La Princesse de la Fac

BÊTA PUBLIQUE

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Il n'avait pas son dynamisme habituel. Généralement, il me fourrait comme une machine, prenant à peine soin de s'assurer que je prenne mon pied. Cette fois, il était plus lent, plus soigneux à mon égard. J'aimais ça, même si je trouvais déplaisant qu'il ait plus de respect pour une bizute inconnue que pour moi. Mais je lui ferais payer ce comportement de goujat plus tard... Pour l'instant, je voulais que l'on profite tous les deux de ce moment. Je me retournais, afin qu'il me prenne en levrette. Je savais qu'il adorait cette position, qu'il se sentait vraiment un homme puissant quand il pouvait me chevaucher ainsi.

Il comprit mon intention, il tira sur mes cheveux pour rapprocher sa tête de la mienne et m'embrassa. Sa langue avait le goût du tabac. Je pensais qu'il avait arrêté... il devait fumer en cachette... s'il voulait obtenir le poste quaterback, il avait intérêt à cesser de s'empoisonner les poumons avec de la nicotine. Mais ce serait une dispute pour une autre fois. À cet instant, je voulais qu'il me pistonne, qu'il me fasse jouir comme il en avait l'habitude avec sa grosse queue.

Mais à nouveau il me baisa avec retenue, sa queue entrait en moi sur une cadence d'escargot. Son ventre frappait contre mes fesses, il devait avoir pris du poids ses derniers temps... je devrais faire en sorte qu'il suive un régime. Je dus moi-même me mettre à exercer des mouvements de recul pour recommencer à trouver du plaisir. Peut-être qu'avec le bandeau il avait du mal à trouver son rythme, même si je trouvais ça étonnant, ce n'était pas du travail de précision que je lui demandais, mais de l'énergie, de la puissance, de la violence, choses dont il ne manquait jamais d'habitude.

Je commençais malgré tout à chauffer, ma chatte mouillait. Sa queue dure frottait contre mes parois, me faisait chavirer... Je savais que ce n'était que le début, il était capable de me baiser des heures durant, de me faire connaître le septième ciel plusieurs fois avant de jouir.

Je poussais quelques gémissements de chatte en chaleur pour le motivé, qu'il reprenne son entrain... ça marcha, il donna des coups de bites de plus en plus rapides, il accélérait la cadence. Mais au bout d'une minute, un liquide envahit ma chatte.

Ce n'était pas possible ! Il se retirait toujours avant de jouir. Cette fois son sperme giclait jet après jet dans ma chatte sans qu'il ne cherche à s'extraire de mon minou. Je ne pus me retenir, j'oubliai momentanément qu'il ignorait que c'était moi qu'il baisait et je criai :

« Qu'est-ce qui t'a pris, espèce de débile ! Je t'ai toujours dit que je ne voulais pas ! »

— Petite salope ! Tu ne me parles pas comme ça! Et tu crois que j'en ai quelque chose à faire ! On m'a dit que je pouvais jouir où je voulais ! »

Quoi ? Qu'est-ce que c'était que cette histoire? Et sa voix ? Je reconnaissais la voix... je la connaissais même très bien... mais ce n'était pas celle de mon copain. Je retirais mon bandeau, mon cœur s'arrêta. Une vision d'horreur ; le visage devant moi était celui d'un homme mûr, des cheveux blancs, des lunettes rondes, un nez pointu. C'était mon père ! Sa queue était encore en train de décharger son sperme dans ma chatte !

Lui aussi retira son bandeau, il me regarda, l'incompréhension se lisait dans ses yeux. Ce n'était pas possible ! On n'avait pas pu faire quelque chose d'aussi horrible ! Comment Brenda avait-elle pu oser! J'allais la détruire, la frapper jusqu'à la réduire en poussière.

Je me dégageai, je sentais le sperme couler de ma chatte... La semence de mon père ! Et s'il m'avait mis en cloque ?! Et je me repassais la scène dans ma tête, mon père presque obèse me prenant par-derrière, me tirant les cheveux pour me tringler... J'avais tellement honte!

Derrière moi, j'entendis soudainement une cascade de rires, comme si ce qui venait de se passer avait quoique ce soit de drôle!

Je me retournai, Brenda et deux autres filles de la sororité étaient là. Elles n'avaient jamais quitté la chambre, au contraire elles paraissaient avoir tout vu et trouver ça hilarant. Elles étaient debout, tenant leur téléphone et nous filmant moi et mon père sur le lit. Elles riaient à s'en décrocher les côtes... c'en était trop pour moi, je me jetai sur Brenda, prête à lui foutre une droite, mais les deux filles protégèrent leur présidente m'empêchant de pouvoir lui régler son compte.

