LAURA 030: apprentie prostituée

Cela s’est passé à l’époque où je viens commence à vendre mon corps pour de l’argent, je n’ai pas encore 23 ans.

Dans un journal d’annonces gratuites je relève l’annonce d’une femme (une professionnelle) qui cherche des clients en mettant son numéro de téléphone, je montre l’article à mon mari.

Même s’il ignore beaucoup de choses concernant ma vie sexuelle il sait que vu mes absences j’ai des amants et aussi que pour certains dépenses je ne puise pas dans l’argent du ménage.

- c’est une professionnelle, cela doit être autre chose qu’avec toi au lit -

- si il y a des choses que je ne sais pas ou que je ne fais pas bien je ne demande pas mieux que d’apprendre -

- ce serait bien de parfaire ton dressage avec quelqu’un qui s’y connait car je pense que comme d’habitude tu fais n’importe quoi -

- elle a surement autre chose à faire que de s’occuper d’une femme comme moi -

- je m’en occupe pour voir s’il est possible qu’elle te forme -

Je n’aurais pas du lui montrer l’annonce sur le journal. J’argumente pour qu’il oublie l’idée qu’il vient d’avoir.

Je lui dis que cette prostituée a autre chose à faire que de perdre de l’argent en s’occupant de moi et que d’ailleurs elle refusera de le faire.

Je ne me vois pas en élève avec un professeur penché sur moi et me prodiguant des conseils pendant qu’un homme me saute.

Je ne vais pas amener mes clients chez elle d’ailleurs je ne pense pas qu’ils seraient d’accord pour avoir des rapports sexuels devant une tierce personne.

Il appelle le numéro, une femme lui répond, j’écoute leur conversation.

Il explique que je me prostitue mais pense qu’indisciplinée je fais n’importe quoi et que j’ai besoin d’être dressée par une professionnelle.

Ensuite ils parlent longtemps de moi comme d’une marchandise et certains des arguments et propositions de mon mari font mouche et intéressent la prostituée.

Voulant en savoir plus sur moi la prostituée demande à me parler.

Mon mari me passe le téléphone et pendant qu’il écoute j’explique mon cas et je dois répondre à ses questions qui touchent à mon intimité. Devant mon mari et en rougissant tellement je suis gênée je dois lui détailler tout ce que je fais aux hommes.

Pour ne pas contrarier mon mari je lui confirme que j’ai besoin d’être dressée car si j’ai commencé le métier en amateur il n’est pas sur que je sois à la hauteur.

J’abonde dans le sens de mon homme en lui disant que j’ai besoin de l’avis d’une professionnelle et que je désire avoir des relations avec ses clients gratuitement et à sa place, à charge pour elle de me surveiller, surtout de me recadrer et de m’aider a parfaire mon éducation.

Poussée par mon mari je propose avec insistance mes services à Manon (c’est le prénom qu’elle se donne) pendant une semaine complète.

Rendez vous est pris dans un bar place du château à Compiègne en fin de journée.

Avec mon mari nous nous rendons sur place.

Ne pouvant pas m’en empêcher il consent à ce que je me prostitue mais réprouve que je le fasse le trottoir car ce n’est pas assez discret.

Bien que n’étant pas d’accord, il sait qu’il ne peut pas m’en empêcher et il est un peu rassuré quand je me vends dans des hôtels ou chez des clients.

Pendant que mon mari se gare j’entre dans le bar et dévisage les clientes.

Une femme brune me fait signe, je m’avance, enlève ma gabardine, lui laisse le temps de bien regarder mon corps et je m’assois.

J’avais détaillé comment je serais habillée pour qu’elle me repère facilement.

Manon me questionne sur beaucoup de sujets certains très intimes, je réponds au mieux. Je ne lui demande rien, je n’ai pas le droit de le faire.

Elle décrète que physiquement les hommes seront satisfaits, reste a voir mes capacités au lit.

