La Voisine du Dessus Epilogue

BÊTA PUBLIQUE

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Le clitoris est formé d'une partie externe, le bouton, et d'une partie interne qui remonte sur quelques centimètres dans le prolongement de la fente. J'ai décidé de procéder en deux étapes, ne serait-ce que pour le plaisir que cela dure. Dans un premier temps, le bouton, puis une partie des racines. Il en restera, et peut-être lui provoquera une frustration pire que tout! Au pire je reviendrai à la charge.

Ma chienne est ligotée par de nombreuses lanières sur un fauteuil gynécologique posé au milieu du salon du club, les jambes écartelées, sous les lumières tamisées. Une fine cordelette nouée à l'anneau de son clitoris le tire vers un point éloigné, tendant sa chair tendre avec une tension extrême. Il mesure presque quatre centimètres ainsi, elle halète. Je saisi une fine baguette en fibre de Carbonne, très précise qu'elle connait bien. Je souhaite lui donner une nouvelle torture sur son appendice, avant un dernier orgasme.

Je tends la baguette, qui marque en violet la zone frappée. Malgré les liens, nous sentons Céline sursauter, murmure un merci Mon Seigneur, tandis que je continue à la marquer ainsi, sous les yeux de l'assistance subjuguée, et de mes deux autres esclaves à la fois craintifs et envieux. La connaissant si bien, je la masse doucement autour du clitoris tendu et déformé, le massant au travers de ses chairs, son bassin ondule, elle me regarde, attend mon accord, que je lui donne enfin d'un clignement des yeux. Elle hurle son orgasme, essaie de ne pas quitter mon regard, comme pour me l'offrir.

Il est temps de passer au clou de la soirée. C'est open bar, tout le monde est au champagne, enfin pas les esclaves, une écuelle leur est réservée.

Je sens maintenant Cécile terriblement tendue, paniquée. Pas tant par la douleur, même si elle pourrait, que par la décision qui est la sienne. Je l'ai maintes fois rassurée que son désir ne vient pas de son clitoris mais de ses hormones et de son cerveau, elle est paniquée de perdre toute libido et tout sens à notre relation, ce qui serait en effet dommage, mais je sais qu'il n'en sera rien.

Je prends une lame de rasoir, que je lui montre, sachant qu'elle a besoin de voir. En vraie masochiste, le pire pour elle est de ne pas savoir. Là elle peut se préparer. La première coupure la fait à peine réagir. La deuxième arrache un premier râle, un peu de sang coule. Je m'attendais à plus de souffrances! Au troisième coup de rasoir, elle se met à râler, à m'appeler. Le clitoris est coupé à moitié, je tremble de tension, c'est maintenant que je dois agir, là tout est réversible. Je prends mon souffle et d'un coup sec je coupe la moitié qui a résisté. Le hurlement est strident, entrecoupé de pleurs, de mots d'amour, de désirs, elle est en plein délire. Je ne peux m'y attarder, heureusement un esclave filme tout, et je cautérise rapidement le bout qui est déjà rétracté. Le saignement s'arrête aussitôt. Les applaudissements crépitent, Céline revient à elle, me regarde intensément, je l'embrasse comme jamais.

Je ne la détache pas encore, je n'en ai pas fini. Je prends un shot de rhum et je passe à la seconde phase. Il me tarde maintenant de la prendre dans mes bras, de lui confier tout mon amour. Je reprends le crayon à cautériser, j'en ai amené cinq, et je passe de longues minutes à brûler progressivement le clitoris qui sous-jacent. L'odeur insoutenable est vite aspirée par un aspirateur d'air prévu à cet effet. La douleur est très supportable, à 1200 degrés les nerfs sont brûlés instantanément. Quand les cinq crayons ont épuisé leur batterie, je m'estime satisfait. Mon esclave ne peut plus éprouver de plaisir, du moins par son clitoris, à elle de développer de nouvelles zones érogènes!

Enfin je la détache, je la porte jusqu'à un canapé sur lequel elle s'allonge épuisée. Elle a mérité sa coupe de champagne et la soirée se débride après ce moment si fort en émotions. Chacun des participants est habitué aux pratiques poussées, mais pas aussi hard que ce que nous venons de vivre et chacun est un peu émotionné.

Il est tard, Céline me montre une jeune femme asiatique qui n'a presque pas bougé de la soirée, et nous regarde avec intensité.

- Mon Seigneur, vous la connaissez?

- Non, c'es Marc qui l'a invitée je crois. Je ne sais pas trop si elle est sa soumise, mais quand je le vois, j'en doute.

- Elle est très belle

- Ah oui? Elle te plaît? Tu n'es pas si attirée par les femmes?

- Celle-ci me parle. Puis-je vous demander?

- Ce soir tout ce que tu veux.

- Je la voudrais comme mon esclave Mon Seigneur.

- Mais, tu as déjà Nadia et Colette, non?

- Non, ce sont vos esclaves, et ils m'obéissent parce que vous.

- Et tu voudrais qu'elle ne t'obéisse qu'à toi?

- Non bien entendu, mais qu'elle vous obéisse parce que moi. Qu'elle soit à mon service permanent.

- A la maison?

- Oui Mon Seigneur, cela vous paraît déplacé?

- Non, très excitant, mais tu me parais bien sure de toi!

- Je ne me suis pas trompée sur vous, ni sur nos petits esclaves.

- C'est vrai, et elle semble en effet hypnotisée par nous.

- Oui Mon Seigneur, je crois surtout par moi, si je ne vous vexe pas. (Je ris)

- D'accord, je te laisse faire. Ce n'est pas dans les codes de prendre une soumise qui arrive en couple, mais Marc ne semble pas trop attaché à le voir jouer avec toutes les autres, Nadia et Colette en particulier. Je vais lui proposer de les prendre toutes les deux pour la nuit.

Venus à quatre, c'est à trois que nous sommes repartis, une fois encore Céline a vu juste.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Cette fin en apothéose est sublime !

Vraiment génial.

Merci.

Rudy

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