LAURA 094: sexe sauvage

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Prise sur un parking.
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Partie 94 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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SUR UN PARKING

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En ce moment la routine m'ennuie et je n'ai pas envie de draguer surtout que dans la ville où je réside et qui est située en bordure de l'océan les estivants sont partis, donc le choix en mâles est restreint.

Je décide de m'inspirer d'histoires lues sur un site porno et de faire une expérience, pour changer j'envisage de remplacer la qualité d'un bon amant pas toujours facile à trouver par la quantité de partenaires.

Dans la journée je circule en voiture sur des routes à grande circulation et je visite des parkings. Deux correspondent aux critères que je me suis fixés.

En soirée je visite de nouveau ces lieux une fois que la nuit commence à tomber.

J'y stationne un moment au milieu des poids lourds, des utilitaires et de quelques autos pour voir s'il sont assez fréquentés et aussi un peu voir ce qui s'y passe et comment c'est éclairé.

Je dois composer avec le temps car s'il pleut comme cela a été souvent le cas ces derniers temps ce ne sera pas une réussite.

Depuis quelques jours il fait beau et chaud dans la journée et le soir la température est douce.

Je mets mon projet à exécution, décidée à tenter une expérience, je me rends sur le parking que j'ai sélectionné.

J'ai acheté des préservatifs et je compte m'en servir dans le cas présent.

Je me suis habillée de façon qu'on me prenne vraiment pour une salope ou une putain.

Jupe rouge courte, pas de soutien-gorge et simplement un string blanc, maillot à bretelles blanc ajusté qui laisse à l'air une partie de ma poitrine et avec lequel mes tétons ressortent à travers le tissu, bas blancs auto-fixant, bottines rouges à talons hauts.

Je me gare à un endroit ou je suis sûre d'être vue par des personnes qui sont stationnées sur le parking.

Je sors de ma voiture, je m'adosse contre la portière prenant la pose comme le ferait une prostituée voulant attirer les mâles puis j'attends.

Je n'ai pas besoin de patienter longtemps, un homme sort de son véhicule et se dirige vers moi puis il m'aborde.

- combien tu prends -

- rien, je suis en plan drague pas au tapin -

- ne cherches plus, je peux satisfaire tes besoins -

- un seul homme ça ne m'intéresse pas et c'est moi qui choisis mes partenaires -

Nous parlons un peu, il vante ses qualités et voudrait me faire croire qu'il est un étalon de premier ordre.

Il ne faut que peu de temps avant que d'autres hommes s'approchent de nous.

Je me mets à parler suffisamment fort pour être entendue par tout le monde car des hommes intrigués par ma présence commencent à tourner autour de nous.

- je ne suis pas contre les relations sexuelles mais tirer un coup vite fait ou faire ça avec un éjaculateur précoce ne m'intéresse pas -

Ils s'approchent encore et appâtés se mêlent à la conversation.

En tout cela fait cinq mâles qui essaient de me persuader que je dois les choisir car ils sont les meilleurs pour me donner du plaisir.

- faire l'amour avec plusieurs hommes en même temps ne me fait pas peur -

Evidemment tous se montrent intéressés et se proposent.

- je ne vais pas faire ça n'importe où ni n'importe comment -

Les propositions fusent.

- dans la cabine de mon poids lourd -

- sur le siège arrière de ma voiture, il n'y aura pas besoin de monter et descendre en permanence -

- si ça vous intéresse j'ai un fourgon avec une caisse de 5 mètres par deux -

- où ça -

Il désigne le véhicule du doigt.

- à l'arrière de mon utilitaire qui est presque vide je pense que ce serait parfait -

Nous allons avec lui jusqu'à son fourgon.

L'homme ouvre les portes arrières, pour faire de la place un autre range des cartons éparpillés sur le plancher puis ils étalent un plaid que le propriétaire du véhicule a pris dans la cabine.

