La Thése...

BÊTA PUBLIQUE

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- Veux-tu la goûter? Je suis sûr que tu aimes aussi ce genre d'esquimau...

Mon hésitation est de courte durée car François pousse doucement ma tête vers l'engin. Je me contente d'ouvrir la bouche. La chaleur de cette chair envahie ma bouche et me fait frémir. François continue de presser ma tête. La verge s'enfonce jusqu'à ce que le gland tape le fonds de mon palais. Je referme mes lèvres autour de l'engin.

Éric pousse un long soupir de contentement.

- Je préfère nettement sa bouche que sa main.

Je goûte avec délectation la texture de la peau. D'habitude, je n'aime pas trop sucer un mec. Je trouve cela dégradant. Mais là, je suis une autre femme. J'apprécie le goût, la douceur de soie, l'odeur de sueur et d'homme. Je commence à le sucer.

Il se laisse faire sans bouger, jambes largement écartées et à moitié étendu sur le lit. Je ne sais pas ce que peut faire François. Je suis concentrée sur ma fellation. Je vais de plus en plus vite le long de la hampe. Je serre le gland contre ma langue. Je tente de l'avaler quand il pousse ma luette, me donnant envie de vomir. J'ai envie de le prendre au maximum de mes possibilités buccales. Je trouve que je me débrouille bien. Lui aussi car il n'arrête pas de gémir doucement en disant que c'est bon et que je suis une fille super.

C'est moi qui extrait ces boules de son caleçon et qui les prend en mains pour les malaxer et les serrer tendrement. Je les sens vivre et battre au creux de ma paume. Je tête le gland en pressant la bourse.

Brusquement François est debout sur ma gauche. Il est nu. Il se branle lentement en nous regardant.

- T'a une belle queue.

- La tienne est pas mal non plus.

- C'est sympa de votre part.

- Quoi?

- D'avoir accepté une partie à trois.

- C'est grâce à elle.

- Oui elle est sympa ta copine et elle a l'air de bien savoir sucer.

- C'est pas ma copine!

- Quoi! Mais vous étiez ensemble au ciné.

- Ben oui. Je me suis assis à côté d'elle. Je voulais la draguer C'est tout.... Qu'est-ce-que tu crois!...

- Mais c'est qui alors?

- Je ne sais pas!

- Attends, t'es en train de me dire qu'on fait une partie à trois sans se connaître..

- Je crois bien oui.

- C'est dingue!...

En les écoutant, j'ai envie de rire tellement l'évidence me semble saugrenue. Je redouble d'ardeur et Éric ne parle plus pour profiter du traitement que j'inflige à son membre. François se branle plus vite.

Je serre très fort les couilles d'Éric qui crie. Je relâche pour avaler son sexe au plus profond. Je le branle en même temps. Cela semble l'envoyer au septième ciel.

- Attention... Je vais tout lâcher... Fait gaffe!.....

Une force en moi me pousse à le garder en bouche. Je me colle contre son bas-ventre en ouvrant mes lèvres au maximum. Mon nez plonge dans les poils du mec. J'aspire sa queue.

- Attention....

Son gland lâche de grandes giclées âcres qui s'écrasent sur ma glotte et me font tousser. Je ne perds pas une goutte de sa semence qui plonge directement dans ma gorge. Il jouit fort et longtemps en râlant et moi j'avale le liquide très épais au goût salé. Je suis complètement folle. Jamais je n'ai bu autant de sperme et en plus généralement je refuse ce genre de chose, même avec les mecs à qui je tenais. Je ne reconnais plus ni mon corps ni mon cerveau.

Je le garde dans ma bouche encore de longues secondes avant de le laisser enfin sortir. Il est gluant de salive et de sperme. Éric est très surpris de mon comportement. Certainement pas autant que moi. Il me sourit affectueusement.

- Merci... C'était super.... T'es une drôle de fille toi...

Je ne réponds pas. Il se lève pour aller se nettoyer.

François me tourne la tête vers son membre qui pointe vers le plafond. Ils a de très grosses cuisses. Il est bien plus poilu qu'Éric. Plus lourd et plus costaud aussi. Ses poils noirs couvrent complètement son pubis d'où émerge sa verge. Elle me semble plus longue que la précédente. Mais pas plus épaisse. Par contre ses couilles pendent plus bas et elles sont très lourdes et grosses. Il ne fait rien pour me forcer. J'ai le visage devant son bas-ventre musclé. Il a des tablettes de chocolat sur l'abdomen. Je regarde ce sexe.

