La punition de Catherine 02

Informations sur Récit
Suite de "la punition de Catherine".
12.3k mots
4.65
59.2k
14

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 08/25/2016
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Avant propos :

Cette histoire est une traduction que j'espère assez fidèle d'une texte écrit par un auteur anglophone. Je n'en ai donc aucunement la paternité

J'ai souhaité en proposer une traduction française car la qualité de sa construction couplée au thème traité en ont fait un de mes récits préféré.

J'invite donc les lecteurs à parcourir la version originale car n'étant pas parfait bilingue, loin de là, j'ai bien conscience que ma traduction ne reflète pas toujours correctement le sens que l'auteur a souhaité insuffler.

Si vous ne supportez que le français, alors j'espère que ce qui suit vous donnera envie de connaître la suite.

La version originale actuelle est un récit relativement long et avec de nombreuses ramifications qui, de mon point de vue, ne représentent pas toutes le même intérêt (chacun son truc hein!!). Selon vos remarques et commentaires éventuels, je verrai si je poursuis ou non l'intégralité de cette traduction!

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La punition de Catherine Dixon

(titre original : Catherine Dixon's Punishment)

Deuxième partie

Chapitre un :

(Six semaines plus tard)

Catherine Dixon debout, observait nerveusement l'homme à la forte stature assis derrière son bureau. Tenant la laisse de Catherine, se trouvait Joan vêtue d'une jupe de cuir assortie d'une simple veste.


"Maître Tony," prononça finalement Catherine, "Il ... Il est de mon désir de ... de vous démontrer que moi, Catherine Dixon ... ai parfaitement conscience d'être à présent une esclave sexuelle en formation, prête à servir mon Maître et propriétaire, Sean, sans questions ni hésitations".

"Eh bien, ne restez pas là Catherine", répondit sèchement l'homme âgé environ d'une cinquantaine d'années.

Sean, assis juste derrière Catherine, buvait un verre de bière et attendait que son scénario suive son cours. Sean sourit avec satisfaction lorsque sa propriété, cette blonde de 42 ans et mère de deux enfants, Mme Catherine Dixon, posa un premier escarpin stiletto sur le petit banc de bois pour pouvoir ensuite venir se hisser avec précaution, sur l'énorme bureau.

Avec tout autant de soin, Joan, "l'assistante" de Tony, l'accompagna afin de relâcher un peu la tension sur la laisse de Catherine alors que celle-ci progressait en rampant jusqu'à ce que ses genoux finissent par heurter l'incrustation centrale en cuir du bureau. Catherine stoppa alors et s'assit de façon à ce que ses fesses reposent sur les longs talons de ses chaussures. Le buste redressé et, pour finaliser la posture que lui avait ordonné de prendre l'homme auquel elle faisait à présent face, Catherine croisa ses mains derrière la nuque avant de recouvrer un peu de volonté en relevant les yeux pour plonger son regard dans celui de l'homme qui, toujours assis, se livrait manifestement à une sorte d'évaluation.

Confortablement enfoncé dans son fauteuil de cuir, Tony Weston étudiait lentement cette mure et belle blonde qui se tenait docilement à genoux sur son bureau.

Bien consciente d'être l'objet d'un examen minutieux, Catherine observait les yeux de Tony parcourir chaque centimètre de lingerie qu'elle portait ou plutôt qu'elle exposait avec ses longs cheveux blonds qui lui tombaient en cascade sur les épaules. Vêtue uniquement d'un ensemble de satin rose et noir, sa tenue se composait d'un minuscule string, d'un porte-jarretelles, de bas noirs et d'un soutien-gorge à balconnet qui dessinait parfaitement ses gros seins aux mamelons déjà durcis. Catherine Dixon, même à quarante-deux ans, même avec quelques rondeurs, avait conservé une sa beauté juvénile.

En voyant l'homme assis devant elle l'étudier aussi ouvertement et explicitement, Catherine ressentit à nouveau ce si merveilleux mais interdit frisson d'excitation. Une excitation qui allumait en elle la flamme du désir à chaque nouvelle aventure dans laquelle son jeune maître et "propriétaire", Sean, l'emmenait.