Derrière moi papa se dépêchait de remettre son slip et son pantalon. Il cria en se rhabillant : « Ça ne se passera pas comme ça, je vais interdire votre sororité, je vais vous expulser de la fac.

— Ça m'étonnerait, Monsieur le Doyen... On a tout filmé, vous en train de baiser votre charmante petite princesse... qu'est-ce que vous lui avez mis ! J'espère que vous avez aimé comme elle vous a sucé, elle se donnait à fond... je me demande si c'est ça l'amour filial?

— Salope!

— Moi une salope? Vous auriez dû voir votre fille qui se mordait les lèvres pendant que vous la preniez par-derrière et lui défonciez sa chatte mouillée. Ça, c'était une salope...

— Tu vas me donner cette vidéo.

— Bien sûr, je savais que vous auriez envie de revoir votre petit plan à deux... Ça se lit sur votre visage que vous êtes un pervers, Monsieur.

— Je veux dire, tu vas effacer

— Certainement pas. D'ailleurs, je viens de l'uploader en fichier crypté sur un serveur. Par contre ce qui va se passer, c'est qu'on va avoir notre diplôme, moi et mes deux amies ici présentes. Ainsi que toutes les filles de ma sororité que je désignerais, celles que je trouverais assez méritantes. Si vous refusez, votre réputation sera détruite. Un doyen qui baise ses élèves, c'est déjà pas beau. Mais un doyen qui commet un inceste... je ne suis pas sûre que vous retrouviez un poste quelque part... C'est pas interdit par la loi, l'inceste au Texas? Vous pourriez peut-être faire un petit tour en prison, ça vous plairait?

— Mais, bordel, tu m'avais dit que...

— Ne vous énervez après tout, j'ai rempli ma part du marché.... On s'était mis d'accord que si vous étiez bienveillant avec notre tradition de bizutage, on vous offrirait une petite bizute à baiser. C'est exactement ce que je vous aie donné, manque de chance, la petite bizute, c'est votre fille.

— Salope...

— Bon, je suis gentille je vous laisse le droit de m'insulter encore une fois. Tout comme je vais être sympa avec votre charmante fille... elle voulait tellement rejoindre notre sororité... Son rêve va se réaliser. Mais elle peut oublier son passe-droit, elle devra subir des épreuves pour nous rejoindre. »

J'étais tellement en colère que je lui criais dessus :

« Si tu penses que je vais me soumettre à tes rites débiles de bizutage, tu es ravagée de la tête! Il est hors de question que...

— Attends, intervint mon père. Le mieux c'est que tu fasses comme elle dit, si la vidéo est publiée, je perdrais mon poste.

— Mais papa ! elle est méchante.

— Je sais... Mais ce ne sont que quelques mauvais moments à passer.

— Je veux pas !

— Ne fais pas ta mauvaise tête, tu feras comme je dis ou je te renvoie de la maison ! Il est hors de question que ma carrière soit ruinée parce que tu refuses de subir un petit bizutage. Ce n'est pas ouvert à la discussion, Nancy. Et pas un mot de tout ça à ta mère ! »

Papa avait fini de s'habiller et quittait piteusement la chambre. On devait être dans un hôtel... Mince, pourquoi papa avait-il dit ça. Je ne voulais pas me retrouver à la rue... Je regardais Brenda, j'avais les larmes aux yeux. Peut-être qu'elle ferait preuve de pitié.

« Brenda, j'ai toujours été sympa avec toi, non ? T'as aucune raison de m'en vouloir... tu ne vas pas me faire subir de mauvaises choses, hein? T'es pas comme ça, t'es super cool. 

— Qu'est-ce que tu m'as dit tout à l'heure? Que j'aurais à subir les conséquences si ça se passait mal? Mais heureusement, tout s'est bien passé et les conséquences c'est que tu vas être notre petite esclave... Grâce à ton papa, Monsieur le Doyen, tu vas servir de trou collectif quand une fraternité viendra pour un gang bang.

— Je t'en pris, m'oblige pas à ça... si je te donnais de l'argent?

— Tu crois que je suis pauvre? Tu m'as vraiment toujours méprisé, hein?

— Pas du tout!

— Ne te fous pas de moi, c'est fini le temps où tu pouvais me prendre pour une conne... Maintenant, c'est le temps où ta bouche sert à dire « Oui, Maîtresse » et à sucer des bites.

— Je...

— Qu'est-ce que je viens de dire?

— Quoi...? Euh... Oui, Maîtresse.

— Voilà, tu n'es peut-être pas complètement idiote... Maintenant regarde cette liste, elle monte jusqu'à dix... Tu ne devrais pas avoir de mal à l'apprendre par cœur, on te laisse deux minutes. Si tu te trompes une seule fois, on recommence depuis le début...