Nous sommes en pleine journée dans cette pièce d'étudiant. Je suis avec deux types que je ne connais pas et je viens d'en sucer un après avoir jouis comme une folle au ciné. Je me suis baladée sans slip dans la rue aux bras de ces mecs qui ignorent mon prénom. Ils doivent me prendre pour une pute. Je m'en fou. Je ne sais pas ce qui se passe. Mon corps ne cesse de réclamer du sexe.

Le gland de François pointe hors de son fourreau. Je sors ma langue pour lécher le méat. Je parcours la verge sur toute sa longueur. L'odeur de sueur est plus forte. La peau a un goût rugueux. Les poils râpent ma langue. J'ai envie de gober les couilles. Je le fait.

- Super.... Continue. Continue s'il te plaît.... Génial...

Je lèche longtemps tout le membre, le recouvrant d'une pellicule de salive. Je joue avec en le branlant, le lapant. Je pompe très fort le gland en serrant la racine. Çà le fait crier. J'effleure le bout du gland avec la pointe de ma langue. Il a du mal à contenir son excitation.

Éric revient derrière François. Je vois ses mains se poser sur les fesses du mec que je suce. Je mouille comme une folle. J'ai envie de ma branler. Éric caresse les fesses de François qui se laisse faire en me tendant son sexe.

- T'as de belles fesses

- On me le dit souvent...

- T'es bi?

- Plutôt hétéro mais j'ai rien contre les expériences nouvelles.

- T'as déjà fait avec un mec?

- Oui.

- Moi aussi.

- Super... Continue avec mes fesses.... Putain ce qu'elle suce bien...

Les mains d'Éric pétrissent les fesses du type que je suce. Elles les malaxent, les flattent, les serrent, les écartent. François se laisse faire.

Moi je m'occupe de son sexe.

- Elle suce bien hein?

- Oui elle est vraiment géniale.

- Elle a la bouche très douce. Une bouche de velours.

- Je ne vais pas tenir longtemps.... Surtout avec tes mains sur mes fesses...

- Je peux faire d'autres choses si tu veux.....

François ne répond pas. Je sens sa bitte se cabrer dans ma bouche. Il est de plus en plus excité. Les veines pulsent contre ma langue. Je lui serre les couilles en l'engloutissant au maximum. J'aimerai avoir encore une main pour me caresser en même temps. Je mouille tellement que je sens mes poils devenir humides.

- Vas doucement.... Doucement j'ai pas trop l'habitude.....

Je ne sais pas à qui François s'adresse. Je continue. Une de mes mains abandonne la hampe pour filer vers mon entrejambe. J'ai envie de crier de plaisir quand mes doigts pressent mon clitoris gonflé. François n'arrête pas de contracter ses fesses.

- Attends je vais mettre de la salive....

Je comprends enfin ce qui se passe. La situation est complètement dingue. Alors qu'il y a à peine trois heures, je me faisais chier sur ma thèse, je me retrouve en train de sucer François en me masturbant en même temps. Alors qu'Éric est en train de mettre un doigt dans l'anus du mec que je suce.

- Suce plus vite.... Oui comme ça.... Vas-y serres moi fort les couilles... Oui c'est trop bon...

- Et mes doigts dans ton cul? Ils sont bons?....

- Y-en-a combien?

- Deux mon pote....

J'accélère le rythme de ma fellation et je me caresse en cadence. Mon clitoris est très gonflé. François me plaque la tête. Son épée occupe toute ma bouche. C'est trop bon. Je vais jouir. Impossible de me retenir plus. Je jouis quand François lâche sa purée dans mon gosier. Je bois en me cabrant sous le plaisir qui m'inonde le ventre. J'ai l'impression que j'explose dans tout le ciel. Les ondes sont tellement fortes que j'ai mal aux reins.

François lui, se vide dans ma bouche avec les doigts d'Éric fichés dans son fondement. Mon dieu que c'est bon. Il y a tellement longtemps. Je crois que je suis folle de bonheur...

J'ai du mal à me relever et j'ai mal aux genoux. Mais je m'en fiche. J'ai aussi les mâchoires ankylosées. Je m'assoie sur le lit. François va se nettoyer. Je n'ai pas honte du tout de rester nue au milieu d'eux. Ils restent aussi à poil.

