La Voisine du Dessus Ch. 03

Informations sur Récit
Céline me livre le manuscrit de ses fantasmes.
3.1k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 05/15/2023
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« Mon Maître bien-aimé,

Il est fort improbable que ces mots parviennent à vos yeux, tant il me paraît inconcevable de pouvoir susciter le moindre intérêt de votre part. Vous, dont la compagnie s'entoure de jeunes femmes si belles et magnifiques, ne sauriez accorder la moindre attention à ma modeste personne. Et pourtant, depuis cette journée où nos chemins se sont croisés, juste après votre installation, j'ai su que vous étiez l'unique être que je cherchais, celui auquel je pourrais véritablement me donner corps et âme.

Certes, cela peut sembler insensé, et à bien des égards, cela l'est assurément. Mais cette certitude m'a frappée de plein fouet, alors même que tout nous sépare, alors même que nous sommes si étroitement liés physiquement. Votre aura m'a éblouie, et je suis persuadée qu'il n'y aura jamais qu'en vous que je pourrai trouver satisfaction. Malgré la différence d'âge qui nous sépare, près de vingt ans, votre jeunesse dissimule une maturité exceptionnelle, sans doute héritée de vies antérieures si riches qu'elles ressurgissent avec une vitalité inégalée.

Votre existence a éveillé en moi toutes les forces latentes, me permettant de comprendre ma véritable raison d'être. C'est dans cette lettre que je souhaiterais vous les exposer, ces forces qui n'aspirent qu'à se dévouer à votre service, à s'abandonner sans réserve. Toutefois, si par hasard vous en veniez à la lire, je vous en conjure, oubliez-la aussitôt afin de ne vous consacrer qu'à vos désirs, vos plaisirs, vos exigences et vos fantasmes, en me faisant usage à votre guise. Je suis née et façonnée pour vous servir, pour offrir mes larmes et mes cris, mon temps et mon corps, entièrement à votre convenance.

Ainsi, dans cette missive, je souhaite vous présenter tous les aspects de cette vie que j'entrevois à vos pieds, une existence rampante et dépendante, dans une dévotion totale.

Recevez, ô Maître, l'expression de mon dévouement le plus absolu.»

Céline est à genoux, mes jambes entre ses cuisses, les fesses tournées vers moi, s'empalant sur mon sexe depuis près de vingt minutes maintenant que je lis sa lettre, son manuscrit plutôt, d'une quarantaine de pages, écrites à la main, d'une écriture presque enfantine que je trouve très jolie, très excitante surtout.

Je lui ai demandé de me descendre des pinces à sein, en même temps que son manuscrit, j'ai choisi les pinces crocodiles que je connais pour les utiliser en travaux pratiques. J'ai été impressionné par la quantité de modèles différents dont elle dispose. J'en ai posé deux sur chacun de ses tétons bien dur, une bien à la base, l'autre sur le bout, la faisant crier, puis gémir en continu, tandis qu'elle me masse le sexe avec sa chatte. J'adore complètement ses gémissements, c'est une drogue dure et rapide, je me demande quelle en est l'accoutumance!

Je m'arrête souvent, pour digérer l'excitation qu'elle provoque avec ses mots, ses situations, ses désirs, reprendre mon souffle, intégrer aussi, chercher la résonnance en moi. Parfois je ne la trouve pas, mais c'est rare. Elle fait voler en éclat toutes mes réticences, et je découvre vouloir vraiment de cette relation, ne pas concevoir une relation autrement que ce qu'elle décrit, même si je souhaite l'adapter à mes désirs, à mes envies. Ce qu'elle écrit est vraiment fou, elle est complètement hors norme.

J'en conclus qu'elle dit vrai, sur le fait que ce n'est que moi qu'elle désire, qu'elle est prête à tout et que ses perversions sont sans fin. Et je dois avouer qu'elle a trouvé un écho avec des désirs profonds que je n'osais vraiment exprimer, même dans mes fantasmes. Et la voir s'empaler régulièrement, le cul ouvert par son plug est incroyablement excitant. Je la désire violemment, elle provoque en moi des envies qu'elle a écrites, elle a raison, je suis fait pour elle.

