LAURA 049: les infidélités se paient

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Captive et à la merci d'un bourreau 1/13.
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Partie 49 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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LES INFIDELITES SE PAIENT 1/13

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Pendant une période qui s'est étalée sur presque trois ans mes excès sexuels et le manque considération vis à vis de mon mari m'ont valu des déboires.

J'ai du lui obéir quand plusieurs fois il a exigé que je sois malmené par une tierce personne.

Mais cela ne s'est pas arrêté à ça car mon bourreau en me faisant chanté a exigé autre chose de moi.

Je gagne un séjour en captivité 1/2

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Ce mercredi en début de soirée je rentre chez moi après une journée que je qualifierais de normale: le matin j'ai satisfait sexuellement un homme qui m'a récompensée pour le plaisir que je lui ai procuré. l'après-midi avec mon amant du moment j'ai pris et donné du plaisir, ma culotte en porte les traces car malgré que je me sois essuyée du sperme coule de mon vagin pendant mon parcours de retour.

J.Pierre mon mari est déjà rentré et à son air je vois qu'il n'est pas de bonne humeur.

- tu n'as rien oublié -

- non, je ne vois pas -

- quel jour on est? on ne devait pas sortir ce soir? on n'avait pas quelque chose à fêter? -

Là je me rends compte de l'énorme bourde que je viens de faire: c'est son anniversaire.

- tu étais où -

- chez Martine ma copine -

- tu mens mal, enlèves ta culotte et montres la moi>>.

Là je suis mal, il insiste, je retire le vêtement et je lui tends. Il constate la présence de sperme et de cyprine sur l'objet.

Il est en rage et vu ce qu'il me promet comme punition pour le week-end ça ne va pas être une partie de plaisir pour moi surtout qu'il tient toujours parole quand il dit quelque chose.

Le lendemain loin d'être rassurée par ce qui m'attend je rumine et cherche une solution pour éviter la terrible punition qui m'attend.

Je me souviens qu'en réponse à une de mes annonces "cherche hommes généreux en échange de relations intimes", parmi les lettres que j'ai reçues de mâles intéressés il y a une qui sort de ordinaire qui m'a surprise et à laquelle je ne comptais pas répondre.

Je compose le numéro de téléphone marqué sur l'annonce.

Le correspondant qui se prénomme Mathieu me précise ce qu'il cherche: il veut utiliser à sa guise une femme qui lui restera soumise, sera prisonnière et attachée avec des chaînes pendant le week-end sans dépasser des limites qui restent à fixer.

Il me dit qu'il n'y a que comme ça qu'il prend son plaisir.

Le soir j'en parle à mon mari.

- il y a un homme qui veut profiter de femmes en les traitant comme des prisonnières pendant un week-end, si cela te conviens comme punition à la place de ce que tu as prévu je suis prête à accepter bien que cela m'inquiète car c'est une situation bizarre et pas rassurante -

Il réfléchit puis:

- Ok, vois avec lui mais ici tu passeras une semaine à dormir sur le sol attachée et bâillonnée après m'avoir fait deux pipes chaque soir plus une fessée le premier jour et une le dernier jour -

- c'est correct, je lui téléphone devant toi pour avoir des précisions et je fixe avec lui les limites à ce qu'il peut exiger de moi -

J'appelle Mathieu, nous discutons pendant un moment, mon mari me passe des papiers sur lesquels il note ses exigences qui malheureusement pour moi tendent à durcir mes conditions de détention, puis nous tombons d'accord et rendez-vous est pris pour le vendredi à 17h chez lui.

Le vendredi je me prépare mais ne cherche pas à paraître très sexy car mon habillement ce n'est pas vraiment ce qui l'intéresse. J.Pierre m'emmène, ainsi il saura où me trouver en cas de problème.

Un peu avant l'heure prévue il me dépose devant une charmante demeure entourée de hauts murs et située au milieu d'un grand terrain arborisé aux abords d'un bourg.

La grille est ouverte, les jambes flageolantes, pas rassurée et avec l'envie de faire demi-tour qui me tenaille je me dirige vers la porte de l'habitation et je sonne.

Mathieu, un homme grand et costaud, brun et à la mine pas désagréable m'ouvre et m'invite à entrer. Nous buvons un verre pendant qu'il me précise ses exigences.