Manon demande a parler à mon mari car elle ne veut pas d’embrouilles, je sors le chercher. Je reste avec eux muette pendant qu’ils définissent mon champ d’action. Je ne dois m’occuper que du coté sexuel, vouvoyer Manon et l’appeler Maitresse.

Manon définit ma tenue: dés mon arrivée chez elle je dois me mettre en bas à résilles, porte jarretelles, chemisier transparent complètement déboutonné, chaussures a talons hauts. je dois rester comme cela jusqu’au soir.

Manon nous donne l’adresse de son appartement.

Quand nous nous quittons elle me dit:

- tu es dans de bonnes mains avec moi, tu devras être très obéissante et je vais faire de toi une bonne professionnelle du sexe -

Le lundi matin j’arrive devant l’immeuble, appuie sur la sonnette de l’interphone, Manon ouvre, je monte au troisième, la porte de l’appartement 32 est ouverte. J’entre et entends Manon m’appeler, je la rejoins dans la cuisine.

Après lui avoir dis:

- bonjour maîtresse -

Je reste sur place les bras ballants. Elle me rappelle que je dois me mettre en tenue dès mon arrivée et me montre un placard pour y mettre mes habits.

je me change et reviens près d’elle. Elle m’inspecte de la tête aux pieds, me fait pivoter et décrète que je suis bien foutue.

Elle me fait visiter la chambre bien décorée avec des tentures roses, des grands miroirs et des cadres avec photos de femmes nues prenant des positions lascives. Un matelas est posé à même le sol.

Nous attendons assises dans le salon le premier client.

A 10 heures on sonne, je vais a l’interphone, j’ouvre a la personne et l’attends a la porte de l’appartement. Un homme grand et fin entre, je lui dis:

- bonjour je suis Laura ton hôtesse, je vais m’occuper de toi et te procurer beaucoup de plaisir -

Je lui demande son prénom, il me dit que c’est André ce qui est certainement faux. Ses yeux ne quittent pas mon corps (c’est logique vu comment je suis habillée).

Je l’ amène dans le salon, le présente a Manon qui est habillée très sexy tout en cuir:

- maitresse je vous présente André qui vient chercher un moment de plaisir -

Pendant que Manon s’occupe du coté financier je vais dans la chambre et retire mon chemisier, je suis pratiquement nue.

Ensuite elle le précède, le fait entrer dans la chambre et lui dit:

- Laura va s’occuper de toi et te procurer tout le plaisir que tu attends -

Elle retourne au salon.

Tout en l’embrassant je le déshabille et caresse son corps. Il se laisse faire un peu intimidé.

Il est nu, son sexe est bien raide, je me mets a genoux et je commence une fellation tout en caressant ses cuisses, ses fesses et ce que je peux atteindre de son corps.

Rapidement il se déverse dans ma bouche, j’avale et continue à sucer ou à lécher pour que sa queue reste propre.

Je l’invite a se coucher sur le dos, je caresse son corps et veille a ce que son pénis reste droit. Je me mets a genoux sur lui, introduis sa verge dans mon vagin et je commence a remuer tout en le caressant partout.

Il se laisse faire et me caresse un peu les seins, le dos et le ventre. J’œuvre un bon moment avant qu’il ne jouisse et que son sperme se répande dans mon ventre.

Je me retire, j’essuie son sexe avec une serviette puis j’en fait autant pour ma chatte.

Je recommence à le caresser et lui fais une fellation, son pénis reprend des dimensions honorables. Je me couche sur le dos et l’invite a se mettre sur moi. Je guide sa queue vers ma chatte, il me pénètre et nous remuons de concert. Je continue à le caresser, il finit par éjaculer dans mon vagin et se retire. J’essuie sa verge.

Dans un miroir plusieurs fois j’ai vu Manon regarder un moment a la porte de la chambre.