Comme ils ont tendance à se précipiter commençant à poser leurs mains sur moi je les calme.

- doucement, personne ne sera oublié mais je ne veux pas être assaillie par une horde sauvage -

Je m'assieds sur le plaid et je me retrouve avec la meute de mâles autour de moi.

- si vous sortiez vos instruments je pourrais les mettre bien en forme pour la suite -

Il obéissent sans discuter, se mettent à genoux et sans attendre baissent le zip de leur pantalon et sortent leur queue.

Me servant de mes deux mains je les masturbe passant de l'un à l'autre sans m'attarder sur une queue en particulier ni chercher à les faire éjaculer

Ce petit jeu dure un moment ce qui a le don de bien les énerver. Ils sont très excités et s'impatientent.

- une petite pipe vous intéresse, je vais vous en faire une à chacun -

Je sors une boite de préservatifs de mon sac.

- servez vous et encapuchonnez vos zizis -

Si quatre des participants n'hésitent pas et mettent la capote, le cinquième n'est pas emballé.

Il prend un préservatif, déchire l'emballage et commence à le mettre en râlant puis jette l'objet sur le sol.

- il n'est pas question que je mette ça -

- ce n'est pas négociable, je dois me protéger -

-je n'ai pas de maladie alors je vais te sauter sans mettre ce truc -

- tu peux partir, tu ne me toucheras pas -

- c'est ce qu'on va voir, si les autres te sautent alors moi aussi -

- non! les mecs dans ton genre ne m'intéressent pas, dégage, je ne veux plus te voir -

Les autres hommes s'énervent contre lui et font en sorte qu'il s'éloigne, ce qu'il fait en me menaçant.

- connasse, tu ne perds rien pour attendre -

Avec ce contretemps les queues ont perdu de leur superbe, je commence à en sucer une pendant que j'en prends deux autres dans mes mains.

Ma bouche passe d'une verge à une autre mais les fellations sont de courte durée mais suffisantes pour énerver et exciter les hommes.

Finalement je suce et masturbe ou malaxe le même nombre de fois chaque queue.

Les mâles n'en peuvent plus et se retiennent, pourtant l'envie de se jeter sur moi est forte.

- maintenant on pourrait passer à autre chose -

Je suis consciente que si je ne leur donne pas ce qu'ils attendent la situation va déraper.

- si vous voulez -

Je baisse les bretelles de mon maillot que je fais descendre jusqu'à ma taille, ils louchent sur ma poitrine que j'ai mise à l'air. J'enlève mon string et je retrousse ma jupe puis je me mets à genoux

- allez c'est à vous chacun votre tour, ma chatte et ma bouche sont disponibles -

Après une bousculade, car chacun veut être le premier à me pénétrer, deux hommes sont en place l'un devant moi et l'autre derrière moi.

Je prends un pénis dans ma bouche pendant que l'autre pénètre ma chatte. Pendant que je fais une fellation je sens les aller-retour d'une queue dans mon intimité.

Ceux qui sont disponibles se sont mis à peloter ma poitrine et triturer mes tétons.

Quand l'homme qui fait aller et venir sa queue dans mon intimité a éjaculé dans la capote il se retire et un autre prend sa place.

Les verges se succèdent dans ma grotte et ma bouche.

Arrive un moment ou la position à genoux devient difficile à supporter car la tôle du plancher n'est pas un matelas, je me couche sur le côté et replie les jambes.

Les deux mâles qui s'occupent de moi adoptent une position permettant à l'un allongé derrière moi de pénétrer ma chatte pendant que l'autre se met de façon à pouvoir coller sa queue contre mon visage pour que je puisse la prendre dans ma bouche et la sucer.

La ronde des verges se poursuit un moment car une seule éjaculation par personne ne leur suffit pas, ils continuent à se servir de mon corps.

Cela ne me dérange pas mais je ne veux plus être active.

Je m'allonge sur le dos et j'écarte les jambes.

