La Saga de Sara P. 01

BÊTA PUBLIQUE

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« Je vais prendre une douche et je vais chez toi. J'ai à parler à ta mère. »

« Mais Sara, comment je vais rentrer chez moi? tu sais que je ne peux pas rentrer toute seule la nuit, » protesta la fille.

« Mais quelle fille gâtée tu fais », Lui répondit Sara sur un air taquin et enjoué. « Je reviendrai dans près de 2H avec ta mère et tu rentreras avec elle en voiture. En attendant, tu peux prendre une douche si tu veux. Sers le dîner à maman si elle se réveille, je l'ai déjà préparé, et donne-lui ses médicaments. Nettoie aussi ma chambre et essaye de faire disparaître cette odeur de sexe. Tu as mon laptop et mes livres si tu t'ennuies. À plus ma petite salope. »

« D'accord. » Répondit joyeusement la fille, aux anges après leur séance et grâce à la bonne humeur de sa partenaire.

Sara prit sa douche, se rhabilla rapidement et simplement ; mettant un t-shirt et un jogging, sans sous-vêtements, et se dirigea vers la maison de son camarade qui venait de la lécher et qu'elle venait d'enculer avec ses doigts. Elle allait voir la mère de sa camarade, qui n'était autre que sa seconde amante.

En se dirigeant, la nuit tombante, vers la demeure de sa camarade de classe qu'elle avait laissée chez elle, Sara avait le pas leste et l'esprit apaisé. La sensation qu'elle éprouvait toujours après une séance de sexe torride était la même qu'elle ressentait quand elle faisait du sport ou lisait un livre qu'elle aimait. Celle du flottement et de la quiétude qui se rapprochait presque de l'optimisme. En ce samedi soir, sa visite à la mère de son amie n'avait pas de but précis ; mais faisait lieu de surprise après une période de deux semaines qu'elle n'avait pu être seule avec la femme du fait de la présence permanente de sa fille ou de son mari. Sara sut, d'ailleurs, par sa fille que celui-ci serait absent tout le week-end sous prétexte d'un de ses fréquents déplacements, et décida instantanément, bien avant de commencer sa séance avec la fille, qu'elle allait rendre visite à la femme au foyer.

Dans son aventure triangulaire avec les deux membres de la famille, Sara essayait de garder l'une secrète pour l'autre. Elle concevait que, du fait des périodes prolongées qu'elle passait avec la fille dans sa chambre ou chez elle, sa mère, connaissant la sexualité de Sara, pouvait avoir des doutes sur la nature de leur relation. Pourtant, la mère n'avait jamais essayé de les surprendre et n'avait jamais fait allusion au sujet avec elle ; et Sara n'accordait, du reste, pas beaucoup d'importance à sa probable réaction. La fille, par contre, était une affaire plus délicate. Elle était encore si jeune, si fragile, si naïve et si attachée à Sara, qu'apprendre que sa propre mère avait la même nature de relation avec sa meilleure amie et son amante pourrait la détruire. Et Sara ne voulait pas faire de mal à son amie et amante.

Lorsque Sara sonna à la porte de la demeure de son amie, elle fut accueillie par une domestique d'un certain âge qu'elle salua cordialement. Celle-ci la laissa entrer et après de courtes formules de politesse s'éclipsa vers la cuisine. Sara était, désormais, considérée comme un membre entier de la famille et pouvait aller et venir dans la demeure de son amie sans s'annoncer, à l'improviste. Elle se comportait même, lorsqu'elle y était, en quasi-maîtresse des lieux. Elle jeta un regard vers le large salon vide et se dirigea ensuite vers la chambre à coucher des parents d'un pas décidé. Ça ne sera pas la première fois qu'elle visiterait la chambre conjugale, et ça ne sera certainement pas la dernière. Elle pensait même la fréquenter récemment plus assidûment que la propre fille du couple. La femme au foyer, qui était devant sa glace à se maquiller, sursauta quand elle entendit la voix claire et joyeuse de Sara qui, entrebâillant la porte, laissait entrevoir son beau visage souriant :

« Bonsoir ma chérie! Je t'ai manquée? »

