La Vile Vengeance de L'ex-criminel 02

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Même alors que ses homes la plaquaient au sol, elle s'était débattue en cherchant à ne pas être déshonorée.

Il adorait justement se faire ces jeunes Américaines qui se débattaient, il adorait les obliger à écarter leurs cuisses blanches comme de l'ivoire et encore plus les cris de désespoir qu'elles poussaient quand il ravissait leur virginité.

Il se rappelait la dernière qu'il l'avait vu en vie, deux jours plus tard dan su trou d'obus, elle était allongée sur un soldat qui lui bourrait sa bite dans le con alors qu'elle en suçait un second, un troisième enfouissant sa grosse pine dans son trou du cul.

Lors d'une autre attaque sur une autre île, le capitaine Moto à la tête de ses troupes avait transpercé les lignes ennemies, et avait capturé une adorable infirmière brune qui était mariée à en croire l'alliance qu'elle portait au à l'annulaire.

Cette adorable brunette avait servi de jouet à lui et à ses hommes à leur grand contentement, travaillant sur le mental des adversaires ils dressaient des embuscades pour les audacieux qui tentaient de la sauver d'un sort pire que la mort.

Se servant d'un haut-parleur dissimulé dans la jungle, le capitaine Moto provoquait les forces adverses :

-"Hey, Gi... Vous devriez mieux protéger vos arrières! .... Et... Vos adorables infirmières qui prennent si bien soin de vous lorsque vous êtes blessés! ..... On vient tout juste d'en capturer une! ..... Ecoutez-vous même! ....."

-"Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee! ...." hurlait-elle alors que Moto-san bourrait sa grosse bite dans son trou du cul vierge.

Dans la sombre fumerie d'opium, des bruits de succion avides s'entendaient couplés à des grommellements :

-"Ahhhhhhhhhhhhhhhhh! ...."

Les plus vieux de ces bâtards de prêtres offraient à leurs ravissantes invitées cet enivrant élixir qu'elles pompaient

à la source.

Une fois que chacun des vieux moines fut se soit vidé les couilles, il les aidèrent à se relever leur enjoignant :

-"Allez mes chéries, la nuit vient seulement de commencer! ....."

Franchissant des rideaux noirs, chacune fut guidée dans un coin de la pièce où se trouvait un large matelas, mais avant tout elles durent s'agenouiller sur un coussin bien mou devant le matelas.

Dans chaque coin de la pièce, après avoir été le témoin des premières pipes octroyées aux aînés, dix moines à la queue leu-leu attendaient leur tour pour bénéficier d'un plaisir similaire.

Les moines pervers s'étaient vidés les couilles chacun à leur tour dans la bouche avide des somptueuses invitées américaines et il était évident que ces femelles appartenant à l'ennemi héréditaire ne parvenaient pas à se rassasier de cet élixir un peu salé qu'elles tétaient à la source.

Maintenant chacune d'entre elles avaient compris que plus elles se montraient câlines, cajoleuses, tendres plus vite elles obtenaient leurs doses de potion magique.

Lorsque tous les moines eurent assouvi leur lubricité dans la bouche de ces charmantes dames le plus âgé des moines se remit en tête de file, c'était le moment de passer aux choses sérieuses, le temps du rut.

Une fois que les aînés auraient étreint leurs jeunes corps, les autres seraient libres d'en disposer à l'exception de leurs anus qui feraient l'objet de l'attention des aînés à l'issue de la première fournée.

L'un des aînés, âgé de 78 ans, Fukuda-san, avait l'honneur de choisir sa proie juste après le Sensei Moto, il avait manifesté l'intention, lorsque le Sensei avait élu la somptueuse blonde, de choisir la piquante rouquine.

Connaissant la signification de la bague de fiançailles qu'elle arborait à l'annulaire il était ravi à la pensée de posséder le corps de cette jeune écervelée avant son bâtard de futur mari américain

Lors du repas il avait surpris la conversation qu'elle tenait avec sa voisine évoquant sa future cérémonie de mariage à laquelle seraient invitées ses amies de l'équipage.

Il y avait bien longtemps maintenant que la guerre était terminée, une période de sa vie qu'il avait adorée s'était alors refermée, l'époque où il était un officier sadique qui exerçait ses exactions sur les villes et villages conquis par ses troupes.

Il commandait alors une compagnie, son autorité était bien établie, il pouvait en profiter pour satisfaire ses instincts les plus primitifs, les plus bestiaux, au ravissement des ses troupes en répandant l'horreur dans les lieux conquis.

Il se rappellerait toujours cette expérience si excitante qu'il avait fait un jour qu'ils avaient calmement cerné un village ennemi, ses hommes attendant son signal pour déclencher l'attaque.

