La Voisine du Dessus Ch. 02

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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 05/15/2023
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Il est sculpté comme un sexe, qui serait très épais, je ne fais pas le tour avec mes mains, mais plus court, ne dépassant pas 15 centimètres. La base est légèrement resserrée pour le maintenir, m'explique Céline, mais il reste plus épais que mon propre sexe. Je suis impressionné qu'elle puisse le porter en elle, c'est très troublant.

- Cela fait longtemps que tu es enculée ainsi (J'utilise un vocabulaire un peu ordurier qui ne m'est pas coutumier, comme si elle le suscitait)

- Celui-ci? Deux mois peut-être

- En continu

- Oui Laurent, je me sens très vide, j'ai besoin de me sentir remplie

- Et si je t'ordonne de ne plus être enculée

- Alors je serais aussi heureuse de vous obéir

- Rassure-toi, l'idée me plaît beaucoup. C'est le plus gros que tu aies?

- C'est le plus gros que je puisse porter longtemps, mais j'en ai d'autres plus larges encore.

- Il faudra me les montrer, et que tu t'habitues eux aussi à les porter en continu.

- Oh (Je le sens se tendre, excitée par la perspective, trembler légèrement, comme si son corps jouissait doucement)

- Montre-moi ton cul!

Céline est à 4 pattes sur le lit, le dos bien à l'horizontal. Sa raie est brillante, elle a mis du lubrifiant. Toute dilatée qu'elle soit, le lubrifiant est incontournable. Je suis surpris de voir son anus fermé, j'aurais pensé qu'il resterait ouvert. Mais je glisse un puis deux doigts très facilement, la faisant gémir d'emblée. Je suis surpris par la tension intérieur, ce sentiment qu'il est complètement lisse, cela ne ressemble en rien à un vagin. C'est bien plus simple et au moins je comprends! Je glisse un troisième doigt, je fais de petits mouvements, plus pour la faire réagir. Elle doit avoir l'anus bien fatigué avec son gode permanent.

Je me fais la réflexion que je pourrais la fister. Au moins avec ma main gauche moins large, mais il faut que je me renseigne comment cela se fait. J'ai longtemps pensé que les images de fist que je voyais étaient fake, avant que je n'aie l'idée d'aller voir une vidéo. Une des rares scènes que j'aime voir en vidéo, tant c'est magique et impressionnant, j'aime beaucoup les pénétrations, et je crois qu'avec Céline je vais pouvoir jouer d'elle à l'infini. Là pour l'instant, c'est la sodomiser qui m'intéresse. Je la fais se redresser un peu plus pour que je sois à la bonne hauteur et je pose mon sexe sur l'entrée de son cul, un peu ouvert cette fois. Je saisi ses hanches, et je rentre doucement, la tension est divine, cela glisse par à coup, comme des résistances qui me laissent rentrer au fur et à mesure. Bien que je sois moins gros que son gode, Céline gémit, me saisit une fesse avec une main retournée, pour me pousser plus loin.

Je sens alors que je vais loin, très loin, cela remue en elle, elle gémit, elle demande encore plus, elle pousse pour s'empaler plus encore. Je commence mes va-et-vient, c'est délicieux, bercé par ses gémissements. Je sens sa peau douce sous mes doigts, je me penche pour saisir ses seins, mais la position est malaisée, dommage. Peut-être pourrais-je la sodomiser de face et m'accrocher à ses seins?

J'ai envie de lui en donner encore plus, à cet instant je veux effacer de son esprit tous les hommes qu'elle a pu avoir. Réflexe puéril, s'il en est. Je me redresse sans sortir mon sexe, je suis accroupi, j'appuie sur son dos, elle se couche, le cul en l'air, sous la pression de mon sexe qui s'enfonce comme jamais, je la pilonne puissamment, profondément, rapidement. Chaque va est ponctué d'un cri rauque de Céline, qui commence par m'encourager à continuer, avant de me supplier d'arrêter, qu'elle n'en peut plus. Mais avec elle pas question, au contraire, je me dis que je suis au point où je vais pouvoir marquer mon territoire. Je continue comme un forcené, les cuisses en feu, l'équilibre précaire sur le lit, elle ne bouge pas, ses râles et ses supplications se transforment en pleurs, mais je n'en ai pas fini. Ce n'est que quand elle ne dit plus rien, que je m'écroule enfin, les jambes carbonisées. Impossible de jouir, je me suis retenu trop longtemps.

