La punition de Catherine 02

BÊTA PUBLIQUE

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"Non Tony, vous voyez, je lui ai dit que je serais à présent son propriétaire. Pour en revenir à la première fois où je l'ai vue, je savais déjà qu'elle était ce que je recherchais. Je veux qu'elle soit mienne, qu'elle m'obéisse sans contester, je veux avoir le contrôle sur ce qu'elle porte, pense ou fait."

C'était la réponse qu'attendait Tony. "Voilà un défi de taille pour un jeune homme comme toi Sean, d'autant plus quand il concerne une femme mariée de quarante deux ans et mère de deux enfants!"

"En toute honnêteté Tony, c'est la raison de ma venue ici, en espérant que vous pourriez m'apprendre quelque chose", sourit Sean.

"C'est possible ... et je serais heureux de le faire," répondit Tony. "Mais tu dois comprendre qu'il y aura un prix qu'elle devra payer pour cette aide, tu dois être bien certain d'être disposé de la voir en payer ce prix!".

"Si au final, Catherine, c'est son prénom Tony, devient mon esclave personnelle, alors j'en serai très heureux."

"Et son mari, qu'en est il Sean?."

"Oh, elle reste avec son mari Tony; après tout, quelqu'un doit bien payer les factures!. Mais Catherine l'autorisera à la baiser uniquement comme et quand je le déciderai! "

Tony avait l'impression de se revoir en Sean et ça lui plaisait.

"Regardons par où commencer Sean,mais, tout d'abord, des excuses doivent être faites.". Tony appuya sur un bouton et s'adressa à la femme au rez de chaussée. "Ferme la boutique et viens me rejoindre à l'étage," ordonna Tony.

Quelques minutes plus tard, on frappait discrètement à la porte. "Entre", répondit Tony.

Joan, entra dans la pièce et s'arrêta à côté du bureau de Tony, les mains derrière le dos, la tête baissée. "Vous m'avez appelée Maître," dit-elle, à la surprise de Sean. "Oui Joan, c'est à propos de l'embarrassant langage et comportement que tu as eu envers mon invité, Sean."

"Alors je vous présente mes excuses Maître ainsi qu'à Sean."

"Insuffisant, tu dois être punie."

Joan rougit, mais se tut.

"Eh bien Sean, tu as effectivement ma permission de punir Joan, qui n'est pas ma femme mais une de mes esclaves. Tu as mon consentement pour me démontrer tes compétences"

Sean esquissa un sourire. Sa quête de nouvelles connaissances ne pouvait pas mieux commencer. Remerciant d'un geste Tony, il demanda à Joan de venir devant lui et de déboutonner sa robe.

Elle jeta un regard furtif vers Tony dont le visage resta impassible, puis, lentement, se tourna vers Sean et commença à dégrafer un à un les boutons d'une robe presque informe, geste qu'elle avait si souvent exécuté. Vint le dernier bouton et Joan fit glisser la robe par dessus ses épaules, après quoi elle plaça ses mains à l'arrière de son cou tout en gardant la tête bien haute et en regardant vers le sol en attendant d'autres instructions.

Sean essaya de rester impassible car Joan, en dépit des premières impressions, avait un corps 'd'enfer'! Sans soutien gorge , ses seins de taille moyenne étaient encore bien fermes terminés par de gros mamelons qui avaient certainement été travaillés pour pouvoir être ornés de grands anneaux.

Sean abandonna ces superbes seins pour constater que Joan portait pour unique lingerie, des bas que retenait un porte jarretelle noir et qui laissait exposé aux regards un pubis totalement rasé et tatoué des mots, "Esclave de Tony."

Se souvenant de ce qu'il avait récemment appris, Sean se tourna vers Tony, "Mes compliments pour votre esclave si bien éduquée Tony, puis-je la fesser maintenant?"

Tony fut agréablement surpris que son invité ait déjà appris le respect attendu par un autre Maître. Acquiesçant pour donner son assentiment il observa avec attention quand Sean demanda à Joan de se tenir à quelques pas du bureau de Tony, puis d'écarter ses jambes avant de se pencher en avant pour placer ses mains sur le bureau. Puis elle dut, Sean le lui ordonna, regarder son Maître, Tony, droit dans les yeux.