« Oui, bien sûr ma chérie. » Répondit la femme se retournant avec un sourire, la surprise passée. « Mais tu étais ici chez moi il n'y a pas plus de 2H. »

Sara, entra complétement, referma la porte derrière elle, se rapprocha de la femme avec des pas dansants, et se penchant en avant, étreignit la femme, toujours assise sur sa commode, l'entourant par derrière de ses bras :

« Ne joue pas à la naïve. C'est de ça dont je parle. » Dit Sara, et associant actes à la parole, fit entrer ses deux mains dans la robe de chambre que mettait la femme au-dessus de ses sous-vêtements, prenant dans ses mains ses gros seins au-dessus du soutien-gorge.

Celle-ci gémit doucement et ferma les yeux au contact ferme des mains sur ses seins. Feignant une petite résistance en mettant ses mains sur les avant-bras de Sara, elle dit :

« Hajar peut entrer à n'importe quel moment. Ainsi que la bonne. »

« Pas ta fille. Je l'ai laissée chez moi et on passera la récupérer tout à l'heure. Quant à ta domestique, c'est un risque à prendre tant que tu contrôle tes décibels. À moins que tu ne préfères que j'arrête. » Dit Sara, les mains maintenant à l'intérieur du soutien-gorge de la femme, ses pousses et ses indexes entourant chacun de ses grands mamelons, les amenant délicatement et rapidement à un état d'érection.

La femme redoubla de gémissements contenus, les yeux toujours fermés, la tête reversée en arrière supportée par le coude de Sara qui était penchée derrière elle, la bouche sur son oreille, ses seins nus et en érection sous son t-shirt plaqués sur les épaules de la femme :

« Alors, » lui chuchota doucement Sara dans l'oreille décuplant son excitation, « tu ne m'as pas répondu. Dois-je m'arrêter et repartir?

« Non. » Répondit la femme au foyer dans un souffle, n'osant plus désobéir à son désir que cette adolescente savait mieux que quiconque allumer.

« Dis-moi alors ce que tu veux que je te fasse. » Chuchota encore Sara.

La femme d'âge mûr avait l'esprit troublé sous les attouchements de la jeune fille et pouvait difficilement formuler une réponse cohérente à la question que celle-ci lui posait. Elle s'efforça simplement de dire, dans un chuchotement haletant :

« Me faire l'amour. »

« C'est une bien romantique manière de décrire ce que je te fais d'habitude. Je dirais, pour ma part, que ce que tu désires au-dessus de tout en ce moment est que je te baise. » Chuchota Sara, accentuant l'effet du mot cru en descendant une main le long du ventre de la femme et en frottant deux doigts sur sa vulve, au-dessus de sa culotte.

Sara aimait faire admettre à son amante par sa propre voix la flamme de désir qu'elle déclenchait dans son corps et lui faire reconnaître qu'elle seule pouvait assouvir ses besoins. Ceci équivalait à une perte de contrôle de la femme au profit de la jeune fille. A chacun de leurs ébats, elle augmentait la dose de son harcèlement de l'esprit de la femme, augmentant par là même son contrôle sur elle :

« Eh bien dis-le. Supplie-moi de te baiser! » Lui ordonna Sara dans l'oreille, accentuant le rythme de frottement sur sa chatte et la pression sur son mamelon.

« S'il-te-plait Sara. Baise-moi! » Supplia la femme d'une voix rauque et faible, les yeux encore fermées, le corps se tortillant d'excitation, abandonnant toute honte, toute dignité.

À peine dix minutes après son entrée dans sa chambre conjugale, la jeune adolescente pouvait pratiquement tout faire, et tout faire faire, à cette femme mariée qui s'abandonnait complétement entre ses mains. Sara leva les yeux sur leur reflet dans le miroir de la maquilleuse et crut avoir un orgasme tant l'image qu'elle y voyait l'excitait. C'était l'image d'une belle grande jeune fille, jouant sans vergogne avec le corps d'une non moins belle femme mariée au corps mature et voluptueux, dans sa propre chambre à coucher, l'amenant au bord de la folie de désir et d'anticipation. Sara aurait aimé immortaliser ces moments en image ou en vidéo, mais ne faisait aucune confiance à la circulation anarchique de l'information ; craignant que ces médias finissent entre des mains indiscrètes.