Ils avaient rampés autour du village inconscient du danger pendant toute la nuit pour se mettre en position, puis le lieutenant Fukada avait épié les villageois qui se rassemblaient pour une cérémonie.

A la vue de la ravissante jeune femme dans sa robe de noce approcher précédée d'autres somptueuses jeunes femmes il comprit qu'il s'agissait des préliminaires d'un mariage.

Les yeux rivés sur l'adorable promise, Fukuda souriait à pleines dents, il se demandait s'il devait laisser la cérémonie se dérouler normalement avant de déclencher l'attaque.

Mais sa bite lui conseilla vivement d'attaquer sur le champ et l'instant d'après les villageois étaient soumis sans avoir lutté.

Tenant une baïonnette aiguisée à quelques centimètres du ventre le futur marié ne pouvait que regarder avec horreur, tout comme les autres villageois, les hommes de Fukuda s'emparer de la jeune promise terrifiée.

Il avait alors déchiré sa robe de mariée puis ses sous-vêtements et avait écouté avec ravissement ses hurlements de douleur et de honte alors qu'il la pénétrait sauvagement.

La bite profondément plongée dans la caverne de la beauté hurlante il entendit un de ses hommes s'esclaffer alors qu'il se retirait pour mieux s'enfouir à nouveau :

-"Ahhhhhh..... Un flot de sang! ...... Un flot de sang! ....."

Martelant avec enthousiasme sa succulente proie Fukuda déversa sa semence à gros bouillons dans la grotte de la promise dévirginisée.

Fukuda-san prenait un énorme plaisir en se remémorant cet événement, il la revoyait encore cette ravissante jeune beauté qu'il venait de posséder juste avant que sa cérémonie de mariage ne débute.

Une fois sa braguette refermée, conservant sa bite sanguinolente logée dans son caleçon pour mieux se rappeler l'adorable vierge qu'il venait de posséder avant ses épousailles lorsqu'ils quitteraient le village, il avait alors ordonné que la cérémonie de mariage se poursuive en bonne et due forme.

La cérémonie terminée, la promise sanglotant et le futur effondré ayant prononcés leurs vœux Fukuda avait ordonné au jeune marié désespéré d'embrasser sa femme.

-"Embrasse-la stupide cornard! ...." hurlait-il, et lorsque que l'infortuné embrassa sa femme sanglotant sur les lèvres, il intervint

-"Pas ce genre de baiser espèce de salopard! ...."

Et devant les dizaines de villageois qui assistaient au spectacle, la jeune épouse fut disposée une fois encore sur le sol, cette fois son tout nouveau mari fut obligé d'enfouir son visage entre ses cuisses pour lécher sa foufoune ravagée.

Fukuda avait pris un grand plaisir à presser fermement la tête de l'infortuné jeune époux dans la fente sanguinolente de sa femme, il lui frottait le visage dans ce marais infect en lui intimant :

-"Embrasse la chatte ensanglantée de ta femme! ..... Bouffe le foutre que je lui ai injecté dans la foufoune! .... Régale-toi du cadeau de noce que je vous offre! ....."

Lorsque l'époux atterré put enfin se redresser, horrifié, il comprit que tout le village avait été témoin de soin humiliation, fou de honte il se lança de lui-même sur les baïonnettes acérées.

Nicole Sherman haletait nerveusement alors qu'elle autorisait son "fiancé" à descendre la fermeture éclair du dos de sa robe descendant les épaulettes sur ses bras.

-Oh Bart..... Ohhhhhh..... Oh oui, caresse moi! ....." soupirait-elle chavirée par des caresses enivrantes.

Le clips dorsal de son soutien-gorge dégrafé, on l'allongea sur le matelas, les titillements de ses mamelons dressés la faisaient panteler :

-"Ohhhhhhhhhhhhh..... Ahhhhh... Bart, ohhhhhhhhhhhhh....."

Des doigts se posèrent sur la ceinture élastiquée de sa petite culotte de dentelle la roulant sur ses hanches avant de la lui ôter carrément.

Chacun leur tour, les moines pervers savourèrent les flagrances intimes de son sous-vêtement de soie alors qu'ils se le passaient de main en main, profitant chacun leur tour du parfum intime de leur proie.

Leurs bites s'étaient toutes déployées à nouveau, ils étaient impatients de posséder la succulente rouquine lorsque les appétits luxurieux de Fukada-san seraient satisfaits.

Rassemblés autour de leur Sensei, ils entendirent avec ravissement la jeune femme pleurnicher :

-"Aieeeeeeeeeeeeeeeeee... J'ai mal..... Tu me fais mal Bart! ...... Si mallllllllllllll....."

Ils virent tous leur Sensei planter avec une violence inouïe sa bite dans la beauté éplorée la clouant véritablement sur le lit, une tache sanguinolente s'étala immédiatement sur les draps, Ils étaient maintenant fous du désir de plonger leurs bites dans son orifice sanglant.