Nous nous embrassons follement, mes mains parcourent son corps, je la presse, je la masse, je la caresse, je n'arrive pas à réprimer une passion qui ne fait que monter. Malgré la souffrance de ses tétons martyrisés, elle me sourit, s'offre, gémit de plaisir, rit de bonheur. Mon sexe devient douloureux à force de bander, même mes orgasmes me paraissent fades au regard de mon désir.

- Est-ce que vous avez apprécié cette lettre Mon Seigneur?

- Quelle lettre? (Nous rions) C'est quelque chose de fou, et finalement tu vois, je l'ai lue.

- Oui c'est incroyable, je ne sais comment j'ai osé m'offrir à vous. Un rejet et j'aurais été détruite.

- Tu m'ouvres tellement de perspectives, même si tu es déjà très bien éduquée. Mais quand tu dis soumise, c'est esclave que tu entends n'est-ce pas? Tu évoques ce mot souvent d'ailleurs.

- Oui Mon Seigneur, mais il choque plus.

- Le fait d'attendre que je décide de tout, y compris ta vie publique, familiale et sociale illustre bien que tu m'appartiennes totalement.

- Oui Mon Seigneur, oh oui, si vous saviez?

- Si je savais quoi petite chienne?

- Comme je suis prête à tout pour vous.

- Oui j'ai vu quand même pas mal de chose dans ton manuscrit, mais je ferai comme bon me semble, prenant ce qui me plaît et sans doute découvrant d'autres plaisirs.

- Vous savez, avec vous tout est nouveau, le passé s'estompe, je me sens vierge de tout.

- Tu as des tenues sexy?

- Oui Mon Seigneur, sinon j'achèterai ce qui vous plaira

- J'y compte bien. A propos d'argent, tu aimerais vraiment que je m'occupe de tout, et que tu n'aies plus rien?

- Oui (Sa voix est un murmure, signe chez elle que cela lui prend les tripes)

- Comme pour les marques, en dix ans tu n'en as aucune, et là tu rêves d'être marquée de partout?

- Oui Mon Seigneur, seulement si cela vous plaît

- Même si elles sont visibles?

- Oui (encore ce murmure)

- J'aimerais beaucoup, je vais faire cela vite, mais je voudrais réfléchir à un premier motif. C'est ton pubis que je vais marquer, il est tellement vierge, c'est là que je veux mettre ma première marque.

- Vous voulez bien de moi comme esclave Mon Seigneur?

- Je le veux, et je veux surtout que tu ne puisses plus faire marche arrière, que ce soit définitif.

- Oh (Elle tremble de tout son corps, c'est terriblement excitant)

Je la retourne brutalement sur le ventre, arrachant un cri de ses seins meurtris, je lui extirpe le gode du cul, il est sale, je la tire par les cheveux pour qu'elle le nettoie, elle pousse un cri de détresse, mais sort une langue docile pour bien le nettoyer, je la traite de sale cochonne, qu'elle sera punie qu'il soit sale. Une fois propre, je le pose, et je m'engouffre d'un coup dans son cul bien défoncé, lui arrachant un nouveau cri. En quelques mouvements je la sens jouir de façon hystérique, hurlant son orgasme, entraînant mon propre plaisir qui m'arrache des cris inhabituels, et met des étoiles dans mes yeux, comme jamais. Je reste couché sur elle à l'écraser, adorant cette sensation, elle respire difficilement, je me dis que ses tétons doivent bien souffrir.

Quand je m'allonge enfin à ses côtés, elle vient docilement me nettoyer, prenant du temps pour que mon sexe soit tout propre. Elle se met alors à genoux, les jambes à l'équerre, et tête baissée me demande une punition pour avoir joui sans autorisation.

- Pourquoi as-tu désobéi?

