La vieille fille

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Jipai
Jipai
49 Admirateurs

Non! non! non! C'est le son qui sort de ma gorge à chaque fois que vous murmurez à mon oreille. Mon corps est en bois, comme anesthésié par l'horreur de ma situation. Je suis couverte d'un corps lourd pesant de tout son poids et empêchant le moindre geste de ma part. Mes cuisses sont ouvertes, livrant le passage vers mon sexe et je sens ce pieu de chair frotter contre lui. Je suis en panique totale, mon corps ne m'appartient plus, je ne suis plus dans mon lit mais dans un lieu de torture où je suis livrée à un inconnu qui se joue de moi. Vous avez pris mes seins entre vos mains, vous les malaxés durement tout en me parlant avec douceur, ce contraste est troublant, il m'attire des sanglots qui naissent dans ma gorge et meurent sur le bord de mes lèvres. Je sens votre gland qui cherche de plus en plus furieusement le passage vers mon vagin, mes lèvres intimes sont sur le point de céder, je pleure, mes larmes coulent sur mes joues, je suis vaincue et vous le fait savoir. Oh! non! je vous en prie! Pitié!

Mes mains pétrissent toujours votre poitrine, saisissant les tétons entre pouce et index, les étirant, en continuant de vous susurrer les mêmes mots... "Venez...venez... vous avez de beaux SEINS... ils me plaisent... vous êtes une femme.... vous êtes faite pour cela... sentez comme votre FENTE est faite pour m'accueillir"

Mon gland pèse de plus en plus lourdement sur votre vulve étroite, forçant les pétales à s"ouvrir, touchant cette chair qui m'apparait douce comme la soie...

Petits coups de reins qui provoquent sanglots et refus, votre corps qui se révulse, et l'hymen que je sens me barrer le passage...

Mes mains se glissent sous vos fesses et je reste à l'entrée du vagin, faisant de petits va et vient, frottant le clitoris, puis revenant buter sur la membrane.

Parfois, vous sursautez et criez, me délogeant de votre intimité, mais je me remet facilement en place, et vous sentez pratiquement en permanence le contact du gland gonflé et dur sur votre corolle.

Il me devient de plus en plus difficile d'attendre, d'entrer dans ce corps gémissant et tordu entre mes bras, d'une sorte de désespoir.

Vos plaintes sont pour moi une musique qui ne fait que renforcer mon désir...

N'y tenant plus enfin, un coups de reins sec et rapide "HAANNNNNNNNNNNNNNNN" je sens la déchirure de cette membrane sous la poussée de ma tige, et aussitôt , le Priape glisse en vous de quelques centimètres... cela me parait doux et serré à la fois, contracté....

Votre hurlement qui retenti et résonne dans la petite chambre confirme que la pénétration a commence, que cela en est fait de votre virginité, que vous avez écarté les cuisses pour un mâle, que son dard a violé l'entrée de votre antre le plus secret, que vous vous faites prendre, pénétrer... le coït, prise, viol, pénétration, sexe... tous ces mots qui ne faisaient pas partie de votre univers envahissent votre conscience.

Oh! non! Oh! non! Ce sexe qui se fait de plus en plus pressant! S'il vous plait, arrêtez! Oh! pourquoi ne vous arrêtez vous pas? Je suis si faible, je suis si femme, vous devriez avoir pitié de moi. Je vous en prie, laissez moi!

Lâchez mes seins....s'il vous plait, lâchez les. Ooooh! vos mains si fébriles qui poignassent mes seins à leur faire mal. Oooh, vos doigts qui étirent mes tétons, ooh! quelle indécence! Et vos lèvres qui sussurent à mes oreilles mille horreurs, des paroles de fiel qui se mêlent à ses coups de reins insidieux qui font progresser votre gland jusqu'à faire céder mes lèvres intimes et ouvrir la voix à votre sexe.

Noooooon! vous venez de butter sur mon...oh! mon hymen.

Noooooon! retirez vous, retirez vous! Ne faites pas ça! Laissez moi je vous en supplie!!

Je balbutie encore des mots de supplication au milieu d'un fouillis de sentiments qui se mêlent à la panique. Mes muscles vaginaux se contractent à me faire mal, je vous repousse de toute mes forces avant de sentir ce puissant coup de reins, subit, brutal, et volontairement violent qui me cloue au lit.

