L'agace

Informations sur Récit
Dans la série: Les mémoires d'un poseur de tapis.
6k mots
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30k
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Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 11/17/2002
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Dans une suite de tableaux plus savoureux les uns que les autres.

Voici mon premier souvenir. Il m'est arrivé au tout début de ma carrière de poseur de tapis. Je venais de prendre en charge le commerce familial après la mort si subite de mon père. J'avais vingt deux ans à l'époque et comme expérience, j'avais travaillé comme aide depuis l'âge de quatorze ans. Et, mon expérience avec des femmes était assez limitée. Avec des jeunes filles de mon âge , j'avais fais un peu mon apprentissage de la vie. Comme tous les jeunes de cette époque, en faisant plus souvent qu'autrement l'amour à la sauvette sur le siège arrière de mon automobile. Pour revenir à cette soirée assez savoureuse, où, pour la première fois, une femme d'une dizaine d'années de plus que moi et cette femme a prise toutes les initiatives. Soirée que j'aime me rappeler comme le souvenir de :

La belle agace!

Après avoir garé mon auto, j’en ressorts tout mon équipement de poseur de tapis du coffre arrière et équipé ainsi, je sonne à la porte d’une maison d’un couple de fermiers qui demeure à une dizaine de milles d’un petit village de campagne. Un homme, dans la quarantaine, un colosse qui me dépasse d'une bonne tête, viens me répondre avec un sourire sympathique. Je le connais de réputation, ce gentil monsieur, car, je sais qu'il participe depuis quelques années au concours national d'hommes forts que nous voyons à la télévision dans toutes ces épreuves de force physique.

Pendant que nous discutons dans le hall d'entré, il m'indique où les travaux aurons lieu et aussitôt, il m’aide à vider le salon de tous ces meubles. Pour être bien franc, c’est plutôt lui qui s’occupe de tout. Et, avec ses mains qui font quasiment le double des miennes, il soulève facilement chaque meuble pendant que moi, je ne fais que le guider pour ne pas qu'il endommage les murs du corridor avec sa charge. Ce soir, je suis chanceux de l'avoir, car, moi, habituellement, les jambes me plient sous chaque charge, malgré l'expérience que j'ai pris au fil des ans, lorsque je dois manœuvrer tous ces meubles.

Environ une demi heure plus tard, pendant que nous sommes absorbés à installer le sous-tapis, sa femme (une belle grande rousse avec de nombreuses tâches de rousseur, la trentaine), apparaît vêtue simplement d'un peignoir en tissus éponge qu'elle retient pudiquement fermé devant elle.

Toute mon attention est aussitôt captivé par ses yeux pétillants et son sourire engageant, mais, ce sont ses mamelons déjà très éveillés qui se pointent fièrement sous le tissus qui retiennent le plus mon attention. Et, cette très belle femme au sourire chaleureux, s’est déjà très bien aperçu, où, va mon regard. Elle veut aider elle-aussi et elle s'assoit sur le plancher tout près de moi. Lorsque je regarde en direction d'un outil, elle devine que j'en ai de besoin, Avant que j'ai fais un geste, elle s'étire en direction de l'outil et j'entrevoie la chair d'une cuisse. Une autre fois, elle se traîne à quatre pattes pour aller en chercher un autre outil et j'ai une belle vue sur la courbe prononcée de ses fesses. Ou, elle se lève pour aller en chercher un autre, pendant qu'elle bouge ainsi, j'ai la chance de voir sa robe de chambre qui s'ouvre pendant ses mouvements et j'entrevois, le début d'un sein Tout au long des travaux, il arrive souvent que nos doigts se frôlent.

Cette fois lorsque je relève la tête en sa direction, elle se lève et la robe de chambre s'entrouvre encore plus. Elle me regarde la regarder pendant qu'elle est debout juste en face de moi. Sa main est entre ses genoux et elle se gratte juste au-dessus du genou avant de remonter l'intérieur de la cuisse. Nos yeux se croissent une fraction de seconde. La femme a eu le temps d'ouvrir un peu les cuisses, la robe de chambre s'ouvre encore plus. Sa main caresse le haut de sa cuisse. Je me doute qu’elle fait exprès pour m'exciter. Moi, je dois me concentrer sur mon ouvrage malgré un début d'érection que j'essaie tant bien que mal de lui dissimuler.

