La Thése...

BÊTA PUBLIQUE

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Je remonte dans la salle. Je quitte le café en marchant lentement. Mon vagin est encore dilaté. Il y a un gros mec derrière le comptoir avec d'épaisses moustaches et une crinière poivre et sel. Je suppose que c'est lui qui a un tel engin dans le froc. Il me lance un «au revoir madame» sonore. Tous les clients me regardent quitter les lieux.

Je regagne mon appartement minable.

Je me lave longuement sous la douche. Le seul luxe de ce studio. Mes mains se promènent sur mon vagin ou mon anus. Je suis bien. Sereine et épanouie. Mes idées sont claires. Je sais ce que je dois raconter dans ma thèse. Les idées jaillissent et s'enchaînent sans problème dans ma tête.

Je me couche complètement nue sur mon lit. J'ai envie de rester nue. Je me sers un verre. Il ne me reste qu'un fond de tequila que je sirote lentement à toutes petites gorgées. J'écarte mes jambes sans aucune pudeur. Je sens mes lèvres intimes s'ouvrir. Je n'ai pas un corps parfait, mais je suis pas mal. J'en suis sure après ce qui s'est passé tout à l'heure.

Il y a à peine quelques heures, je n'aurai jamais osé ouvrir mes jambes de la sorte. Je suis sure qu'il reste encore des traces de foutre en moi. Je regarde mon mont de vénus. Les petits poils châtains, la fente brune d'où on devine les petites lèvres. Je n'avais jamais fait attention à cette partie de mon corps auparavant.

Et mon anus. Comment est-il? Qui a l'idée de regarder cet endroit de sa personne. Comment le comparer? A quoi? J'ai avalé une gorgée de tequila en ouvrant mes jambes au maximum. Carrément le grand écart. L'intérieur de me chatte est encore gluant malgré la douche et la toilette intime.

Dire que j'étais partie pour me faire une toile. Juste voir un bon vieux film pour me changer les idées. Pour sortir de ma solitude. Pour faire le vide dans ma tête bien pleine de toutes les théories nécessaires à cette fichue thèse.

Depuis six bons mois, je n'avais plus de mec. Le dernier me faisait chier et ne comprenait rien. Je n'avais rien d'une sainte nitouche, mais il faut reconnaître que les mecs et moi, ce n'était pas ça. Enfin c'est ce que je croyais. Ils me trouvent compliquée et je les trouve chiants.

Oui j'avais eu envie de me faire une toile. Je connaissais un ciné de quartier genre ciné art et essai. Cela me convenait parfaitement. Une bonne demi-heure de marche avant d'arriver devant la petite salle où il passe un vieux film d'un parfait inconnu. J'entre après avoir payé ma place.

La salle est tout petite. Le film vient de commencer. Je suis surprise de trouver autant de monde pour un film de ce genre. Je fais quelques pas dans l'allée avant de choisir une place au centre d'une rangée dans le fonds de la salle. Je m'installe et profite du film un bon quart d'heure.

Un type entre, avance, regarde dans ma direction, se faufile dans ma rangée. Il se met juste à côté de moi. Il ne laisse même pas un siège libre entre nous. Merde il y a de la place pourtant. Bon s'il essaie de me draguer, je l'envoie chier. Il ne bouge pas et regarde le film.

A nouveau la porte qui s'ouvre. Un autre mec. Même manège que le précèdent. Et bien sûr, lui aussi dans ma rangée.

Je me retrouve entourée par ces deux types. Le dernier arrivé demande si le film a commencé depuis longtemps. L'autre mec lui répond que non. Il se met à lui résumer. Je leur demande de se taire en leur faisant les gros yeux. Ma mimique ne semble pas les effrayer outre mesure.

- Excusez-moi, je voulais pas vous déranger.

- Moi c'est Éric

- Moi François

- Et vous?

Je ne réponds pas et regarde le film. Ils se taisent enfin.

De temps en temps ils me lancent un regard ou échangent un regard entre eux. Ils semblent plus vieux que moi. Je n'arrive pas à distinguer leurs traits.

En tout cas, ils ont l'air cool. Je regrette un peu de les avoir rembarrés. Ils me regardent à tour de rôle en me souriant. Des grands sourires francs. Ils ont l'air sympa, bien dans leurs peaux. Au bout de dix minutes, je réponds à leurs sourires. L'atmosphère se détend un peu. Le film est un tantinet chiant. Genre prise de tête.

