La vieille fille

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Le cupidité piège cette célibataire endurcie.
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Imaginer une femme qui me reçoit, dans le but d'avoir un rapport sexuel avec moi, mais sans le vouloir vraiment. C'est très troublant, très insolite, elle le veut et me repousse à la fois. Nous nous sommes vus en ville, elle m'a expliqué la raison de cette situation étrange: un vieil oncle à elle, un vieux célibataire lui a promis de la coucher (sans jeu de mot) sur son testament pourvu qu'elle aie une descendance. Or, à trente huit ans elle est célibataire m'a t 'elle dit, et probablement encore vierge. La, c'est moi qui le dit. Elle me jauge au fond de ce bistrot derrière la fumée bleue de sa cigarette, je ne sens pas son regard hostile. De mon coté je mets le maximum de candeur et de sérieux dans mon attitude, je crois qu'elle apprécie malgré que je sente en elle une grande froideur, et d'immenses réticences.

La situation qu'elle me décrit m'excite déjà terriblement, mais je sais par expérience qu'il y a loin de la coupe aux lèvres, surtout, ne pas montrer d'impatience, elle peut me dire oui aujourd'hui et non demain. Ne pas s'emballer, feindre même une certaine indifférence tout en étant attentif à ce qu'elle me dit, sans le dire, tout en le disant: Elle a besoin d'un mâle pour l'engrosser.

Patience est le maitre mot, elle dit qu'il faut mieux se connaitre, j'approuve gravement, car ce qu'elle demande est si ...décisif, si particulier ...et si bandant, mais ça, je le garde pour moi!

On se revoit plusieurs fois, en ville, on se connait mieux mais elle hésite toujours. Pourtant son oncle est immensément riche, pour elle cela représenterait des fortunes. Elle me parait pourtant assez modeste, sans doute la promesse de la fortune lui tourne un peu la tête, mais elle n'ose pas, et pourtant, c'est tentant. Cela a duré plus d'un mois, j'ai même cru que je ne parviendrai jamais à sa chambre. Pourtant, elle m'a mené à sa petite chambre au décor un peu triste... Et voilà que je la rejoins dans son lit... un peu comme un mari, au fond...

Mais elle a mis ses conditions, elle a exigé que les volets soient baissés, que le noir soit presque total. Je me déshabille à taton, craignant tomber à chaque instant, buttant sur un meuble ici ou la avant de me mettre nu et de rejoindre le lit.

Ainsi donc je suis dans mon lit allongée dans l'ombre, recroquevillée sur moi comme si un froid intense me glaçait. Je retiens mon souffle quand je vous entends entrer dans la chambre, je distingue que vous êtes nu, vous approchez du lit où je tremble vous soulevez les couvertures, je pousse une légère plainte et je vous sens vous glisser contre moi, je me recule le plus loin possible tout au bord du lit.

En me glissant dans le lit, à vos côtés, j'ai bien senti le contact d'une cuisse et d'un bras nu... Mais j'ai également enregistré le mouvement convulsif de recul que cela a provoqué chez vous... En effet, je me suis entièrement déshabillé, jetant mes vêtements au hasard vers une chaise que je distinguais à peine dans l'obscurité. Une fois dans le lit, je remonte les couvertures sur nous, afin de créer un espace plus intime, peut être un peu hors du temps: je sais que je suis là à votre demande, et je n'ignore pas la raison de cette demande, mais je sais également qu'il y a quelque chose d'anormal: votre attitude glaciale, et ces mouvements convulsifs de recul aux deux occasions où je vous ai frôlée. Je me dis que vous avez peut être un problème avec la sexualité et que vous essayez ainsi de le surmonter, vous rendant compte que votre jeunesse s'enfuie. Curieusement, cette situation provoque en moi une excitation cérébrale trouble, car basée sur votre attitude froide. Je reste un moment immobile; le silence est lourd, et on n'entend que le tic tac du réveil. Vous ne vous êtes pas approchée de moi, cependant, sachant ce que vous attendez de moi, ma main vient effleurer une hanche fine et nue... la peau est douce, mais froide, sensation étrange qui me picote les doigts...