Tout en travaillant, j’ai beaucoup de mal à poursuivre la conversation avec elle et son mari, car, je me fais déjà mon cinéma dans ma tête. Je m’imagine passant mes mains le long de ses cuisses à cette femme attirante, et, comme maintenant, sa robe de chambre est légèrement ouverte, la vue de la chair invitante de ses belles cuisses me fait rêver. Nos yeux se croissent encore à nouveau et je sais maintenant que la femme a remarqué mon érection. Cette belle femme se tient là, devant moi à la distance de mes mains pendant que je sais que son mari, lui, il pourrait m’écrabouiller d’une seule main, s’il vient à surprendre les regards de feu que je lui jette à la sauvette à cette belle femme. Et, je suis certain qu’elle fait exprès pour rester dans mon champ de vision, en sachant de la manière que je la reluque que j’en bave déjà pour elle.

Malgré tout, j’essaie de rester très absorbé dans mon travail, mais, c’est plus fort que moi, aussitôt que je reporte mon regard sur son corps qu'elle m'offre comme une tentation irrésistible et une silencieuse invitation déguisée à la prendre. Cette femme qui fait à peu prêt la même grandeur que moi, joue encore plus avec mes nerfs en me faisant un clin d’œil provocateur pendant que son mari, lui, est toujours très absorbé par l’ouvrage qui reste à faire.

Quelques instants plus tard, j’aperçois son sourire espiègle pendant que la belle dame nous reluque les fesses à son mari et à moi pendant que nous sommes à travailler à quatre pattes.

Et, aussitôt que je me tourne en sa direction, je vois son visage épanouit. La belle dame fait semblant de réfléchir un doigt sur sa lèvre supérieur en me regardant effrontément. Du bout de la langue, elle lèche son doigt avant de continuer à promener la langue sur ses lèvres très sensuelles.

Lorsque son mari s’absente pour aller chercher un outil à la cave, la dame en profite pour s’en retourner vers sa chambre à coucher, mais, aussitôt que nous entendons décroître les pas de son mari dans les marches de l'escalier, la femme hésite avant d'entrer dans sa chambre. Elle se retourne en ma direction, sachant très bien que je la regarde. Je vois un sourire espiègle sur son visage pendant qu'elle commence refermer très lentement la porte derrière elle. À la dernière seconde, elle hésite à nouveau avant de décider de laisser la porte de sa chambre à coucher grande ouverte.

Je la regarde de dos pendant qu'elle marche vers son lit. La femme se retourne une nouvelle fois pour me faire un clin d’œil provocateur en se déhanchant de plus belle….Et, elle me fait signe d`être silencieux en plaçant un doigt sur ses lèvres pendant qu’elle remonte lentement le tissus de sa robe de chambre sur le haut de ses cuisses. Après avoir fait quelques pas ainsi, elle se retourne la tête en ma direction pour me sourire et elle me fait de légers bye de la main tout en se regardant au travers d’un miroir

Elle me fait rire en me grondant sévèrement de ses yeux comme si j'étais un jeune enfant pendant qu'en même temps elle fait des gestes avec ses mains et avec sa tête comme pour essayer de me dire que ce n'est pas gentil et que c'est mal de la regarder ainsi lorsqu’elle devine que j’entrevoie ses belles fesses dévoilées impudiquement par un g-string très révélateur. Elle me fait la moue tout en serrant ses deux seins dans ses mains et elle se penche pour que son derrière soit plus ressorti et elle se passe la main sur ses fesses en me faisant signe avec son visage que c'est quelque chose de précieux.

Avant que son mari ne revienne de la cave, elle scrute le reflet de son image que lui renvoie le miroir d’une commode pendant qu’elle s’en rapproche en se déhanchant de plus en plus impudiquement. Elle se retourne vers moi, me regarde attentivement Elle me fait signe un nouveau signe d'être attentif et silencieux. Ses mains descendent sur sa poitrine, frôlent le contour des seins, avant de poursuivre en descendant sur son ventre et une main frotte sa chatte par dessus sa petite culotte pendant que la dame ouvre et referme fermement trois ou quatre fois ses cuisses sur sa main, elle la ramène à sa bouche et elle s’en lèche les doigts effrontément.