André se rhabille, je lui demande s’il est satisfait de mes services, il répond par l’affirmative et dit que c’était très bien. Je le raccompagne à la porte de l’appartement et l’embrasse en lui disant au revoir.

Je vais me laver dans la salle de bains et me remaquille. Je retrouve Manon dans le salon:

- pour l’acte c’était bien, mais tu ne souris pas assez, il faut leur dire des mots doux et leur demander souvent s’ils éprouvent du plaisir -

L’après midi je procure du plaisir a deux hommes( Marc et Daniel).

Un à 13 heures et l’autre a 16 heures, je leur souris beaucoup et leur distribue des “chéris” à la pelle, plusieurs fois je leur demande:

- ça te plait, tu as du plaisir -

Je commence toujours par un fellation avec éjaculation dans ma bouche puis je fais en sorte qu’ils se soulagent et arrosent deux fois mon vagin.

Le soir mon mari vient me chercher il parle avec Manon en buvant un apéritif. Elle commente ma performance et parle des reproches qu’elle m’a fait.

Je reste debout sans parler et attends un ordre pour me rhabiller. Sur la route du retour j’ai droit a des remontrances.

- quand on veut être une prostituée on se comporte comme telle, tu fais n’importe quoi y-

Punie je passe la nuit bâillonnée, attachée, couchée sur la moquette a coté du lit.

Le mardi Manon me demande comment s’est passée ma soirée, je lui raconte ma punition. Pour elle bien que mon homme ne soit pas assez sévère cela fait partie de mon dressage.

Ce jour là je m’occupe de deux hommes (Jacques et Alexis) l’après midi en veillant bien a respecter les consignes et a corriger mon attitude Manon me surveille en permanence.

Le soir elle m’annonce devant mon mari que le lendemain matin nous recevons un homme qui veut faire l’amour avec deux femmes ensemble. Il dit a Manon c’est bien mais que c’est moi qui doit donner mes fesses pour l’éjaculation pas elle.

Puisque c’est ma volonté de me prostituer je suis là comme poubelle a sperme. Elle est d’accord, il en sera ainsi.

A 9 heures le lendemain j’ouvre la porte à Richard, pendant que je l’aide a retirer ses habits Manon nous rejoint nue, elle a une belle paire de fesses et des seins volumineux et un peu lourds.

Elle embrasse Richard sur les lèvres, sur les joues et dans le cou, elle le caresse aussi pendant que je lui fais une fellation, il aime et se trémousse, rapidement il se vide dans ma bouche.

Il veut lécher une chatte, ce sera celle de Manon qui se couche sur le dos et écarte les cuisses car je n’ai pas le droit de ressentir du plaisir.

Pendant qu’il lèche nous le caressons, je m’occupe de sa queue et de ses bourses avec ma langue et ma bouche. Je lui fais une longue fellation et il éjacule de nouveau dans ma bouche.

Je me mets sur le dos, il bande toujours et me pénètre. Manon se met a genoux pratiquement au dessus de ma tète et renverse son corps vers l’arrière, je sens l’odeur de son sexe, j’ai pratiquement le nez dans la raie de ses fesses.

Dans sa position sa chatte est ouverte et offerte, Il recommence à la lécher pendant qu’elle le caresse. La mouillure ou la salive qui coule tombe sur ma figure.

Je remue sous lui, il ne m’aide pas beaucoup trop absorbé par ce qu’il fait avec sans langue dans la chatte et sur le clitoris de Manon.

Au bout d’un moment il se répand dans mon ventre. Il se retire, j’essuie son sexe avec une serviette.

Manon un peu excitée décide de lui offrir un supplément de plaisir. Nous le caressons et l’embrassons en changeant souvent de position.

Comme j’ai déjà la bouche sale je dois remettre son pénis en état, je le lèche ainsi que ses testicules puis je commence une fellation. La queue reprend vite de bonnes dimensions.