N'ayant eu que peu d'attention de la part de son maître très occupé ces derniers temps, Joan était intérieurement ravie qu'il ait autorisé ce très beau jeune homme à la fesser. Son cœur battait déjà la chamade à l'idée de sentir les mains de Sean sur son cul. Bien qu'elle soit soumise depuis de nombreuses années, Joan fut surprise de la maîtrise affichée par Sean lorsqu'il s'est mis à fesser chaque centimètre de peau de son postérieur ainsi que le haut de ses cuisses. Elle se mis bientôt à haleter à chaque fois que Sean lui caressait ses fesses brûlantes si sensuellement et avec une grande douceur, apaisant de la paume d'une main tandis que les doigts s'égaraient au bord des lèvres de sa chatte imberbe.

Sean avait informé Joan qu'elle recevrait 24 fessées pour son insolence, mais ils en étaient à la 18e quand un orgasme la submergea. Incapable de le repousser plus longtemps, effondrée sur le bureau , Joan haletait et criait, les yeux fixés sur Tony, presque inconsciente des coups qui continuaient à s'abattre sur son cul avant de finir à genoux au pied de Sean une fois la punition terminée.

Sean reçut les félicitations de Tony pour sa remarquable technique. Cependant, il avait laissé une esclave jouir sans son autorisation et cette audace exigeait qu'elle fasse amande honorable. Rampant sur les mains et genoux jusqu'aux pieds de Sean, Joan ne se releva que pour poser les mains sur la ceinture de son pantalon.

"S'il vous plaît puis-je vous faire plaisir, Maître", demanda Joan en regardant Sean dans les yeux

Sean, appréciant à son tour la tournure des événements, hocha de la tête

Nue, agenouillée cuisses largement écartées, Joan entrepris alors de desserrer la ceinture puis d'ôter les chaussures et les chaussettes de Sean. Elle descendit ensuite le zip du pantalon pour le faire glisser, ainsi que le sous vêtement, sur ses cuisses afin de les lui retirer complètement. Sean, incrédule, se retrouvait nu sous la taille avec sa grosse queue dressée et palpitante

Joan aussi l'était incrédule, un instant décontenancée à la vue imposante du sexe de Sean. Elle se jura néanmoins de donner à ce jeune Maître un souvenir inoubliable en faisant usage de toutes ses compétences en matière de fellations. Et c'est ce qu'elle fit.

Après avoir commencé par délicatement caresser, presque amoureusement, cette impressionnante queue comme pour s'assurer qu'elle était bien réelle, Joan en repoussa le prépuce pour embrasser et souffler sur le gland palpitant. En permanence, les doigts jouaient et caressaient la queue, les couilles et les cuisses. Sean gémit de plaisir lorsque Joan prit ses vingt deux centimètres dans sa bouche et sa gorge. Avec difficulté mais déterminée, les va et vient de la bouche de Joan se succédaient sur sa bite tandis que sa langue affolait ses sens. Constatant et appréciant l'hygiène irréprochable de ce jeune homme, Joan, d'une dextérité étonnante, se pencha et se contorsionna pour, à la surprise de Sean, se retrouver face à ses fesses.

Sa surprise s'accentua et, s'il résista lorsque Joan plaça ses mains sur chacune de ses fesses pour les écarter, la sensation provoquée par la langue de Joan s'aventurant à l'entrée de son anus le fit céder. Pour la première fois Sean expérimentait une langue de femme sur son cul et il aimait ça!. Joan, le visage à présent plaqué à sa raie culière, massa ses couilles d'une main tandis que de la seconde elle le masturbait au même rythme que sa langue entrait et ressortait de l'anus de Sean.

Les jambes tremblantes face aux caresses multiples prodiguées par Joan, Sean se demandait combien de temps il pourrait encore tenir avant que les mains qui le masturbaient ne le fasse éjaculer à travers la pièce. Comme si elle avait deviné le dilemme, Joan retira sa langue de l'anus d'un Sean un peu désappointé pour lui refaire face. Sa bouche cette fois ci se dirigea immédiatement sur cette l'énorme queue tout en écartant à nouveau les fesses de Sean pour venir insérer un index dans son anus bien lubrifié. Sean gémit de plaisir qui s'accentua encore lorsque Joan se mis à masser son périnée ou à le griffer délicatement du bout des ongles.