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahh! Un cri rauque de bête blessée a jailli de ma gorge. Un cri primal, qui n'a rien d'humain, un cri de désespoir aussi. Mon corps est un long frisson, je sens une brulure entre mes cuisses.

Le cri a résonné à travers la pièce et à sans doute franchi les murs. Un cri que jamais cette chambre n'avait entendu avant cet instant.

Mon cerveau s'affole, il passe par mille sentiments contradictoires, une voix me dit "Tu es femme maintenant!" suivie d'un ricanement pervers. "Te voila prise ma fille! à la merci du mâle qui te chevauche!"

Oh! mon dieu! ce sexe qui coulisse dans mon ventre à la recherche de plus en plus de profondeur! Aaaaah! je gémis d'une réelle douleur, la brulure ne faiblit pas et le sexe tendu qui étire mes chairs n'arrange rien. Je crie, je pleure à la fois de douleur et de rage d'être ainsi épinglée telle un papillon par le membre qui me pénètre encore et encore plus loin et jusqu'à atteindre mon utérus. Je m'étonne de n'être pas déchirée, mes chairs sont elles aussi élastiques?

Je suis pleine d'une chair étrangère, un être vivant qui vit en mon ventre, qui me fouille et qui m'explore sans que je puisse l'en empêcher.

J'ai honte, honte de m'être laissée aller, de m'être laissé manipuler et emporter par la cupidité.

"Ma fille, tu vas devoir payer la note" Me dit le petite voix au fond de ma conscience.

Vos mains posées sur mon torse me repoussaient, les ongles sortis, comme pour me faire mal; la sensation de mon gland à l'entrée de la vulve, butant sur l'hymen; vos soubresauts et les sanglots, les mots de refus, les supplications qui déferlaient... Tout cela m'a plu, sans que j'analyse vraiment le plaisir que je ressens à ce qu'il faut bien appeler maintenant un viol... car vous ne voulez plus, même si c'est bien vous qui m'avez invité dans votre chambre, dans votre lit même.

A vrai dire, je m'attendais à cette réaction, et cela sans doute inconsciemment depuis notre premier contact téléphonique... et c'est sans doute ce qui m'a poussé à poursuivre, malgré l'étrangeté de votre attitude: oui, cet instinct de viol, primaire, sommeillait en moi, et je n'avais jamais eu l'occasion de lui donner libre cours.

Et voilà que cette femme étrange me donne l'occasion de la violer, dans son lit, sans qu'aucune menace ne puisse peser sur moi.

Je ne suis pas certain qu'elle me sera reconnaissante d'avoir poussé l'objectif à son terme, malgré ses refus... Car vos soubresauts, vos cris, témoignent d'un grand désordre émotionnel, qui ne peut que laisser des séquelles: comment pourriez vous être la même ensuite?

Le gland butait, je sentais la fente se serrer alors que mes mains malaxaient la tendre chair des seins virginaux... Quand tout d'un coup, après mon coup de reins, cette sensation sublime de déchirer, m'enfonçant d'un coup de plusieurs centimètres... la sensation des chairs écartées, entrant en vous...chairs forcées..; comme une lame ouvrirai votre chair, mon sexe vous ouvre entre les cuisses, cet antre qui devait à jamais rester fermé.

Et votre hurlement, rauque, qui résonne si longtemps, hurlement d'agonie, de désespoir, qui ferai froid dans le dos à quiconque... ce terminant par une plainte rauque continue, alors que le pal progresse au plus profond de votre ventre, comme le serpent du mal, venant butter sur votre matrice, que nos bas ventres sont collés, et vos seins écrasés contre mon torse. Deux corps étroitement et obcénement imbriqués, les cuisses écartées de cette femme, sous les draps, le contact des peau... votre plainte, vos mots, votre souffle, si proche de mon oreille, les tétons que je sens contre ma chair... et vos mots, qui feraient sourire dans un autre contexte, mais me procurent une excitation perverse, me menaçant d'aller en enfer, me disant combien ce que je fais est mal, n'osant même pas nommer les parties de votre corps que je possède, alors que notre intimité ne pourrai être plus totale....