Elle brisa brusquement le contact corporel avec la femme, et la mettant debout sur des pieds flagellants, la dirigea doucement par la main vers son grand lit conjugal :

« Viens ma salope en rut. Je vais bien te baiser après ton abstinence de deux semaines. » Dit Sara, le langage intentionnellement cru et humiliant redoublant l'excitation de la femme.

Dans son esprit constamment troublé par la passion en la présence de cette déesse, la femme mûre ne remarquait jamais comment sa relation avec la jeune fille dérivait doucement, mais fermement, d'une relation sexuelle normale entre deux femmes consentantes, à une relation dominatrice-soumise tout aussi consentie, mais pas en sa faveur. Le processus fut graduel, assez lent, mais irréversible. Il commença par quelques remarques humiliantes de la fille, par quelques exigences sur sa tenue vestimentaires, pour se transformer en un contrôle presque total de la jeune fille sur le désir de la femme, sa manière de s'habiller et jusqu'à son comportement dans sa propre maison et en société. Sara pouvait désormais l'humilier et la dégrader avec ses paroles lancinantes, la prendre quand elle veut et comment elle veut, lui donner des ordres sur ce qu'elle devait mettre et jusqu'à la discipliner parfois lorsqu'elle jugeait qu'elle contrevenait aux règles qu'elle lui fixait ou échouait à suivre ses instructions. Lors de la première fessée qui eut lieu il y a un mois et demi, la femme essaya de protester, refusant de se voir discipliner de la sorte par une fille de l'âge de son propre enfant, qui plus est son amie et camarade de classe. Sara coupa court à ses protestations en lui expliquant que certains de ses comportements n'avaient rien à envier à ceux de sa fille en termes d'égoïsme et de mauvaises manières et que si elle lui avait délégué le pouvoir de discipliner sa fille, elle devait aussi normalement pouvoir la discipliner elle. Sinon, qui le ferait? Son mari indifférent et presque toujours absent? La femme n'avait pas assez de volonté ou de force d'argumentation pour contester ce jugement lapidaire et accepta docilement et pathétiquement la punition de la jeune fille.

La punition pouvait aussi avoir plusieurs formes : Une abstinence sexuelle forcée et prolongée ; des instructions plus humiliantes sur la tenue vestimentaire de la femme comme de porter des jupes de sa fille trop courtes et trop serrées pour elle ou de ne pas porter de soutien-gorge pendant la journée exposant à tout le monde ses gros seins ; des actes humiliants pour la maîtresse de maison qu'elle était supposée être comme de lui demander de nettoyer de fond en comble la maison tout en refusant l'aide de ses domestiques; et dans des cas extrêmes, mais rares, une fessée en bonne et due forme. La femme découvrit que toutes ces punitions faisaient mouiller sa culotte à un degré qu'elle ne croyait pas possible, particulièrement la fessée. Une part de son excitation provenait du fait qu'elle imaginait, dans sa position soumise sur les genoux de Sara à recevoir sa punition, sa propre fille recevant le même châtiment par les mêmes mains. Elle n'osait s'avouer que la relation de sa fille avec son amante était de nature sexuelle, mais la pensée de sa propre fille recevant le même châtiment, qu'elle agréait par ailleurs, faisait couler son vagin comme une rivière.

Un début d'explication à ce complet abandon de la part de la femme aux desiderata de la jeune fille peut être trouvé dans la capacité artistique que Sara avait à alterner plaisir et discipline, douceur et fermeté, câlins et fessées, humiliations et flatteries. Ce contraste gardait l'esprit de la femme en constante perplexité et excitation qu'elle ne remarqua pas le changement de l'attitude de la jeune fille à son encontre et accepta sa domination sans réelle résistance.