Je vois bien qu'ils lorgnent mes jambes. Je regrette d'être en jupe. En plus elle est assez courte. Heureusement que j'ai des collants noirs. Instinctivement j'ai boutonné mon chemisier quand je me suis aperçue que de leurs sièges, ils avaient une vue imprenable sur la naissance de mes seins et sur le haut de mon soutien-gorge blanc.

François s'est penché à mon oreille et sa main s'est posée sur le col de mon chemisier. J'avais encore mon manteau sur moi.

- C'était mieux avant....

Il a un sourire d'ange. Je lui souris aussi. Il me fixe et avec une habilité diabolique, il rouvre les deux boutons de mon chemisier.

Je n'ai rien fait pour l'empêcher. Je ne sais pas pourquoi. Je n'ai pas reboutonné non plus. Il a pris cela comme une invite et a ouvert le troisième bouton, dévoilant mon soutien-gorge.

Éric ne regardait plus le film. Moi je me forçais à garder les yeux rivés sur l'écran. J'avais chaud, très chaud. Ma gorge était nouée. J'ai bien vu que les deux garçons ont échangé un long regard. J'ai bien compris qu'il y avait pleins de trucs dans ce regard et qu'une connivence s'installait entre les deux.

Bien sûr, je pouvais me lever et quitter les lieux. Mais je n'en avais pas la force, le courage ou l'envie. Je restais immobile entre eux à regarder ce qui se passait sur l'écran. J'attendais je ne sais quoi.

C'est Éric qui a posé le premier une main sur mon genou. J'ai sursauté de surprise. Il a serré fort et j'ai pas pu me libérer. Il a compris que s'il me lâchait, je me lèverais. Il est resté sans bouger. Moi aussi.

Heureusement sur l'écran est apparu le message annonçant la fin de la première partie. La salle s'est éclairée. Il m'a lâché.

Je voulais partir. Je suis restée. Ils ont été assez surpris de voir que je ne bougeais pas. J'étais aussi surprise qu'eux. Nous sommes restés sans bouger à attendre la reprise du film.

L'ouvreuse est passée. François a acheté deux paquets de pop-corn et un esquimau qu'il m'a tendu.

- Je suis sûre que t'aimes les esquimaux...

Il y avait tellement de sous-entendus dans cette affirmation que l'autre mec a souri. Un grand sourire. Dans un mouvement puéril de fierté mal placée, j'ai pris l'esquimau, ôté lentement sa protection pour le prendre langoureusement en bouche.

- J'adore.....

Tout me poussait à partir, à déguerpir en vitesse. Je savais que si je restais, je ne pourrais plus échapper. Mais voilà, je ne pouvais pas bouger. Je ne voulais pas bouger. Eux, ont compris avant moi ou mieux que moi et attendaient sagement que la lumière s'éteigne. Ils me regardaient manger mon esquimau. J'avais honte de sucer cet esquimau devant eux. Il y avait un coté érotique qui n'échappait à aucun de nous.

Leurs mâchoires viriles mastiquaient leurs friandises. Ils n'étaient pas mal, mais je ne faisais pas attention à leurs physiques.

La lumière s'est éteinte brusquement. Le film a repris immédiatement. Je léchais ma glace pour la finir. J'ai glissé le bâtonnet sous mon siège. Il n'y avait personne dans les rangés derrière nous.

Quand la main d'Éric est revenue sur mon genou, je me suis tétanisée sans rien faire pour y échapper. J'avais très chaud et froid en même temps.

François à doucement ouvert mon manteau. Je l'ai laissé m'en débarrasser. Sa bouche a posé un léger baiser dans mon cou. J'ai frissonnais de peur et de désir. Une vague montait en moi. Elle commençait au fonds de mon ventre pour s'écraser dans mon cerveau en déroute.

La main de l'autre est remontée le long de ma cuisse. Puis elle s'est glissée à l'intérieur de ma jupe avant de reprendre sa progression. François regardait en me souriant gentiment. La main d'Éric est bloquée par ma jupe. Les doigts griffaient doucement mon collant. Sa chaleur irradiait mon intimité. Je tenais fermement les accoudoirs de mon siège en serrant les dents. Un chuchotement à mon oreille.