Il me conduit au sous-sol et me pousse dans une pièce ou après qu'il ait allumé la lumière je constate que la fenêtre est occultée et que les murs en parpaings sont peints en blanc.

Cette pièce me paraît bien triste pour ne pas dire sinistre. Dans un coin un matelas est posé à même le sol, des chaînes fixées au mur traîne à coté. D'autres anneaux sont fixés en différents endroits sur le mur.

Sur un autre mur des chaînes sont passées dans des anneaux fixés dans le mur.

Il y a des toilettes et un lavabo accessibles pour une personne captive vu la longueur des chaînes. Sur le lavabo une éponge est posée et à coté une serviette est accrochée, on devine pourquoi.

- déshabilles toi esclave et à partir de maintenant tu m'appelleras maître -

C'est dit sur un ton sec qui n'admet pas de réplique. Je m'exécute sans dire un mot puis il me conduit en me tenant par un bras vers le mur.

Rapidement des bracelets en cuir fixés à l'extrémité des chaînes enserrent mes poignets et mes chevilles puis il me réduit au silence en introduisant dans ma bouche une boule munie d'une sangle qu'il attache coté nuque.

Il me regarde satisfait et les yeux brillants.

- tu es belle, d'habitude ce sont rarement des reines de beauté qui acceptent de satisfaire mes exigences -

Il titille et tord sans ménagement les tétons de mes seins qui sont érigés puis fouille mon intimité très humide.

- je vois que ça te fait de l'effet salope, tu as l'air d'aimer ça te faire humilier -

Avant de venir j'ai mis du produit chauffant sur les tétons et mon intimité ce qui explique mon état.

Il éteint la lumière et quitte la pièce. Je frissonne bien que la température soit bonne et je suis très anxieuse quand à la suite.

Le bruit des chaînes quand je bouge me glace. Après un bon moment d'attente debout je fatigue et je m'assois à même le sol.

Après une attente seule dans le local qui m'a paru une éternité la porte de mon cachot s'ouvre et la lumière s'allume. Mathieu s'approche de moi.

- debout sale pute c'est le moment de servir à quelque chose -

Je me lève, il tire sur les chaînes et les accroche sur des pitons, je me retrouve écartelée sans ménagement les bras à l'horizontale et les jambes écartées à m'en faire mal.

Il dégrafe son pantalon et sort du slip avec difficulté un gros pénis gonflé par l'envie. Il se colle contre moi, d'une main dirige sa queue contre mon vagin et en cherche l'entrée.

D'une violente poussée il me pénètre, son membre s'enfonce en moi sans ménagement en écartelant les chairs jusqu'à venir buter au fond de ma grotte.

Tout en martyrisant mes seins et les tétons il se met à me défoncer à grands coups de reins me collant contre le mur dont les aspérités griffent mon dos. Je ne m'attendais pas à avoir du plaisir mais je n'avais pas programmé d'étreinte si violente.

Notre accouplement ne dure pas longtemps son pénis qui emplit mon vagin gonfle encore, est agité de tremblements et envoie d'importantes giclées de sperme qui viennent frapper le fond de mon intimité. Pendant qu'il jouit il se crispe ses mains agrippées à mes hanches, ses ongles s'incrustent dans ma peau ce qui est douloureux pour moi.

Cela devait faire un moment que Mathieu n'avait pas vidées ses bourses vu la quantité qu'il a déversée en moi. Il se rajuste, quitte la pièce sans dire un mot et je me retrouve dans le noir.

Le sperme coule de ma chatte, mouille mes cuisses et atterrit sur le sol.

Le temps passe, il revient me voir, place une petite table basse près de moi puis y dispose un repas et de la boisson.

- avant de manger tu vas prendre l'apéritif, mets toi à genoux -

J'obéis, il retire mon bâillon.

- l'apéritif est dans mon slip, occupes toi de ma tétine avec ta bouche grosse truie -

Je déboutonne son pantalon qui tombe à ses chevilles puis son slip prend le même chemin.

Sa queue n'a pas perdue de sa vigueur et garde ses dimensions imposantes. Je la lèche consciencieusement pendant un moment de tous côtés et sur toute la longueur en partant du gland pour finir sur les testicules, il se trémousse.