Ils ne savent pas quoi dire et je n'éprouve pas le besoin de parler. Nous nous regardons. Nous nous sourions. Il se crée une espèce de connivence nouvelle entre nous. Mélange d'amitié et d'inconnu.

Éric me propose d'aller me laver. Je le fait devant eux. Ils me regardent nettoyer mon intimité. Je n'hésite pas une seconde à ouvrir mon sexe devant eux pour bien me débarrasser de mes sécrétions intimes. Ils se lavent à nouveaux devant moi et je ne peux ignorer que leurs sexes sont loin d'être au repos. Ils ne bandent pas à fonds, mais ce n'est pas loin. Je trouve les corps de ces deux hommes très beaux.

- Tu as de jolis seins.

- Oui t'as des seins magnifiques.

- Presque aussi beaux que tes fesses.

- Viens.... N'ai pas peur.... Viens sur le lit...

J'ai pas peur. Au contraire, je suis très bien avec eux. Ils sont doux, tendres, sympa. Je me laisse entraîner sur le lit.

Ils me couchent. Ecartent mes bras, puis mes jambes. Ils se mettent de chaque côté de mon corps alangui. Nous restons couchés. Leurs doigts parcourent mon corps me faisant frissonner. Ils explorent tous les coins, tournent autour de mes seins, descendent sur mon ventre, frôlent mon pubis, pour revenir sur mes tétons turgescents. C'est délicieux et en même temps stressant. Les mains courent se blottir dans les endroits les plus intimes pour se focaliser sur mon bas-ventre. Je m'ouvre encore plus sous leurs caresses. Je les sens explorer les bords de mon sexe ou descendre sur mon anus.

- C'est bon la chatte d'une femme

- Oui je n'en n'avais jamais vu une aussi bien, en plein jours et de cette manière.... Écarte-lui bien les lèvres...

- Regarde son bouton comme il est gros...

Les frissons me parcourent sans relâche. L'envie revient au grand galop. Quand un doigt s'insinue dans mon vagin, je me remets à mouiller.

- Enfonce lui bien profond.... Moi je vais autre part....

- OK mais après on change...

Un autre doigt pousse doucement par la porte de derrière. Je dodeline de la tête. Les doigts deviennent de plus en plus pressants des deux côtés. Deux doigts me caressent les parois vaginales, pincent mon clito, s'enfoncent dans les profondeurs de mon conduit bien lubrifié. Un autre a ouvert mon anus pour s'y glisser doucement. Ils m'embrassent les seins en même temps. Je ne suis plus que frissons. L'envie devient infernale. Je n'arrive plus à me contenir.

- Prenez-moi.... Prenez-moi..!

Ce sont mes premières paroles dans cette pièce. Plutôt des balbutiements. Ils mordent mes seins. Les doigts dans mon cul et dans ma chatte me procurent des pulsions frénétiques. Ils me faut leurs sexes.

- Prenez-moi... Vite...

- A toi de choisir Éric ...

Éric se couche sur le lit. Je l'enjambe. Je m'assoie sur lui. Son sexe se fiche dans mon vagin béant. Je pousse un feulement de plaisir. Son gland va loin. Très loin dans mon antre liquéfié. Je m'empale avec bonheur sur sa bitte bien droite. Il me pince très fort les seins. Je vais devenir folle. Je commence à le chevaucher. Je sens son vît racler mes parois et je serre les dents pour contenir le plaisir qui monte en moi.

Il tire mes seins vers lui m'obligeant à me pencher. Il me serre contre lui. Mon torse frotte contre les poils du sien. Je suis complètement ouverte, investie par ce pieu. C'est lui qui donne des coups de bassins et fait coulisser son mandrin dans ma chatte. Ma bouche se plaque contre la sienne. Sa langue investi mon palais.

- Restez comme ça... Gardes la comme ça.... Écarte tes jambes Éric.... Ouvre la bien...

Il le fait m'ouvrant encore plus si c'était encore possible. Ses bras musclés entourent mon torse pour bien me coller contre lui. Une de ses mains plaque ma tête contre la sienne. Sa langue fouille ma bouche aussi loin que son sexe ma chatte. Je reste comme cela, pantelante de désir, à subir ses assauts virils.

J'ai un peu peur quand je sens une pression sur mon anus dévoilé. Je me tend. François le comprend.

- N'aie pas peur chérie... Tu dois avoir l'habitude....