Je sursaute, je fais presque un bond dans ce lit froid, j'ai senti votre main effleurer ma hanche, j'ai envie de crier de vous demander de vous retirer, je me mords les lèvres pour ne pas le faire. Je ferme les yeux et au prix d'un énorme effort sur moi je vous laisse me toucher. Finalement votre main est chaude et douce, j'apprivoise mes tremblements, je me force à penser que c'est la ma dernière chance et surtout au bout de ce calvaire il y a la fortune. Votre main effleure doucement ma hanche, à chacun de ses mouvements ma peau est électrique, à la limite de l'hystérie je mords toujours mes lèvres et si je continue je vais finir par me mordre pour de bon. Mon corps refuse et se tord alors que ma raison le contraint à accepter cette main qui le touche. Mon ventre froid semble soudain se réchauffer un peu, une légère détente, je me fais violence pour lui dire de se laisser faire, ça semble marcher, comme un cheval sauvage dont on corrige la fougue, j'accepte cette main.

Au contact de ma main, j'ai senti votre corps sursauter, se révulser, et j'entends que vous étouffez des mots... une sorte de grognement... la peau est froide, mais après ce sursaut de votre part, votre corps reste à portée, et je peux caresser la hanche nue et mince... progressivement, ma caresse se fait plus audacieuse, évoluant graduellement vers vos fesses, dont je sens la rondeur menue... elles sont froides aussi, mais fermes et douces... J'entends alors comme un sanglot, accompagnant ce qui me semble être un mot de refus étouffé; curieusement, cette attitude glaciale provoque en moi une excitation trouble...

"Oooh, non" ai-je gémi en sentant cette main ramper sur mes fesses qui se crispent malgré moi. Cependant je résiste à cette envie presque irrépressible de vous repousser, je pense très fort à cette masse d'argent qui m'attend, je me concentre très fort sur elle pendant que cette main progresse et explore mon corps. Oui, cet argent mais à la condition si contraignante pour moi, si monstrueuse, si insensée qui me fait passer par ces moments si humiliants. Je suis près des larmes, je retiens mes sanglots pendant que cette main me caresse. J'oublie, j'essaie d'oublier ce contact, je me force à l'indifférence, je me rassure en me disant que ce sera juste une fois et puis après....

J'ai soigneusement choisi ma période, je sais que je suis féconde depuis hier soir, un léger changement de température et puis...Enfin, le vagin lubrifié.

Curieusement, ce mot de refus, ainsi que le corps froid qui se crispe sous mes attouchements provoque en moi un plaisir trouble... Je fais durer ce plaisir, avec une sorte de sadisme, caressant les fesses menues longuement, ma caresse se faisant graduellement plus forte, plus possessive, les doigts sculptant en quelque sorte cette chair froide; à chaque graduation de mon emprise, j'entends comme une sorte de sanglot, une crispation de votre corps, une sorte de lamentation qui s'échappe de vos lèvres... c'est un plaisir étrange de jouer ainsi avec vous, votre corps, vos réactions... englobant bien vos petites fesses, mes mains attirent votre bassin vers moi; nous sommes allongés sur le côté, et dans le même geste, je me suis approché de vous, sentant un bref instant le contact de votre poitrine, que je devine petite, mais bien galbée sous les draps... mon visage cherche le vôtre, je sens le contact des cheveux, votre souffle, ainsi que l'humidité des larmes... j'entends également de très prés les petites plaintes que vous poussez alors que ma bouche cherche la votre...

Je sens que vous vous enhardissez, votre main se fait plus pressante, plus curieuse de mes formes. Je mords mes lèvres, je gémis mais ces gémissements ne sont pas de plaisir, je sens prise dans un piège dont je ne peux plus sortir. "Il va falloir que tu y passes" cette phrase, et ce qu'elle signifie, que j'ai entendue plusieurs fois, qui sent la défaite de la femme, je l'ai toujours repoussé avec morgue. Elle me revient à l'esprit et s'incruste dans mon crâne bouillonnant de sentiments si contradictoires. Je décide d'oublier tout mes principes, tant pis, "je me laisse faire" me dis je en rassemblant ce que j'ai de courage. La main qui frôle mon sein, encore un sursaut, une crispation, un frisson qui me parcourt l'échine. Dire qu'il va falloir subir les attouchements de cet inconnu. Heureusement qu'il ne m'est si antipathique, j'ai bien fait de demander sa photo avant d'envisager une rencontre. Courage, ce n'est qu'un moment à passer, après il faudra encore attendre et puis ce sera la délivrance, je pourrai montrer fièrement au monde entier que je suis bien une femme au sens le plus profond, capable d'enfanter et de brandir sa progéniture à la face de la famille et de ce vieil oncle si exigent et qui tient tant à la lignée. Cette main, encore timide, mais je sais que bientôt elle ne le sera plus, oh! Quel calvaire, et puis un inconnu dans mon lit, cela est bizarre, j'ai tellement l'habitude de dormir seule, je ne suis plus chez moi, quelqu'un viole mon intimité. Cet inconnu à la main si baladeuse. Pourquoi faut il en passer par la?