- J'ai été prise de court Mon Seigneur, j'étais tellement transportée par vos mots, je crois que je jouissais déjà avant même que vous n'entriez en moi Mon Seigneur.

- Tu sais que ce n'est pas une excuse?

- Oui Mon Seigneur, je mérite d'être durement punie.

- Bien allonge toi sur le dos, relève tes cuisses, écarte les bien, je veux que ton sexe soit bien disponible. Je vais te punir par là où tu as fauté. Tu recevras 50 coups de ceintures sur ton clitoris. Si tu bouges, je recommence à zéro. Tu vois j'apprends vite avec un tel professeur que toi!

Elle ouvre des yeux effarés, mais ne dit rien, offre son sexe, tandis que je vais chercher une ceinture. J'essaie un peu pour m'entraîner, mais ce n'est pas très difficile à manier, mais la ceinture est large, ce qui permet de la frapper à coup sûr. Les premiers coups sont hésitants, mais rapidement je prends le rythme. Céline crie à chaque fois, me demandant pardon, me remplissant de mots d'amour et de dévotion. Cinquante c'est beaucoup, même moi je fatigue, mais je continue de frapper fort, pas question de faiblir. Son sexe est rouge vif, elle sanglote, même quand j'ai fini. Je la prends dans les bras pour la câliner, son pubis est brûlant. Je la libère des pinces, elle hurle à chaque pince retirée, je masse ses tétons déformés où le sang afflue, j'adore la voir souffrir.

- Ca va tes tétons?

- Oh Mon Seigneur, je n'ai jamais eu aussi mal, mais je n'ai jamais autant aimé. C'est si bon de souffrir sans savoir, ni pouvoir déterminer combien de temps. Vous offrir cette souffrance.

- Tu as écrit que la souffrance était ontologique, qu'est ce que tu voulais dire?

- La souffrance me fait exister, vivre, sinon je flotte, je ne me sens pas incarnée dans mon corps. Et elle me relie à vous qui en êtes l'ordonnateur.

- Je voulais voir ce que tu avais de sexy, maintenant je ne veux plus que tu t'habilles sans consignes de ma part.

- Bien Mon Seigneur, merci Mon Seigneur (elle se colle contre moi). Oh je dois être punie pour mon plug sale Mon Seigneur, je suis désolée de vous avoir infligé cela.

- C'est bien de me le rappeler, justement, on va monter chez toi, tu vas me montrer les autres que tu as. Qu'est-ce que tu en penses, je pourrais venir m'installer chez toi? C'est plus joli qu'ici et plus agréable, et ainsi on va arrêter de faire l'aller et retour.

- Oh Oui Mon Seigneur, merci mille fois

- Je vais inspecter tes affaires, voir ce que tu peux mettre ou pas. Allez hop, dans la douche, j'ai tellement envie de toi!

La douche ne s'est pas faite tout de suite, je l'ai prise à nouveau m'enfonçant avec rage dans son sexe, comme pour exsuder tout mon désir, mais en vain.

***

J'installe mon ordinateur dans une chambre inoccupée de Céline, et mes quelques affaires dans un placard de la chambre. Je retrouve son odeur, sa personnalité partout, je me sens vraiment bien, d'autant que l'appartement est bien plus clair et plus spacieux que chez moi. Les chambres sont à l'étage laissant toute la surface pour un grand salon avec cuisine. Céline est intenable, elle rit tout le temps, ne me quitte pas des yeux. Je lui fais enfiler un joli déshabillé en dentelles qui ne masque rien, je trouve cela plus joli qu'un corps tout nu, fut-il aussi joli que le sien.

Dans son dressing, je ne trouve que des robes, des jupes, des corsages. Elle ne porte plus de pantalons depuis des années, et je trouve cela parfait. Tout est plutôt sage, surtout pour son travail, sauf une petite portion pour ses activités plus discrètes. Je découvre des tenues en cuir, en dentelle, du lycra, et même du latex qui sent si fort. Je la sens anxieuse quand je regarde tout cela.

