LAURA 058: les infidélités se paient

Informations sur Récit
Séquestrée, maltraitée et exploitée 10/13
2.7k mots
4.54
3.7k
1
0

Partie 58 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

LES INFIDELITES SE PAIENT 10/13

-------------------------------------------------

Troisième séjour en enfer 5/8

-------------------------------------

Premier jeudi de captivité

--------------------------------

Le jeudi matin j'attends patiemment qu'Amandine vienne me chercher, m'étant mise dans une sale situation je suis corvéable à merci , elle a décidé que je dois faire le ménage chez elle.

Mon maître est parti à son travail après m'avoir enchaînée, bâillonnée et attachée par mon collier à un lampadaire dans l'allée.

Elle arrive, tout en riant et se moquant de moi elle me délivre de mes entraves et me tend des vêtements ( uniquement une robe et des chaussures).

Je m'habille et la suis, nous traversons le village sous le regard de plusieurs personnes avant d'arriver chez elle.

Obéissant à ses ordres et sans attendre je commence à faire le ménage chez elle.

Ce qui me gêne énormément, surtout quand je dois laver et essuyer le carrelage à genoux, c'est Max son chien qui me suis en permanence.

Il fourre sa truffe entre mes fesses et à tendance à les lécher, je n'arrive pas à m'en débarrasser.

Si je le repousse je reçois une gifle ou des coups de torchon alors je le laisse faire ce qu'il veut tout en essayant de faire au mieux mon travail ce qui n'est pas évident.

Une fois la corvée terminée, non sans qu'elle ne m'ait frappée sur les fesses ou le dos plusieurs fois pour travail mal fait, je dois faire l'amour à ma tortionnaire et la faire jouir plusieurs fois.

Cela me dégoûte de devoir l'embrasser, la lécher partout et surtout mettre ma langue dans sa chatte, les odeurs qu'elle dégage sont rebutantes et me donnent la nausée.

Une fois satisfaite elle m'affuble de la muselière/bâillon puis je dois me doigter et masturber jusqu'à ce que j'aie un orgasme. Elle rit et se moque de me voir jouir.

Automatiquement comme je suis allongée sur le sol le chien tourne autour de moi, me renifle et me lèche partout comme il l'a fait pendant que je faisais le ménage.

Amandine m'interdit de le brutaliser.

Je serre mes cuisses car la langue de Max se rapproche d'un peu trop près de mon sexe et bien que cela soit agréable je trouve cela immonde.

Amandine prépare le repas et à un moment donné elle peste car apparemment il lui manque un ingrédient, elle doit sortir pour aller l'acheter.

Elle est énervée et je ramasse une paire de gifles car elle estime que c'est de ma faute car elle doit s'occuper de moi et de ce fait elle néglige son intérieur.

Elle décide de m'entraver et me demande de rester allongée sur le sol. Je replie mes jambes, elle attache ma cheville gauche au poignet gauche puis ma cheville droite au poignet droit.

- comme ça tu n'auras pas l'idée de te sauver sournoise que tu es. Espèce de putain tu es bien capable de me créer des ennuis avec Mathieu en me faussant compagnie -

Elle n'est pas encore sortie qu'entravée je ne peux pas empêcher le chien de me lécher partout et de fourrer sa truffe humide entre mes cuisses.

N'ayant pas refermé à temps mes jambes suffisamment il s'est positionné entre mes cuisses et a posé ses pattes de devant sur mon ventre en le griffant avant que sa truffe ne se retrouve au contact de mon sexe.

Il est surtout attiré par l'odeur de mes parties intimes et de ma mouillure.

Il renifle mon anus et ma chatte qu'il se met à lécher sans que je puisse vraiment l'empêcher de le faire, je bouge ce qui le perturbe mais obstiné s'il cesse son activité il revient vite à la charge.

De guerre lasse je le laisse faire ce qu'il veut espérant qu'une fois qu'il aura bien senti et léché mes parties intimes il me laissera tranquille.

Mais ce que je redoutais et n'aurais pas cru possible arrive.

Les pattes de devant de Max se déplacent sur mon corps jusqu'à qu'il trouve la position adéquate et frotte son sexe qui perd du liquide contre mon bas ventre.