Agitant les reins tout en poussant des râles de plaisir, Sean ne put se retenir plus longtemps et se libéra d'un sperme chaud qui, jet après jet, se déversa directement dans la gorge de Joan qui s'appliqua comme elle le put à garder la bite en elle. Malheureusement Joan eut rapidement des difficultés à gérer sa respiration en raison de la grande quantité de foutre combinée à la taille du membre qui lui emplissait la bouche. Au bord de l'étouffement, le gosier de Joan refoula par réflexe une partie du sperme qui ressortit à la commissure de ses lèvres et s'écoula le long du menton.

Finalement et presque à contre cœur, Joan libéra de sa bouche la bite de Sean qui avait débandé mais qui conservait une taille fort imposante. Relevant les yeux pour fixer Sean, la jeune femme toujours agenouillée et souriant, se mis à passer lentement un doigt sur son menton pour en récupérer le liquide visqueux avant de le porter à sa bouche pour l'avaler avidement. Répétant le processus jusqu'à s'assurer que plus aucune goutte se sperme ne s'était perdue, Joan en termina avec sa prestation en rhabillant Sean.

"C'était incroyable", s'exclama Sean qui fit se dessiner un sourire sur le visage de Joan. "J'aimerais que Joan puisse apprendre à Catherine comment faire ça!", ajouta-t-il avant de se rendre compte, légèrement mal à l'aise, que Joan n'avait pas pris part à leur conversation antérieure et qu'elle ne savait rien de Catherine ni des intentions qu'il avait pour elle.

"Oh c'est possible et ce sera le cas si c'est ce que tu souhaites Sean. Joan peut tout à fait le lui enseigner et appréciera de le faire. Vois tu, bien qu'elle soit une esclave, Joan peut aussi switcher et devenir une dominante particulièrement douée envers les autres femelles". Sean n'en croyait pas ses oreilles. Les choses se déroulaient décidément à merveille et mieux qu'il n'avait osé l'imaginer. Il pouvait à présent penser à la prochaine étape de son projet pour soumettre Catherine Dixon.

Chapitre quatre:

Ce week-end là, littéralement submergée par un sentiment de culpabilité et d'insécurité, Catherine accueillit son mari qui rentrait d'un interminable voyage d'affaire, avec autant d'attention qu'elle le put. Cuisine élaborée, repas aux chandelles agrémenté d'un grand cru, spécialement apprêtée, elle fit tout ce qu'elle pouvait pour occulter les terrifiants événements et tenter de recouvrer sa vie de couple. Mais à son grand désarroi, son mari lui signifia dès la fin du repas qu'il était extrêmement fatigué par sa dernière semaine de travail et qu'il souhaitait aller se coucher. Catherine n'eut alors comme seule marque d'attention, une pathétique et habituelle pénétration en missionnaire avant qu'il ne s'écroule de fatigue et ne s'endorme.

Allongée dans l'obscurité, comme à son habitude, presque mécaniquement, les doigts de Catherine descendirent vers son entre jambe pour apaiser son clitoris. Se remémorant son mari qui était en elle il y encore quelques minutes, elle tentait sans y parvenir de refouler l'image de l'énorme sexe de Sean qui l'avait longuement baisée. En dépit du fait qu'elle s'était juré de ne jamais plus autoriser une telle chose, chaque fois que Dan rentrait à la maison et qu'elle attendait de voir s'il était porteur d'un message de Sean ... chaque fois, Catherine ne pouvait réprimer un sentiment de frustration face au silence de son fils.

Durant les deux semaines qui suivirent, après que son mari se soit endormi, Catherine se masturba régulièrement avec la vision claire de l'énorme bite de Sean. Elle s'imaginait même contrainte la bouche et les lèvres autour de son membre après qu'il l'ait punie, fessé ou cané. A son grand étonnement, Catherine allait même jusqu'à fantasmer sur Sean lui donnant le fouet pendant qu'elle était attachée et bâillonnée tout comme dans les livres qu'elle parcourait si passionnément avec son mari il y a de cela quelques années.

Mais après chaque jouissance, Catherine se promettait de conserver son vœu intact et de ne jamais plus laisser entrer Sean dans la maison même si, jour après jour, ce fantasme revenait avec une insistance implacable.