Ma main s'est aventurée et a frôlé le sein, contact du téton contre ma paume, bien sûr, j'ai enregistré le sursaut de tout votre être à ce contact, sursaut qui a fait que vos jambes, sans doute involontairement, se sont mêlées aux miennes, pour aussitôt se dégager...Toujours ma main qui se fait plus possessive, enrobant totalement un sein, pour sentir à nouveau votre corps se révulser avec une plainte de refus, sortant de votre bouche si proche de la mienne, mais se dérobant chaque fois que j'essaie d'y déposer mes lèvres, mes deux mains sont à présent sur vos seins, et dans le secret des draps, je les caresse, les presse, en reconnaît la forme, en éprouve la fermeté et l'élasticité... mon désir monte au son des «Oh Noooonnnn» plaintifs qui sortent régulièrement de votre bouche, comme une psalmodie. J'aime le son de votre voix, à cet instant précis, ayant l'impression de commettre un viol, mais à la demande de la victime. Cet instant me semble délicieux, et j'en suis très surpris, car je n'aurai pas imaginé apprécier une telle situation, aussi, je prend mon temps, palpant les seins froids, mais si agréables au toucher, provoquant de nouvelles plaintes, que ma bouche parvenant un bref instant à capter la votre, bois avec délices.

Il prend mes seins! Il les masse, il les pelote, non pas comme le gynéco que j'ai consulté avant de prendre cette décision qui m'engage sur le reste de ma vie, mais comme un satyre qu'il est. Je sens ses jambes contre les miennes et puis son sexe dressé, chaud et curieusement doux qui presse contre mes fesses. Ses lèvres effleurent mon épaule, s'y posent, révélant mieux sa fièvre, son envie de moi. Je me recroqueville davantage, je voudrais disparaître de ce lit devenu si hostile mais l'inconnu m'enserre de ses bras il a pris possession de mes seins qu'il masse profondément, mes seins qui réagissent qui durcissent malgré ma réticence, échappant à mon contrôle, leurs pointes s'érigent et j'en ai honte de montrer ainsi une quelconque attirance physique envers lui. Ses genoux essaient de forcer mes cuisses pendant qu'il voudrait atteindre mes lèvres pour y poser les siennes, je résiste sur les deux fronts mais je sais que c'est en pure perte. Son genou qui me fait mal, qui force de plus en plus, j'ai mal aux muscles de mes cuisses tellement je les serre. Ses lèvres cherchent les miennes avec plus d'insistance, mon pauvre corps lui appartient maintenant, je suis au bord de la rupture. Une longue plainte exhale de mes lèvres, une plainte de bête touchée à mort et qui sent venir la fin. Mes genoux vont céder et ma bouche est déjà couverte de ses lèvres chaudes. Oh! il veut ouvrir ma bouche de sa langue curieuse qu'il glisse entre mes lèvres. Je frémis de dégoût, je résiste, je résiste et puis vaincu je lui abandonne tout mon être. Mon corps s'est abandonné d'un coup, je suis devenue soudain une chose molle et sans force. Une grande panique me saisit tandis que des sanglots envahissent ma gorge.