Chacun leur tour ils se vautrent sur moi, pénètrent ma chatte et s'activent à coups de reins plus ou moins rapides pendant que je ressens les va-et-vient des pénis en moi.

Mes seins et mes tétons continuent à être malaxés et triturés.

Je m'aperçois que deux autres hommes attendent maintenant sur le parking à côté du fourgon.

Je ne les empêche pas de venir se soulager dans mon sexe eux aussi. C'est ce qu'ils font après avoir enfilé un préservatif sur leurs pénis.

Simplement de temps en temps je prends une pause pour boire ce que l'on m'offre, cela m'évite d'avoir trop d'orgasmes car les pénétrations successives font monter le plaisir dans mon ventre.

Deux fois je ne peux plus contrôler mon plaisir qui devient trop fort et je jouis mouillant le plaid avec la cyprine qui gicle de mon vagin.

Puis arrive le moment où après qu'un dernier mâle ses soit soulagé dans ma chatte je décide que ça suffit surtout que je veux pas les remettre en forme car leurs membres ont ramolli.

- j'en ai assez, si on continue vous allez me tuer alors on va arrêter là -

D'autres hommes, récemment prévenus de ce qui se passe, qui attendent à l'extérieur du fourgon râlent et insistent voulant se soulager dans mon corps eux aussi mais je reste ferme.

Je me relève et rajuste ma tenue puis tenant mon string roulé en boule dans une main je descends du fourgon.

Pendant que je regagne ma voiture trois hommes qui ont attendus en vain veulent eux aussi que je leur accorde mes faveurs.

Malgré leur insistance je refuse leur disant que j'en ai eu assez pour la soirée.

Ils persistent dans leur intention mais des hommes qui ont profité de mon corps font en sorte qu'ils me laissent tranquille.

Comme c'était prévisible nous tombons sur l'homme qui ne voulait pas mettre de capote et est parti furieux.

Il m'attend sur le parking les bras croisés et les jambes un peu écartées avec un air peu avenant. Il a juste le temps de dire:

- maintenant je vais m'occuper de toi connasse, je vais te démolir le portrait -

Je n'en mène pas large mais un routier qui s'affairait près de son poids lourd s'approche rapidement de lui.

- tu dégages ou c'est moi qui te démolis -

- cela ne te concerne pas, restes à l'écart. C'est entre moi et la putain -

Une gifle violente atteint sa joue qui en garde la marque, il se retrouve assis sur le cul.

Puis des hommes qui étaient restés dans les parages l'empoignent, le relèvent et le ramènent jusqu'à son véhicule.

Ils le poussent brutalement à l'intérieur, claquent violemment la portière et l'obligent à démarrer et à quitter les lieux le menaçant de lui faire une tête au carré et de s'en prendre à sa voiture en la réduisant à l'état d'épave.

Le quidam qui prend peur ne se fait pas prier et démarre en faisant hurler ses pneus et laissant de la gomme sur le macadam.

Le routier s'adresse à moi:

- c'est dommage que tu partes, j'aurais bien voulu faire l'amour avec toi -

Je réfléchis et rapidement prends une décision.

- je suis d'accord ne serait ce que pour te remercier d'avoir pris ma défense>>.

- c'est naturel chez moi et je n'admets pas qu'on frappe une femme -

J'approche de la cabine et après avoir ouvert la portière, mettant ses mains sur mes hanches il m'aide à monter.

Une fois dans la cabine, la portière refermée, il ne perd pas de temps. Il m'enlace, ses lèvres sont sur mes miennes.

Sa langue cherche la mienne, elles se mêlent dans de longs baisers pendant qu'une de mes mains caresse par dessus le pantalon son sexe bien gonflé.

Pressé il baisse mon maillot et met mes seins à l'air puis les caresse avant de les lécher puis il suce et mordille les tétons.

Ensuite il retrousse ma jupe et sa main s'égare entre mes cuisses.

Il caresse mon sexe puis introduit un doigt à l'intérieur.