Mais ce soir, Sara n'avait pas de prétextes pour discipliner son amante plus âgée. Elle la conduit par la main vers son lit conjugal, et fit tomber sa robe de chambre en soie. Elle lui enleva sa lingerie chère et sexy qu'elle lui recommanda d'acheter et la fit allonger sur son lit, les jambes ouvertes. Offerte. Sara commença, ses genoux sur le lit, penchée sur son amante, à lui masser les seins, les malaxant sans ménagement comme de grosses balles anti-stress, poussant la femme à gémir sans dignité. Après un long moment, elle abandonna à regret les deux magnifiques globes et écarta encore plus les jambes de la femme, exposant son vagin rose et mouillé et son clitoris qui émergeait, déjà en érection. Elle glissa sur le grand lit jusqu'à avoir sa poitrine à hauteur du sexe de son amante, entre ses jambes, prit chacun de ses seins dans une main, et commença à les frotter, sans enlever son t-shirt, sur le vagin de la femme ; alternant ses deux seins, d'abord en une agonisante lenteur, et bientôt à un rythme plus soutenu. Ses magnifiques tétons en érection agissaient en petits pénis excitant la vulve de la femme et son clitoris et le frottement du tissu du t-shirt de basse qualité ajoutait une dose de douleur au plaisir de la femme qui haletait et gémissait, mettant la main sur la bouche afin de ne pas exploser en cris qui alerterait sa domestique.

Sara augmenta son rythme et la femme explosa très vite dans un orgasme soulevant son bassin dans des gestes épileptiques afin d'avoir le plus de contact avec les seins de son amante et laissant couler une forte quantité des sécrétions de son vagin telle une fontaine. Sara était elle-même au bord de l'orgasme rien qu'en frottant ses seins couverts sur le sexe de son amante, excitée par la vision de cette femme mature qui perdait toute décence face aux urgences de son désir. Elle remonta lentement le long du corps voluptueux de son amante et lui donna un baiser tendre sur la bouche alors que celle-ci souffrait encore de spasmes post-orgasmiques :

« Tu peux désormais raconter que tu t'es faite baisée par les seins de ton amante », lui murmura Sara dans un sourire, ses mains errant sur son corps mature et bien proportionné.

La femme lui rendit le sourire mais était encore incapable de lui répondre. Sara jeta un œil à son t-shirt et constata les dégâts que l'éjaculation de la femme avaient produits au niveau de sa poitrine :

« Tu m'as ruiné mon t-shirt. Regarde. » Lui dit-elle d'un ton enjoué feignant la colère. « Je devrais te le faire nettoyer par ta langue et te fouetter le vagin qui en est responsable. Mais ta punition attendra. Ce soir, je suis d'humeur magnanime. »

« Désolée Sara. Merci Sara. » Dit simplement la femme qui n'aurait de toute façon pas contesté sa punition.

Toujours allongée sur son amante, Sara fit tomber son jogging, mais garda son t-shirt. Elle mit son sexe où pointait quelques poils du fait qu'elle ne s'était pas rasée depuis une semaine contre celui de la femme, elle dont le vagin était complétement rasé sur ses instructions. Sara commença alors à frotter son pelvis sur celui de son amante, plaquant son clitoris sur le sien. D'abord lentement, prenant support sur les deux seins de la femme. Sara poussait de ses mains les seins de la femme et faisait monter doucement, à la verticale, son corps dont le dos était légèrement courbé. Elle redescendait ensuite de quelques centimètres, les mains toujours cramponnées aux deux seins, la tête légèrement inversée. Ce mouvement faisait que leurs clitoris s'entrechoquaient et se frottaient à chaque va et viens envoyant de légères décharges électriques dans leur corps respectifs.

La femme avait un clitoris plus grand, plus proéminent et plus sensible que celui de Sara. Quand il était engorgé de sang, il ressemblait à un micro-pénis pointant de son vagin. Sara aimait jouer avec et le torturer avec ses doigts, sa main, sa langue, ses lèvres ou ses dents. Elle passait de longues minutes à le faire, s'arrêtant en sentant l'orgasme de la femme, et reprenant son assaut de plus belle jusqu'à ce que celle-ci commençait à la supplier d'en finir. Pas plus tard que deux semaines, lors de leur dernière rencontre charnelle, elle avait chronométré une heure à faire subir à la femme sa torture orale jusqu'à ce que celle-ci commença à crier et supplier, au bord de la folie. Heureusement qu'elles avaient la maison à elle-seule cette nuit, le reste de la famille et les domestiques en voyage.

