LAURA 060: les infidélités se paient

Informations sur Récit
Séquestrée, soumise, maltraitée 12/13
2k mots
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Partie 60 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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LES INFIDELITES SE PAIENT 12/13

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Troisième séjour en enfer 7/8

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C'est ma deuxième semaine de captivité

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Retourner chez Amandine m'effraie car je sais comment va encore se passer avec Max son chien qu'elle ne veut pas faire tenir tranquille et éloigné de moi.

Je suis pourtant forcée les lundi et jeudi matin d'aller faire son ménage, de la faire jouir, de me masturber ensuite jusqu'à l'orgasme et surtout de supporter ce que me fait endurer la bête.

Dés que j'arrive chez elle elle confisque ma robe, je dois sortir à l'extérieur pour aller chercher le matériel utile au ménage et à chaque fois quand je reviens elle me frappe à l'aide d'un martinet me reprochant de m'exhiber à la vue des gens pour lui faire honte.

Pendant que je nettoie je reçois des coups de martinet car elle est toujours mécontente de mon travail.

Elle me frappe aussi quand j'essaie de repousser Max son chien qui devient rapidement trop gênant en me léchant les fesses et essayant de grimper sur moi pendant que je nettoie le sol accroupie ou à genoux. Elle me reproche de le traumatiser.

Je reviens de chez elle de plus en plus abattue et j'ai la haine quand je la vois rire quand elle observe ce que m'arrive avec max attiré par ma mouillure après qu'elle m'ait obligée à me masturber et me faire jouir allongée sur le sol.

Je dois le laisser me lécher partout où il veut.

Puis comme cela lui donne des envies et que son pénis est souvent sorti de son fourreau et en érection, je dois le laisser me pénétrer et se soulager dans mon ventre dans la position que ma tortionnaire exige pendant qu'elle regarde en ricanant.

Ce n'est pas sain surtout que l'hygiène de l'animal comme celui de sa maîtresse laisse à désirer et aussi parce que je n'apprécie pas ce genre de contact.

J'ai compris que c'est une femme méchante qui n'a qu'un but: m'humilier, me faire passer pour une nullité et me rabaisser au rang le plus bas de la société.

Le mercredi après-midi Amandine m'enchaîne dans un endroit herbeux du parc de la propriété de Mathieu.

Mon corps sert de récompense au vieux jardinier qui apprécie de me sodomiser et qui malgré ses envies et la vigueur que je mets à le masturber et le sucer n'arrive pas à rebander après avoir difficilement joui une deuxième fois.

Les mardi et vendredi matin je fais le ménage chez Mathieu sous la surveillance d'Amandine qui n'hésite pas à critiquer mon travail, m'insulter, me frapper les fesses et le dos avec son martinet.

Et il y a toujours Max son chien qui le membre en érection et bien sorti de sa gaine me lèche les fesses et veut grimper sur moi pendant que je suis occupée.

Cela finit toujours pareil:

- tu vois bien que Max a envie de sa femelle, laisse le te sauter -

Soit je me mets à genoux et une fois qu'il a mis ses pattes sur mon dos je l'aide à faire pénétrer son pénis dans ma chatte ou bien je me couche sur le carrelage. Je relève, replie et écarte les jambes puis quand il a posé ses pattes avant sur mon ventre je le laisse me pénétrer.

Il se met a remuer et je sens son pénis bouger dans mon intimité puis grossir avant que du liquide ne coule dans mon vagin.

Une fois qu'il s'est retiré je dois nettoyer mes fesses et aussi le carrelage taché par le sperme. Tout ça sous le regard moqueur d'Amandine et en supportant ses réflexions désagréables.

Une fois le travail fini je dois faire l'amour à Amandine et la faire jouir.

Quand elle est mal lunée elle me prive de repas le midi.

Le mardi après-midi il fait très chaud, pendant que je suis prisonnière du carcan, survient un violent orage, le vent et la pluie qui s'abattent sur mon corps nu pendant plusieurs heures me glacent.