- tu es une sacrée salope -

- non! une putain maître -

Sans l'aide de mes mains que je pose sur ses cuisses je fourre sa verge dans ma bouche en l'avalant au maximum ce qui n'est pas aisé vu ses dimensions puis je lui fais une fellation vigoureuse avec des mouvements alternativement lents puis rapides.

Ses mains sont agrippées à mes épaules et les mouvements de son corps m'indiquent qu'il ressent du plaisir qu'il exprime en m'insultant copieusement me traitant de salope, de putain, de dégorgeoir à bites et autres.

J'accélère les aller-retour de ma bouche sur sa queue pour en finir au plus vite, heureuse quand il se crispe et que ses ongles s'enfoncent dans la chair de mes épaules il se vide dans ma bouche. j'avale le sperme et continue un peu à sucer.

Il se retire et se rhabille puis il s'en va en me disant de manger, ce que je fais à genoux vu la faible hauteur de la table et l'absence de chaise.

Quand je revois mon bourreau il me libère les poignets et les chevilles puis me demande de m'asseoir sur le matelas.

Il me met un large collier clouté pour chien autour du cou et l'accroche à la chaîne qui est à proximité.

Il me bâillonne de nouveau. Il m'équipe d'une ceinture autour de la taille munie de deux menottes qu'il me passe aux poignets.

Avant de sortir et de me laisser dans le noir il me dit:

- allonges toi et dors je viendrais m'occuper de ton cul de grosse pute cette nuit -

Effectivement avec l'attrait de la nouveauté pour lui il vient plusieurs fois dans la nuit me défoncer la chatte avec sa grosse queue ne libérant ma bouche que pour que je le mette en état de me prendre ce qui n'est pas difficile car il a un bon tempérament et bande facilement. Je ne dors pas beaucoup.

Le matin après lui avoir fait une pipe il me libère pour que j'aille faire ma toilette au lavabo en utilisant l'éponge qui se trouve dessus. J

e déjeune à genoux devant ma petite table me contentant de ce qu'il y a sur le plateau qu'il a amené.

De nouveau enchaînée au mur et bâillonnée il m'annonce que ce matin une personne doit lui livrer du matériel et qu'il ne compte pas la payer avec de l'argent vu qu'il a à sa disposition une putain qui peut servir pour un paiement en nature.

Il me demande si j'ai une objection à formuler. Il n'a pas l'air de plaisanter. Dans la position ou je suis je me vois mal refuser ne sachant pas à quoi je m'expose, comme je ne peux pas parler je consens d'un mouvement de tête.

Il me laisse de nouveau dans le noir.

Mathieu vient me chercher après un long moment passé seule, il me détache et libère ma bouche. Il me remet le collier pour chien autour du cou et y attache une laisse puis il me tire hors de ma geôle et nous pénétrons dans son salon.

Un homme est assis dans le canapé. Il est obèse et au visage ingrat, je me vois mal faire l'amour avec lui.

Honteuse de me présenter devant lui nue et tenue en laisse comme un animal je baisse les yeux.

- Jacques voici mon esclave, elle est belle et peut satisfaire tes désirs sexuels, est-ce que ça te va comme paiement -

- tu ne blagues pas, je peux me servir d'elle -

- oui, elle est docile et tu as vu son cul, en plus c'est une sacrée suceuse -

- elle est d'accord -

- salope, réponds au monsieur -

- oui monsieur, mon corps est à vous si vous en avez envie>>.

Loin d'être emballée et pensant le contraire mais comment faire autrement dans la position où je suis.

Mathieu donne la laisse à Jacques qui m'entraîne comme une chienne dans une chambre.

Debout à côté du lit il m'enserre dans ses bras et ses lèvres viennent écraser les miennes, sa langue pénètre ma bouche et malgré ma répulsion ma langue va à la rencontre de la sienne.

Nous échangeons un long baiser pendant qu'il pelote mon corps.

J'entreprends de le déshabiller avec la hantise de découvrir son corps. Une fois qu'il est nu je cache les sentiments que son corps déformé par la graisse m'inspire.

