps de répondre.

- tu seras punie car tu sais qu'ici tu dois toujours être nue -

- pardon madame, je ne recommencerais pas -

- déshabilles toi et va te préparer, tu serviras de pourboire aux livreurs, avec ton corps de putain tu n'es bonne qu'à ça et encore il faut le dire vite car même au lit tu n'es pas bien douée -

J'enlève et range mes affaires puis je vais me maquiller mais sans excès.

Je gagne la cuisine où j'attends debout qu'Amandine me donne des ordres.

- apportes leur à boire puis fais en sorte qu'ils soient satisfaits de leur pourboire -

- bien madame -

Je prends le plateau avec les boissons et j'entre dans le salon.

- bonjour messieurs, je vous apporte des rafraîchissements et je suis votre pourboire -

Les deux hommes me regardent les yeux exorbités et la bouche ouverte.

- je dois vous donner du plaisir et j'espère que vous repartirez d'ici pleinement satisfaits -

Ils bredouillent des mots et des phrases disant qu'ils ne comprennent pas.

Il leur faut un moment avant de réaliser ce qui leur arrive et de se mettre dans la tête que je suis là pour qu'ils me sautent.

Je m'approche d'eux et les embrasse sur les lèvres chacun leur tour.

Malgré leurs dernières réticences je commence à les débarrasser de leurs vêtements gênants pour la suite, voyant cela ils réalisent ce qui leur arrive et ils retirent eux même leurs pantalons et leur caleçons.

Je caresse leurs queues puis je les masturbe jusqu'à obtenir une érection correcte.

Pendant qu'à genoux sur le canapé je fais une fellation au premier je demande au deuxième de me prendre en levrette, ce qu'il fait en trouvant rapidement le passage pour pénétrer ma chatte.

Je sens bien les coulissements du pénis qui me défonce pendant que je suce une queue, rapidement et à peu de temps d'intervalle ils éjaculent l'un dans ma bouche et l'autre dans ma chatte.

Comme ils bandent toujours ils échangent leur place et je refais une fellation pendant que ma chatte se fait défoncer. Ils sont plus longs avant de se soulager dans l'orifice qu'ils ont investi. Je les masturbe puis je leur fais une fellation pour qu'ils retrouvent la forme.

Le plus vigoureux est de nouveau en érection, comme je suis à genoux sur le canapé je l'invite à se mettre derrière moi, je prends sa queue avec une main et la positionne entre mes fesses, il exerce une poussée et je sens qu'elle s'enfonce dans mon cul qu'il se met à défoncer.

Le pénis du deuxième homme est de nouveau raide, je l'invite à relayer son collègue avant qu'il ne soit plus en mesure de se retenir.

Ils se remplacent plusieurs fois ce qui fait durer un bon moment avant que l'un deux ne se retienne plus et arrose mes intestins, l'autre continue à me sodomiser un moment avant d'éjaculer lui aussi dans mon cul.

Ils se rhabillent puis boivent les verres que je leur ai servis. Il se dirigent vers la sortie, Amandine les rattrape.

- merci messieurs mais je voudrais savoir si vous avez été satisfait par le pourboire que notre bonne qui ne pense qu'au sexe a tenu à vous faire -

- cela nous a surpris, c'est rare que l'on nous récompense en nature -

- je m'en doute mais qu'en avez vous pensé -

- que du bien, votre bonne a fait ce qu'il fallait pour nous satisfaire et mérite nos compliments -

Amandine se dirige vers moi pendant que les livreurs montent dans leur camion.

- tu es vraiment une bonne à rien, ils sont déçus et m'ont dit que tu avais été nulle, que tu aurais du t'abstenir car ils n'ont jamais vu pire que toi -

- je m'excuse madame, j'ai fait de mon mieux -

- pour ne pas avoir été à la hauteur et aussi pour m'avoir défiée en restant habillée malgré que cela te soit interdit tu vas payer maintenant -

Amandine m'affuble de la muselière/bâillon, du collier pour chien avec sa laisse et des grosses chaînes qu'elle attache à mes chevilles et à mes poignets à l'aide des bracelets en cuir.

Tenant dans une main ma laisse et dans l'autre une cravache elle me conduit à l'endroit ou se trouve le palan qui est accroché à une branche d'arbre.

- allonges toi sur le sol -

J'obéis, elle accroche les bracelets de mes chevilles aux crochets soudés aux extrémités de la barre métallique accrochée au palan puis elle manœuvre celui-ci.

Je décolle du sol et mes jambes écartées sont étirées par le poids de mon corps. Et là j'ai droit à la punition.

Elle prend en main la cravache et pendant un bon moment m'en donne des coups violents sur le dos, les fesses et les cuisses puis sur le ventre et sur le sexe. Elle me fait très mal, mon corps s'agite beaucoup et je pleure, mes cris sont amortis par le bâillon qu'elle m'a surtout mis pour éviter de m'entendre.

Quand enfin elle cesse de me frapper les endroits qui ont dégusté sont douloureux.

Elle s'en va me laissant pendue la tête en bas. Au bout d'un moment je ne me sens pas bien, j'ai des vertiges. C'est mon maître qui me libère en revenant de son travail.

- je vois que tu as encore énervé Amandine -

Il me tient en laisse pendant que nous gagnons sa demeure. Je titube, ma vue est brouillée et j'ai la tête qui tourne.

Je ne touche pratiquement pas à ce qui se trouve dans mon écuelle.

Conscient de mon état Mathieu me ramène dans ma geôle où je me laisse tomber sur le plancher en bois qui me sert de lit.

Il me bâillonne puis m'attache les poignets et les chevilles à l'aide des sangles fixées sur le plancher avant de s'en aller sans plus se soucier de moi.

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