Céline s'écroule l'instant d'après, mais pour quelques secondes seulement. Se retournant, elle vient vers moi, la bouche vers mon sexe qu'elle lèche doucement, avec application. Epuisé mon sexe est tout rétrécit, le plaisir de sa bouche est incroyable, je n'ai jamais été léché dans cette situation. Elle me décalotte bien, et quand elle est satisfaite, elle s'écroule entre mes cuisses. Nous sommes cuits. J'ai d'un coup peur d'être allé bien trop loin, je n'ai rien contrôlé.

- Ca va ma chatte?

- Oh Laurent, cela ne peut aller mieux, jamais je n'ai été prise ainsi, c'est incroyable, tu m'as brisée, oh pardon, vous m'avez brisée

- Tu peux me tutoyer

- Oh non le vouvoiement est bien plus adapté, je ne suis pas votre petite amie, mais votre soumise

- D'accord

- Je peux vous demander quelque chose?

- Oui bien entendu

- C'est très difficile de vous appeler par votre prénom pour moi, là aussi, je ne suis pas votre petite amie. Accepteriez-vous...?

- Monsieur? Non cela fait trop vieux, j'ai 19 ans!

- J'avais pensé à Mon Seigneur, je le sens tellement en moi

- Mmmhhh, d'accord, mais à une condition

- Oui Mon Seigneur

- Il n'y a aucune situation, je ne dis bien aucune, où tu ne m'appelleras pas ainsi.

- Oh, bien Mon Seigneur, cela me remplit de joie Mon Seigneur

- Tu vois, même en réunion de copropriété

- Oui Monseigneur, cela sera trop drôle

- Tu m'as complètement vidé, je n'ai plus ni énergie, ni désir

- Oh pardon Mon Seigneur, est-ce que je dois être punie pour cela?

- Non, quelle idée, mais j'aime la pensée de te battre quand tu me déplais

- J'ai l'habitude d'être battue matin et soir

- Vraiment? Mais pourquoi?

- C'est quelque chose d'important dans la relation, cela permet de l'ancrer à chaque instant. Vous savez toutes les soirées ne sont pas comme aujourd'hui, il y a le travail, les tracas quotidiens etc. Du coup ce rituel permet de maintenir la tension fondamentale dans la relation, même en période un peu agitée.

- Tu en sens le besoin?

- Oh oui, pour moi c'est si fort. Ce n'est pas recevoir quelques coups, mais être vraiment battue, avec chaque fois la question si je savais offrir ma souffrance à mon Propriétaire, si je saurais m'abandonner à lui autant qu'il le souhaite, en laisse tout de côté.

- C'est un peu sauvage, non? Comment supporter l'insupportable?

- Justement, c'est exactement cela, se dépasser, offrir à son Maître tout de soi, sa souffrance, sa vie, son temps, son énergie, son âme

- N'est-ce pas à sens unique? Le Maître comme tu dis, il ne donne pas grand-chose.

- Oh si, enfin cela dépend bien entendu. Mais il donne, pour moi ce qu'il y a de plus précieux : la vie, un sens, une énergie. Vivre pour lui est le plus beau des cadeaux, chaque jour renouvelé, en particulier avec ces rituels qui sont si difficiles parfois.

- C'est tellement à contrecourant de tout ce qui se fait chez les féministes

- Mais cela n'empêche, ce n'est que dans le cadre de cette relation, sinon je trouve cela abject, bien entendu.

- Alors tu aimerais que je te batte?

- Oui bien entendu, autant que vous l'aimeriez

- Cela fait beaucoup pour moi en quelques heures, j'avoue que j'ai besoin d'y réfléchir.