Pour ses sous-vêtements, je décrète que dorénavant elle ne porte plus de culotte, en aucune occasion. D'une voix mal assurée, elle me fait confirmer que même au travail elle sera cul nu. Je sais bien que cela l'excite, rien qu'au ton de sa voix, je force ma voix pour dire en toute circonstance. Elle se jette à mes pieds, craignant de m'avoir irrité, et me remercie de la contrôler ainsi. Pour les soutien-gorge, elle en a plein, j'avoue ne pas savoir si c'est nécessaire. Elle m'indique qu'au travail ce serait compliqué, car un courant d'air peut faire pointer ses tétons et que cela peut être gênant.

Je la regarde, et sans sourire, je lui indique que ce sera sans doute encore plus difficile avec les gros anneaux qu'elle portera bientôt aux tétons. Ses yeux se remplissent de larmes, elle me fait répéter pour être certaine, surtout sur le mot bientôt. Je la prends dans mes bras, elle mouille terriblement, c'est fou, j'ai encore envie d'elle. Comment est-ce donc possible. Je réalise aussi que son cul est vide, qu'il faut que je m'en occupe. Pour les soutien-gorge, pour l'instant elle fait comme d'habitude, mais je verrai ensuite. J'aime beaucoup les brassières, je lui demande d'en acquérir, et plutôt serrée, je veux que sa poitrine soit compressée.

Elle a deux grandes valises remplies d'accessoires sm, je suis fasciné. Je veux tout essayer, nous avons notre dimanche. Mais déjà lui remplir le cul. Le plug qu'elle porte habituellement fait sept centimètres. Elle en a un de huit centimètres et un de sept centimètre et demi. Le premier est très impressionnant et surtout très lourd. Elle m'avoue l'avoir déjà mis deux ou trois fois, mais pour quelques minutes seulement, il est tellement invasif! Je l'envoie se nettoyer et se vider, le temps que je réfléchisse à ce que je vais lui imposer. Cela semble peu comme différence, mais rien qu'à l'œil c'est évident. Et en bon matheux j'ai vite fait le rapport, c'est plus 15% pour le plus gros, ce n'est pas rien.

Les valises vidées livrent un trésor digne d'ali baba. Je ne suis pas sûr de l'utilisation de tout ce que je vois ou touche. Je mets de côté un large collier avec une courte laisse, que je trouve du meilleur effet. Je découvre qu'elle a bien une brassière, en latex, garnie de pointes intérieures, allant avec une culotte enveloppante, aussi en latex, et tout aussi garnie de pointes. Elle rougit, revenant de s'être vidée, en me voyant manipuler ces sous-vêtements un peu spéciaux.

- C'est le délire d'un de tes Maîtres précédents?

- Euh... Non Mon Seigneur, c'est un délire de votre esclave

- Cela doit-être terrible à porter, non?

- Oui Mon Seigneur, cela me rend folle

- Et tu les portes souvent?

- Non, c'est très difficile à porter sans que ce soit une contrainte imposée Mon Seigneur, je n'aime pas trop l'autopunition.

- Pour le plug cela ne te dérange pas?

- Non c'est vrai, mais ce n'est pas une punition pour moi?

- Ah oui? (Je souris, je viens de jeter mon dévolu sur le plug de huit centimètres)

- Vous savez avec les autres avant vous, cela ne comptait pas, c'était vraiment de petits joueurs, il voulait seulement me baiser un coup et puis voilà.

- Et avec moi?

- Oh vous m'avez déjà donné tellement en une seule journée, plus qu'eux tous en dix ans!

- Tu exagères, mais j'aime cela.

- Je vous aime Mon Seigneur

Elle glisse à mes pieds et me baise doucement les pieds, avec une dévotion évidente. Cette fille va me tuer de plaisir.

- Bien, ta punition sera alors le plug le plus gros, que tu vas te mettre devant moi, il est trop gros pour que je le fasse, et nous irons déjeuner avec.

