L'agace

BÊTA PUBLIQUE

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Le mari de la dame et moi, affichons tous les deux un air satisfait devant le travail complété, lorsque la femme revient au salon. Et, elle est à croquer.

Je porte un chapeau de majorette rouge sang, garni d'attaches de couleur or et blanc qui retiennent ce chapeau sous mon menton. Et, vêtue d’un baby-doll transparent, d’un mini cache-sexe d’une couleur rouge-vif, de bas nylon blanc qui me montent jusqu’au haut des cuisse, d’une paire de souliers à talon aiguille lacé quasiment jusqu’à mi-jambe. Et, avec mon bâton d’ancienne meneuse de claque chez mon équipe de majorettes, je sais que je vais faire fureur après de ses deux mâles.

Lorsqu’ils ont connaissance de ma présence, j'affiche un sourire espiègle en m’approchant d’eux langoureusement. Je tente temps bien que mal de garder mon équilibre du haut de mes souliers aiguilles qui eux s’enfoncent profondément dans les poils du tapis, à chacun de mes pas. Je marche en déséquilibre instable avec mes souliers aiguilles, et, pour les provoquer d’avantage, je leur fais un clin d’œil en affichant mon sourire le plus sensuel. Je mets un doigt sur mes lèvres pour leur faire signe d’être attentif à ce que vais faire. Je croise mes mains derrière ma nuque en m’étirant le dos d’un même mouvement ce qui fait que mes seins à la chair pulpeuse, ressortent encore plus au travers du tissus transparent.

Mes mamelons bien éveillés d’un brun plus foncé se pointent fièrement au centre des deux larges auréoles du même brun foncé que leur dévoile impudiquement mon baby-doll transparent. Satisfaite de l’effet produit sur mon auditoire, je les imite et je siffle moi-aussi, en jetant un autre coup d’œil admirateur à ma tenue provocatrice.

Tout en essayant de garder les pieds bien ancrer au tapis, et, en faisant de légers mouvements des jambes, je commence une nouvelle série de mouvements. Mouvements qui imitent ceux de majorettes qui doivent toujours réchauffer leurs muscles avant de débuter leur spectacle.

Je me dandine langoureusement le haut du corps, d’un même mouvement, je bouge des hanches et des cuisses, pendant que le regard des hommes voyage de ma poitrine à mon nombril. Mais, leur regards descendent rapidement à la hauteur de mon mini cache-sexe quand j'ouvre les cuisses. Mes deux spectateurs sifflent tous les deux en entrevoyant les formes de ma chatte au travers du léger tissus. Et, je leur dis d'une voix sensuelle que je suis fière d’avoir enfin ce nouveau tapis. Je leur suggère de prendre quelques moments de répit avant de s’attaquer à la tâche de poser un autre tapis dans le passage du corridor.

Je leur dis que je trouve ce tapis très moelleux et que je veux en profiter tout de suite. Et, je les gâte tous les deux quand je me penche le haut du corps jusqu’à la hauteur de mes souliers, pendant ce mouvement, les deux globes de chair pulpeuse de ses seins apparaissent effrontément dans l’échancrure du léger tissus avant de bondir hors du baby-doll.

Mais, je ne leur laisse qu’une couple de secondes à ces deux hommes pour admirer ma poitrine pendant que suis penchée ainsi. Et, je les surprends encore plus ces deux hommes, lorsque je fais une couple de culbutes en couvrant dans mes mouvement précipités toute l’espace du salon avant de terminer en face d'eux en faisant la grande split. Mon derrière atterrit sur le tapis et mes jambes sont ouvertes dans un angle presque parfait de cent quatre vingt degré. Mais, je dois remuer du derrière et des muscles de mon dos pour que mon dos soit dans un angle parfait sur ce tapis moelleux.

Durant mes dix années comme majorette, j’ai appris à garder le sourire même si ce soir ça me prends quasiment toute mon énergie pour garder la posture pendant seulement quelques secondes. J’amène mes deux bras parallèles à mes jambes et d’un geste dynamique, je commence à faire tournoyer mon bâton de majorette au bout de ses doigts comme dans le temps (pas si lointain) où j’étais meneuse de claque.

J'enchaîne avec une nouvelle improvisation. Toujours assise, les fesses bien enfoncées dans le tapis moelleux, j’enlève mon chapeau de majorette, défait mes cheveux et le lance à bout de bras. Je soulève une jambe, délace et enlève le soulier à talon aiguille. Le bas de nylon que je déroule lentement en le glissant du bout des doigts le long de ma cuisse et de ma jambe, suit et je le lance aussitôt en leur direction avant de recommencer le même manège avec mon autre jambe pendant que j’ai deux paires de yeux de braquer sur moi.