Je constate sans peine que le membre qui est sorti de son fourreau grossit rapidement.

Une fois qu'il est en érection il cherche à me pénétrer, le pénis se déplace sur mon sexe et mon ventre pendant un moment puis résignée j'écarte plus les cuisses.

Je comprends que je ne suis pas la première femme qu'il ait sautée, je veux en finir et je pense que si je ne l'aide pas il n'arrivera à rien et se lassera.

J'avais présumé que dans le pire des cas il allait éjaculer sur moi mais pas de chance, à force de se déplacer sur mon bas ventre son pénis finit par pénétrer et s'enfoncer dans ma chatte.

Le corps de Max tremble pendant que le pénis bouge dans mon ventre puis il grossit beaucoup et après quelques minutes des jets de sperme envahissent mon vagin.

Max reste sur moi pendant un moment avant de se retirer après s'être retourné, le pénis sort de ma chatte avec un bruit de succion.

Le sperme coule entre mes fesses et atterrit sur le sol.

J'ai du mal à réaliser que je viens de me faire saillir par un chien, je suis anéantie.

Amandine revient, elle me détache et râle parce que je pleure mais elle me reproche surtout d'être la cause de la mare de sperme qui tâche le sol.

Elle m'insulte me disant que je me conduis comme une truie et que j'ai dévoyé Max.

Elle savait ce qui ce qui risquait de (ou plus surement allait) se passer, elle se moque de mes états d'âme, au contraire ce qui m'arrive lui fait plaisir.

Elle félicite son chien pour son comportement qu'elle juge exemplaire, pas comme le mien.

Elle donne son repas à Max puis elle pose le mien sur le sol. J'ai à peine commencée à manger que le chien dont l'écuelle est déjà vide engloutit mon repas.

Ma tortionnaire apporte ma robe que je revêts puis elle me ramène chez mon maître.

- aujourd'hui tu vas inaugurer un nouveau jouet qui va te plaire -

Elle me guide et je vois le carcan que le jardinier a fabriqué, il est fixé dans les rainures de deux poteaux plantés dans le sol.

Une fois déshabillée elle m'affuble de la muselière/bâillon, dont elle a introduit la boule dans ma bouche sans ménagement.

Ensuite je me retrouve debout courbée en avant, le cou et les poignets enserrés dans l'engin ainsi que les bracelets en cuir de mes chevilles accrochés à des chaînes fixées en bas des poteaux.

Elle rit et se moque de moi puis s'en va à mon grand soulagement.

En cours de l'après-midi je vois surgir trois hommes qui n'en reviennent pas de voir la position dégradante dans laquelle je suis.

- quand Mathieu nous disait qu'il n'avait jamais vu une putain comme toi et qu'il te faisait faire tout ce qu'il voulait sans que tu te rebelles on ne voulait pas le croire mais là on constate qu'il disait la vérité -

Ils tournent autour de moi mettant leurs mains partout sur mon corps et introduisant leurs doigts dans ma chatte et mon cul, malaxant mes seins et triturant les tétons.

- sa tête n'est pas à la bonne hauteur pour une pipe, on la libère du carcan -

- non! il n'y a qu'à déplacer la planche, elle est réglable -

Ils modifient ma position et je dois courber encore plus le dos. Ils me retirent la muselière.

Ensuite en commentant ils se soulagent plusieurs fois dans ma bouche, ma chatte et également mon cul.

Pendant ce temps je ne prononce pas une parole.

Ils me quittent après m'avoir remis la muselière/bâillon.

Ils partent en riant et plaisantant, évidemment c'est moi qui paye.

Plus tard deux autres hommes apparaissent. Ils me libèrent du carcan et de la muselière et me prennent par tous les orifices dans différentes positions avant de me remettre dans l'état d'esclave où j'étais à leur arrivée.

Quand mon maître arrive il me dit:

- je suis sur que tu as passé une bonne journée, mes copains m'ont dit qu'ils avaient apprécié ma grosse truie et que je suis doué pour avoir fait de toi l'esclave que tu es devenue -

Deuxième vendredi de captivité

----------------------------------------

Pendant la matinée j'ai droit au sexe de Max, car Amandine a décrété que je suis devenue sa femelle et que dorénavant je dois satisfaire régulièrement ses envies.