Mes mots qui y répondent, comme voulant choquer, jouer avec vous "Ah, Madame...Vous êtes si étroite....Oh c'est donc vrai... vous n'aviez jamais donné votre petite chatte à quiconque... ohhh elle me plait vous savez, elle sert tellement étroitement ma queue..Oh, et vos seins...AAAHHHHHHHHHHHHHH c'est bon d'être en vous... dans ce lit, comme si vous étiez mon épouse...et que c'était notre nuit de noce...oh, laissez moi toucher vos fesses...."

Ooooh! Il parle, il parle, que de mots crus qui sont autant de poignards plantés dans ma chair. Il est vulgaire, il me dit des choses que je ne comprends pas toujours. bizarrement, pendant que mon corps pantèle sous lui, vaincu et douloureux, mon esprit est au aguets, captant tout de lui et de ses faits et gestes. Je ressens son sexe comme une arme plantée en moi qui laboure mon pauvre ventre torturé. Il est entré loin sans doute au plus profond, je ne saurai dire, j'ai trop de lacunes sur ma propre anatomie, il butte sur quelque chose à m'en faire mal tandis que la brulure de mon vagin s'estompe quelque peu.

Oooh! Il veut toucher mes fesses! Cet homme est un démon! Il veut tout de moi, tout mon corps, mon pauvre corps de martyre qui est déjà à sa merci, tant il a palpé mes seins durement, étiré mes tétons qui sont durs contre son torse.

Ooooh! Non! Je ne suis pas sa femme! Non! Je suis libre, je suis libre! Ma cher liberté, qu'en ai je fait? Il est la dans mon lit à me donner des coups de reins qui me font mal au ventre. C'est donc ça faire l'amour? Comme je plains toutes les femmes du monde!

Oooh! Il s'agite davantage, ses mains glissent sur mes hanches, cherchant mes fesses, je le sens les prendre, les presser, m'attirer à lui encore plus fermement, encore plus intimement, je suis complètement livrée à lui. Je geins, pauvre chose abandonnée sous un mâle dans l'impossibilité de m'opposer à sa prédation.

je vous sens passive, pantelante, contre moi, alors que mes battements accélèrent; j'ai empoigné vos fesses à pleines mains et opère de longs et rapides va et viens... votre visage proche du mien... vos gémissements, sortes de râles, parfois un "Non" bref, qui me semble plus de principe qu'autre chose, car vous devez bien vous douter que je ne vais pas arrêter à ce stade.

Votre corps est passif, comme une poupée malmenée... cependant, je sens les tétons durcis, comme griffant mon torse, et les seins ont gonflé... Il me semble également que mes pénétrations sont plus fluides... Oui, cela glisse mieux, et je réalise que vos parties sexuelles ont rempli leurs fonctions organiques, lubrifiant le coulissement des deux sexes.

Il me semble également que le ton, le son de votre voix s'est modifié... et curieusement, alors qu'ils trahissent des sensations, un besoin d'être libérée de quelque chose, soulagée par moi, les refus ont repris de plus belle... Les "Nooonnnnnnnn" se succèdent, mais avec ce son de voix très spécial qu'ont les femmes lorsque leurs sensations intimes sont éveillées...

L'accouplement prend alors une autre tournure: il ne s'agit plus d'un viol du corps, mais d'un viol de l'esprit, puisque les sensations et les besoins de ce corps, je les ai éveillés malgré vous.

Vous n'aviez sans doute pas pensé que ce besoin de vous soulager furtivement et honteusement, comme vous l'avez parfois fait, je le provoquerai par ma saillie, dont vous n'envisagiez que le côté purement reproductif.

"Hannn hannnn hummmmmmm tellement étroite...;Oh et vos seins ronds, vos fesses... je vous prends...ahhhhhhhhhhhh"

Ma bouche cherche la votre qui me fuit...

Aaaah! Nooon! Non! non! pas ça!

Ma voix est mourante, je le sens bien que je n'ai plus la force de m'opposer à vous et votre sexe enfoncé profondément dans mes chairs. Mon corps tendu s'abandonne, je vous sens aller et venir plus facilement, mes brulures sont moins vives. Il se passe quelque chose en moi, mes seins sont durs gorgés de sang qui les font gonfler comme jamais ils ne le furent. Une drôle de sensation que je ne connaissais pas, un frémissent dans mon ventre, un début d'acceptation.