Pendant qu’ils siffle et qu’ils m’applaudissent tous les deux, je les surprends encore, et, je les gâte davantage tout en me faisant encore plus chatte. Je me traîne à quatre pattes en ronronnant et griffant à pleines mains dans les long poils du tapis pendant que tout mon corps tel un félin ondule avec souplesse, comme s’il était une panthère ou une lionne.

Leur jouant toujours mon numéro, cette fois, je me place pour être face à eux. Les deux hommes sont de plus en plus captivés par le spectacle improvisé que je leur donne. Ils n’ont d’yeux que pour mon corps de femme en chaleur.

Pendant que je gronde à tu-tête, ma longue chevelure ondule à la fois contre mon visage et contre son dos. Mes seins volumineux, eux, bougent à chacun de mes mouvements cherchant encore à sortir de mon baby-doll transparent.

Maintenant, dans ma chorégraphie improvisée, je me place pour être dos à eux. Et, je bouge langoureusement du bas du dos, des hanches et de la croupe. Lorsque je m’immobilise quelques instants, dos à eux, je fais exprès pour rester à quatre pattes. Et, intentionnellement, je garde le postérieur très ressorti, sachant qu’il va mettre en valeur le rebondi des globes de mes fesses nues entrecoupées du simple cordon d’un string, cordon si mince qu’il risque de lâcher à tout instant. Par moments, ma longue chevelure leur cache mon visage, ce qui donne à mon auditoire une image encore plus suggestive et plus érotique.

Je suis à installer le tapis dans le corridor entre le salon et les chambres à coucher Je suis à quatre pattes devant la salle de bain et pour ces travaux, j'ai dû enlever la porte de la salle bain.

Je travaille depuis un bon moment, quand, la femme s'appuie d'une main sur mon épaule pour enjamber les travaux. Pendant qu'elle passe ainsi au-dessus de moi, quel n'est pas ma surprise lorsque j'ai le temps d’entrevoir pendant une fraction de seconde, que la femme a le bas du corps nu à partir de la taille, une camisole lui couvre le haut du corps et elle retient une serviette dans ses mains.

Je n'ai pas le temps de me remettre de cette nouvelle surprise que la femme est déjà entrer dans la salle de bain et elle s'assoit les fesses directement sur le prélart du plancher de la salle de bain à seulement quelques pieds de distance de moi. Et, dos à moi, elle commence à s'épiler les jambes.

Je suis a nouveau distrait par la femme qui après seulement quelques secondes, se soulève le fessier pour placer la serviette sous ses fesses.

Comme je suis installé pour le dernier petit bout d'ouvrage qui me reste à faire dans cette maison, directement en face de cette femme intrigante, je suis souvent distrait par cette vue érotique de son dos qui se devine sous la camisole. Je lui regarde souvent la basse du dos et le contour provocateur des fesses pendant que la femme, elle, chantonne comme si elle serait seule dans la maison, ce qui fait que je suis de plus en plus souvent distrait, si bien que je fini par me piquer le bout d’un doigt avec l'aiguille à tapis avec lequel je travaille.

De peur de tâcher le tapis de couleur crème, je demande aussitôt à la dame de me donner tout de suite un kleenex ou un plaster pour ne pas que mon sang ne tache le tapis. Surprise, la femme se lève précipitamment, elle se penche pour ramasser la serviette sur lequel elle était assise, mais, en voyant du sang au bout de mon doigt elle s’étire pour prendre un kleenex et me le donne pour que je m'en essuie le doigt.

Et, elle retourne chercher un pansement. Je la regarde se pencher devant la vanité, le bas du corps complètement nu. Pendant tout ce temps, je profite d'une vue superbe sur son corps, mais, c’est plus fort que moi, je lui regarde plus attentivement les fesses. Et mon regard s'attarde sur la vue de sa chatte pendant que ses seins ressortent au travers du tissus de la camisole, quand enfin, elle en ressort un ensemble de premiers soins.

Sans plus de préambule, la femme revient vers moi en tenant une couple de pansement adhésifs dans ses mains.

Elle me fait signe de m’asseoir sur le tapis et maternelle, elle m'installe un pansement sur le bout du doigt. Pendant qu'elle agi ainsi, j'en oublie presque de respirer, car, la femme s’assoit sur mes genoux. Et, elle appuie un sein contre ma joue.

Je suis de plus en plus mal à l’aise devant la tournure des évènements, cherchant où se trouve le mari, je le voix qui arrive à leurs côtés. Et, celui-ci, voyant sa femme m'installer le pansement, me demande ce qui ce passe?

