La tentation de Marc et Sophie 03

3. Philippe

Quand j'en parle à Philippe, je cache mes intentions réelles, et je lui propose de venir avec sa femme le vendredi suivant, à la suite de notre rendez-vous pro. Nous voudrions la rencontrer. J'informe Sophie que la date est fixée, et après à nouveau une discussion, elle accepte l'échéance.

Philippe accepte mais le jeudi soir m'annonce qu'il viendra seul, car sa femme n'est pas bien, elle a chopé un virus et se sent trop malade. Je ne sais pas si cela est voulu de sa part, mais les planètes semblent s'aligner. Nous avançons vers notre but et rien ne semble l'empêcher.

Sophie m'a texté dans l'après-midi qu'elle n'était plus trop sure et qu'elle hésitait. Je ne la presse pas mais je lui demande de s'habiller sexy, cela n'engageant à rien. Elle m'envoie un selfie d elle vers 18h30, maquillée, et encore en petite culotte de satin noire et sa brassière en dentelle. Je suis rassuré.

Philippe et moi arrivons ensemble à la villa vers 19h30.

Sophie est sur le patio, elle est ravissante. Robe noire très échancrée dans le dos, et très courte, jambes luisantes crémées, petits talons de 5cm, ses cheveux relevés en chignon, avec quelques mèches habilement détachées qui tombent sur ses épaules nues. Elle doit avoir 100gr de vêtement sur elle.

- Bonjour Sophie, tu es magnifique! -- dit-il en contemplant la jolie bourgeoise sexy.

- Merci Philippe, quel dommage que ta femme n'ait pu venir

- Oui, elle n'allait pas bien, mais c'est partie remise, cela permettra de faire plus ample connaissance ce soir.

- Oui bien sûr...

Je sers un premier apéro pour détendre tout le monde, puis un deuxième. La conversation est diverse et plutôt amusante, enfin nous passons à table. Une bouteille bien fraiche de blanc, et avec la viande j'ouvre une autre de bordeaux, qui clairement tape 14 degrés. Philippe drague gentiment Sophie qui est sur sa gauche, mais rien ne semble se passer comme je l'imaginais. Sophie pense que Philippe est au courant, et je dois donc intervenir pour lancer la soirée que nous attendons.

- Il s'est passe une chose amusante la semaine dernière, hein Sophie? avec le petit Alex, le fils du nouveau voisin?

- Ah oui!

- Quoi donc? dit Philippe intéressé

- Elle a allumé le jeune voisin, il n'en croyait pas ses mirettes. Elle était coté piscine, en monokini et il était à sa fenêtre, je pense qu'il avait les yeux sur son beau corps mince et tout bronzé.

- Ah d'accord je vois! Sophie tu aimes allumer les jeunots alors? Je te découvre!

- Non!! Non!, c'est Marc qui m'a dit qu'il me matait, alors j'ai joué le jeu.

- Et?

- Et j'ai enlevé ... ma culotte....

- Ah génial! Il a dû avoir une belle érection le bougre. J'aurais aimé voir ça.

- Et ce n'est pas tout! Elle a aussi un peu titillé son petit bouton rose... devant lui

- Tu es une vraie garce, sous tes airs de bourgeoise sexy... dis-moi -- regardant Sophie avec un regard lubrique que je n'avais pas encore vu chez lui

- Non ... juste jouer à un jeu innocent...

- Innocent? pas pour tout le monde!!

Nous éclatons de rire tous les trois.

- Alors pour les jeunots tu montres ta chatoune, mais pour les plus experts, tu fais quoi? demande Philippe

- Tu peux montrer tes dessous à Philippe, je pense qu'un jeune veut voir de la viande crue, mais un peu plus âgé appréciera la jolie lingerie.

- J'adorerais voir tout ça.

- Vraiment? dit-elle gênée

- On est entre nous, soulèves juste un peu ta robe, Philippe est un ami maintenant.

Visiblement le vin a eu un effet sur elle, car elle se lève et remet en place sa robe qui est remontée sur ses cuisses, puis recule qu'on puisse la voir de pied en cap.

