La Voisine du Dessus Epilogue

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La relation a muri et s'est complexifiée
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Nous descendons l'escalier de notre appartement, doucement et avec précaution. Mon esclave est juchée sur des stilettos de 15 centimètres, pas faciles à manier. Je lui tien amoureusement la main. Elle est absolument magnifique, les cheveux très fortement tirés en arrière, un léger maquillage pour affiner ses yeux et les faire ressortir. Elle est couverte d'une grande cape en latex noir, qui la couvre jusqu'aux genoux, étant nue, ou presque en dessous! Ses bas émergent du latex, contraste des matières et des sonorités différentes.

Elle ne porte qu'un corset noir, serré à l'étrangler, arrivant sous ses magnifiques seins, qui pendent un peu avec l'âge, mais j'aime justement cette lourdeur. Les deux tétons sont reliés par une chaine en or, reliant les épais et larges anneaux les traversant. L'effet ne cesse de me remplir de joie et d'excitation. J'aime tirer dessus, souvent la guider ainsi, sans ménagement. Les anneaux des seins font écho à celui de son clitoris, totalement décapuchonné, et aux 6 anneaux de chaque côté de son sexe que j'ai pu poser, permettant de l'ouvrir ou le fermer à loisir. Ce soir, il est fermé!

Elle désirait tellement des marques d'appartenance, elle a été comblée, même si il lui arrive souvent d'en espérer d'autres. Ces anneaux pèsent sur elle, tintent souvent, et ne lui permettent jamais d'oublier sa condition, avec l'excitation qui va avec.

Ses bas tirent un peu le corset vers le bas, permettant ainsi d'équilibrer sa position. La cape masque ses bras qui sont attachés dans le dos, les coudes se touchant, à force d'entraînement. La forme qui descend est un peu bizarre pour qui n'a pas l'œil accéré! Il y a tant de choses à découvrir sous sa cape!

La porte de mon ancien appartement est ouverte, et nous retrouvons nos deux esclaves, Nadia et Colette, leurs noms d'esclaves, nous attendant à genoux dans le salon, la tête baissée, en position d'offrande. Ils sont une dizaine d'années de plus que moi. Nadia est une jolie blonde, très mince, habillée exactement comme Céline, à quelques détails qui sont cachés.

Son tatouage sur le pubis est un grand chiffre, le deux stylisé, avec mes initiales en plus petit. Il y a un aspect déshamanisant dans ce chiffre que Nadia ressent fortement chaque fois qu'elle le regarde, se remplissant de son r^le d'objet à mon service. Bien entendu Céline est le numéro un Majuscule, mais son tatouage pubien est fait de mes initiales en gothique rouges. Céline possède plus de tatouages que Nadia, tant j'aime la marquer, et l'ancrer dans son esclavage, tous plus suggestifs les uns que les autres, certains visibles comme le code bar sur la nuque, les chaînes sur ses épaules, les épines sanguinolentes sur ses seins, et bien d'autres.

Nadia est également corsetée, presque en permanence il est vrai. J'aime beaucoup cette contrainte et la silhouette qui va avec, et j'ai mesurer mois après mois l'amincissement de la taille, amincissement résultant aussi bien du corset que du régime strict que mes esclaves suivent.

Enfin si les deux jeunes femmes ont un épais cylindre qui sort entre leurs fesses, que j'ai fait moi-même usiner, permettant de donner l'aspect d'un gode métallique impressionnant, avec un simple renfoncement pour le maintenir en place comme un plug, Céline porte couramment un tel cylindre de neuf centimètres, tandis que Nadia n'en est qu'à six centimètres en continu et sept centimètres, ce soir, pour une fête très particulière. Ces cylindres les rendent obscènes, une invitation à la violenter.

Colette, c'est tout autre chose. Blonde platine, sa cape est rose bonbon, tout comme ses stilettos ou ses ongles, elle est maquillée très girly et de façon appuyée. Elle porte le numéro trois, ce qui signifie qu'elle doit totale obéissance à Nadia, qui doit totale obéissance à Céline. Et je sais que chacune en joue pleinement, pour mon grand plaisir.