Lui couché sur le dos, Manon s’empale sur la queue et commence a remuer pendant que je l’embrasse et le caresse, nous intervertissons souvent nos positions.

Manon lui demande de nous avertir quand il ne pourra plus se retenir. Nous œuvrons longtemps.

A un moment Manon qui a le membre dans son vagin me demande de prendre sa place pour me faire inonder le vagin, j’obéis rapidement et reçois le sperme. J’essuie le pénis de Richard.

Il est heureux et nous félicite en se rhabillant, il nous quitte le sourire aux lèvres. Manon aussi est contente et me dit que j’ai bien travaillé.

L’après midi Robert et Hervé profitent de mon corps. Je pratique toujours de la même façon avec quelques variantes et je finis toujours la chatte dégoulinante de sperme.

Le jeudi je ne fais l’amour qu’à deux clients (Jean et Benoit), ils me quittent satisfaits.

Le vendredi mon mari J.Pierre doit venir me chercher plus tard, je reçois cinq hommes dans la journée et même sans jouir c’est fatiguant. Manon me propose de s’occuper d’un ou deux clients, je refuse sachant ce qu’il va se passer quand mon mari le saura.

Le matin je reçois Jacques et Jean Paul. L’après midi Daniel, Vincent et Claude.

Vincent me cause beaucoup de soucis, j’arrive difficilement a le faire bander pour une deuxième éjaculation, une fois que je m’active sur lui elle tarde a venir. Pour le faire bander une troisième fois c’est un calvaire pour moi, je me couche sur le dos en l’invitant a me pénétrer et nous remuons longtemps, je dirais très très longtemps.

Je dois beaucoup m’activer, le caresser, l’embrasser et lui parler. Je suis en sueur.

Pendant que je me démène ne voulant pas d’un échec qui me coûterait cher, car mon mari serait en colère et me punirait, j’entends Manon qui accueille Claude mon dernier client.

Au bout d’un temps interminable Vincent se laisse enfin aller et se répand dans mon ventre puis il s’affale sur moi en soufflant.

Je l’essuie, l’aide a se rhabiller et le conduis vers la sortie.

Le temps de prendre une douche et j’entreprends Claude pour ses trois éjaculations.

Je dois me donner malgré la fatigue et la lassitude, mon dernier client doit avoir le plaisir pour lequel il a payé Manon.

Le soir Manon dit à mon mari que la semaine a été reposante pour elle, que pour le remercier elle pouvait lui accorder ses faveurs.

Il lui répond que c’est gentil mais pas nécessaire, quand on a une femme comme Laura à la maison on a tout: Une épouse, une salope, une putain, une maitresse et plus encore, elle sert même de souffre douleur et accepte beaucoup de choses.

- Effectivement tu l’as bien dressée, elle est née pour donner du plaisir aux hommes, elle est meilleure que moi au lit. Si j’ai besoin d’elle pour un extra je te téléphone -

Debout j’écoute mais n’ai pas droit a la parole et je vais me changer quand j’en reçois l’ordre.

Manon fait la bise à mon mari et lui dit au revoir. Je m’approche d’elle.

- au revoir maîtresse -

- non! ta semaine de dressage est terminée c’est Manon -

Nous nous embrassons, elle me donne une tape sur les fesses puis sourit et nous partons.

Pour clore la semaine de la prostituée que je suis mon mari m’emmène au restaurant.

- toujours envie de vendre ton corps -

- oui! tu sais bien que je ne peux pas me retenir quand quelque chose trotte dans ma tête et j’ai vu que j’étais à la hauteur et puis ça me plait -

- moi qui croyait te dégoûter en te laissant aller chez cette femme, c’est raté -

Il me fait servir un apéritif et boire du vin en mangeant, s’il est déçu je suis contente et fière de moi.

C’est une excellente semaine qui m’a permis de montrer à mon mari mes qualités d’esclave sexuelle et de lui faire voir que j’obéis aveuglément, je suis fière et me redresse en marchant.