Je le fais éjaculer dans ma bouche puis après avoir passé du temps à le remettre en érection j'introduis sa queue dans ma chatte et je fais bouger mon corps jusqu'à ce qu'il se soulage dans mon corps.

En début d'après-midi deux hommes viennent me retrouver mais pas ensemble pour que leur fasse l'amour.

En fin de journée Mathieu tarde à venir me voir. Je le vois arriver tenant en laisse une femme brune assez grande avec des hanches larges et des gros seins. elle a les poignets et les chevilles menottés plus une boule bâillon dans la bouche.

- je viens te présenter ta consœur, une putain elle aussi qui entre parenthèse s'appelle Viviane, elle voulait voir comment tu te plais bien dans le carcan. Dis lui si tu te plais ou pas -

Je hoche la tête de haut en bas pour dire oui.

Je dîne à genoux en compagnie de Viviane après lui avoir léché la chatte puis Mathieu enchaîne la femme dans la geôle puis il m'emmène à l'extérieur, je dois traîner mes grosse chaînes jusqu'à l'endroit où je vais passer la nuit allongée sur la paille.

Comme d'habitude je dors à la belle étoile, les bras et les jambes écartées attachés à des piquets de façon à ce que je ne puisse pas bouger.

Deuxième samedi de captivité

---------------------------------------

Le jour est levé depuis un moment quand mon maître vient me chercher pour aller prendre le petit déjeuner et faire ma toilette.

Tenue en laisse je le suis supportant mes grosses et lourdes chaînes.

Dans la cuisine je vois que Viviane, la deuxième putain qui passe le weekend comme captive, est là à genoux, bâillonnée, les chevilles et poignets menottées.

La laisse qui est accrochée à son collier est attachée à un pied de table.

Mathieu retire nos bâillons puis s'assoit, il regarde Viviane:

- toi la putain brune occupes toi de ma bite avec ta bouche et bois la liqueur jusqu'à la dernière goutte -

A genoux elle sort la queue du pantalon et lui fait une fellation, elle se retire quand il a éjaculé dans sa bouche.

- maintenant à toi la truie blonde, tu me fais la même chose. Si tu n'y arrives pas tu seras punie et pas de déjeuner pour vous deux -

Je prends rapidement la place de Viviane pour éviter qu'il ne débande trop.

J'embrasse et lèche la grosse queue gluante sur toute sa longueur pendant un moment puis tout en caressant ses cuisses je la prends dans ma bouche.

Je commence une fellation énergique en enfonçant le plus que je peux la grosse verge au fond de ma gorge, les aller-retour de ma bouche sur sa queue sont rapides.

Mathieu est long à venir et je dois beaucoup m'employer, je suis soulagée quand enfin sa queue augmente de volume dans ma bouche et est agitée par des soubresauts pendant que le sperme envahit ma gorge.

J'avale et continue à sucer, il repousse ma tête.

- tu n'en a jamais assez espèce de truie, si tu avais pu me bouffer la bite tu l'aurais fait -

A genoux nous déjeunons puis direction la salle de bain ou chacune doit laver l'autre.

De nouveau bâillonnées et enchaînée pour moi, menottée pour elle nous attendons accroupies au pieds de Mathieu.

Comme d'habitude c'est Jacques qui arrive.

- une putain ça ne te suffit pas il t'en faut deux maintenant -

- les putes c'est comme les chiennes, on siffle et il y en a plusieurs qui arrivent -

- tu es un veinard d'avoir tout ça à ta disposition -

- tu veux t'amuser, choisis en une -

Jacques pointe son doigt vers moi.

- celle-ci, elle est vraiment bonne -

Débarrassée de la muselière et des chaînes et tenue en laisse je le suis dans la chambre habituelle.

Comme d'habitude je l'embrasse, le déshabille tout en léchant et embrassant son corps puis après qu'il ait éjaculé dans ma bouche je le fais jouir deux fois en me mettant à califourchon sur lui et m'empalant sur sa queue.

Je ne suis pas avare pour les fellations lors de la troisième étreinte car comme d'habitude il a tendance à débander.