— Oui Maîtresse... Mais... recommencer quoi ? »

Pour répondre à ma question, une des filles sortit de sous le lit la planche à féssée de la sororité Kappa Kappa Sigma. Mes yeux s'écarquillèrent et je commençais à suffoquer : « Moi... Je... » je ne parvenais pas à mettre en mot l'absurdité de la situation... je n'étais pas destinée à recevoir des coups, mais à en donner. C'était un de mes principes de vie, comment les choses avaient-elles pu tourner de cette façon ? Je me jetai à genoux devant Brenda :

« Je t'en supplie Brenda, tu ne peux pas me faire subir ça... Je suis la fille du doyen... c'est pas possible...

— Nancy, il est temps pour toi de découvrir ce que ça fait d'être une fille comme les autres. Le temps où tu étais une petite fille à papa gâtée pourrie est révolu. Maintenant, c'est le temps où tu deviens ma salope, mon esclave... alors prends cette liste, et apprends-la par cœur. »

****

Deux minutes plus tard.

Mon ventre était posé sur le lit où mon père m'avait baisé, mes fesses étaient en l'air, j'attendais la fessée. Je serrais les dents quand je reçus le premier coup. C'était aussi douloureux que je l'avais imaginé, le choc se propagea dans mon corps, je hurlai :

« Un ! Je suis la pute de Kappa Kappa Sigma ! »

Deuxième coup : « Deux ! Je suis une bimbo idiote ! »

Troisième coup : « Trois ! Je servirais de lécheuse de chatte à mes sœurs ! »

Mes fesses me brûlaient, c'était un feu dévorant qui persistait même après le choc. Non seulement j'avais atrocement mal, mais je pouvais voir Brenda en train de me filmer tout en se caressant.

Quatrième coup : « Quatre ! Je ne porterais plus de sous-vêtement ! »

À chaque coup je pleurais toutes les larmes de mon corps, j'étais humiliée moralement et physiquement... Je voulais me retourner, leur prendre la planche des mains et leur crier dessus : « Comment osez-vous ! Je suis la fille du doyen ! Je vais vous faire virer. » Mais je me rappelais alors que c'est mon papa m'avait ordonné de tout accepter sans broncher.

Cinquième coup : « Cinq ! Je m'appelle Minou Juteux ! »

Sixième coup : « Six ! J'appellerais tous les membres de la sororité "Maitresse" ! »

J'avais mal, mais j'avais perdu toute envie de révolte... Je me rendais compte qu'en m'infligeant ces sévices, Brenda me matait. Elle savait que je ferais tout pour éviter de me retrouver à nouveau dans cette situation...

Septième coup : « Sept ! J'obéirai sans jamais contester mes sœurs ! »

Jusqu'à présent, je n'avais pas tellement prêté attention à ce qui était écrit dans la liste, cherchant juste à tout retenir. Mais maintenant que je devais crier ces horreurs à voix haute, je me rendais compte des atrocités et des humiliations que Brenda me réservait.

Huitième coup : « Huit ! Aux soirées de la sororité, je draguerai tous les garçons ! »

C'était vraiment atroce, à chaque frappe, j'avais l'impression que la douleur ne pouvait pas être pire... et pourtant, à chaque coup mes fesses étaient un nouveau nid de souffrance.

Neuvième coup : « Neuf ! J'appellerai Monsieur ou Maître chaque mec qui voudra me baiser ! »

Dixième coup : « Dix ! Je peux baiser un membre de fraternité comme je veux !

— Idiote. C'est "Dix, un membre d'une fraternité peut me baiser comme il veut." Tu ne penses quand même pas avoir le moindre choix quant aux bites qui font te fourrer?... Allez, on recommence, depuis le début ! Et cette fois, ne fais pas d'erreur. »

— Non, pitié!! »

Ma supplique ne changea rien, la planche frappa de nouveau mes fesses. Le calvaire se prolongeait. Désespéré je criais :

« Un ! Je suis la pute de Kappa Kappa Sigma ! »

Je ne sais pas comment je parvins au bout de cette deuxième série de frappes. Je crus mourir... Une des sœurs photographia mes fesses, on pouvait voir les marques « T T Σ » partout sur mon cul. Brenda posa la main dessus ce qui me fit frissonner.

« Ces marques vont disparaître rapidement, t'inquiète pas. » me rassura Brenda. Avant d'ajouter : « Par contre, celles qu'on va te graver sur la peau, celle-là, tu les garderas pour toujours ! »

Toutes les sœurs se mirent à rire.