C'est alors qu'un soir qu'ils finissaient de souper comme à leur habitude, Dan informa nonchalamment Catherine, qu'il avait croisé Sean dans la journée et que ce dernier lui avait demandé de bien penser à rappeler à sa mère que « comme convenu », il passerait demain dans l'après-midi vers 15 heure.

Catherine fut tellement stupéfaite qu'elle faillit en lâcher sa tasse de café en entendant les paroles de Dan. Inconsciente de la complicité de Dan, Catherine cherchait fiévreusement une réponse appropriée ; "Oh ....oui.... effectivement ... j'avais complètement oublié".

Parfaitement conscient qu'aucun rendez vous n'était fixé entre sa mère et Sean, Dan réprima un sourire face à l'embarras qu'elle tentait de dissimuler. De façon toujours aussi détachée, il ajouta que Tom avait finalement perdu tout intérêt pour le métier d'enseignant et que Sean viendrait donc seul.

Une idée vint alors à l'esprit de Catherine. "Très bien Dan. Dans ce cas, je pense que tu pourrais rester ici afin de tenir compagnie à Sean".

Tout en caressant sous la table une érection naissante, Dan répondit. "Hum désolé maman, j'ai déjà un entraînement de foot de prévu aujourd'hui et vos histoires d'enseignement ne m'intéressent pas du tout. J'imagine combien ça doit être chiant maman mais je peux t'assurer que Sean m'a confirmé avoir beaucoup apprécié votre première entre vue"

"Oh mon Dieu", pensa Catherine stupéfaite "Comment vais je bien pouvoir me sortir de là?". Après des semaines à s'être masturbée sur cette éventualité, tout son corps à présent en tremblait intérieurement. Quoi qu'il arrive, se dit elle, elle ne doit pas permettre à Sean de pénétrer dans la maison et tout en s'imaginant qu'il serait finalement assez simple de dire à Sean que son mari se trouvait à la maison pour toute la semaine, Catherine ignorait totalement que son propre fils l'avait informé que son père était, une nouvelle fois, absent toute cette semaine.

Catherine ignorait également que Dan, depuis deux semaines, fouillait furtivement mais méthodiquement dans son dressing pour fournir à Sean la liste complète des sous vêtements, leur taille, couleur et type. Pour être totalement exhaustif, Dan avait également ajouté la liste de ses robes les plus raffinées!

Dès son réveil le lendemain de ce fameux après midi, Catherine était restée constamment fébrile. Toute la nuit, elle n'avait pu détacher son esprit d'elle-même et de Sean, parfois punie, parfois contrainte de sucer son énorme sexe pendant qu'elle avait les pieds et les mains immobilisés!

Même Dan, pendant le petit-déjeuner, avait remarqué sa nervosité apparente et lui avait suggéré qu'un bon bain pourrait peut être lui faire du bien.

Catherine décida alors qu'aller nettoyer quelques plans de fleur dans le potager l'aiderait à réfléchir plus posément à tous ses problèmes. A quelques heures de l'arrivée de Sean, elle travailla d'arrache pied jusqu'à se retrouver en nage et maculée de terre. Consultant sa montre et constatant qu'il était déjà 14H, soit 1H avant l'arrivée théorique de Sean, Catherine estima qu'il était préférable d'être un minimum présentable en prenant rapidement un bain et en s'habillant de façon plus avenante.

Croisant son fils préparer son sac de sport, l'embrassant rapidement sur la joue, Catherine informa Dan qu'elle allait prendre un bain après avoir jardiné. Dan, excité à l'idée de ce qui se préparait, senti un nouvelle érection en regardant sa montre : 14H10

"Ok maman, je me sauve pour mon entraînement"

"Entendu, à tout à l'heure Dan", lui répondit elle comme absente en montant les escaliers pour se rendre à la salle de bain. Tandis qu'elle était plongée dans son bain, Catherine se répétait ce qu'elle devait dire à Sean lorsqu'il arriverait. C'était décidé, elle lui dirait que son mari était à la maison et qu'il ne pouvait simplement pas entrer.