La femme défait ses cheveux. Elle secoue la tête de bas en haut et de gauche à droit, sa chevelure se déroule jusqu’à milieu de ses épaules. Et, en jouant lentement avec le tissus elle en retire le peignoir. Après quelques secondes pour étudier mes réactions, la dame se tourne pour être à nouveau dos à moi. Je la trouve de plus en plus croquable, cette belle femme. Et, quelles fesses et quelle paire de longue jambes bien galbées. Pendant qu’elle se regarde attentivement dans le miroir, je suis captivé par son corps de rêve, la voyant maintenant avec pour tout vêtement sa brassière qui couvre ses seins volumineux et un g-string qui ne cache plus rien de ses belles fesses. Ces fesses rebondies, où moi, j’aimerais pouvoir déjà déposer des baisers brûlants et surtout les pétrir de mes deux mains, ces belles fesses dodues de femme épanouie.

J’entends un craquement dans les marches d’escalier. Ouf!, je me dépêche de faire semblant de reprendre mon ouvrage, lorsque le mari revient près de moi. Je me fais mon cinéma: Premièrement: je m’imagine que l’homme qui travaille au salon avec mon mari, apparaît nu devant moi. Je suis face à lui, assise nue, moi-aussi, les fesses sur le rebord du lit pendant que l’homme qui est debout devant moi, me regarde avec des yeux où je lis tout le désir de jeune mâle, en me maintenant à la distance de ses bras. J’aime bien le reflet de notre image qui se dédouble au travers des miroirs qu’il y a sur chacun des murs de la chambre.

Et, comme je me tiens dans une posture très arquée, ma longue chevelure lui arrive au milieu de la poitrine. Le nue d’une épaule, pendant qu’on voit au travers d’un miroir, la chair pulpeuse d’un de mes seins qui touche la poitrine de l’homme qui, lui a une jambe appuyée sur le lit, pendant que je lui frôle une fesse du bout de mes orteils. Toutes ces images très érotiques déclenchent une envie profonde au plus profond de mon corps. Et, ce soir, je sais trop bien que je serais une femme en chaleur pour ce nouvel amant.

Je me tiens le dos cambré et j’appuie chacune de mes mains sur la poitrine de l’homme. Du bout des doigts, je lui agace les mamelons. Je suis de plus en plus grisée par les miroirs qui me renvoient l’image de mes fesses rebondies de femme un peu rondelette qui ressortent dans cette vue très érotique que j’aime bien de la peau tendue de nos deux corps en attente juste avant le sexe .

Je me laisse glisser au pied du lit pour être à genoux devant le corps du jeune homme. Mes mains lui caressent doucement le bas du dos pendant que je me frotte le visage contre son nombril et son ventre. Lorsque je descends mes mains sur ses fesses, l’homme bande encore plus.

Mes yeux n'en veulent que pour son érection gorgé de désir qui toute fier d’elle, remonte jusqu’à ce qu’elle se dresse gonflé à bloc et se frotte contre mon visage. J’ouvre grande la bouche et j’engloutie aussitôt son membre chaud et viril jusqu’au fond de ma gorge. Le jeune homme soupire. Il me retient fermement la tête de ses deux mains. Ses soupires sont de plus en plus bruyant et saccager tout le temps que je m’applique à agacer le gland de ma langue en la roulant tout autour. Ma main caresse sa verge sur toute la longueur, avant que ma bouche ne le pomper à grande vitesse. Et, comme je suis une experte à ce jeu, au bout de seulement quelques secondes, le jeune homme en grogne de plaisir. Je devine une montée imminente de sperme. Je lui passe une main sur les testicules et les serre fermement pendant qu’un de mes doigt lui tétille l’anus. Le jeune homme ne peut se retenir, il lâche un cri et une première montée de sperme me gicle dans la bouche. Je goûte au doux nectar et en avale un peu lorsqu'une deuxième giclée m‘emplit la bouche à nouveau. Je viens bien près de m’étouffer, je dois même en recracher une partie de son sperme chaud qui me coule sur le menton. Tout en le regardant dans les yeux, je retire un instant son membre de ma bouche.