Nadia et Colette ont les mêmes corsets, rose pour Colette, les mêmes anneaux aux tétons avec la chaîne en or, les mêmes autres tatouages, et le même cylindre en métal dans les entrailles. La même et totale obéissance je devrais ajouter. Le plus spectaculaire, ce sont les mêmes seins, naturels ni pour l'une, ni pour l'autre. Si mince Nadia n'aurait pu espérer porter ainsi un bonnet D, avec des seins en forme d'obus, que je trouve très réussis. Elle est tatouée en esclave rampante sur l'un, fouettée sur l'autre. Mêmes tatouages que pour Colette, dont les seins sont très ressemblants, mais ont nécessité plus de travail.

Car Colette est une femelle, ni femme, ni homme. Et au lieu des 6 paires d'anneaux sur les lèvres, elle possède une jolie cage métallique, minuscule, contenant difficilement son pénis tout rétrécit, et laissant sortir deux noisettes qui étaient ses couilles de male.

Depuis deux ans Colette est sous un régime accéléré d'hormones, contrôlé par un médecin, bien entendu. J'ai fait accélérer sa prise de poitrine avec une opération mammaire assez importante. Hormis son petit appendice ridicule, Colette ne se comporte plus qu'en femelle, sous la houlette de Nadia qui a la charge d'en faire une femelle parfaite, et elle ne se la coule pas douce, devant apprendre tout des positions, postures, attitudes et comportements d'une femelle. Elle est tellement sensible, cela en est risible, et si sensuelle aussi, sa peau glabre est douce, fine, très agréable au toucher. J'avoue avoir hésité à infliger ce traitement, mais finalement je suis très satisfait.

Nicolas a hésité quand je leur ai mis le marché en main. Un couple ne m'intéressait pas trop, s'ils voulaient être mes esclaves, cela passait nécessairement par la transformation totale de Nicolas. Pour Nadia, c'était une évidence, et elle voulait tellement vivre à mes pieds et ramper, qu'elle a tout fait pour que Nicolas accepte. C'était encore plus excitant de savoir qu'il l'avait fait contraint et forcé, devant même faire un coming out à son travail et dans sa famille, tant la transformation était importante et profonde.

Je crois que nous avons beaucoup jouis de cela, Céline et moi, le savoir ainsi profondément humilié de devoir se déclarer femelle à la terre entière, alors que ce n'était pas sa pulsion personnelle. Je ne crois pas qu'elle le regrette aujourd'hui, tant sa motivation est grande et profonde, même si elle sait qu'elle sera toujours moins que Nadia et Céline. Du coup c'est elle qui est toujours habillée en poupée barbie, et qui, souvent, a le plus de succès. Le regarde des hommes, comme celui des femmes, la flatte et lui fait prendre conscience de ce qu'elle renvoit et de ce qu'elle est. Plus d'une fois elle m'a remercié de l'avoir percée à jour, et fait d'elle un si belle créature.

Tous les trois portent un collier serré, rose pour la barbie, avec une laisse qu'on devine à peine sous la cape. Nous allons à une soirée unique pour fêter nos dix ans, avec un évènement hors norme. Un cadeau que nous nous faisons l'un à l'autre Céline et moi.

Ces dix ans ont été riches en évènements, je suppose comme tout couple finalement. Le premier mois de notre rencontre a été fou, j'ai tellement découvert de ces relations hors norme, Céline m'a guidé, souvent à son détriment, que je découvre les forces qui tendent une telle relation, pas si facile pour un Maître, mais finalement assez naturelles pour moi. Elle ne cessait de me répéter que c'était une évidence que j'étais fait pour cela, mais je notais que c'était l'évidence qu'elle était faite pour moi!

Rentrée scolaire oblige, notre relation a alors pris un autre tour, Céline s'est mise complètement à mon service, au rythme de mon travail, me servant à chaque instant, me facilitant la vie sur toutes les dimensions, me permettant de m'extraire de toutes tentations de séduction et de mes hormones, hormones jouant beaucoup de tours à mes camarades!

Une fois mon école intégrée, après une année de service militaire planqué à Balard, j'ai passé toute la scolarité en dehors du campus, ce qui est mal vu, mais à profiter pleinement de mon esclave, avec plus de maturité, m'ouvrant à de nouvelles pratiques qui m'auraient rebutées quelques années plus tôt, à faire des rencontres, à tester de nouvelles soumises pour des relations à trois toujours extrêmes.