Amandine attend que la pluie cesse pour venir voir ce que je deviens et tout ce qu'elle trouve à dire c'est:

- ce qui est tombé t'as fait du bien la putain, pour une fois tu es propre, malheureusement tu as perdu trois clients à cause du temps -

Amandine varie les humiliations qu'elle me fait subir.

Dans la journée soit je suis prisonnière du carcan debout dos courbé ou à genoux car l'engin est réglable en hauteur, soit je suis enchaînée au palan les bras levés ou écartés poignets fixé aux extrémités d'une tige métallique accrochée au palan.

Je reçois la visite d'hommes, des connaissances de Mathieu qui souvent sont accompagnés de leur(s) ami(s), je suis devenue une curiosité et un moyen d'assouvir ses envies sexuelles.

Certains me demandent mon prénom je leur réponds "la putain".

Nous sommes le vendredi, aujourd'hui j'ai droit à un repas le midi car selon elle je dois être en forme l'après-midi. Ensuite elle me conduit à l'endroit ou se trouve le carcan dans lequel elle emprisonne mon cou et mes poignets.

En début d'après-midi Amandine vient me chercher et m'amène tenue en laisse dans la maison. Dans l'allée je vois un camion de livraison.

Arrivées dans la cuisine elle me libère de la muselière et des bracelets de cuir.

- tu vas aller t'arranger un peu pour être présentable et servir de pourboire aux deux hommes qui sont venus livrer des meubles que Mathieu a payé ses achats avec ce que tu lui a rapporté lors de ton précédent séjour -

Je vais dans la salle de bain, je me lave et me maquille puis lorsque je reviens dans la cuisine j'entends Amandine qui parle aux livreurs.

- installez vous sur le canapé, la bonne à tout faire va vous apporter un rafraîchissement et s'occuper de votre pourboire, profitez en car c'est réellement la bonne à tout faire -

Elle revient dans la cuisine.

- prends le plateau et sers leur à boire ensuite donne leur le pourboire -

J'obéis, je prends le plateau et me dirige vers la salon. Les deux hommes restent la bouche ouverte, incrédules quand ils m'aperçoivent totalement nue.

Je pose le plateau sur une table basse, remplis deux verres et leur tends puis je m'assois entre eux. Ils sont tétanisés et ne savent plus quelle attitude adopter. Je pose mes mains sur une cuisse de chacun d'eux.

- je vous fais peur -

- non mais c'est bizarre de vous voir nue, on n'a pas l'habitude -

- on ne vous a jamais fait proposé de pourboire à caractère sexuel pour vous remercier -

- si mais pas comme ça -

- ici je suis la bonne à tout faire, vraiment tout et monsieur a décidé que je serais votre pourboire. Dites le si je ne vous plais pas -

- si vous êtes belle mais on ne peux pas accepter, ça ne se fait pas -

- vous me faites de la peine, ça me fait plaisir de vous servir de pourboire. je peux vous faire tout ce que vous voulez et vous pouvez vous servir de mon corps à votre convenance.

Ma bouche, ma chatte et mon cul sont à votre disposition -

Ils hésitent, je fais le premier pas.

Je m'approche de celui qui est assis à ma gauche, je me colle contre lui, je l'embrasse.

Il finit par répondre à mon baiser et à mêler sa langue à la mienne puis j'en fais autant avec l'autre. Je caresse leur sexe par dessus le pantalon et constate que leurs pénis commencent à réagir.

Je déboutonne leur pantalon et baisse la fermeture. je glisse les mains dans leurs slips et me saisis de leur membre que je triture puis que je mets à l'air.

Ils s'animent et commencent à me caresser partout.

J'en profite pour leur retirer pantalon et slip en les assurant qu'on est tranquilles dans cette pièce et que la femme qui les a reçus ne nous dérangera pas.

A genoux sur la moquette je fais une fellation à l'un et je demande à l'autre de se positionner derrière moi et de me prendre par l'orifice de son choix, il choisit l'anus qu'il se met à défoncer.

Il ne se passe pas beaucoup de temps avant qu'ils n'éjaculent.