On aurait dit que le membre du jeune homme n’attendait que ce moment pour m’envoyer une autre série de giclées de son sperme qui me revolent sur tout le visage, même dans mes cheveux, j’en ai dans le cou et j'en reçois quelques goûtes sur mes seins. J'ouvre grand la bouche et reprend jusqu'au fond de ma gorge, son membre encore en pleine érection. Je le retire souvent de ma bouche pour le regarder sur toute sa longueur et j’aime tellement cela agacer son gland distendu à l’extrême. Et, j’aime les bruits de succion de mes lèvres qui le sucent et le goûtent pendant que mon amant de ses deux mains, il se branle à toute vitesse pour finir de se faire éjaculer dans ma bouche. Du bout de la langue, je nettoie les dégâts sur mes lèvres et mon menton . Et, tout en pompant à son pénis, je regarde dans un miroir l'image d’une femme gourmande qui s’en lèche les doigts où dégoûte encore des larmes de sperme. Et, la salope se sourit et sourit à son amant. Elle garde la bouche grande ouverte et elle sort même la langue pour en recueillir les dernières goûtes en ayant ses yeux des jours de chatte en chaleur.

Dans un second fantasme: L’homme me soulève pendant que je me blottie en toute confiance dans ses bras. Il me couche lentement sur le lit en prenant le temps de me regarder de la tête aux pieds avec des yeux pleins d’admiration. Et, nos bouches impatientes et affamées s’embrassent dans un baiser fougueux.

L’homme me mordille légèrement un mamelon pendant qu’il s’emplie les mains de la chair pulpeuse de mes deux seins et que le bas de son corps se glisse entre mes cuisses que j’avais ouvertes d’une façon invitante avant de croiser mes jambes dans son dos et de le retenir de toute mon énergie contre mon corps.

Et, je m’imagine que mon mari est attaché et bâillonné sur une chaise au pied du lit et de la manière que nous l’avons placé, il n’a pas d’autre choix que de suivre mes ébats virils avec son nouvel amant.

La scène se poursuit quand je me déplace pour être dos à mon amant pour être intentionnellement face à mon mari. Je chevauche le membre de mon amant pendant que j’en crie de plaisir. Je regarde mon mari dans les yeux et je vois qu’il lit sur mon visage et dans mes yeux que j’en déguste chaque instant. Et, je lui en mets plein la vue à mon cher petit mari en jouant la salope. Et, je continue de le regarder dans les yeux le pauvre chou, tout le temps de nos ébats très virils accompagnés par mes cris à tu-tête et mes encouragements répétés à mon jeune amant. Justement, celui-là, je lui calque les cuisses de mes deux mains pour qu’il me défonce encore plus fort de son membre pendant que je me déchaîne en répondant coups pour coups à sa charge de cavalerie en bougeant tout mon corps comme une vraie obsédée.

Pendant tout la durée de mes bruyants ébats avec mon nouvel amant, les yeux de mon mari eux crachent le feu pendant que je me fais aller tout le corps comme si je montrais un cheval sauvage. Je délire dans une suite ininterrompu de cris, toute la duré de nos ébats. Mes seins sautent de haut en bas et bougent de gauche à droite pendant que ma longue chevelure ballotte de tous côtés, me cachant les seins par moment.

Je travaille à la touche finale de la pose du tapis du salon pendant que le mari est redescendu à la cave pour chercher un autre outil, lorsque je me frôle quasiment le nez sur les cuisses nues de cette femme mystérieuse . Mes battements de cœur partent à l’épouvante devant cette apparition surprise de cette femme au sourire de plus en plus sensuel. Elle se tient-là près de moi, très sexée, vêtue d'un déshabillé en satin de couleur rose bonbon.