- Tout ce qui vous plaira Mon Seigneur

- Remplis-toi de ton gode, non attend je vais le faire, et après je descends.

L'échange m'a encore plus soufflé que la sodomie que j'ai beaucoup appréciée, mais je crois préférer quand même la pénétration classique. Céline est exaltée, folle c'est certain, mais rien de pathologique, je la ressens tellement vibrante. Je me demande pourquoi moi, qu'est-ce qui a fait qu'elle jette son dévolu sur moi, alors que tant d'hommes seraient sans doute trop heureux de la dominer. Et surtout la question est de savoir si j'en ai l'envie. C'est tout nouveau pour moi. Et je ne voudrais pas entretenir un faux espoir. J'ai des concours, et c'est primordial.

Je prends le plug, tandis qu'elle se positionne allongée sur le ventre. Je l'enduis de la crème qu'elle me propose, et je commence à le faire coulisser dans son cul ainsi offert. C'est terriblement excitant. Et difficile. La tension est très forte, je dois pousser, le tourner, suivre ses remarques, m'y reprendre à plusieurs fois. J'adore. Surtout, quand, d'un coup, elle l'avale, et ne reste plus qu'un disque de verre l'empêchant de se perdre dans ses abysses. Céline ronronne, bouge un peu pour le positionner au mieux, et avec un regret bien visible me baise les pieds tandis que je me lève pour partir. Je suis vidé de tout, la première chose c'est me doucher et dormir jusqu'ç plus soif, alors que la soirée n'est même pas entamée!

Je me retourne dans le lit depuis près d'une heure, il est maintenant 4 heures du matin, j'ai la tête remplie d'images si fortes de Céline, de ce qu'elle peut communiquer, des envies qu'elle suscite et des interrogations me concernant. Je rejette la couette, je vais me masturber pour essayer de dormir, quand je pense qu'elle est juste au-dessus de moi. J'hésite, je n'ose pas, je me rappelle ses mots, du coup je me force un peu.

- Oui Mon Seigneur (Elle a répondu très vite)

- J'ai besoin d'une bouche pour me vidanger (J'ai répété la phrase dans ma tête avant, tellement ce n'est pas dans mes habitudes de parler à une femme ainsi!)

- Votre soumise descend tout de suite Mon Seigneur

J'entrebâille la porte et va me recoucher. Je l'entends entrer, tâtonner dans un appartement qu'elle ne connait pas, et trouver mon lit, se glisser sous les couvertures, prendre mon sexe déjà en acier de la situation. Sa bouche est fraiche, experte, c'est quelque chose de divin. C'est complètement fou comme situation, je m'étais promis d'éjaculer puis de la renvoyer, mais je n'en aurais pas la force, ni l'envie en fait. Mais cela aurait été si humiliant pour elle. Je me retiens, là il n'est plus question de prendre mon pied et de me rendormir, cette femme m'envoute et me donne des envies si fortes.

Je la fais remonter à côté de moi, nous nous embrassons, elle a un gout un peu acide, elle s'offre tellement, je l'allonge sur le dos, et je viens la prendre à genoux entre ses cuisses. Elle me guide elle-même dans son sexe, tout serré avec le plug bien enfoncé dans son cul, la sensation est unique, sa mouille picote sur mon sexe comme pour lui dire d'éjaculer en elle. Mais c'est trop tôt, j'ai envie de la prendre longuement, tendrement, pleinement. Je viens d'abord doucement, pour que son sexe puisse se détendre, puis profondément, arrachant un gémissement chaque fois que je suis au fond d'elle. Je m'accroche à ses seins, que je prends à pleine main, ils sont si fermes, mes ongles sont bien ancrés, ils sont tout déformés, je les sers si fort, elle gémit, ce qui ne fait que renforcer la pression de mes doigts, son buste est presque soulevé par la tension.