Je n'ai pas fait d'école d'application, désirant rentrer de plein pied dans la vie active, ayant développé une compétence convoitée et systèmes embarqués, je me suis retrouvé avec un très beau poste à la direction générale de l'armement, un salaire plus du double de celui de mon esclave, et un emploi du temps assez agréable.

Nous n'attendions que cela pour entrer pleinement dans la relation Maître esclave. Céline a quitté son travail, rompu avec ses connaissances et sa famille, fermé tous ses comptes en banque et a disparu de tous les radars, pour ne plus exister que par et pour moi. Je n'aurais pas été capable de vivre cela il y a quelques années, ce n'est pas si simple, cela peut même être lourd, même si nous avons une relation d'une passion et d'une complicité unique. Il était temps, tant nous étions impatients.

Une année auparavant, j'avais posé à Céline un bracelet d'esclave authentique, que j'avais trouvé sur un marché en Afrique. Il était fixé définitivement au poignet, en enfonçant au marteau les deux morceaux de cuivre. Pesant près d'un kilo, elle ne pouvait l'oublier, et il l'entravait dans tous ses mouvements. Evidemment, au travail, comme dans la vie courante, ce n'était pas passé inaperçu, et Céline arborait un sourire malicieux en expliquant sa provenance et sa fonction. Un anneau était fixé mais rétractable, permettant alors d'attacher rapidement les esclaves avec des chaînes.

Jamais elle n'a hésité à revendiquer le message du bracelet, et j'ai toujours senti qu'elle brûlait de se déclarer esclave à la terre entière, comme pour ancrer un peu plus sa situation, sa réalité, et ne plus avoir à vivre cette dualité qui est assez coûteuse en énergie. Je la freinais souvent, pas tant parce que je n'étais pas prêt, que parce que nous n'avions pas à imposer aux autres notre vision de notre relation. D'autant que si Céline est mon esclave, je la veux dominante avec le reste du monde!

Lorsqu'elle eut donné sa démission, pendant les deux mois de son préavis, elle du porter le second bracelet que j'avais acheté, à son poignet droit cette fois. La sensation et l'image étaient incroyables, et personne n'osa lui demander la signification qui apparaissait alors très clairement et indiscutablement. Ce que beaucoup avaient pris pour une provocation, n'en était pas une. Céline était tellement heureuse d'enfin pouvoir vivre à sa vraie place. Je savais qu'elle aurait aimé pouvoir dormir nue à mes pieds, mais je la désirais trop pour cela, et sa présence à mes côtés était nécessaire. Pas une fois depuis ce premier jour, elle ne dormit ailleurs que dans mon lit, sauf pendant les quatre semaines de mes classes! Souvent attachée et corsetée, toujours pluguée, mais toujours à ma disposition pour mon plaisir de simplement la toucher, ou caresser sa peau si douce.

Nous étions installés dans son très joli appartement, et j'avais mis en location le mien en dessous. Les premiers locataires furent très agréables, tandis que leurs successeurs furent plus intéressants. Très vite, ils perçurent nos rapports, ce qui n'était pas difficile car nous ne nous cachions pas et plus d'une fois ils surprirent Céline baisant mes mieds.Nous en discutâmes à l'occasion avec eux qui semblaient très ouverts, évoquant leurs propres pratiques.

Les appels du pied de leur part se succédèrent, sans que vraiment je n'en prenne conscience. Je suis d'un naturel naïf! C'est Céline qui me le fit remarquer, et eut envie de pousser un peu le bouchon. Pas facile avec des gens si proches, mais au fond, elle l'avait bien fait avec moi? Mais cette fois-ci, c'était à moi de faire le premier pas. Mon esclave en riait, tant pour elle les choses étaient évidentes. Ma locataire s'habillait de façon outrageusement sexy, et parfois ils portaient des colliers de chiens, nous demandant si nous allions à telle ou telle soirée fétichiste.

Un soir je sonnais, leur indiquant que je devais leur parler. J'étais seul. Je sentis qu'ils étaient inquiets que je ne les vire, et je ne fis rien pour les rassurer.

- Nous avons, dans ce bâtiment très particulier, des règles de comportements, et je suis surpris que vous ne les suiviez pas.