J’en oublie le travail et je prends le temps de la détailler de la tête au pieds, mais, c’est plus fort que moi, mon regard s’attarde à la hauteur de sa poitrine où les deux mamelons éveillés se pointent fièrement au sommet de ses seins lourds. Le tissus du déshabillé couvre la partie du haut de sa petite culotte elle-aussi en satin et de la même couleur rose bonbon. La femme suit mon regard qui s’attarde à la fourche de ses belles cuisses où son mont de venus se laisse deviné au somment de ses longues jambes de plus en plus attirantes. Lorsque nous entendons le mari qui sacre lorsqu’il s’enfarge dans les marches d’escalier, la femme se lèche les lèvres du bout de la langue en regardant la bosse de l’érection subite qui grossie à vue d’œil sous mon pantalon. Pendant que nous entendons le mari qui arrive, elle met un doigt sur ses lèvres et me fait signe de rester silencieux. Et, comme si rien n’était, elle me regarde travailler pendant que je ne sais plus comment réagir, car maintenant, son mari est-là, à mos côtés. L’homme ne fait même pas le surpris en voyant sa femme dans cette tenue pendant que moi, qui suis tout près d’elle, je ne sais plus si je devrais me sauver ou me cacher et que sa femme elle, elle lui sourit comme si rien n’était.

Je reprend nerveusement le travail. Mais moi, à chaque fois que je dois bouger pour mon travail, j’ai la tête à la hauteur et à seulement à quelques pouces de la petite culotte de cette femme au sourire espiègle aux coins des lèvres.

Son mari semble impassible devant cette situation insolite et il continue de discuter normalement avec son épouse en me regardant travailler. Tandis que moi, je suis tout en sueur et je dois prendre de profondes respirations en essayant de garder mon calme et de me concentrer sur mon ouvrage. Malgré tout, à chaque fois que je relève la tête, mon premier coup d’œil va instinctivement vers le haut de ses cuisses à cette belle femme et il remonte à chaque fois à la hauteur de sa petite culotte. Et, chaque fois, je sens sur moi le regard de femme qui semble m’hypnotiser comme pour me forcer à la regarder dans les yeux au lieu de seulement regarder ses cuisses et sa petite culotte.

Et, lorsque je relève la tête, j’en profite pour pouvoir admirer les formes de ses seins et mon regard s’attarde sur ses mamelons qui se pointent fièrement au travers du tissus, car, la femme ne semble pas réaliser que de l’angle d’où je la vois, elle me donne une image très érotique et très provocante. Mon désir d’elle ne fait que croître et dans ma tête je m’imagine que je la prends dans mes bras et que nous faisons l’amour tout de suite sur le tapis du salon. Je devine qu’elle ne veut rien savoir de mon malaise de travailler dans cette ambiance, surtout avec son mari est dans le décor et qu’il nous surveille. Je sais qu’il a remarqué tous mes petits manèges lorsque que je dois regarder vers sa femme à chaque fois que je dois me retourner pour prendre un outil ou pour se déplacer pour mon ouvrage.

J’aperçois la femme qui fait la moue quand son mari lui fait des signes pour lui indiquer d’aller se vêtir plus convenablement.. Et, elle le défie en se déplaçant pour être devant moi, et cette fois, elle fait exprès pour me provoquer davantage en ouvrant les cuisses en se rapprochant à quelques pouces au-dessus de ma tête, et moi, j’y prend de plus en plus goût en la retrouvant dans le portrait encore plus provocante que jamais.

J'entends le mari lui chuchoter d’aller se changer de linge. La femme lui réponds d’une voix boudeuse. O.K , je te prends au mot. Et, la femme s’en retourne en direction de sa chambre en se déhanchant langoureusement, un sourire espiègle aux coins des lèvres pendant qu’elle me fait un clin d’œil complice en sortant du salon.

Je me fais des moues de femme fatale en jouant à l’aguicheuse en m’étudiant au travers du miroir dans une série de poses plus subjectives les unes que les autres. J'enlève lentement mon déshabillé avant d’en faire autant avec ma petite culotte. Nue devant mon miroir, je suis très fière de mon corps. Je soupèse mon sein gauche, le mamelon réagit sous la caresse. De mon autre main, je me gratte le front en cherchant quelle idée je pourrais bien avoir pour les surprendre encore plus. Et, quelques secondes plus tard, je me fais un clin d’œil et sourit à cette nouvelle idée qui surgit de plus en plus précise.

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