Quand je relâche, les marques sont profondes, rouge sombre, je trouve cela très beau, son regard est mouillé, éperdu, elle est béante comma jamais. Je m'allonge sur elle, passe mes mains sous ses fesses si douces et molles. En basculant, son bassin vient mettre son col contre le bout de mon sexe, je le sens comme jamais. Aucune idée si c'est sensible, érotique ou simplement douloureux. Céline me donne vite sa réponse, en gémissant de plus en plus fort, puis en me suppliant de lui permettre de jouir, de façon si pressante que je la crois au bord, et elle jouit instantanément quand je l'y autorise. Cela me fait jouir, pas seulement son orgasme ou ses cris, mais aussi ce pouvoir qu'elle m'octroyé.

Elle ne prend pas même le temps de savourer son orgasme, que déjà elle se relève pour me lécher avec une précaution infinie mon sexe, mes couilles, puis m'embrasser tout le corps. Je vois ses deux seins marqués, pendre sous elle, c'est magnifique, la courbure me paraît parfaite, et j'adore y avoir inscrit ma marque. J'ai envie qu'elle reste dormir avec moi ce soir, alors que je suis si réticent habituellement à avoir une fille dans mon lit pour la nuit. Nous nous lovons l'un contre l'autre en cuillère.

- Tu as toujours aimé cela?

- Aimer quoi Mon Seigneur?

- Etre soumise

- Je n'en ai pris conscience qu'il y a une dizaine d'années, avant j'avais une vie classique, on dit vanille, où je m'ennuyais

- Vanille?

- Oui la sexualité de tout le monde, comme le parfum de glace que tout le monde prend

- Amusant, et si tu n'es pas vanille tu es quoi? Chocolat?

- Oh ce serait plutôt piment, et piment fort (Je souris)

- Et comment cela a-t-il commencé?

- De façon très anodine, un amant me prenait comme vous tout à l'heure, moi pensant aux courses que je devais faire, quand il m'a pris les deux poignets, les a tenus très serrés dans ses mains, m'empêchant absolument tout mouvement. Et là, dans ma tête, un énorme bouleversement. Je me sentais captive, sans échappatoire, soumise, et cela m'a prodigieusement excité et j'ai joui en quelques secondes à ma grande surprise, ma première jouissance pendant un rapport! Après j'ai essayé d'aller plus loin avec le bondage, les suspensions, des expériences plus classiques avec l'échangisme ou le triolisme, mais je ne retrouvais pas ce plaisir inouï de cette première fois. Je me suis alors intéressée au SM et à la soumission et voilà.

- Tu as eu beaucoup de Maîtres?

- Une règle voudrait que nous n'en ayons qu'un, qu'après rien ne soit plus possible, et qu'avant ce ne soit que de l'apprentissage.

- Et donc?

- Et donc je n'ai vécu que des apprentissages, et que je sais que j'ai rencontré mon Maître, le seul et l'unique.

- Mais comment peux-tu en être si certaine

- Quand tu le sais, tu le sais. Ce n'est pas le fruit d'un raisonnement, mais d'une évidence. Du premier jour où je vous ai vu, comme si une aura t'entourait avec une énorme flèche clignotante disant c'est lui!

- Tu imagines la pression que tu me mets!

- Oh pardon Mon Seigneur, il vous faut du temps et surtout vous verrez comme bon vous semble, ce n'est pas ce je veux, mais ce que vous voulez et exigez qui est important. Même si c'est de vivre une vie vanille, je la vivrai pleinement heureuse et épanouie.

- Pourtant le SM t'est nécessaire

- Oui Mais pour vous...

- Je pourrais commencer à voir et te battre un peu

- Oh Mon Seigneur, j'ai pris la liberté de descendre avec une canne et un paddle

- Un paddle?

- C'est comme une grande raquette de ping Pong, c'est assez bruyant, et cela fait rougir toute une fesse d'un coup.

Je sors des couvertures et m'allonge nu sur le ventre.

- Je veux que tu les essaies sur moi, que je sache un peu à quoi m'attendre

- Oh Mon Seigneur, je n'ai jamais fait cela

- Tu vas commencer, c'est un ordre, et tu tapes fort, que je vois ce que cela fait comme douleur.