- Sois sympa, lève toi un peu...

Une bouche qui me mord le lobe et me fait frissonner. Une langue qui s'insinue dans le conduit. Je vibre de tout mon corps. J'obéis. Je ne sais pas ce que je fais.

Ensembles, ils retroussent lentement ma jupe, faisant fi de mes timides mouvements de rébellion. Je me retrouve avec la jupe roulée autour de ma ceinture. François recouvre mes jambes avec mon manteau. Je serre les dents. Mon regard se fixe sur l'écran. Les autres spectateurs ne font pas attention à nous.

Ils commencent à me caresser en même temps. Chacun une jambe. Remontant de plus en plus haut, vers ma fourche. Quand je veux serrer les jambes, ils les tirent gentiment vers eux. Cela m'oblige à m'ouvrir de plus en plus et eux remontent de plus en plus loin jusqu'à ce que la première main se pose sur mon vagin. Malgré les épaisseurs de tissus, je la sens presser contre mon pubis. Je m'aperçois que je suis humide. Je mouille!

Ce n'est pas possible! Je mouille en plein ciné!

Je retrouve un court instant mes esprits. Je suis ouverte et deux mecs sont en train de me caresser la chatte. Des mecs que je ne connais pas du tout.

Les doigts sont de plus en plus inquisiteurs. Ils triturent mon collant, le tirent ou le rentrent. Je mouille de plus en plus. Je ne sais pas qui me fait quoi. Je ne sais pas qui me parle:

- Tu serais plus à l'aise sans tes collants....

François m'embrasse sur la joue. A peine un effleurement qui m'envoie dans les étoiles. Ses doigts poussent les tissus dans mon sexe. Je suis toute rouge. Je transpire. Le fond de mon slip et celui de mon collant sont en train de devenir humides. Sous le manteau, les mains courent sur mes cuisses ouvertes et reviennent sans cesse au creux de mes jambes pour me caresser de plus en plus fort la fente.

- Allez!.. Sois sympa... Enlève ton collant....

- N'ai pas peur personne ne peut nous voir...

- Allez... Soit cool... T'as été trop loin avec nous maintenant......

A nouveau la pointe d'une langue dans le creux de mon oreille. Des frissons très violents parcourent mon corps en vagues successives.

Je sens le fonds de ma culotte mouillée. J'ai honte de mon comportement et de ce liquide qui lubrifie mon vagin enfermé. Comme une somnambule, je me trémousse sur mon siège.

Ils en profitent pour baisser mon collant! En plein ciné!

Je finis mon verre de tequila. Ma main se pose sur ma vulve. Puis c'est le verre vide et froid que je passe dessus. J'ai envie de me branler. Je revois cette fille. Ou plutôt je me revois. Je repense à l'étrangère que j'étais il y quelques heures à peine.

Cette fille obligée de décoller les fesses de son siège de ciné. Cette fille à qui deux mecs sont en train d'enlever le collant.

Ce collant qui glisse le long de ses hanches, puis de ses cuisses et enfin de ses jambes fines. Elle se cale au fonds de son fauteuil. Voilà! C'est fait. Elle est jambes nues. Offerte.

Mais ils en veulent plus. Ils caressent les cuisses nues puis remontent rapidement vers le slip blanc. Les deux mecs se regardent quand ils sentent l'humidité de l'entrejambe.

- Enlève complètement ton collant. Donne-le moi.

Elle se déchausse. Obligée de se pencher pour ôter le voile noir et transparent. Eux attendent tranquillement la fin des contorsions. Elle veut mettre le collant dans la poche de son manteau qu'elle a remis sur ses jambes. François le lui prend. Il respire profondément le fin tissu avant de la mettre dans la poche de son blouson.

Elle devient folle. Elle est dénudée à partir de la taille. Uniquement vêtue de son slip mouillé. Protégée par son manteau des éventuels regards des autres spectateurs.

Les garçons devinent qu'elle vient de franchir un point de non-retour et ils en profitent. Les attouchements sont plus impérieux, plus audacieux; plus agressifs aussi.

Elle laisse les doigts passer sous le tissu et ferme les yeux quand ils franchissent sa vulve. Elle serre les dents en les sentant s'enfoncer en elle. Les doigts tâtonnent dans son vagin, pincent les petites lèvres; trouvent le clitoris. Elle serre les dents pour ne pas gémir.