- Oh vraiment, mais nous ne savions pas. Nous ferons comme il vous plaît (Marion était toujours celle qui s'exprimait et qui tenait le couple)

- Vraiment? Sinon vous savez que nous ne pourrons plus vous louer cet appartement?

- Oui vraiment, dites-nous, c'est normal vous savez, d'autant que vous habitez juste à côté, enfin au-dessus. Je vous prie de nous excuser si nous vous avons heurtés (Marion était rougissante, tandis que Nicolas tremblait)

- Très bien, alors la première règle à suivre, quand vous rentrez chez vous, c'est de vous mettre immédiatement à poil, quelles que soient les circonstances.

- Oh! (Les deux étaient estomaqués, se regardaient, sans trop savoir quoi faire, comprenant bien que j'étais sérieux, et en fait assez fébrile mais sans le montrer, j'avais répété avec Céline et je filmais sans qu'ils s'en rendent compte avec mon téléphone posé négligemment)

- Eh bien? Qu'attendez-vous? (Mon ton était sec et dur, ils réagirent comme un coup de fouet et furent nus en quelques secondes, étant peu habillés et Marion sans soutien-gorge). Voilà c'est mieux. La deuxième règle qui est une évidence et je ne comprends pas votre comportement, c'est que quand je suis présent, vous êtes à 4 pattes et me baisez les pieds.

Là il ne se regardèrent pas, et se précipitèrent chacun sur une chaussure. Ce qu'ils avaient essayé de nous communiquer, c'est qu'ils étaient switch, cela je l'avais compris, mais qu'en fait c'est la position de soumission que les deux préféraient, cela Céline l'avait compris et en avait déduit qu'ils étaient convaincus par mon autorité.

Les voir tous les deux fébriles, à mes pieds, baisant mes chaussures, était plutôt jouissif. Je n'ai aucune attirance homosexuelle, ni rejet d'ailleurs, mais je me demandais alors ce que j'allais faire de Nicolas!

Prendre en main un couple, est une autre affaire. Il existe entre eux une grande complicité sinon expérience, les jeux sont multiples et surtout l'affect est très différent. Ce sont pour moi des animaux de compagnie, et je les traite comme tels, à leur grand plaisir je crois, même si Colette est allée tellement plus loin dans son abandon et son esclavage. Elles sont passées toutes les deux à mi-temps, à la fois pour me payer quand même mon loyer, en fait leurs revenus sont versés sur mes compte et elles n'ont plus accès à de l'argent, et d'autre part pour les occuper un peu. Céline participe énormément à leur dressage et elle est, sans doute, bien plus dure que moi, sachant de quoi il retourne.

C'est assez agréable en fait qu'elle les dresse pour moi, et cela rend les choss beaucoup plus simple. Son raisonnement est que je n'ai pas à me prendre la tête avec cela, et qu'en tant que mon esclave c'est aussi sa mission. J'aime la voir développer un réel sadisme avec nos deux apprenties, qui la craignent mais la vénèrent comm moi. Nous avons pris l'habitude, lorsque nous regardons un film, que Nadia me lèche longuement, tandis que Colette fait un long cuni à Céline. Ce sont vraiment nos deux chiennes de compagnie.

Nous sortons parfois tous les quatre en soirées, et mes trois esclaves font sensation. J'essaie de ne pas trop la ramener, ne me sentant pas particulièrement responsable de la situation, celle-ci ayant été construite naturellement. Curieusement, cela attire de nombreuses femmes (et hommes aussi mais ils sont tellement inintéressants), que nous nous amusons à dominer. Nous c'est Céline et moi, et Nadia aussi. Colette est tout en bas de l'échelle et elle ne fait jamais que subir.

Si Céline m'a donné le goût de la domination, je suis devenu accroc aux gémissements, pleurs et supplications des esclaves. C'est une drogue vraiment dure, et je ne m'en passe plus. Il n'est pas question de gémissements forcés, mais de tortures tellement appuyées, que les pleurs et supplications sont impossibles à retenir. Nos deux chiennes sont contraintes en permanence, et il n'est pas rare que je me branche sur les caméras à la maison, pour me remplir de leurs souffrances quand je suis loin. Les variations sont infinies, j'aime autant martytiser leurs tétons, que les petites couilles restantes de Colette, voire le clitoris ou même le col de Nadia, alors révulsée de douleur et de panique. Voire Céline battre ces chiennes avec la badine est terriblement excitant, et nous terminons souvent sur le lit dans une calvacade effrénée, tandis que nos deux vistimes pansent leurs plaies, et pensent leur état d'esclave.