- Tu es déjà très sexy comme ça, qu'est-ce qu'il y a là-dessous alors?

- Voila...

Elle soulève la robe de 15 cm, et écarte les cuisses légèrement, campée sur ses jambes bronzées. Le slip de satin est bien en place, protégeant d'une dentelle fine, la courbure de ses lèvres bien fermées. La dentelle est transparente je réalise, et ses poils apparaissent.

- Hum, c'est mignon tout ça. Pour une femme de 40 ans, tu es drôlement bien foutue, tournes voir.

- Presque 40...Comme ça?

Elle fait un pas de côté et pivote, tout en tenant sa robe soulevée. Le slip n'a pas vraiment de derrière, une simple corde en satin qui rentre dans ses fesses. L'intensité monte d'un ton.

- Joli cul. Tu fais du sport?

- Un peu. Du Yoga.

- Montes un peu la robe, que je vois aussi ton soutien-gorge.

- Jolis. Petits seins. J'ai toujours pense que les femmes aux petits seins sont plus sexy. Leur petit côté garçon manque qui les rend appétissante, et plus jeune.

- Dis-moi Marc tu dois pas t ennuyer avec Sophie, elle est chaude comme la braise.

- Ah ah, oui récemment elle est devenue clairement plus chaude qu'auparavant.

- Ah bon, et pourquoi ça? le jeune qui te mate?

Elle se retourne mais machinalement a gardé sa robe soulevée, c'est presque comique, comme si elle attendait l'ordre de la baisser.

- Oui du jeune, et des moins jeunes, n'est-ce pas? dit-elle en regardant Philippe en croquant sa lèvre supérieure.

- Viens la près de moi. Je peux?

- Oui, tu peux, hein Marc?

- Oui.

Je suis heureux et un peu inquiet, on ne maitrise plus maintenant, tout va basculer.

Elle s'approche de lui, et il lui touche les cuisses, puis le satin de la culotte minimale, puis de la brassière, caressant ses seins dont les pointes se dressent.

- Et dessous, c'est bronzé aussi?

- On peut voir.

Elle descend sa culotte d'un doigt, s'appuyant sur l'épaule de Philippe pour ne pas tomber de ses talons hauts. La culotte tombe à ses chevilles, c'est sexy. Elle passe sa robe par le haut, alors qu'il l'aide par le bas à se dégager de la culotte. Elle est nue à part sa brassière. Les poils de sa chatte brillent dans la semi obscurité qui nous entoure.

- Hum, elle sent la femme soignée, miam. Marc tu es d'accord avec tout ça?

- Oui, oui...

Il a pris la petite culotte et l inspecte, quelques taches de mouille, mais elle est sinon immaculée. Elle ne l'a porté que quelques heures. J'ai l'habitude de sentir certaines de ses culottes après une journée, et c'est souvent blanchâtre, tachée. J'avais lu que beaucoup d'hommes font pareil et se rendent compte si leur femme a des besoins particuliers ou voit d'autres hommes. Tout tombe dans la culotte, par gravité.

Cela m'excite que Philippe inspecte le corps de ma nana. Sophie est désormais nue, en talon, devant le colosse.

- Joli buisson. Je vois que tu perles un peu.

- Humm

- Enlèves ton soutif

Je passe derrière elle, et je dégrafe sa brassière, libérant les deux seins que Philippe s'empresse de toucher, pincer et d'en tirer les tétons.

Elle écarte les jambes encore un peu plus, comme si elle acceptait l'inspection plus poussée. Il met un gros doigt dans la crevasse entre ses lèvres, pas de doute, elle perle, elle mouille, son doigt en ressort détrempé.

- Et si tu t'allongeais sur la table, que je vois ça de plus près.

- Comme ça?

Elle appuie ses fesses nues contre la table et bascule gentiment en arrière, en tenant son chignon soigné. Je m'empresse de débarrasser les quelques verres sur la table. Sophie est allongée, les jambes relevées et écartes, façon gynéco, et le costaud lui renifle la chatte, malmenant déjà son mini buisson, et ses grandes lèvres de ses doigts bourrus.

- Oh oh, doucement...