J'ai vu! J'ai aussi touché du doigt que cela pouvait être excitant sexuellement si pas trop fort, mais aussi ce que c'était que s'offrir. Céline est maintenant allongée à ma place, un peu fébrile de m'avoir fait aussi mal, mais cela va vite passer. Je prends le paddle, je l'assène doucement pour commencer, trouver le geste, la position. Les premiers coups ne la font pas réagir, elle me regarde intensément, je sais pertinemment ce qu'elle veut. Elle ne sera pas déçue. Pourtant les fesses sont déjà roses. Mais je sens bien le coup de main, et j'appuie les prochains coups, très fort. Céline sursaute, ses yeux se voilent, elle me remercie, elle se détend, elle soulève légèrement ses fesses pour s'offrir. Le bruit est assourdissant, je la frappe à toute volée, ses gémissements me remplissent d'excitation et m'incitent à frapper plus fort. Je passe aux cuisses, les fesses étant déjà cramoisies et brûlante, c'est surprenant! C'est moins jouissif, je ne sais pas pourquoi, en fait je n'aime pas trop avec le paddle sur les cuisses. Je la touche, je la caresse, je la sens fondre, elle semble complètement partie, presque soule. Elle m'envoie des mots d'amour, c'est troublant.

La canne c'est plus subtil, et surtout bien plus joli. Même à faible vitesse, les coups marquent. Quand j'accélèrent, les marques sont violettes, je m'applique à bien les faire en parallèle. Céline saute à chaque coup, mais aussitôt s'offre à nouveau, je lui tiens la main, elle est en sueur. Sur les cuisses le résultat est encore plus marquant et joli, je pourrais compter les différents coups donnés, je me sens ivre de cette violence et de ce sadisme, je voudrais la faire craquer, elle répète en boucle Mon Seigneur, hébétée, je n'y arriverai pas, je suis épuisé, surtout par la tension sexuelle. Je jette la cravache et m'engouffre dans son sexe dégoulinant, je l'utilise pour m'apaiser et je jouis très vite, une seconde fois, avant de l'écraser de tout mon poids.

Je me réveille, tandis que Céline dort, apaisée, sur je ventre. J'admire sa peau si douce, le mince duvet en bas de son dos, ses cheveux en bataille, ses fesses si marquées, comme ses cuisses. Le renflement transparent du gode omniprésent, presque invisible maintenant que j'y suis habitué. Il ne faut pas qu'elle le soit trop, habituée, sans doute elle a besoin de cet inconfort. Je me lève pour aller à la boulangerie, préparer un petit déjeuner complet avec une omelette, elle dort toujours, je la réveille avec des bisous dans le cou, c'est délicieux. Son sourire est un cadeau des dieux, comme ses yeux qui sont autant de gouffres dans lesquels je pourrais me perdre. Je la regarde vraiment pour la première fois je crois, son ventre est si doux, plat, tendre, descendant naturellement vers son sexe masqué tant ses lèvres semblent rentrées, son pubis est totalement épilé, sans une marque, comme une invitation à écrire une page de son histoire. Elle est une invitation au sexe, j'aime tout en elle, chaque partie de son corps m'excite. C'est grave docteur?

D'une voix un peu timide elle me demande si j'aimerais lire la lettre qu'elle m'a écrite. Pas hier, non, celle qu'elle a commencé après m'avoir croisé une première fois, la lettre à son futur Maître. Elle a quoi de faire flipper par son obsession, mais en même temps, tout ce qu'elle dégage est fait de sensualité, douceur, offrande. Elle pose le mot, cela de l'absolu, dont elle se sent remplie avec moi. Je me sens de moins en moins étranger à sa folie, de moins en moins inquiet à me laisser prendre dans ses rets, je reste dans une position où je peux tout décider à chaque instant. Comme là de l'envoyer, nue, chercher son manuscrit, au risque de croiser quelqu'un de la copropriété dans le court couloir à traverser!

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3 Commentaires
PoulouttePouloutteil y a 11 mois

Super j adore pourvu que ca ne parte pas en cacahuettes🙂

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Le type de relation que l'on recherche. Mais de tels rencontres sont si rares.

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