Je suce la queue de celui qui m'a enculée pendant que l'autre pénètre ma chatte, il se passe plus de temps avant qu'ils ne se soulagent dans ma bouche et mon vagin.

Je les masturbe pour qu'ils rebandent et ce n'est pas difficile car ce sont deux jeunes hommes vigoureux.

Je demande à celui qui s'est occupé de mon cul de s'allonger sur la moquette et à califourchon sur lui je me plante sa queue dans le vagin puis à l'aide d'une main je dirige la verge de son collègue sur mon anus qu'il investit d'un coup de reins.

Ils rythment leurs coups de reins et je ressens des sensations très agréables pendant qu'ils ont l'impression que leur queue frotte l'une contre l'autre.

Excités par cette pratique nouvelle pour eux ils ne sont pas trop longs à atteindre la jouissance et à éjaculer dans mon cul et mon vagin.

Ils se relèvent.

- vous pouvez continuer à m'utiliser si vous en avez envie -

- non, c'était bien mais nous avons encore du travail et maintenant nous sommes en retard, les clients de notre prochaine livraisons doivent s'impatienter -

- je suis désolée c'est de ma faute, je vous ai fait perdre votre temps. Demandez à la dame qui me surveille de me punir -

- on ne regrette pas, ça en valait la peine -

Une fois rhabillés et leurs vêtements rajustés ils regagnent leur camion.

Amandine qui regardait et écoutait dans la pièce d'enregistrement, derrière un écran, les rejoint à l'extérieur et leur parle.

- pas trop déçus de votre pourboire -

- non! c'était super, si ça pouvait nous arriver plus souvent -

Le camion démarre.

Amandine me rejoint et m'affuble de nouveau du gros collier pour chien, des bracelets en cuir, de la muselière/bâillon et des grosses chaînes tout en me critiquant:

- les livreurs sont repartis déçus par ta nullité et ils ont dit que tu ne sais même pas baiser, pour une putain c'est le comble -

Elle m'emmène à l'extérieur en me tirant par la laisse, j'ai du mal à la suivre car elle marche vite et je suis gênée par les lourdes chaînes.

Arrivées sous le palan je dois m'allonger sur l'herbe. elle accroche mes chevilles au palan qu'elle actionne, je ne touche plus terre et suis pendue par les pieds la tête en bas.

- tu vois ce qui arrive quand on est bonne à rien et puis ça me fait plaisir de te punir car je n'aime pas les putains dans ton genre -

Elle s'en va après avoir frappé mes fesses et mon dos avec ma laisse.

Plus le temps passe et plus je me sens mal. Quand mon maître arrive et me libère de ma position très inconfortable je reste un moment allongée par terre à récupérer.

Mathieu qui est venu me chercher pour ce qu'il appelle le dîner se dirige vers l'habitation me tenant en laisse.

Dans la cuisine une femme est à genoux menottée, bâillonnée, son collier pour chien est muni d'une laisse accrochée à un pied de table.

- tu vois la truie ce weekend tu ne seras pas la seule putain captive ici -

C'est une femme aux longs cheveux blonds, mince avec des petits seins, elle se prénomme Nadine.

Mon maître retire ma muselière.

- pendant que je prépare votre pâtée toi la truie lèches le cul de ta collègue pour lui souhaiter la bienvenue, ça se fait entre bêtes et je sais tu aimes ça -

Nadine se couche sur le dos, replie et écarte ses jambes, je me mets à genoux entre ses jambes.

Je lèche sa chatte et fais pénétrer ma langue pour fouiller son vagin et alterne avec le léchage de son anus jusqu'à ce que Mathieu nous interpelle et nous dise de cesser nos enfantillages.

Chacune de nous mange ce qu'il a mis dans nos assiettes posées sur le sol.

Ensuite Nadine retrouve la pièce qui lui sert de geôle puis Mathieu me ramène à l'extérieur et une fois que je suis allongée il attache mes membres à des piquets.

Il part en me souhaitant de une bonne nuit et me disant de bien profiter de l'air pur.

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