Je sens les petits seins et les tétons durcir sous mes paumes, preuve que ce corps froid peut néanmoins avoir certaines réactions.... ma langue a réussi à forcer vos lèvres hermétiques qui ont finalement cédé... Néanmoins, mes jambes contre les vôtres, mon genou ne parvient pas à écarter vos cuisses que je sens convulsivement serrées... mes doigts insistent sur la poitrine, étirent les tétons, prenant plaisir à palper cette chair élastique... ma bouche a quitté la votre pour venir à votre oreille, et mes mains sont à présent posées sur vos cuisses; "OUVREZ VOUS, MADAME" dis je tout bas, alors que je tente d'écarter vos cuisses... D'un coup, je sens qu'elles se desserrent alors qu'un profond sanglot, presque un cri s'échappe de votre bouche.... Aussitôt, mes mains caressent l'intérieur de vos cuisses, remontant toujours plus haut, accentuant les sanglots; votre respiration me semble devenir oppressée... Jusqu'au moment où mes doigts se posent légèrement sur la vulve... J'entends à nouveau un cri "Non, je vous en prie, je ne pourrai pas" alors que vos mains posées sur mes poignets tentent de repousser la caresse; mais je résiste et mes doigts ouvrent le sexe, se glissent dans les tendres replis, doux mais froid, comme de la soie...Toujours votre souffle plaintif prés de mes oreilles; et le doigt qui cherche le clitoris, et l'entrée de votre vagin... Mon sexe est raidi, chaud et dur contre votre cuisse, comme le tison dur dont vous sentez qu'il ne demande qu'à entrer à l'endroit où sont mes doigts, comme un serpent maléfique, n'attendant que l'occasion de vous souiller... Pourrai vous aller jusqu'au bout? A ce moment, j'entends votre voix pathétique prononcer mon prénom... "NICOLAS..."

"Ouvrez vous madame" il a dit "ouvrez vous madame" et tout mon corps se détend d'un seul coup. C'est ma défaite, aussitôt je sens ses doigts qui caressent mes cuisses, je les ressens dans ma chair et ils me tirent de longs frissons le long de mon échine. Mon cerveau essaie de ne pas paniquer, il tente de garder le contrôle de mon être mais tout va si vite qu'il ne peut contenir ce flot d'émotions qui me submerge. Des mains chaudes courent sur mes cuisses, elles remontent vers mon pubis, je gémis un long sanglot pour exprimer ma panique mais les doigts sont la, prenant possession du plus intime de moi. Je murmure des "non, non" d'une voix tremblante, presque mourante mais les doigts insistent sur ma fente, ils l'entrouvrent, je veux échapper à cet examen obscène, je veux me tourner me mettre sur le ventre mais l'homme me saisit aux épaules et me fait pivoter sur le dos de telle sorte que je suis à sa merci. Il a mis un genou entre mes cuisses et sa main explore ma fente, ouvrant mes lèvres et écartant mon vagin. Il tire encore des plaintes de ce corps révulsé et tendu pendant que ses doigts curieux de mon intimité pénètre en moi. Il cherche mon clitoris, il le trouve et une décharge électrique traverse mon corps. Je pousse un long gémissement tandis que ses doigts caressent ce petit doigt de chair que je sens se dresser. Contre ma cuisse je sens son sexe qui durcit, une chair vivante et palpitante qui semble prendre de plus en plus d'ampleur. Oh! Il me parait si gros, comment cela pourra t il se faire? Il ne va pas entrer, cela va me faire très mal, non, je ne peux pas, je ne peux pas, ce sera trop dur, je ne pourrai pas! Cependant ses doigts dans mon vagin font de lents va et vient, pas si désagréables, comme le plaisir que parfois je me procure quand trop de tension noue mon corps. Mais je ne le fais que rarement et avec une grande honte résiduelle qui me poursuit pendant des jours. Aaaah! J'ai poussé ce cri presque de plaisir. Nicolas!

Mon doigt va et vient en vous, vous ouvrant de plus en plus profondément; il revient de temps en temps sur votre clitoris que je sens dressé et durci, dans une réaction organique de votre corps... En effet, les "nooonnnn, pas çà... je vous en prie..pas ainsi" se répètent comme une psalmodie à travers vos sanglots... peut être parce que les choses ne se passent pas comme vous l'espériez... Vous pensiez un acte simple, presque clinique, permettant votre fécondation, et voilà que mes attouchements vous mettent dans cet état où vous vous trouvez, lorsque seule vous succombiez à des caresses solitaires vous plongeant dans la honte, de même que les réactions de votre corps vous mortifiaient. Je sens à présent une humidité qui permet à mon doigt d'aller et venir plus facilement... votre corps se tord, révulsé, comme à la recherche d'une libération physique, votre visage grimace, alors que les refus continuent de ponctuer chacune de mes caresses... Mon sexe a encore gonfle et durci, et je le frotte doucement contre votre cuisse. Je finis par retirer mon doigt du vagin, et vous sentez que je change de position, m'allongeant sur le flanc, et vous mettant vous aussi, face à moi, sur votre côté... Toujours positionné entre vos cuisses, ma tige a touché votre pubis. Vos mains me saisissent alors par les poignets... vous me regardez dans les yeux, suppliante, pathétique: "Nicolas, non, je ne veux plus, pas maintenant, pas ainsi, je ne pourrai pas, j'en mourrai...Nooonnnn, je vous en prie...."