Il plonge son nez dans la moule de ma belle, et lui lèche la fente goulument. Mais c'est de ses mains qu'il lui masse l'intérieur des cuisses, jusqu' à la naissance de sexe, les grandes lèvres sont bien ouvertes. Je me suis levé pour mieux apprécier le spectacle.

- Prends-lui les jambes, Marc

Je tiens les jambes en l'air de ma femme, alors qu'il lui tripote le clitoris un peu brusquement.

- Oh, attention, Ohhhh

- T inquiètes pas, c'est ça que tu veux non? un peu de brusquerie. Te sentir sans défense.

- Oui, touches moi plus profond... j'en ai envie. Marc est toujours si gentil.

- Je vais te prendre comme ça, presque à froid si je puis dire, tu es tellement mouillée, pas la peine d'en faire plus sinon tu vas jouir et je n'aurais même pas commence.

- Je suis très très étroite...

- Je vois ça. Je n'arrive même pas à enfoncer mon doigt. Faut dire qu'avec la bite de nain de Marc.

- Oui il a une petite verge. J'ai envie d'une grosse queue. Ohhh

Il se dresse et fait tomber son pantalon aux chevilles. Je continue à tenir les jambes de Sophie en l'air, permettant à Philippe de fixer l'entrejambe de ma femme, qui ruisselle déjà. Sa queue est déjà en main, je fais un petit « oh » car en érection moyenne, le machin fait déjà 15cm ou 16cm de long, et le diamètre semble augmenter à chaque seconde. Il fait aller et venir sa main le long de sa bite, comme pour affuter son outil. 17cm je dirais. Il a des grosses couilles comme des mandarines en fin de saison, que j'imagine gorgées de sperme. Elles balancent entre ses cuisses de rugbyman, l'ensemble parait menaçant, surtout que tout cela se rapproche de la chatte délicate de ma femme.

- Ça va faire un peu mal

- Doucement...

Il presse son gland turgescent contre l'entrée du vagin, cela parait impossible. Il doit faire 4cm de diamètre et Sophie a un tout petit trou de 1cm. Elle tire sur ses grandes lèvres, et les petites lèvres, comme pour faire de la place. Le gland s enfouit lentement, bute sur la porte entre ouverte de sa chatte. Fais son entrée dans le canal, je sens le corps de Sophie se raidir, mais elle écarte encore plus ses cuisses car le costaud est épais. 2cm, 3cm, 4cm, la tête du gland disparait dans le buisson de ses poils.

- Oh mon dieu...Ohhhh

- Je suis juste à la porte, je vais pousser un peu

- Je suis déchirée...

- Mais non. Tu es train d'avoir ta première vraie bite c'est tout

- Ahhhh

Le gland, puis une bonne partie de sa verge rouge et pleine de veines, pénètre la chatte chaude de ma femme. Enfin d'un coup de rien, il expédie l'entièreté de son membre à l intérieur de son vagin.

- Ohhhh!! oh non!!! ah oui!!. Mon dieu quelle sensation!

Il est presque à la garde, ses poils touchent les poils de la chatte de Sophie. J'ai sorti ma bite, et elle me branle sans même y faire attention. Car son attention est toute concentrée sur ce pieu qui lui déchire la moule, lui écarte les lèvres, petites et grandes, et qui coulisse en elle. Je vois son ventre qui se déforme un peu. Un jus clair inonde la bite de Philippe, et qui sert de graisse pour améliorer leur emboitement.

- Oh je vais jouir! ahhhhhhhhh

Elle se cambre et absorbe quelques centimètres de bite en plus. Il doit être aux portes de son utérus. Elle sursaute, tressaille, gémit... pendant de longues secondes.

- Oh c'était... c'était magnifique...

- Attends on n'a pas fini...

Alors il enlève sa queue et la replonge entièrement dans son vagin qui clapote. Ploc, ploc. C'est rempli de foutre de femme là-dedans.

- Tiens petite salope, c'est ça que vous voulez tous les deux, hein? voir une grosse bite te défoncer la moule.

- Oui. Oh oui déchires mon petit trou. Je suis une vraie pute de luxe. Me faire troncher comme ça devant mon mari. Chéri ça va?