"Eh bien, c'est assurément de toute beauté Sean. Ça semble avoir été bien formé, joli travail!". Catherine comprit à cet instant que cet homme, Tony, ne s'adressait pas elle mais parlait d'elle comme d'un objet. Sean l'avait informée que ce serait, à partir de maintenant et dans certaines situations, quelque chose de tout à fait normal. Alors que l'homme se levait de son fauteuil en prononçant ces mots, Catherine ressentit encore une fois un étrange mais si agréable frisson.

La lingerie qu'arborait Catherine était complétée par un harnais de contrainte en cuir. Clipsées à son collier, quatre fines lanières descendaient de part et d'autre des seins de Catherine pour venir s'attacher sur une sorte de ceinture qui lui enserrait la taille. Fixées horizontalement entre les lanières latérales, de fines chaînes en acier flottaient au travers de la poitrine de Catherine.

L'effet combiné de la lingerie et du cuir donnait à cette mère de quarante-deux ans une allure absolument magnifique et sensuelle. Tony,qui s'était à présent levé, ne résista pas au plaisir de promener ses doigts sur cet ornement de cuir et de chaînes. Catherine était parfaitement consciente qu'elle devait garder les mains croisées sur sa nuque le temps de cet examen mais elle dû lutter pour maintenir la position lorsque des ondes de désir, telles des décharges électriques, lui parcoururent le corps quand les doigts de Tony s'égarèrent délibérément sur ses seins pour finir par jouer avec ses mamelons.

"Splendide", déclara Tony qui se penchait à présent plus près de Catherine, "Ça vous dérange si je l'embrasse Sean?". "Non, absolument pas, je suis votre invité Tony, ma propriété est la votre", répondit Sean acceptant de fait la première de nombreuses autres situations érotiques auxquelles il allait probablement assister entre Tony Weston et sa propriété, Mme Catherine Dixon.

Catherine, alors totalement captivée par cette conversation érotique dont elle faisait l'objet, vit Tony glisser un doigt dans l'anneau de son collier puis l'attirer doucement mais fermement à lui jusqu'à ce que, inévitablement, leurs lèvres se rencontrent. Au même moment, ce qui devait probablement être un ongle d'un doigt de Joan, s'amusait à épouser le renflement imprimé sur son string par les lèvres de son sexe.

S'était il réellement écoulé si peu de temps depuis que Sean Brady n'était entré chez elle et ne change irréversiblement sa vie, peut être pour toujours, en l'introduisant dans ce monde d'épanouissement sexuel?. Un monde qu'elle n'avait jamais connu auparavant et dont elle ignorait même l'existence?. Un monde qui lui était révélé par un jeune homme qui avait l'age d'être son fils?!

Un instant, les pensées de Catherine se tournèrent vers son mari et l'excitation sexuelle certaine qu'elle ressentait lorsqu'il là corrigeait à la canne même si ces séances se déroulaient toujours selon ses conditions à elle. Catherine réalisait aujourd'hui qu'il là punissait simplement pour ce qu'elle était, une épouse docile et aimante et que ces sessions ne finissaient jamais autrement que par une fellation avant qu'il ne l'abandonne seule, la laissant satisfaire de son mieux ses propres besoins plus tard dans son lit.

Ses pensées s'évanouirent rapidement lorsque la langue de Tony se fraya résolument son chemin entre ses lèvres. Catherine, sans hésitation les écarta pour accueillir dans sa bouche la langue chaude de cet homme qui dégageait une puissante virilité et qui parvenait si facilement à la dompter ...


Chapitre deux :

Quand Sean et Tom eurent quitté la maison cet après-midi là, Catherine réalisa aussitôt l'énormité de ce qui venait de se produire, ce qu'elle avait en réalité accepté qu'il se produise et de terribles sentiments de culpabilité la tourmentèrent aussitôt.

Après une série d'orgasmes incroyables, Catherine était bien évidemment redescendue sur terre. Après l'avoir sexuellement utilisée, ils lui avaient demandé de leur préparer une 'bonne tasse de thé' que Catherine avait dû ensuite servir aux deux garçons qui s'étaient rhabillés dans l'intervalle alors qu'elle, était contrainte de rester nue. Devant ensuite s'agenouiller, Sean et Tom jouèrent négligemment avec ses mamelons lui déclenchant à nouveau de terribles et si électrisantes pulsations entre ses jambes.