Oh! Ce doigt qui me fouille de façon si intime affole mes sens, il éveille un mélange de jouissance mais aussi de honte. Mon éducation chez les sœurs m'interdisait toute sorte d'attouchement et je ne l'ai fait qu'après des résistances sans fin, des tortures au fond de mon lit, des nuits passées à me tourner et me retourner serrant mes cuisses de toutes mes forces. Parfois, vaincue, je laissais mes doigts errer sur mon pubis, l'accompagnant de plaintes douloureuses jusqu'à une jouissance étriquée et honteuse qui me laissait frustrée et mortifiée, courant à l'église pour confesser ma faute. Dans quel piège me suis je jeté? Dans les bras de cet inconnu qui excite ma fente malgré moi. Son doigt va plus vite en moi, je serre les dents pour ne pas laisser entendre une quelconque satisfaction. Soudain il me prend aux épaules, il me tourne vers lui sur le flanc, je sens son membre toucher mon pubis et une terreur profonde me saisit. "Nicolas, Nicolas! Arrêtez! Je ne suis pas prête, je ne veux pas, pas maintenant, pas comme ça! Je prends ses poignets que je serre convulsivement pour empêcher qu'il ne me touche. Mais l'homme est fort, il me repousse sur le dos au milieu de mes sanglots il murmure à mon oreille des mots apaisants qui n'atteignent pas mon cerveau, sa voix n'est qu'un son étouffé lorsque sa cuisse toujours entre les miennes m'écarte un peu plus. Il me repousse, je retombe sur le dos, je sens son corps glisser sur le mien, oh! Comme il est lourd, comme il pèse, paralysant mes gestes de défense. Son sexe frotte le mien, une panique noire me saisit, je grogne comme une bête blessée, harcelée par les chiens. "Ne faites pas ça! Non, pas maintenant! Pas la! Je ne suis pas prête, jamais je ne pourrais... Je panique en sentant son sexe qui me parait énorme, je me dis que jamais il ne rentrera, qu'il va me déchirer le ventre, il va me faire mal! Mon Dieu! Que suis je en train de faire? Ma cupidité m'a perdue! Comment expliquer tout ça à ceux qui me connaissent, comment justifier une grossesse! Ooooh nooon!

Positionné entre vos cuisses, j'entends avec une sorte de plaisir sadique (Instinct que je découvre en moi) vos plaintes douloureuses et les mots de refus alliés à mon prénom: j'ai l'impression d'être transporté dans un autre monde, une autre période, où les femmes ne pouvaient être possédées que forcées, et n'éprouvaient pas de plaisir, ou alors un plaisir douloureux moralement et combattu dont elles avaient honte: le sexe était alors une arme de contrôle absolu (voire de torture morale) pour le mari, non seulement sur le corps, mais aussi sur l'esprit, l'âme de son épouse: j'ai l'impression d'être un de ses maris là... C'est donc avec un plaisir pervers que je fais durer la situation, promenant mon gland gonflé et dur sur la soie de la fente étroite, savourant non seulement ce contact doux et froid contre le sexe féminin fermé, mais aussi vos plaintes et vos mots qui veulent me dissuader, faire machine arrière en quelque sorte. Mais pour l'instant, j'en reste à un contact très superficiel, et je laisse mon gland bien appuyé sur la petite chatte défendue.... Prolongeant ce contact, mes mains sont revenues sur vos seins, les possèdent à pleines paumes, les malaxes, comme pour faire écho à vos plaintes, et vous signifier que vous êtes à présent mon instrument de plaisir. En me livrant à ces actes odieux, je vous murmure à l'oreille des mots avec une douceur vénéneuse..."Allons calmez vous... Faire l'amour est naturel... sentez comme votre sexe est fait pour le mien... vous êtes une femme... comme une autre...votre corps est fait pour cela...allons..Allons... HHmmmmmmmmm"

Jipai
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