L'harmonie n'a pas été toujours aussi complète. Céline a mal vécu que je passe du temps avec Nadia parfois, développant une jalousie, certes feutrée, mais qui ne m'a pas échappée. J'en ai été attristé, qu'elle ne prenne pas plus conscience du lien qui est le nôtre. Elle l'a vu à ses dépens, lui ayant fait vivre un week-end terrible, où ses souffrances ont atteint de nouveaux sommets, tout comme son humiliation, alors que Nadia l'a dominée, torturée, a jouis de ses supplices, tout en vivant de tendres moments avec moi, devant Céline en pleurs, défaite, hurlant sa souffrance morale. Colette dans un coin, juste en décoration et à nous servir Nadia et moi, Nadia dormant dans mon lit le soir, sous le regard de Céline, suspendue et contrainte, ne pouvant détacher son regard de notre tendre complicité.

Au bout de ces quatre jours de traitements intenses, Céline était à peine consciente, je l'avais deshydratée pour lui faire perdre ses repères, je l'ai portée sur notre lit, massée, dorlotée, embrassée, baisée tendrement, lui expliquant comme elle m'avait blessé de confondre un animal de compagnie avec la femme de ma vie, la passion de mon existence, ma raison d'être. Si elle ne comprenait pas, je recommencerais mais un mois cette fois-ci. Je lu dans ses yeux à quel point mes mots l'avaient apaisée. Elle était allée si bas, qu'elle prenait alors conscience de son rôle et de sa place. Plus encore qu'avant, notre fusion explosa.

Ce soir donc, C'est le soir du don, que Céline veut me faire depuis si longtemps, mais que je lui refuse depuis si longtemps. Pas seulement pour elle, mais aussi pour moi. Mais avec le temps j'ai compris et adhéré à sa démarche et ce soir nous allons pouvoir vivre cette chose incroyable et unique. Céline veut me faire don de son plaisir, de façon définitive. Que je lui ôte son clitoris, pour ne plus jamais, ou presque, avoir la possibilité, ni même le désir de jouir, être pleinement tournée vers ma seule satisfaction, se nourrir de mon seul plaisir et ne vivre pleinement, à chaque seconde que pour moi, 'l'orgasme la menant sur d'autres rives.

Ce n'est pas quelque chose de banal, c'est magnifique, énorme, et il m'a fallu du temps pour accepter de ne plus avoir le plaisir de la voir hurler son orgasme. Elle pourrait en avoir quelques-uns, mais de façon bien moins prévisible et aléatoire. Je sais Nadia et Colette fébriles, se demandant quand cela leur arrivera. Pour Colettes c'est une question de mois, j'ai déjà pris rendez-vous et je lui annoncerai tout à l'heure. Pour Nadia, j'ai envie de la garder intacte. Pour le moment.

Le patron du club où nous avons notre rond de serviette a privatisé l'endroit pour nous, une vingtaine de nos invités proches. Il faut avouer qu'en dehors du travail, c'est ma vraie passion. Cela peut paraître un peu réducteur, mais c'est tellement riche! Cependant peu de gens de qualité dans cet univers, et le tri est très important. De nombreux couples se sont avérés médiocres, et quant aux soumises, finalement je n'en ai jamais retenue une seule plus de quelques semaines.

Je me suis évidemment renseigné pour l'ablation du clitoris. J'ai déjà fait ôter son capuchon et ses petites lèvres, mais par un ami chirurgien, mais là je veux opérer moi-même et Céline m'a fait promettre l'absence d'anesthésie. Elle avait été frustrée de l'opération sur ses petites lèvres, n'ayant pas ressenti ce qui lui arrivait. Cependant là, pas beaucoup de documentations, même si j'ai trouvé un ou deux témoignages crédibles de soumises ayant fait un tel don à leur Maître. Est-ce que Céline les a lus? Je n'ai pas envie de lui demander, et cela n'a aucune importance.

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