Il était peu avant 18h30 quand les garçons finirent par la quitter, non sans que Sean lui administre une courte mais consciencieuse fessée. Enfin, comme pour lui 'rappeler' que c'était lui, "Sean Brady" qui était à présent propriétaire de Mme Catherine Dixon, lui pinçant et tordant durement les tétons, il exigea qu'elle lui renouvelle sa volonté de lui obéir. Quand il partirent, Sean lui indiqua qu'il reprendrait contact avec elle par l'intermédiaire de Dan!

A la hâte, effrayée à l'idée que son fils ne fasse irruption à tout instant, Catherine entrepris de nettoyer le salon de toute trace des événements de l'après-midi. Son soutien-gorge, son string, ses bas et porte-jarretelles qui jonchaient le sol furent jetés dans le panier à linge, le service à thé rangé dans le lave-vaisselle et le salon remis en ordre. Soudain, avec horreur Catherine aperçu sur le canapé ce qui ne pouvait être que des traces de sperme qu'elle s'empressa de nettoyer comme elle le put avant de se verser un grand verre de Cognac et de monter à l'étage pour se rendre à la salle de bain.


Plongée dans un bain d'eau chaude, Catherine prit une grande gorgée de Cognac, incapable de croire à ce qui venait de lui arriver, dans sa propre maison! Jésus, qu'allait elle faire maintenant? A qui pouvait-elle se confier? Elle avait même accepté, elle, Catherine Dixon, 42 ans, mère de deux enfants, de devenir la propriété d'un garçon de seize ans, un ami de son fils!. Et maintenant, elle allait devoir vivre avec le terrible souvenir de ces deux garçons se vidant dans sa bouche et dans sa chatte!.

Soudain, elle entendit le claquement de la porte avant que Dan ne l'appelle, lui demandant si tout allait bien. Catherine prit une autre gorgée de son Cognac avant de répondre le plus naturellement possible que oui .... elle allait bien!.

Malgré le Cognac, Catherine pouvait encore sentir le goût du sperme de Tom dans sa bouche et sa chatte était douloureuse après le passage de l'énorme queue du Sean. En dépit de la terrible culpabilité qu'elle ressentait pour avoir permis à ces événements de se produire, Catherine ne pouvait s'empêcher de se remémorer comment, tout en étant prise par derrière, la queue de Sean l'avait totalement et complètement remplie comme jamais auparavant. Au point que Catherine avait ressenti un étrange sentiment de vide quand Sean avait retiré sa monstrueuse queue de sa chatte alors traversée de multiples contractions. Bien que son mari fût attentionné, Catherine avait rarement voire jamais connu d'orgasme dans la position du missionnaire qu'ils adoptaient habituellement et devait généralement se masturber après qu'il se soit endormi.

En vérité et depuis longtemps maintenant, Catherine désirait renouveler le scénario du DVD, mais ces jeux avec son mari s'étaient arrêtés depuis un bon moment déjà. Ces derniers temps, avec son mari en voyage d'affaires une grande partie de la semaine, toute l'attention qu'elle lui accordait le week-end se révélait, au mieux, dérisoire.

Fermant les yeux elle revit comment, après qu'il se soit retiré de son vagin, Sean lui avait fait face avec sa monstrueuse queue encore en érection. Elle se souvenait aussi de la façon dont elle s'était appliquée, soumise et sans protester, à la nettoyer avec sa bouche. Jamais auparavant Catherine n'avait goûté son propre jus maculant la bite d'un homme mais pourtant, cela lui était apparu totalement naturel de nettoyer la magnifique bite de Sean maculée de leurs sécrétions mêlées.

Cela ne doit jamais se reproduire décida Catherine. Personne ne devra jamais savoir ce qui s'est produit cet après-midi. Que faire si Dan apprenait ce que ses prétendus amis avaient fait à sa propre mère? Il serait dévasté et humilié d'apprendre que sa mère se soit laissée fouetter son cul nul à coups de canne avant de se livrer volontairement à des relations sexuelles avec deux garçons de seize ans!. Non, Catherine décida qu'elle ne devait parler de cela à personne et que ça ne devrait surtout jamais recommencer!.