Oh! Dieu quelle horreur!

Comment accepter ce viol! Je vous ai demandé en vain d'arrêter et vous continuez à pilonner mon ventre de votre dard tendu. Je le sens palpiter de plus en plus fort dans le fourreau étroit de mon vagin ou il va et vient de plus en plus vite.

Je ne peux sortir de mon esprit cette image obscène de cette verge entrée par effraction dans mon corps et qui est maintenant chez elle! Et puis les conséquences qui sont pour moi si paniquantes! Si graves et bouleversantes!

Ooooh! Nooon! Je le répète encore et encore, vous sentant de plus en plus excité de plus en plus proche de cette apocalypse qui me guète et que j'ai provoqué sans me douter à quel point ce serait une épreuve.

Des images, toujours des images qui défilent dans ma tête, des images de bébé, de couches, de nuits blanches, d'allaitement, d'angoisses diverses.

Non! je ne veux plus! Tant pis je resterai dans ma modestie besogneuse actuelle, mais je ne veux pas assumer une grossesse. Je lutte encore un peu, je vous repousse mais votre corps est si lourd qu'il me cloue au lit qui remue comme une mer agitée.

Le lit craque... Je sens en effet que ma tige coulisse de façon plus fluide dans votre vagin, même si celui ci me semble toujours d'une étroitesse rare: celui d'une femme restée longtemps vierge. Je sens votre poitrine contre mon torse, et les mains qui cherchent à me repousser, de plus en plus violemment, alors que les cris de refus continuent de retentir dans la chambre: ils semblent même s'être intensifiés, être devenus plus hystériques à mesure que le coulissement devenait plus fluide, que je sens une certaine humidité facilitant le coulissement, de même que vos tétons me semblent plus durs contre mon torse: une chose est certaine: notre intimité, celle de nos deux corps, ne saurait être plus totale, et ce corps de femme qui réagi ne change rien, même s'il sagit d'un viol, et malgré les circonstances étranges qui vous ont amené à le rendre possible.

Vos cris deviennent déchirants, rauques, résonnant dans la chambre, et trouvant une force qu'on ne trouve que dans les moments ultimes, vous me repoussez avec force, je m'agrippe à vous de mes bras puissants passés autour de vos hanches, malaxant vos fesses, je vous tiens dans la tempête qui secoue nos corps.

Aaaaaaaaaahh, un cri rauque venu du fond de mes entrailles franchit mes lèvres tandis que je sens ce sexe de plus en plus palpitant. Nul doute que dans une poignée de secondes il va cracher sa semence lourde et grasse au fond de mon ventre, j'imagine le gland tendu contre le col de mon utérus: il le pilonne, il le frotte, il l'irrite sous ses frottements.

Je n'en puis plus, je refuse que l'inéluctable se produise, je refuse de tout mon être cette course folle des spermatozoïdes vers mes ovules, et dans ma tête défilent les images mille fois vues à la télévision de petits têtards ondulants. Cette vision me dégoutte, je ne veux pas en moi ces têtards répugnants, non! Jamais!

Et je trouve les forces nécessaires à refouler ce corps lourd qui pèse de tout son poids sur le mien. Mes bras trouvent la force de bander leurs muscles et repousser le torse qui m'écrase, je le sens qui se soulève, cela me donne espoir, je redouble de force et en basculant le bassin je vous sens glisser sur ma peau.

Je me tortille sous vous, balançant mes hanches de droite et de gauche, cherchant à faire sortir de moi ce morceau de chair dur et tendre à la fois. Parfois je suis au bord de la victoire, il me semblerait qu'un rien, un coup de reins, une torsion, le feraient sortir de son antre, mais je n'en ai pas la force. Je sens que je m'épuise, je gémis ma défaite sous vos muscles puissants, je sens votre corps qui se tend, tout ces muscles qui frissonnent soudain et c'est comme une vague violente qui m'emporte, comme un jour de grande marée quand la mer est forte, irrésistible.

Et puis une chaleur subite envahit mon bas ventre.