Céline relève la tête interloquée vers moi, elle n'a jamais pu le supporter plus de quelques minutes, alors un restaurant, marcher avec, se tenir même debout avec... J'aime qu'elle ne dise rien, mais je la sens choquée. Peut-être suis-je allé trop loin, tant pis, c'est dit, je l'aiderai à tenir le coup.

Moi qui adore les pénétrations, je suis ravi de voir ma petite chienne s'ouvrir devant moi, honteuse et excitée par la situation, je vois son sexe très humide. Elle se vide, lèche consciencieusement son plug avant de le ranger, prend un gode très imposant en latex, peut-être trente centimètres de long et plus de sept centimètres d'épaisseur. Doucement elle se laisse tomber dessus, après l'avoir enduit de silicone, le souffle coupé, le regard rivé sur moi, je me masturbe doucement, je ne veux pas jouir, pas tout de suite. Elle fait des allers et retours, accroupies dessus, sans arriver à enfoncer complètement le gode, mais essayant autant que la douleur soit supportable. Les mouvements sont plus aisés, elle halète, j'hésite à la faire jouir, mais sans doute quand elle aura fini.

Elle change de gode, ce dernier est encore plus gros, noir, menaçant, en forme d'obus strié. Même processus, mais Céline met plus de temps, ressort et laisse ses muscles se détendre avant de recommencer. Peu à peu la tête disparaît en elle, cela semble impossible qu'un tel monstre trouve sa place, et pourtant! Par de petits mouvements elle le fait aller et venir, laissant son cul l'absorber doucement. Jamais je n'aurais su être aussi patient.

Quand enfin le gode semble coulisser en elle, moins aisément quand même que le précédent, elle se décide à prendre le plug que je lui ai désigné. Il est en métal, ressemble à une très grosse grappe de raisin, et doit peser près de deux kilos. Il est magnifique. Elle s'assoit dessus, le laissant la pénétrer et la prendre progressivement. Elle s'est bien ouverte aussi il rentre sans trop de difficulté. Ce qui n'augure en rien d'un port aisé. D'une part les chairs sont plus malmenées que d'habitude, mais en plus son poids appuie de façon douloureuse sur l'anus lui-même. Son regard est brillant, rempli de larmes, elle est heureuse de m'offrir ce plaisir, me remercie en me baisant les pieds.

Je lui ordonne de jouir, à genoux, les cuisses écartées, doucement, que je me remplisse de son plaisir. Elle halète déjà, je vois ses doigts faire le tour de son clitoris, prendre la mouille abondante pour se lubrifier, se caresser en me regardant intensément. Le premier je jouis sur on visage, ses cris me suivent rapidement, elle hurle son orgasme, manquant éjecter le plug, trop lourd pour sortir aussi aisément! Il est temps de sortir.

Notre première sortie en amoureux. Cela me fait bizarre, à peine plus d'une journée que tout ceci est arrivé, et nous nous tenons par la main. Couple dépareillé, c'est certain, je croise de nombreux visages curieux de notre différence d'âge. Pas tant que Céline fasse âgée, bien au contraire, mais très clairement je suis encore un gosse avec à peine de la barbe au visage! Elle s'est faite belle avec une robe blanche, presque transparente, qui laisse entrevoir ses tétons et ses mamelons. Sa démarche est un peu ralentie, elle m'avoue être très défoncée, ce qui me fait à nouveau bander, comme elle le vérifie, radieuse.

A la fin du repas, je sais que ce ne sera pas qu'une relation d'un été. Je suis complètement séduit par elle, pas seulement par l'esclavage qu'elle me propose, mais aussi l'énergie qu'elle y met, sa sensualité torride, son esprit vif et décalé, tout me plaît en elle, moi si critique habituellement. Je lui demande si cela se fait de tomber amoureux de son esclave, ses yeux se remplissent de larmes, elle se jette à mes pieds en plein restaurant, me répond en m'embrassant passionnément.

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