Alors que Catherine prenait cette résolution, son fils Dan, incrédule, se trouvait dans sa chambre avec la porte verrouillée. Haletant, il visionnait l'enregistrement vidéo de sa caméra. Il était clairement surpris par les événements qui s'étaient déroulés passées les premières courtoisies entre sa mère et ses amis. Et loin d'être dévasté et humilié, Dan été sonné mais aussi très, très excité. Une main appuyait sans cesse sur l'avance rapide de la télécommande tandis que l'autre s'occupait de sa queue. Il ne put se retenir d'éjaculer lorsqu'il vit ses copains forcer sa mère à se déshabiller leur exposant ses formes si fantastiques.

La queue de Dan se redressa pour se répandre à nouveau lorsqu'à l'image, sa mère, pratiquement nue, était caressée par ses amis. Regarder sa propre mère cannée par Tom et Sean, entendre ses cris de douleur mêlés de plaisir était une véritable musique aux oreilles de Dan. Alors que sa mère avalait la bite de Tom et avant que celle de Sean ne la prenne par derrière, il l'entendit l'appeler que le souper était prêt et qu'il fallait qu'il descende tout de suite avant que ça ne refroidisse.

Arrivé en bas, Dan s'assit en face de sa mère surpris par une nouvelle érection alors qu'il commençait le repas. Il avait du mal à croire à cette chance et ne pouvait s'empêcher de jeter des regards furtifs à sa mère dès qu'il le pouvait. Dan, étonné de la voir si calme et posée, était fasciné à l'idée qu'il connaissait à présent chaque détail des ses seins , de leurs tétons, de sa chatte et de son cul caché en ce moment même par un bas de survêtement que sa mère ne portait habituellement jamais.

Dan termina difficilement son repas tellement pressé de retourner à l'étage pour visionner la fin de l'enregistrement. Mais il était tout aussi fasciné par l'idée qu'il pouvait rester là et imaginer chaque partie du magnifique corps de sa mère alors qu'elle était assis en face de lui, totalement ignorante que son propre fils l'avait vue, il y a seulement quelques minutes, sucer la bite d'un copain!. Alors Dan se mis à sourire, presque rire et Catherine, interloquée, demanda à Dan ce qui pouvait le mettre de si bonne humeur ce soir. "Juste content d'être avec toi maman," répondit Dan, avant d'ajouter en son fort intérieur "et penser à quel point je vais pouvoir apprécier ta compagnie à l'avenir..."

Heureuse de voir son fils épanoui, priant pour qu'il ne lui demande pas à nouveau de rencontrer Seen, Catherine lui retourné un sourire. Pour le bien de sa famille, il était préférable que Sean Brady ne remette jamais les pieds dans cette maison ...

Chapitre trois:

Quelques jours plus tard Sean Brady entra dans une librairie faiblement éclairée située juste à côté de la rue commerçante. Lentement, il parcourut le long présentoir où se trouvaient romans et autres magazines. C'est en fouillant dans les affaires de son père qu'il avait pris connaissance de l'existence de cet endroit qui allait certainement lui permettre d'en apprendre d'avantage sur le mode de vie auquel il aspirait. Espérant qu'il pourrait rencontrer le propriétaire du magasin que la correspondance de son père présentait comme un expert reconnu dans les pratiques BDSM.

La dernière impression laissée à Sean par Catherine Dixon, à part le plaisir évident d'avoir baisé la mère de son camarade, était qu'elle avait clairement accepté de devenir sa propriété, qu'elle acceptait également d'être baisée à chaque fois qu'il le souhaiterait!. Malgré cette attitude, Sean ne s'était pas vraiment attendu à ce que cette mure et presque hautaine Mme Dixon ne se soumette à lui avec autant de facilité. Mais à présent, Sean était encore plus déterminé que jamais à lui faire tenir parole. La mère de Dan était un trophée dont il avait pleinement l'intention de profiter surtout après que Dan lui ai finalement avoué qu'il avait enregistré la totalité des événements de ce fameux après-midi!.