La jouissance la prend par surprise. Des vagues de plaisirs qui lui coupent le souffle. Elle ne peut pas crier son bonheur. Elle ne peut pas bouger. Son cerveau éclate en myriade d'étoiles filantes. Elle n'arrête pas de jouir. Très fort. Au bord de la douleur. Son corps est agité de spasmes incontrôlables.

Les garçons comprennent ce qui se passe en elle. Cela les étonne mais ne les stoppe pas. Au contraire, ils continuent à lui pincer le clitoris, à pousser leurs doigts le plus loin possible. Chacun des mecs lui a fiché deux doigts au plus profonds.

Elle ne sait plus ce qui se passe, uniquement concentrée autour des ondes qui partent du fonds de son sexe pour se propager dans tout son corps crispé par la jouissance.

Elle serre le dossier du fauteuil devant elle. Les vagues se calment doucement. Elle pleure en sanglots silencieux. Jamais elle n'avait jouit avec une telle puissance. Elle en a les jambes qui tremblent. Elle serre ses cuisses, emprisonnant les mains qui cessent de la torturer. Elle cherche sa respiration.

Ils la laissent reprendre ses esprits. Elle a du mal. Sur l'écran, un couple s'engueule. Elle sait que les deux mecs peuvent voir les larmes de plaisir et son visage tordu par la jouissance.

François ôte son blouson pour le poser sur son bas-ventre. Éric l'imite puis lui saisit sa main gauche pour la glisser sous le cuir usé. Elle sait ce qu'elle doit faire quand elle touche le membre tendu, très dur et très doux. Mécaniquement, elle commence à branler la verge chaude qui fait une bosse sous le blouson. Des vagues lui balayent encore le corps. Quand François lui prend l'autre main, elle obéit tranquillement.

Elle est en train de branler des queues. Dans ce ciné de quartier, elle vient de jouir comme jamais grâce à deux mecs qu'elle ne connaît pas du tout. En plus elle est en train de les branler les deux en même temps pour les remercier.

Brusquement c'est la panique quand les lettres du mot fin s'inscrivent sur l'écran. Le générique de fin commence. Elle baisse sa jupe à toute vitesse. Les garçons grognent de dépit. Ils n'ont pas eu le temps de jouir.

Complètement frustrés, ils se rajustent rapidement. Ils ont juste le temps d'être présentables avant que les premiers spectateurs quittant la salle passent au niveau de leur rangée.

Ils quittent aussi la salle. Clignent des yeux sous la lumière du jour. Ils sont beaux mecs. Plus vieux qu'elle. Plus murs. Certainement des étudiants aussi.

Ils lui sourient. Elle leur rend. Elle est bien.

C'est François qui propose d'aller prendre un verre. Ils sont attablés. François fiche une cigarette entre ses lèvres. Sa main cherche le briquet. Elle ressort avec le collant. Elle rougie devant leurs sourires de connivence. Éric la regarde les yeux brillants et se penche vers son oreille.

- Moi aussi je voudrais un souvenir.

Elle le regarde. N'ose comprendre ce qu'il veut. Elle boit une gorgée de jus d'orange pour se donner une contenance. Ils attendent sans la quitter des yeux. Éric reprend d'une voix plus ferme.

- Il y a des toilettes en bas.

Elle n'ose pas les regarder dans les yeux. Elle se sent à nouveau excitée. Elle n'a plus de collant. Elle s'est offerte à ces deux mecs. Et maintenant cette demande. François intervient à son tour. Même brin d'autorité dans la voix.

- Vas-y, on a pas vu de quel couleur il est..

Elle se lève comme une somnambule, marche lentement vers les toilettes pour dame. Elle entre, remonte sa jupe et son manteau. Après quelques secondes d'hésitation, elle se débarrasse du slip humide. Il est même complètement trempé. Elle le roule en boule au creux de sa main, remonte rejoindre les garçons.

Elle l'offre à Éric qui s'empresse de le mettre dans sa poche. C'est la première fois qu'elle est sans slip dans la rue. Il ne lui était jamais venu à l'esprit de le faire. Elle sent une fraîcheur au creux de ses jambes légèrement entre-ouvertes.