Dans sa bouche, le mot chérie avait un coté trivial ou vulgaire sans aucune tendresse, même si il y avait une certaine douceur. Je n'avais jamais offert ce passage à mes amants précédents. Bien sur certains avaient essayaient de me convaincre de les laisser entrer par là. Je m'y étais fermement opposée. Mais à cet instant précis, je n'avais ni la force ni l'envie d'opposer la moindre résistance. J'étais bien trop excitée par le sexe qui me fouillait le ventre pour me révolter ou me rebeller.

- Tiens la bien Éric.... Essaies de ne pas trop la faire bouger..... C'est dommage que tu ne puisses pas voir ce petit trou tout plissé...

- Y a du gel dans le tiroir de la table de nuit si tu veux.....

Je les entends sans les écouter. Éric me serre fermement contre lui et bouge très lentement dans mon ventre ouvert. Son torse poilu frotte contre mes seins écrasés. Ses bras m'enlacent avec puissance et ses jambes écartent les miennes. Son gland caresse le fonds de mon utérus glissant.

Je frémis quand un liquide froid coule le long de ma raie bien ouverte par la position ou ils m'ont mise. La langue d'Éric se fait pressante dans ma bouche.

- Laisse toi faire, je suis sûr que tu adores par la aussi....

La bitte de François est contre mon anus. Il m'agrippe par les hanches pour bien assurer sa position. Il pousse doucement et revient plusieurs fois à la charge sans résultat.

- T'es serrée dis donc!

Qu'est-ce qu'il croit? Que j'offre mon cul tous les jours?

Pourtant c'est ce que je fais en ce moment. Vu mon comportement, ils ne peuvent pas savoir. Pour eux, je suis une fille facile qu'ils viennent de lever dans un ciné. Une fille qui accepte de faire une partouze avec des inconnus.

- Attends ma poule tu vas voir.

Il me serre par la taille. Son gland pousse très fort. De plus en plus fort. Je me cabre. Sous la douleur. Éric ne bouge plus et me maintien de toute sa force. Je tente de me débattre. J'ai lâché la bouche d'Éric. Brusquement, sous une poussée plus forte encore, mon anus s'ouvre d'un coup. Le gland passe. Mon anus se dilate autour du gland. Je me trémousse. Ils me bloquent.

- Laisses toi faire.... T'attends que ça.... Tu vas voir comme c'est bon deux queues ensembles....

Le gland passe m'arrachant un cri de douleur. Éric recommence à me pistonner très lentement la chatte. François continue à pousser contre mon cul. Je crie de nouveau. J'ai mal et je ne peux rien faire pour empêcher la verge d'entrer. Çà glisse trop bien. Mon excitation tombe d'un cran sous la douleur qui augmente. C'est comme une boule de feu qui m'irrite l'anus.

Éric va plus vite. Dans ma chatte qui dégouline. Son sexe très épais frotte contre mes parois lubrifiées. Je suis ouverte de tous les côtés. J'ai mal au cul. Comme du plomb fondu.

- Elle coule tellement que ça sort de sa chatte.... T'en ai ou?.... J'ai envie de lui défoncer la moule à la chérie!

Une douleur terrible. Mes intestins explosent sous la pression. Impression de me remplir par en bas. Envie de vomir et de chier. Mon cri emplie la pièce. J'ai le souffle coupé. La bitte est entrée d'un coup dans mon fondement, écartelant mon conduit anal, frappant le fonds de mes intestins.

- Tu peux y aller mon pote! Elle l'a entièrement dans le cul la mignonne... Tu vois avec ce genre de fille aucun problème...

Éric recommence à me tringler. François commence et trouve le même rythme. Ils vont me casser, me déchirer, m'empaler vivante sur leurs deux sexes. Je crie sans arrêt. Douleur. Douleur...

- Pourquoi tu cries?

Je ne sais pas qui m'a posé la question. Je ne sais pas pourquoi je crie. Les vagues de plaisirs reviennent. Je me tais. La bitte dans mon cul m'aspire de l'intérieur chaque fois qu'elle sort. Quand elle revient, mon intestin l'avale. La peau frotte contre mon muscle anal. La bitte dans ma chatte tape durement contre le fonds de mon ventre. A certain moment quand les deux sexes sont enfoncés au maximum en même temps, ils tapent ensemble de chaque côté me faisant crier de bonheur. C'est moi qui jouis la première. Encore une fois.