Vous résistez, vous vous débattez, pourtant je n'ai pas envie de me retirer, au contraire, votre résistance m'excite au plus haut point. Je m'amuse à lutter avec vous, je sens que vous y mettez toutes vos forces, ce qui vous reste de force, vous luttez avec rage et détermination, mêlant vos plaintes à vos mouvements de reculs. Mais je résiste, je me sens fort, mes muscles vous enserrent comme des liens empèchant vos bras de me repousser vraiment. J'aime vos ondulations du bassin pour essayer de vous dégager de moi, elles m'excitent davantage encore, je suis sur le point de jouir la, je sens le sperme bouillonner dans ma verge, je ne peux plus le retenir, il accourt comme le flot, inéluctable, puissant, envahissant. Il gicle soudain, jaillissant de ma verge par saccades brûlantes il inonde votre vagin, noyant votre utérus sous le lait blanchâtre et gras, collant à vos chairs. Je me vide en vous avec force et envie, je râle de bonheur, je vous serre convulsivement contre moi tout en lâchant mes jets de semence et vous interdisant toute fuite.

Vous voila prise, forcée et enfin saillie sous le mâle.

Mon être se révolte quand votre sexe se met à palpiter dans mon ventre en même temps que je sens une chaleur humide l'envahir, des saccades sans fin. Paniquée je suis les jets qui le uns après les autres crachent votre sperme en moi, je ne savais pas qu'il pourrait y en avoir tant! C'est bien trop! Bien trop! Ça déborde, je sens que ça coule hors de moi et jusqu'à mon anus. J'en suis inondée, mon sexe déborde de tout ce liquide gras, un long frisson me parcourt et mon corps se tend comme pour refuser l'inéluctable encore une fois.

Je n'ai qu'une envie, aller me laver. Tout de suite. Il faut que j'aille tout de suite à la salle de bains et que je lave cette souillure qui salit mon ventre. Ainsi j'éviterai le pire. J'esquisse un mouvement, je veux m'esquiver mais votre corps lourd me retient. Je veux vous repousser, je suis fébrile, c'est tout de suite, il faut que j'y aille. Mais vous me retenez, vos bras puissants autour de mon corps ne desserent pas leur étreinte. "Lachez moi! Lachez moi!" Je vous supplie de me lacher maintenant, que j'aille me laver.

"Pourquoi? Pourquoi voulez vous vous sauver si vite? Je vois votre regard paniqué, cela m'amuse, je sais ce que vous voulez faire: vous ruer à la salle de bains et vous laver, la tout de suite. Mais moi je ne veux pas, je suis encore en vous, le sexe raide, à peine débandé, suffisemment dur pour se maintenir entre vos chairs chaudes. Je vous retiens, excité encore par vos tortillements de hanches. Je sens à votre regard que vous allez me supplier de vous laisser, mais il est trop tard chère amie! Sentez vous la cavalcades folles des spermatozoïdes à l'assaut de vos ovules? Il suffit de quelques minutes. Patience, restez la encore un peu et l'un d'eux surement saura atteindre son but pour vous engrosser.

Je ris intérieurement de votre panique, vous l'avez cherché non? Vous avez ce que vous vouliez, vous allez ètre riche désormais, riche et enceinte, c'est bien le but n'est ce pas? C'est bien pour ça que vous avez fait venir un mâle dans votre lit, toucher le pactole du tonton riche comme crésus.

Je voudrais le supplier de me lâcher, je veux le repousser de toutes mes forces mais il ne bouge pas, il est lourd, de plus en plus lourd car mes forces déclinent. Je croise son regard, il a quelque chose d'ironique dans l'oeil, qui me fait penser qu'il ne me lâchera pas. Mes forces m'abandonnent définitivement et je me mets à sangloter, des larmes chaudes coulent sur mes joues, mon corps devient une chose molle comme une poupée de chiffons. Il a senti ma défaite, son sexe s'est durci à nouveau en moi. Ses reins ondulent à nouveau, je laisse faire, il va et vient librement pendant que je pleure doucement, ses mouvments sont doux et lents d'abord. Je ferme les yeux, sensible aux ondulations qui me bercent, je m'abandonne.

Jipai
Jipai
49 Admirateurs