- J'n'habite pas loin d'ici.

C'est François qui fait cette proposition. Les deux la regardent attendant le moindre signe de sa part. Il suffit qu'elle dise non pour qu'ils s'en aillent. Il suffit qu'elle se lève et les quitte pour retrouver la quiétude de son studio. Il suffit simplement qu'elle prononce le mot au revoir pour que tout s'arrête. Pour qu'il n'y ai pas de fin. Ou que ce soit la fin de cette histoire.

Mais elle ne dit rien. Elle attend. Elle ne prendra pas l'initiative. Les deux garçons se lèvent ensembles. Ces deux-là sont fait pour s'entendre. Un échange de regard leur suffit. C'est Éric qui lui saisit gentiment le haut du bras, en lui souriant. Ils sont sûrs d'eux et de leur pouvoir sur elle. Et c'est vrai qu'elle ne se sent pas en état de leur résister. Elle n'en a pas envie.

Elle marche sans culotte dans la rue. Les deux mecs l'encadrent. Elle ressent l'impression étrange que les gens qui les croisent savent qu'elle n'a pas de culotte. Eric lui passe un bras sous le sien. Ils ont l'air d'un couple quelconque qui marche accompagné d'un ami.

Au bout de dix minutes, ils entrent dans un immeuble pas loin de chez elle. Il n'y a pas d'ascenseur. François habite au deuxième. Personne dans l'escalier. La main d'Éric est posée sur ses fesses qu'il flatte doucement. François est devant eux.

Le verre se promène sans relâche le long de sa fente. Les parois sont opaques de mouille. Elle laisse pendre les jambes de chaque côté de son lit étroit. Elle se sent bien, épanouie et heureuse. L'excitation la gagne lentement. Avec les doigts de sa main libre, elle écarte sa vulve pour bien sentir les parois chaudes du verre. Elle se parle à haute voix:

- Je suis une vraie salope

Une petite chambre. Contre un mur un grand lit défait. Des piles de livres sur un bureau. Un coin cuisine et un autre avec un lavabo et une douche. La seule autre pièce, ce sont les toilettes. Éric fait rapidement le tour avant de s'asseoir sur le lit. François me débarrasse de mon manteau et me pousse gentiment vers le lit. Éric ouvre la conversation.

- Tu permets? Je me mets à l'aise

- Fait comme chez toi... On est là pour ça....

Éric ôte son blouson, puis ses chaussures. Il se lève. Il me dépasse d'une bonne tête. Il déboutonne sa chemise. Torse viril, poilu, sans un gramme de graisse. Complètement hypnotisée, je le vois ouvrir son pantalon, le baisser et s'en débarrasser. Il reste en chaussettes blanches et caleçon. Impossible d'ignorer la bosse. Il s'assoit sur le lit, jambes largement écartées. Il est assez poilu.

Éric caresse la grosse bosse de son caleçon. Il me prend par les poignets pour m'attirer vers lui. Son visage se pose contre mon ventre. Je reste debout entre ses jambes.

François se colle contre mon dos. Je tremble légèrement. C'est lui qui me débarrasse de ma jupe, puis de mon chemisier. Voilà, il ne me reste plus que mon soutien-gorge..

Non il ne me reste plus rien.

La bouche d'Éric descend sur mon pubis. Il le lèche. Sa bouche se colle lentement contre mon sexe. Je gémi. François appui sur mes épaules en m'embrassant la nuque. La pression augmente.

Je suis à genoux entre les cuisses musclées d'Eric. Je lève mon visage vers le sien. Il me regarde d'un air bizarre. Ces mains en gros plan devant moi ouvrent la braguette de son caleçon. Il est mignon dans son caleçon en vichy rouge. Des tout petits carreaux rouge est blanc qui moulent bien son bas-ventre et le haut de ses cuisses.

C'est musclé, les jambes d'un mec. Je n'en n'avais jamais pris conscience avant. Surtout avec cette peau rugueuse à cause des poils.

Son sexe est dehors. Uniquement le sexe. Il bande à mort. Son gland est à deux centimètres de ma bouche. Il est beau. Une peau très fine et claire. Un gland circoncis, épais comme un champignon, une base beaucoup plus large que le haut qui émerge d'une forêt de poils presque roux. Elle sent bon.

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