Se séchant rapidement, Catherine tira en arrière ses longs cheveux blonds pour faire une queue de cheval avant d'enfiler un classique soutien-gorge blanc et une culotte tout aussi basique. Un jean bleu et un chemiser en coton finirent de compléter sa tenue. Porter quelque chose de plus raffiné n'était pas une bonne idée après la dernière fois!. Néanmoins, une petite pointe de vanité l'empêchant de se présenter devant quelqu'un sans maquillage, Catherine pris tout de même cinq minutes devant le miroir pour s'appliquer du rouge à lèvre, de l'ombre à paupière ainsi que du crayon. Une fois fait, elle s'observa une nouvelle fois dans le miroir en se remémorant à nouveau sa résolution. Quoi qu'il advienne, Sean ne devait pas entrer dans la maison .... car s'il y parvenait, alors ... alors .... non, elle ne pouvait même pas envisager une telle chose!

Vérifiant à nouveau sa montre, Catherine s'aperçut qu'il était à présent 14H40. Après avoir chaussé ses chaussons, descendant les escaliers, elle décida qu'elle avait le temps de se préparer une petite tasse de café.

Chapitre cinq :

"Oh mon Dieu" ... fut la première réaction de Catherine, stupéfaite de voir Sean se tenir debout dans sa cuisine, mains derrière le dos et la regardant avec un rictus de colère.

"Comment .. Dieu, tu m'as fait peur Sean ... Comment es-tu entré ici?", réussit-t-elle à balbutier avec appréhension, voire effrayée par la manière dont Sean la dévisageait avec une expression de fureur.

"Dan .... Je suis arrivé un peu en avance et Dan m'a dit que tu ne verrais aucun inconvénient à ce que je patiente en bas pendant que tu prenais ton bain"

"Oh". Fut tout ce que Catherine trouva à dire. Les choses ne se passaient pas du tout comme prévues. Perplexe et préoccupée par sa posture, elle tenta d'être plus incisive. "Mais ... mais je ne pense vraiment pas ... Sean, que tu prennes pour acquis .." ... mais Catherine fût aussitôt interrompue par Sean.

"Il semblerait que tu ne réfléchisses pas suffisamment Catherine", là coupa t il sèchement. Catherine, sur le coup stupéfaite, pouvait observer, de plus en plus nerveuse, avec quelle irritation Sean la détaillait de la tête aux pieds.

"Qui ... qui a t il de nouveau Sean?", demanda-t-elle en espérant apaiser la situation avant de le faire partir.

"Ça, Catherine, c'est une question que tu vas devoir te poser si à l'avenir tu reçois ton Maître et Propriétaire habillée de cette façon. Ta punition sera bien plus sévère que celle que j'avais envisagé", déclara Sean d'un ton qui ne laissait aucun doute sur son agacement.

Sean décroisa lentement ses mains de son dos et Catherine fût horrifiée de voir la cravache qu'il dissimulait. Elle se mis à trembler intérieurement en le voyant mécaniquement se frapper la paume de main avec la boucle de cuir qui ornait l'extrémité de l'effrayant engin.

Sachant qu'il lui était maintenant impossible de prétendre que son mari se trouvait à la maison, effrayée à la vue de la cravache de Sean, Catherine ne put que s'indigner "Oh mon Dieu, ne ... s'il te plaît Sean, ça n'est pas possible, s'il te plaît, tu ne devrais pas être ici, je pense vraiment que tu devrais partir maintenant, s'il te plaît ... pense à ce qu'il se passerait si mon mari venait à entrer maintenant".

"Tout cela n'a rien à voir avec ton mari Catherine. C'est une affaire entre toi et moi et personne ne s'interposera, la seule chose qui compte, c'est ce que moi je veux! Désormais, tu m'appartiens Catherine, à personne d'autre, tu es ma propriété. Je te dis ce que tu peux ou ne peux pas faire, ce que tu dois porter et où tu peux aller! "

"Mais .. s'il te plaît Sean ... ça n'est pas bien ... tu ne peux pas attendre de moi que je, que je ... "

Mais Catherine fut interrompue dans sa phrase, surprise par la rapidité et soudaineté avec laquelle Sean se dirigea vers elle. Sans s'arrêter dans son mouvement, il attrapa de ses deux mains le col de son chemisier et le déchira littéralement faisant voler des boutons un peu partout dans la pièce.