Au début, Sean pensa que Dan avait l'intention d'utiliser l'enregistrement contre lui et Tom. Mais au lieu de cela, il fût stupéfait d'entendre Dan lui dire qu'il avait pris son pied de l'avoir vu prendre sa mère. Dan avait poursuivit en proposant à Sean de l'aider à l'avenir, à la condition de pouvoir lui aussi profiter des charmes de sa mère, mais en toute discrétion!

Sean réalisa que Dan était aussi pervers que lui et le deal ne dérangea pas Tom qui se satisfaisait manifestement d'avoir eu son instant de plaisir. Sean accepta le marché après avoir pu jeter un œil sur l'enregistrement. Son rôle, lui signifia Sean, était de lui fournir tout ce dont il avait besoin de connaître sur sa mère car il souhaitait en savoir beaucoup plus sur elle comme par exemple avoir un inventaire de ses sous-vêtement, leur type et leur couleur.

Mais Sean se demandait également si Dan ne voyait pas tout cela comme un amusant et simple jeu de méchants garçons, ignorant que sa mère n'était qu'au début d'une formation visant à transformer la belle Mme Catherine Dixon, épouse et mère de deux enfants, en authentique esclave sexuelle. Une esclave obéissante qui lui adresserait la parole en prenant soin de l'appeler "Maître Sean". Que Dan ait ou non compris ses intentions l'indifférait totalement.

Sean s'approcha du comptoir derrière lequel se trouvait une femme d'apparence timide et qui devait être âgée d'environ trente cinq ans. "Je recherche un ouvrage qui fasse référence sur les pratiques et relations BDSM." De derrière le comptoir, la femme leva les yeux vers ce jeune garçon, assez grand et beau qu'était Sean Brady.

"Vraiment?," sourit elle "Même si j'avais un livre de cette nature, serais tu en age de lire jeune homme?, je te donne difficilement dix huit ans."

Sean, appréciant que cette femme puisse penser qu'il avait dix-huit ans, décida de ne pas prendre de gants avec sa réponse. Qui ne tente rien n'a rien.

"Disons que je suis assez vieux pour vous mettre sur mes genoux et vous donner une bonne fessée, mais seulement avec la permission de votre Maître bien sûr!"

Derrière le comptoir Joan rougit brusquement, ravie d'imaginer ce jeune homme lui faire cela, avant de répondre en marmonnant qu'elle allait regarder ce qu'ils avaient.

A l'étage, témoin de la discussion, se trouvait un homme solidement bâti, assis derrière un imposant bureau. Tony Weston qui observait l'écran de contrôle et suivait la conversation qui se déroulait dans la boutique, sourit brièvement et reconnu que, même s'il était très jeune, ce jeune garçon dans son magasin dégageait une certaine assurance et prestance et pourrait lui être utile. Tony appuya sur un bouton qui fît clignoter une led fixée au comptoir de la librairie. "Je pense que vous aurez plus de chance de trouver ce que vous cherchez dans notre département "spécial", situé à l'étage. Déclara Joan.

Avec prudence, Sean suivi la femme à l'arrière de la librairie et gravirent un escalier en haut duquel se trouvait une porte munie d'une plaque au nom de "Tony Weston."

Après avoir frappé, Sean fût accueilli par le visage imposant de Tony lui-même "Eh bien jeune homme, quelle entrée! Approche et viens me dire exactement ce que tu cherches.". Incertain de l'accueil qui l'attendait, Sean était à la fois soulagé et rassuré par les paroles de Tony et, il ignorait pourquoi, apprécia immédiatement cet homme beaucoup plus âgé. Passé quelques minutes de méfiance, Sean expliqua clairement à Tony ce qu'il cherchait à apprendre et dans quel but.

Tony observait Sean avec un respect croissant. A supposé que cette histoire de canne sur une femme de quarante deux ans était bien réelle évidemment!.

"Donc, Sean, malgré avoir donné la canne à une femme et l'avoir baisée, , ça reste insuffisant à ton goût?", Demanda Tony après que Sean eut terminé son récit. La réponse de Sean à cette question allait décider de sa future relation avec Tony.