La femme s’empresse de lui dire: J’ai dû m’occuper du pauvre chéri pour ne pas que son sang tache le tapis. Et, elle nous surprends à nouveau tous les deux quand, elle me donne une baiser à pleine bouche pendant que je suis encore assis à même le tapis. Je ne sais plus comment réagir pendant que la langue de la femme se fait de plus en plus indiscrète et envahissante dans ma bouche. Je suis pris entre le mari qui m’observe attentivement et sa femme qui me donne un baiser fougueux en se blottissant doucement contre mon corps. Je me laisse embrasser sans oser répondre au baiser.

Quand la femme me laisse respirer, elle fait exprès pour me frôler la bouche avec sa camisole, elle appuie son sein contre sa joue. Je suis de plus en plus mal à l’aise, car, je suis très excité par la chaleur de son corps de la femme qui ne le laisse pas indifférent, je ne sais plus comment je devrais réagir devant ce couple si spécial. Je redoute la réaction du mari qui lui, fait quasiment le double de son poids, et, en même temps, tout mon corps est de plus en plus attiré par cette femme en chaleur. Je n'ose pas prendre aucune initiative. Pendant que la femme fait tout pour m’exciter, le mari, lui, ne fait rien pour m'indiquer si je dois profiter de l’occasion, ou bien, si je dois me dépêcher de repousser son épouse.

Pendant que j'hésite, la femme, elle, en profite pour me passer la main sur le haut d’une cuisse.

Cette main remonte vite pour tâter mon érection que je ne peux plus cacher, tout cela, à la vue du mari qui semble indifférent à tous ces jeux.

Même si je redoute de la réaction du mari, je m'enhardi et je retrousse la camisole pour lui caresser le sein et lui mordiller le mamelon pendant que la femme, elle, en ronronne de plaisir. C’est elle qui me place son autre sein dans la bouche.

Nous-nous tenons debout côte à côte, le mari et moi et nous suivons des yeux la femme qui nue, retourne dans la salle de bain et qui agi comme s’il ne s'était rien passé. Elle se penche et nous présente ses fesses pendant qu’elle se fait couler un bain. Comme de raison nos yeux se portent à la hauteur de sa chatte où les grandes lèvres ressortent bien ouvertes.

Je me dépêche de terminer mon ouvrage que je complète quelques minutes plus tard. Pendant que je ramasse mes outils, je jète un autre coup d’œil vers le bain. Je souris en voyant le spectacle de la femme qui se sait observée, assise dans le bain, elle a une jambe levée dans un angle de quatre vingt dix degré pendant que ses mains la savonnent.

Le mari est toujours à mes côtés, lui aussi surveille sa femme qui s'amuse à brasser l'eau du bain. La femme en profite pendant que nous l’observent pour se lever debout dans le bain. Elle est toujours vêtue de sa camisole qui est toute mouillée, ce qui rend la scène encore plus érotique pendant que la femme nous regarde et elle nous fait salut de la main.

Elle sort ainsi du bain, sans même enlever cette camisole ce qui fait que beaucoup d’eau coule par terre. En plus d'avoir le corps encore ruisselant de l'eau du bain, elle a les cheveux tous mouillés, elle ressemble à une vraie sirène, son mari, lui, lâche un bon sacre et il lui demande de se dépêcher de s'essuyer et d'essuyer la flaque d'eau qui s’agrandit à ses pieds.

Tout en jouant avec sa camisole qu’elle tord de ses deux mains, avant de l’enlever, la femme demande à son mari de venir l'essuyer.

L'homme lui réponds: Si j'y vais, tu vas avoir une de ces claques sur les fesses.

C'est cela, depuis le début de la soirée, toi, tu en profites pour faire le voyeur et encore une fois, lorsque l'on a besoin de toi, tu n'es pas disponible. Puis, en plus, tu essaies de faire le gros méchant. Mais, moi ta femme, je le sais bien trop que tu n'a pas de couilles. Et elle dit à son mari: Continues à faire ton voyeur et à t'exciter parce qu'un autre homme me regarde pendant que je fais une folle de moi. Et, je le sais bien trop que tout cela t'excite. Mais, je dois te dire que tu t’excites peut être trop vite. Et, elle s’avance et dit à l’oreille de son mari: Depuis le temps que tu le désires et que tu me demandes de te laisser me voir faire l’amour à un autre homme. Ce soir, j’ai vraiment envie de ce beau jeune homme et lui ne demande pas mieux que de me sauter.

Et, elle nous prend tous les deux par le bras et elle nous entraîne dans sa chambre à coucher

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