Bientôt, Sara éleva le rythme de ses frottements, ses poils laissant des traces rouges délicates sur le vagin de sa protégée. Les deux femmes haletaient en même temps, essayant de limiter leur bruit. Quand son orgasme pointa son nez, Sara changea de mouvement et commença à frapper de toute la force de ses hanches le vagin de la femme avec le sien, tel un homme prenant une femme dans une position du mercenaire. Celle-ci écartait maintenant complétement les jambes, et à chaque choc du pelvis de Sara sur son sexe, poussait un petit cri comme pénétrée par un engin masculin. Sara, accélérant son rythme, mit la bouche contre l'oreille de la femme et lui murmura dans une voix cassée par un début d'orgasme :

« Comme j'aurais aimé avoir un pénis pour pouvoir te baiser comme la chienne en chaleur que tu es. Mais sois patiente. Un jour je mettrai la main sur un gode et je te baiserai mieux que ton salaud de mari ne l'a jamais fait. »

Sara avait, en effet, récemment développé une obsession de se trouver un pénis artificiel pour l'expérimenter sur le vagin de la mère et le cul de sa fille, mais ne pouvait se le procurer dans sa petite ville conservatrice et l'acheter sur internet était hors de ses moyens.

Quand la femme entendit les paroles salaces de sa jeune dominatrice, elle explosa dans un orgasme si puissant que ses jambes, maintenant entourant comme une pince la taille de Sara, se contractèrent dans une étreinte si forte que Sara en eut mal au bas du dos. Sara, sentant cette pression sur son bas-dos et ne décélérant pas son rythme, explosa à son tour dans un orgasme puissant, le dos courbé, les mains s'agrippant de toutes ses forces aux seins de la femme à les lui arracher. Elle s'écroula de tout son long sur le corps de son amante et resta ainsi un bon moment, la tête entre les seins de la femme, à haleter de fatigue. Avoir trois orgasmes en moins de deux heures n'était pas chose aisée même pour une fille aussi jeune et athlétique comme Sara. La femme, tout aussi hors de souffle, mis la main dans les beaux cheveux noirs de Sara, et les caressa doucement, comme une mère consolant son petit bébé. Elle mettait aussi de petits baiser tendres sur la tête de Sara. Dans cette posture, Sara trouva une telle quiétude de l'esprit, un tel engourdissement délicieux de son corps et de son âme qu'elle souhaita passer la nuit ainsi, la tête adossée à la fabuleuse poitrine de cette femme mûre et tendre, à se faire cajoler par elle. Après près de 15 minutes, elle se releva brusquement et à contrecœur, et commença à remettre son jogging :

« Rhabille-toi vite. Ta fille doit se demander ce qu'on fait depuis tout ce temps. Je lui ai promis d'être de retour dans 2H. »

La femme se releva plus péniblement, se disant que son âge et sa forme ne lui permettaient décidément pas de suivre le rythme de cette diablesse athlétique. Elle commença à se rhabiller lentement, attrapant d'abord son soutien-gorge. Sara, la voyant, le lui déroba brusquement des mains dans un geste enjoué et le balança de l'autre côté de la chambre :

« Tu n'en as pas besoin. » Lui dit Sara d'un ton tout aussi enjoué. « Et puis, on est en retard. Il fait beau, met juste un t-shirt et un jogging comme moi. Ça te rajeunira de dix ans. »

La femme n'essaya pas d'argumenter et sortit de son placard un t-shirt fuchsia et un jogging gris qui lui allaient à merveille. Elle sortit aussi des flip-flops, mais Sara lui passa des sandales à talons :

« Non, met celles-ci. Elles mettent à merveille en évidence ton beau et gros cul. Il faut faire profiter la populace de la vision de ce beau corps. »

« Mais il fait nuit, Sara, » répondit la femme avec un petit rire, sensible au compliment. « Il ne doit pas y avoir grand monde dehors. »