Il est assis au bord du lit, je me place à genoux entre ses jambes et je caresse ses cuisses et son sexe qui paraît petit par rapport à son corps.

Il bande, je soulève les bourrelets de graisse de son ventre en plaçant ma tête dessous et je lèche comme je peux sa queue tout en caressant ses testicules.

Quand j'estime que j'ai suffisamment léché je prends le pénis dans ma bouche et je suce avec des mouvements rapides de ma bouche et rapidement il gémit et se crispe.

Son sperme vient frapper ma gorge, j'avale (le goût n'est pas bon) et je continue la fellation.

Il s'allonge sur le lit. Je le masturbe de peur qu'il ne débande pendant que je me positionne au dessus de lui mes jambes de chaque côté de son corps puis je m'empale sur son membre.

Avec des grands coups de reins je fais aller et venir le mieux que je peux sa queue dans ma chatte.

Je caresse son corps (je devrais dire ses bourrelets de graisse) et de temps en temps je l'embrasse pendant qu'il pétrit mes seins et tord les tétons.

Il est long à venir et gémit beaucoup. Mon dos est en sueur car je m'active longtemps et lui vu son poids ne bouge pratiquement pas.

Enfin son corps se raidit et il arrose mon ventre. Je me retire et essuie sa queue et ma chatte avec une serviette qui se trouve au pied du lit.

- est ce que monsieur veut que je remette son sexe en forme s'il veut encore faire l'amour -

- non, c'était bien et ça suffit -

Sa réponse me soulage.

Debout au pied du lit j'attends qu'il se rhabille, il prend la laisse qui ne m'a pas quittée pendant nos ébats et me ramène dans le salon ou Mathieu nous attend.

- alors Jacques qu'à tu pensé de ma dépravée sexuelle, es tu satisfait de sa prestation -

- c'est un bon coup, elle est jolie et fait bien l'amour. C'était bien -

- tant mieux car j'ai des projets pour cet après-midi et demain, elle va être mise à contribution -

Je reste silencieuse malgré l'inquiétude qui me gagne après avoir entendu ses paroles. Ce qu'il prévoit n'était pas prévu au programme, je pense que je suis tombée dans un traquenard et que je vais devoir en passer par où il veut.

- attends moi Jacques je vais lui remettre les chaînes -

- je peux voir comment tu la traite -

- oui, viens tu verras ce qu'on peut tirer en humiliant ce type de femme -

Mathieu m'emmène en laisse dans ma geôle suivi par Jacques. Après les avoir changés d'anneaux (il les passe dans ceux fixés presque à hauteur du plafond) il me refixe les chaînes aux poignets et aux chevilles puis me bâillonne.

J'ai les bras distendus vers le haut et mes pieds touchent à peine le sol, ma position est très inconfortable.

Je suis honteuse devant Jacques et en plus les réflexions de Mathieu à mon sujet n'arrangent pas ma situation car il me rabaisse et m'humilie.

Je reste dans le noir les bras endoloris jusqu'à ce que Mathieu vienne se soulager dans mon ventre. Après avoir apporté mon repas du midi il m'explique ce qui va m'arriver cet après-midi et le lendemain:

- je vais recevoir des amis et tu sera l'enjeu pour nos parties de cartes et de dés -

- vous n'allez pas faire ça maître, je ne vais pas servir de vide-couilles à tous vos amis -

- si! tu as bien fait l'amour avec Jacques qui est moche et repoussant alors il n'y a pas de raison que tu refuses, j'ai bien compris que tu n'es qu'une grosse truie et que tu es capable de tout -

Je capitule sachant que dans ma position il n'y a pas d'alternative, un piège s'est refermé sur moi et j'en suis responsable.

- bien maître je vous obéirais mais il ne faut pas que cela dégénère -

- ça se passera bien et de toutes façons quoi qu'il se passe tu n'as pas le choix -

Je mange puis ensuite enchaînée et bouche bâillonnée j'attends dans le noir la suite des événements.

Je m'en veux de m'être fourrée dans cette situation, je ne vois pas comment refuser de servir d'esclave sexuelle à Mathieu et à ses amis sans me rebeller.

Enchaînée et bâillonnée je ne suis plus maîtresse de mon corps ou de mes décisions, je subis.

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