J'écarte les jambes pour lui permettre de mieux me doigter, ce qu'il fait tout en me tenant par la taille avec son bras inoccupé.

Impatient, après s'être déchaussé, il ne perd pas de temps et m'entraîne sur la couchette sur laquelle il s'allonge.

Je me place à genoux près de lui, je baisse le zip de la braguette de son pantalon et en extrait sa queue de bonne taille qui est déjà bien érigée.

Je lèche le membre partout puis je suçote et aspire le gland pendant que l'homme caresse mes fesses, mes cuisses puis que des doigts s'enfoncent et s'agitent dans ma chatte et mon anus.

Je lui fais une fellation d'abord avec des aller-retour lents de mes lèvres sur la queue puis en accélérant progressivement la cadence.

Je n'ai pas besoin de me décarcasser longtemps pour faire jouir le routier, rapidement la verge s'agite dans ma bouche et le sperme gicle dans ma gorge. Je bois le liquide et continue à sucer.

Comme il est allongé sur le dos je m'accroupis sur lui et fais pénétrer son pénis dans ma grotte. Je fais bouger mon corps pour faire aller et venir le membre dans mon intimité. L'homme en profite pour me délester de mon maillot.

Il s'en prend à mes seins qu'il caresse ou pétrit puis aux tétons qu'il agace ou triture pendant que je continue à donner des coups de reins.

Il commence à bouger en même temps que moi.

Le coït dure un moment avant que je ne sente le pénis tressauter et la semence couler dans mon vagin.

Le routier me tend une serviette, je laisse sortir la verge de ma chatte et je m'essuie.

Je malaxe et masturbe la queue qui a ramolli. Il ne me faut pas longtemps pour le remettre en érection.

Il me demande de me mettre à genoux et se place derrière moi. Il retrousse ma jupe jusqu'à ma taille et se fend d'une phrase:

- tu as de belles fesses tu sais -

Il enfonce sa queue dans ma grotte et donne des coups de reins de plus en plus violents.

Après un moment son membre sorte de ma chatte et glisse entre mes fesses avant de venir au contact de mon anus.

Comme je ne dis rien il pousse avec le poids de son corps.

Je sens la verge qui s'enfonce doucement dans mon cul et enfin le pubis de l'homme qui bute contre mes fesses.

Les va et vient du membre dans mon fondement commencent.

Mais l'homme fait quelque chose que je n'avais pas prévu, une de ses mains vient se poser sur mon sexe et des doigts commencent à masturber mon clitoris.

Parfois son corps arrête de bouger et il se concentre sur mon bouton qu'il énerve de plus en plus vite et violemment.

Il n'est pas pressé de conclure et si avec les va et vient intermittents de la queue dans mon cul je ressens des choses agréables c'est ce qu'il fait endurer à mon clitoris qui devient de plus en plus dur à supporter.

Je me trémousse et serre les dents pendant qu'il accélère encore la masturbation. Ce qu'il recherche finit par arriver et tant pis pour sa literie, mon corps est secoué par des spasmes et des jets de cyprine sortent de mon vagin et arrosent sa main et les draps.

Il laisse tranquille mon clitoris et se concentre sur mon cul qu'il défonce avec des aller-retour très rapides de son membre.

Après un petit moment sa queue s'agite dans mon fondement et le sperme s'y répand.

Il se retire puis nous nous essuyons.

Je remets mon string et mon maillot puis je rajuste ma jupe.

Il me dit qu'il est content du moment que nous avons passé ensemble puis i n'informe des jours et heures où il se gare sur se parking et me donne son numéro de portable.

Quand il me demande le mien je lui donne un numéro erroné.

Il m'aide à descendre de la cabine du camion et craignant que l'homme qui est en rage contre moi soit revenu il m'accompagne jusqu'à ma voiture.

Nous nous faisons la bise puis je monte dans mon véhicule, je démarre et quitte le parking.

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