Les gémissements de douleur cessèrent finalement la douleur du dépucelage de la piquante rouquine s'était sans doute estompée, les moines spectateurs se demandaient tous ce que dirait son fiancé s'il se trouvait là à contempler sa ravissante promise refermant ses cuisses sur le torse de Fukuda-san s'arquant pour absorber plus profondément sa vieille bite active.

Ils se demandaient tous si son cornard de fiancé voudrait encore de son corps endommagé, s'il voyait sa somptueuse fiancée se tortiller et miauler sous les assauts de ce moine paillard qui la clouait sur un matelas, un ruisselet sanguinolent s'échappant de sa jeune foufoune déflorée..... Un sang bien rouge! ....

Et chacun d'eux attendait avec impatience son tour dans la queue, espérant tous lui coller un petit polichinelle jaune dans le ventre.

Dans le coin le plus éloigné, sur la droite, là où ce groupe se dirigerait après avoir copieusement partousé la ravissante rouquine ex-vierge, les moines dirigés par Sensei-Moto avaient entrepris de partouser leur ravissante hôte blonde après l'avoir possédé chacun son tour en solo.

La somptueuse Amber Benton avait l'impression d'avoir donné naissance à des jumeaux qu'elles nourrissaient maintenant au sein.

Les images du passé défilaient dans sa tête, celles de son enfant tâtant ses nibards, celles de la bite de son amoureux mari si épaisse qu'elle distendait sa chatte comme jamais elle ne l'avait fait auparavant.

-"Ohhhhhhhhhhhhhhh..... Owwwww... Ahhhhhhhhhhhh..." pantelait Amber la chatte écartelée par l'intromission de l'énorme bite de son mari qui semblait vouloir lui faire vivre de nouvelles expériences.

-"Ohhhhhhhhhhhhhhh...... Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhh....." haletait-elle alors que la bite du Sensei-Moto coulissait âprement dans son trou du cul jusqu'ici vierge, puis elle mugit :

-"Mmmmmmmmmmmm... Mmmmmmmm....." alors qu'un autre moine engouffrait sa bite dans sa bouche asservie, puis ses mains furent posées sur deux mentules frémissants, qu'elle serra machinalement entre ses doigts avant de les branler mécaniquement.

Dans le coin opposé l'adorable Megan Rogers roucoulait :

-"Ohhhhhhh..... Oui, Jim...... Fais-moi l'amour..... Aimes moi... fais-moi un enfant! ...." elle avait refermé bras et jambes sur le dos de son énergique "amant".

Intoxiquée par les émanations d'opium, Megan s'imaginait que son tendre mari la baisait vigoureusement alors qu'en fait c'était le chibre d'Hideki-san, un des moines aînés qui coulissait si rudement dans sa chatoune embrasée.

-"Oh oui... Oui... Oui... Vide-toi en moi! ..... Emplis-moi! ..... Ohhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiii... " s'exclamait-elle ravie alors que son mari lui emplissait la chatte de sa chaude semence.

Megan apprenait très vite les nombreuses façons de plaire à un mari, mais ici elle prenait même plusieurs leçons à la fois.

En dehors de ses lèvres et de son con, Megan apprit comment faire succomber un homme avec ses doigts et ses mains, et même que les tendres plantes de ses pieds pouvaient amener un homme à jouir, beaucoup hommes aimant poisser les orteils de leurs partenaires de leur foutre.

Elle apprit aussi que de frotter étroitement ses nibards contre le buste d'un homme pouvait le faisait bander rapidement.

Et dès que le vieil Hideki-san ranima sa flamberge, elle apprit comment se servir de son trou du cul pour satisfaire les appétits lubriques des amateurs.

Dans le dernier coin enfumé, Gwen Nakayama affinait les pratiques qu'elle avait apprises lors de sa dernière visite, toutes les façons de complaire aux plus luxurieux d'un homme aussi sordides soient-elles.

Le maître Motohara haïssait ces descendants de traîtres ancêtres qui avaient gagné les USA après la guerre.

La mignonne hôtesse serrait ses petites mains sur sa queue flacide tandis qu'il l'encourageait :

-"Oh oui ma petite chérie, tu dois payer pour la traîtrise de tes aïeux... Oui, comme ça... Tu apprends vraiment très vite! ..... Et maintenant titille mon méat de la pointe de la langue! ..... C'est ça, nettoie le trou du cul merdique de ton cher Motohara! ....."

Chacune des quatre beautés devait satisfaire les appétits lubriques de deux groupes de 10 moines, jusqu'à trois heures du matin, avant que les festivités de la nuit prennent fin.

Elles furent alors emmenées par un des aînés qui tenaient une bougie en main, gravissant l'escalier qui les ramenait à leurs chambres, alors qu'un autre moine transportait leurs vêtements et leurs kimonos.