Ils accélèrent à la recherche de leurs plaisirs. Je deviens poupée entre leurs corps. Je leur donne mes deux trous sans regret. Les glands tapent de plus en plus fort, de plus en plus vite pour me remplir ensemble de sperme chaud. Ils se vident dans mon corps.

J'ai une conscience aiguë des jets qui s'écrasent par saccade dans mon vagin et mon derrière. Leurs virilités tendues gonflent mes entrailles malmenées, les noient de semence.

Je les laisse faire haletante, encore sous la force de cette jouissance qui me parcoure. Je suis folle de sexe et de plaisir. Aucune douleur, aucun remords, aucune honte. Rien. Rien que du plaisir. Plaisir d'avoir reçu et plaisir d'avoir donné.

Nous sortons lentement de l'extase. On se lève. On s'ébroue. On se regarde. Je suis assez sale. Cela ne me dérange pas. Ils me regardent. Je soutiens leurs regards.

- T'es une sacrée nana toi!

- Tu fais ça souvent?

- Souvent quoi?

- Lever des mecs comme ça?

- Non.... C'est la première fois.

Je vois bien qu'ils ne me croient pas. Je ne tente pas de les convaincre. Pour le moment, j'ai surtout envie d'aller aux toilettes et faire un brin de toilette.

- Je peux utiliser les toilettes?

- Bien sûr.

J'y vais. Je me soulage. L'urine fait du bruit en tapant dans l'eau. La porte s'ouvre. Ils sont sur le seuil. Je ne dis rien. Ils me regardent pisser puis me nettoyer le sexe.

Je comprends que pour eux je suis devenu une pute au fil de notre relation. Leurs sexes au repos battent contre leurs cuisses. Ils sont maculés de spermes et autre chose pour celui de François. Leurs poils sont collés. Les odeurs de sueurs, d'urine, de foutre assaillent mes narines. J'ai encore le goût du sperme dans la bouche. Mon anus endolori laisse échapper du liquide.

- On a aussi envie de pisser

Je me lève du siège pour leur céder la place. François est devant la cuvette. Il tient son sexe en main. Un jet brillant jaillit pour s'écraser sur l'émail blanc. Je ne peux m'empêcher de regarder le jet d'or.

- A mon tour...

Même au repos, le sexe d'Éric est imposant. Court et très gros. Il pisse en me regardant. Il montre bien sa bitte. Quand ils ont finis. Ils me regardent et sourient.

Mais leurs sourires n'a rien à voir avec les précédents. Ce sont des sourires de macho, vulgaires, sûrs d'eux. Des sourires d'hommes repus.

- Qui veut une bière?

Pas moi. Je me contente d'un verre d'eau. Ils boivent à même le goulot. Ils ne se gênent pas pour roter. Moi je ne sais pas si je veux partir ou rester. Je ne peux même pas mettre de culotte, je n'en ai plus. Il me reste uniquement mon soutien-gorge comme sous-vêtement. Je le prends et commence à le mettre.

- Qu'est ce tu fais.....

- Ben oui.... Tu fais quoi là? On ne t'a pas dit de te rhabiller.....

Ils sont face à moi. Me dépassant d'une tête. Sûr d'eux et de leur pouvoir. Echanges de regard entre eux. Leur connivence a encore grandi. Ils me testent et testent leur pouvoir sur moi. Un pointe de mépris dans les yeux.

- Donnes t'en a pas besoin....

- On a encore du temps....

Ils restent nus aussi et vident leurs bouteilles de bière.

Le verre ne me suffit plus. J'ai envie de quelque chose de plus gros. Je plante mes doigts dans ma chatte. Je les pousse très loin dans mon corps. Mon autre main tâte mon cul. Comment une bitte peut entrer dans un si petit trou. J'ai encore un peu mal et toujours cette envie de chier. Je suis écartelée dans ma chambre, chatte et cul investis par mes doigts. J'ai encore envie... Encore envie d'une queue, d'un mec, de plusieurs. Comme tout à l'heure.

Ils ont bu deux bières chacun. Moi deux verres d'eau. Ils ont souri en me voyant aller plusieurs fois aux toilettes. Au milieu de la pièce, il y a une petite table recouverte de livres et de cours. Il me semble que ce sont des cours de math ou de physique. Deux chaises de part et d'autre de la table. Ils s'assoient dessus. Bien sûr , ils ne me proposent pas de faire comme eux et je devine que si je le fait, ils voudront que je reste debout.