- Oui oui

Je n'en mène pas large, mais je suis très excité de la voir ainsi

- Petit trou? pour plus très longtemps, tu vas marcher en crabe demain

Il entreprend un limage tendu, des grandes poussées profondes, pour ressortir presque intégralement, et replonger dans sa chatte ruisselante. Ses grosses boules sont remontées, elles tapent avec insistance sur sa vulve, et son anus. Boum boum Sophie offre peu de résistance aux assauts de cet étranger.

Je vois son gland par moment, il a doublé de volume, je tiens toujours les jambes très haut de Sophie. Il lime plusieurs minutes, Sophie est au bord de l'évanouissement.

- Oh je vais réjouir!! Ohhhhhhh, Ahhhhhhhhhhhhh

Elle serre ma bite presque jusqu'a la couper en deux. J éjacule sur son ventre et sa jambe droite.

Philippe fait une dernière embardée, et pousse son gros gland au fond de la grotte, remplissant de foutre et éclaboussant les parois limées et à vif de son vagin. Quand il se retire, la grosse queue est encore fièrement tendue, alors que de la chatte vaincue s'égoutte un liquide visqueux.

- Alors tu nettoies ou pas? me dit Sophie dans un souffle

- Je m'y mets...

Je me place entre ses jambes, et je suis d'abord un peu choque de la vision. Un trou béant de 5cm, ses poils collés au sperme, et une fontaine de foutre qui dévale son canal vaginal.

- Prends bien tout. Avales son foutre mon chéri

- Hmmmmmm

- Le vrai cocu, tu aimes sentir l'odeur de ma queue qui parfume sa moule?

- Hmmmmmm

C'est un peu écœurant, mais je m'attendais à pire. C'est gluant, pas le même gout que mon propre sperme, par moment je récolte des bouts plus durs, comme des œufs en neige mal battus. Je me sens humilie devant elle et son amant, mais je fais mon possible pour remettre en ordre sa chatte battue à vif.

- Hmmmmmm

- Oublies pas mon ventre et mes jambes, tu m'en as mis partout

Je termine mon nettoyage, léchant encore un peu son clitoris, mais elle me repousse gentiment, et part aux toilettes, une furieuse envie de pisser nous dit-elle.

Quand elle revient toujours nue, nous sommes assis dans le salon d'été, il a gardé la bite à l'air. Et se caresse les couilles et le pénis par moment. Elle s'assoit entre nous, mais plus près de lui. On se sert un verre, c'est comme si la soirée reprenait.

Elle reste nue en talon le reste de la soirée, se rapprochant de lui sur le canapé, il lui caresse les nichons, les fesses, et je suis devant eux. Heureux car elle semble si heureuse. Elle le branle légèrement d'une main, et tenant son verre de champagne de l'autre. Des commentaires sur la taille de son sexe m'humilient un peu, mais c'est vrai que dans la main de Sophie qui monte et descend le long de sa hampe, découvrant le prépuce par moment, son bâton se dresse magistralement.

- Et ta femme, tu vas la mettre au courant de notre soirée? dit Sophie

- Je ne sais pas, on a déjà eu des soirées echangistes, mais la c est un peu diffèrent.

- C'est quoi qui est différent? -- Je demande

- Là on n'a pas « échangé », j'ai baise Sophie devant toi, mais on a rien eu comme échange

- Je vois, et tu crois qu'elle accepterait de coucher avec moi?

- Je ne sais pas, elle aime les grosses queues... mais elle adore aussi me voir me faire des nanas, surtout des plus matures. Donc elle pourrait être excitée par ça. Entre autre... A voir

Il semble plus excité désormais, de son gland dégouline un liquide clair, il y a un effluve de luxure qui nous entoure, il sent le sexe, elle sent le sexe.

- Tu veux te faire prendre encore une fois.?

- Je ne sais pas, j'ai un peu mal...

- Suces moi alors. J ai envie de baiser.

Sans hésiter elle se met à genoux devant lui, entre ses grosses cuisses nues. Elle lui malaxe les boules, tout en tenant bien droite sa longue queue. En se penchant en avant, elle m'expose ses fesses, et je peux voir les dégâts, une vulve toujours à moitié ouverte, ses lèvres pendant un peu, elle a pris cher.