Penchée sur la baignoire, jambes grandes ouvertes le vieux moine plongea alors la chandelle dans une jarre emplie d'un onguent fabriqué avec des herbes spéciales.

La chandelle maintenant couverte d'une substance brunâtre, avait alors été plongée dans leurs anus, le moine la faisait alors bien coulisser pour étaler ce baume astringent qui devait resserrer leurs trous du cul et le lendemain il ne resterait plus aucune trace des égarements de la nuit.

Nicole Sherman avait droit à un régime spécial, le pervers Motohara s'était chargé lui, même d'oindre le trou du cul et la chagatte de la jeune femme qu'il avait veillé à être le dernier à sauter pour pouvoir la ramener lui-même dans sa chambre.

Alors les dernières traces de son dépucelage souillaient ses cuisses, son vagin nécessitait un traitement spécial pour l'empêcher de constater le brutal viol dont elle avait été victime entre les mains de ces moines débauchés, Motohara-san souriait de toutes ses dents en enduisant sa foufoune du baume astringent.

Il retira de sa poche un godemiché de 30 centimètres qu'il trempa dans la jarre, puis il le plongea dans les orifices de la jeune beauté penchée sur la baignoire.

Une fois l'onguent bien appliqué, et avant qu'il ne la une douche, Nicole s'occupa encore une fois de la bite de Motohara avec sa bouche et sa langue.

Les cloches sonnèrent à 9 heures pile, à l'heure même ou la suggestion hypnotique leur commandait de se réveiller, chacune des beautés bailla et se descendit dans la chaleur relaxante des premiers rayons de soleil. Totalement ignorante de la nuit de plaisirs sordides qu'elle venait de partager avec les moines débauchés dans la fumerie d'opium, elles se rejoignirent toutes en bas pour prendre un solide petit déjeuner.

Plus tard un plongeon dans la piscine permit aux moines pervers de lorgner encore une fois leur corps luxurieux, ils étaient encore tous focalisés sur les festivités sexuelles de cette nuit pendant laquelle ils avaient amplement abusé des charmes de ces jeunes et ravissantes invitées auxquels il n'auraient jamais pu goûter en temps normal.

Après cette dernière nuit que les quatre ravissantes hôtesses passèrent au monastère, une fois les festivités terminées en milieu de matinée, elles retournèrent prendre une douche bien chaude pour effacer une fois de plus les traces de leurs viols répétés, puis elles prirent u repos bien mérité dans leurs lits douillets.

Toutefois elles restaient toutes dépendantes du vieux moine qui avait partagé leur couche jusqu'à la sonnerie des cloches à 8 heures du matin, ce vieux salaud espérant jusqu'au dernier moment les engrosser de sa fertile semence.

Puis elles prirent une nouvelle douche alors que leurs compagnons de débauche rassemblaient leurs forces pour quitter leurs chambres, elles ne sortirent de leur transe hypnotique qu'à 9 heures comme le leur avait commandé le vieux moine.

Après le petit déjeuner les moines les ramenèrent à leur hôtel où l'équipage se rassemblait déjà pour le vol de retour, chacune d'entre elle, avant de quitter le monastère, avait eu un rendez-vous en tête-à-tête avec le Sensei Moto pour une brève entrevue.

En guise d'informations à leur demander pour améliorer l'hospitalité du monastère pour de futurs invités, il les soumit toutes à une brève séance d'hypnotisme afin d'implanter de nouvelles suggestions hypnotiques dans leur esprit, portant surtout sur la façon de se comporter avec la famille de leurs maris ou de leurs fiancés.

Après ses suggestions additionnelles implantées dans leurs esprits par le sadique vieux bâtard, des événements tout à fait intéressants devaient se dérouler dans les quatre foyers américains, et plus particulièrement avec ces quatre hommes mûrs qui devraient endurer les provocations salaces de leurs brus ou futur bru.

Qui pourrait blâmer ceux d'entre eux, ces américains bourrés de vitamines de 50 à 60 ans qui succomberaient aux avances de ces ravissantes jeunes femmes qui viendraient q'asseoir sur leurs genoux pour manipuler leur grosse byroute avant de leur faire une somptueuse fellation.

Et une fois qu'ils auraient succombé au succulent plaisir de coulisser entre leurs lèvres purpurines ne seraient-ils pas impatients d'approfondir leurs relations avec leurs adorables belles-filles qui leur murmureraient à l'oreille :

-"Ohhhh beau-papa..... faites-moi l'amour...... Je vous en prie...... Faites-moi un enfant....... Faites-moi un magnifique petit bébé! ......"

12 décembre 2007

Coulybaca

avec l'aimable autorisation de l'auteur Black Demon

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