Ensuite j'attends qu'il se rhabille et me ramène à mon maître.

De nouveau entravées, nos laisses attachées à un pied de table nous attendons accroupies l'heure du repas.

Nous mangeons les assiettes posées sur le sol sans nous parler.

Mathieu nous sort à l'extérieur et nous amène tenues en laisse jusqu'à l'arbre ou est fixé le palan.

Il accroche les bracelets de mes poignets à la barre fixée au crochet du palan et actionne celui-ci, je me retrouve suspendue les pieds ne touchant plus le sol.

Mathieu s'adresse à Viviane:

- tu vois comment elle aime être traitée la truie, si tu veux la même chose dis le -

Elle baisse la tête.

Il tire sur sa laisse et la ramène dans la geôle me laissant seule en larmes avec mes douleurs.

L'après-midi comme d'habitude des hommes arrivent.

Mon bourreau m'emmène dans la pièce du sous-sol tenue en laisse.

Viviane est là bâillonnée et attachée aux chaînes fixées au mur.

Il me débarrasse des chaînes, que je dois traîner dés que je me déplace, et il retire mon bâillon.

- vas dire bonjour à ta consœur -

Je m'approche de Viviane.

- embrasses et lèches lui la chatte ça va lui faire plaisir -

Il tire sur les chaînes pour qu'elle écarte bien les cuisses.

Je me mets à genoux, j'embrasse puis lèche l'entre-cuisses et le sexe de Viviane ensuite je fouille son intimité avec ma langue.

Mon maître me tire en arrière.

- je ne t'ai pas demandé de lui faire l'amour -

Ses visiteurs nous ont suivis.

- enlevez le matelas (celui sur lequel Viviane couche) et étalez le plaid, se sera suffisant pour la truie -

Je me retrouve à genoux une chaîne attachée à mon collier.

- faites ce que vous voulez à la chienne, moi je vais m'occuper de l'autre femelle -

Il sort sa grosse queue, se colle contre Viviane et la pénètre d'un coup de reins violent.

Il la défonce sans ménagements pendant qu'elle nous regarde gênée.

Tout le monde le regarde faire jusqu'à ce qu'il éjacule dans son vagin.

Il se retire et rajuste sa tenue pendant ce temps on aperçoit le sperme qui s'écoule du vagin de sa victime.

- allez les gars la truie attend et réclame de la bite, il ne faut pas la priver -

Les hommes se ruent sur moi et me prennent à deux ou à trois en même temps suivant leurs envies pendant que Viviane observe la scène.

Ils se servent de ma bouche, ma chatte et mon cul, au bout d'un moment je me sers de mes mains pour remettre leurs queues en forme.

Je jouis plusieurs fois ce qui les amusent.

Quand enfin bien vidés de leur sperme ils me délaissent je reste allongée pour récupérer.

Je suis de nouveau bâillonnée et le rondin de bois refait son apparition.

Ils y accrochent les anneaux de mes bracelets en cuir et me soulèvent pour me transporter à l'extérieur. Ils posent le rondin sur les crochets les plus hauts vissés sur les piquets plantés dans le sol.

- maintenant il faut la laver -

Il déroulent un tuyau d'arrosage puis ouvrent le robinet, ils dirigent le jet d'eau vers moi et tournent autour de moi m'arrosant abondamment tout en s'amusant.

L'eau est froide et me glace. Ils s'en vont me laissant en pleurs dans cette position ou mes membres sont étirés et douloureux.

Le soir mon maître vient me voir accompagné de Viviane menottée et bâillonnée qu'il tient en laisse.

Il retire ma muselière et elle me fait manger une fois que Mathieu a changé le rondin de position pour que mon dos touche le sol sans me libérer.

Et la muselière de nouveau en place c'est parti pour une nuit dans cette position très inconfortable mais à laquelle je suis habituée.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Elodie Réalise Ses Fantasmes 01 Elodie découvre la soumission.
La Soumission d'Isabelle 01 Isabelle prête à tout pour ??
La nouvelle vie de Louise 01 Louise découvre le plaisir avec Cécile.
Otages des Gitans 01 Bourgeoises dressées par des gitans.
Plus d'histoires