Elle le suce pleinement, tentant d'engloutir le monstre dans sa bouche.

- Essaies de faire aller le gland bien au fond, la tu me suces avec ta bouche. Essaies de me sucer avec ta gorge...

- Hmmmmmm

Il pousse sur sa tête, et elle réussit à avaler un cm de plus

- Hmmmmmm

- Encore un peu, tu résistes, je veux te baiser la gorge, comme je t'ai baisé la chatte, tu as trois trous, les trois permettent la même chose. Une femme a trois ouvertures, au contraire des hommes qui n'en ont que deux...

- Hmmmmmmmmmmfff

Mon sphincter se serre d'un coup sur ses paroles.

Elle a pris la moitié de sa bite en bouche, et fait des vas et viens, avec ses lèvres, montant jusqu' au gland violacé, attrapant au passage du pré-sperme qui gicle sans interruption, et redescendant vers ses poils, ses grosses couilles qui pendant et s'agitent devant son nez. D'un coup un peu plus sec, il lui enfonce le reste de sa queue au fond de la gorge, huilée par son jus de trique.

- Hmmmmmmmmmmmmffffffffffff

- C'est bien! Bien au fond, je sens le fond de ta gorge... restes comme ça, habitues toi. Je veux que tu me suces avec le fond de ta gorge, toujours.

- Hmmmmmmmmmmmmffffffffffff

Puis il commence à se branler lui-même en quelque sorte, utilisant la gorge et les jolis lèvres de ma femme comme d'une machine a branler sa grosse queue. Il la malmène quelques minutes et Sophie se soumet à ses ordres.

- Je vais cracher mon foutre. Ahhhh

Il se redresse un peu, décollant ses fesses du canapé, et enfouissant encore plus sa grosse queue dans sa gorge. Puis un geyser de foutre part en saccade, inondant le palais et le fond de la gorge de ma femme

- Ohhhh...Ahhhh, oh oui!! Encore un peu!! ahhhh! ohhh!!!

- Hmmmmmm....glooooop gglllllooo

- Avales tout bien, deglutis...

- Hmmmmmm

Quand il se retire, Sophie a les larmes aux yeux, elle vient de déglutir la première goulée de sperme de sa vie, cela colle encore dans sa bouche, sur sa langue pegueuse, sur ses lèvres. Alors elle se redresse, et vient vers moi. Elle se penche comme pour m'embrasser, j'ouvre la bouche mais elle déverse sa salive mêlée de sperme et je ne sais quoi d'autre, dans ma bouche. Puis elle me roule une pelle, je suce sa langue, je nettoie l'intérieur de sa bouche, c'est comme si je suçais la bite de cet homme. Son chignon est défait en partie, laissant de belles boucles s'en échapper. Elle est si belle, nue, en talon, avec ses cheveux en bataille.

- Merci mon chéri. Quelle expérience!

La soirée se termine, après que nous toastons au trio que désormais nous formons.

Quand Philippe part, il l'embrasse sur la bouche en lui tripotant ses fesses nues, et lui promet d'autres « séances » plus torrides de sexe. Il me remercie de lui avoir prêté ma femme.

Au lit, Sophie me raconte tous les effets d'avoir une bite de ce type au fond d'elle.

- C'était merveilleux, comme si j'étais pleine, remplie. Son gland allait comme au fond de moi.

- J'ai vu ça, il t'a bien baisé, tu étais si sexy, presque sans défense, devant cette bite dévastatrice. Et si tu avais vu l'état de ta chatte juste après... un trou béant!

- Et quand je l'ai sucé, c'était presque fou, j'avais sa bite au fond de ma gorge, j'ai failli vomir sur lui, mais je te voyais me regarder alors j'ai résisté, j'étais fière de moi.

- Tu peux! cela m'a semblé aussi impossible, et ses couilles qui te tapaient le menton, jamais vu de telles boules.

- Enormes, si sexy, et cela sentait vraiment l'homme. Poilues, et odorantes...hmmmm