Brenda sortit un collier plaqué or et me le passa autour du cou, un mini-cadenas était fixé dessus. Elle ferma le cadenas et rangea la clef dans sa poche :

« J'espère que tu aimes ce collier, tu ne pourrais pas l'enlever que ce soit pour aller en cours, ou pour aller en ville. Comme tu es si fière d'être la fille du doyen, il y a "Princesse " écrit dessus, c'est gentil, non ? Comme ça tout le monde verra que tu es une personne importante... Tu peux me remercier, je sais que tu adores ça, faire savoir au reste du monde à quel point tu es supérieur.

— ...

— Alors ? Mes remerciements ? Tu veux encore une série de planche à fessée ?

— Non, pitié!! Merci Maîtresse pour ce beau cadeau ! Je le porterai avec fierté. »

Mon âme mourait à petit feu... Je prenais conscience à quel point ma vie basculait, de l'élite de la fac, j'allais devenir la risée de tous les étudiants. Et on ne se contenterait pas de rire et de se moquer de moi, mais on me ferait souffrir, on m'avilirait, tout ça parce que j'avais vexé Brenda. D'ailleurs celle-ci enfonça le clou :

« Comme tu as été longue à me remercier, quand tu te feras baiser par un mec, tu devras dire au moins une fois : "Je suis la petite princesse du campus, la fille du doyen, et j'adore sucer des bites et avoir ma chatte fourrée au sperme. " »

Brenda me regarda, s'amusant à voir mon visage se décomposer...

« Aller on y va ! La journée ne fait que commencer ! »

Je me levai, mais Brenda me réprimanda immédiatement avec une gifle :

« Tu marches à quatre pattes, tu as déjà oublié que tu es une vilaine chienne ? Si tu veux marcher sur tes deux pieds, il faudra que tu le mérites... »

C'est donc nue et en laisse que je quittai l'hôtel sous le regard médusé des clients et des employés. Heureusement c'était un hôtel miteux dans un coin désert, sans doute choisi pour rassurer mon père qui éviterait de croiser des connaissances.

On me fit monter dans la voiture, où on m'autorisa à enfiler un string. Puis nous arrivâmes devant la sororité. On me sortit en tirant sur la laisse.

Je voulais me précipiter pour entrer dans le bâtiment, mais Brenda ne lâcha pas la laisse et annonça :

« Tu restes là pétasse, les mains sur la tête, jusqu'à ce que je décide que tu puisses entrer.

—  Mais je suis presque nue !

—  Tu as oublié que tu dois dire " Oui, Maîtresse", et que tu dois obéir à tous mes ordres sans rien discuter... Tu en seras quitte pour vingt coups de planche... Heureusement pour toi, ce sera pour plus tard, il y a la fête pour le passage des nouvelles sœurs à préparer. Il y aura plein de mecs de fraternité qui vont venir. À chaque fois que l'un d'eux passera devant toi, tu diras : "Je m'appelle Minou Juteux, je suis la fille du doyen de l'université, et je suis là pour vous servir comme vous en avez envie !" Et sois enthousiaste en disant ça, il y a une caméra posée sur le mur, on saura si tu ne respectes pas les consignes... Tu as déjà vingt coups de planche à fessée de retards, je ne pense pas que tu as envie que le compte augmente... »

Brenda et les autres franchirent la porte me laissant seule. J'obéis, mettant les mains derrière la tête comme une petite fille punie. Sauf qu'à la place d'être une petite fille, j'étais une jeune étudiante et que des dizaines de mecs allaient pouvoir se moquer de moi, voir plus... Ce n'était pas possible, comment avais-je pu en arriver là ? J'étais la fille du doyen !

Deux types de fraternités passèrent devant moi, pour éviter de nouveaux coups, je m'empressais de déclarer : « Je m'appelle Minou Juteux, je suis la fille du doyen de l'université, et je suis là pour vous servir comme vous en avez envie !

— Mike, c'est une blague des Kappa Kappa Sigma ? Ce serait la fille du doyen cette salope ? J'y crois pas du tout.

— Mais si c'est elle ! Je la reconnais, et regarde le collier... Mec, j'ai trop envie de me la taper. Tu sais que son con de père à augmenter les frais d'inscriptions... À cause de lui j'ai deux mille dollars de dettes supplémentaires. Sa fille, je vais la faire brailler pour chaque dollar que son enfoiré de daron m'a volé.

— Viens avec nous, pétasse, on va te péter le cul.

— Mais... je peux pas quitter le perron, c'est Maitresse Brenda qui l'a ordonné.

— Ah ouais ? Alors ce que tu vas commencer à faire, c'est ouvrir la bouche pour qu'on enfonce nos queues dans ta jolie petite gueule. On aura bien d'autres occasions de t'enculer, t'inquiète pas... »

Alors que la bite d'un mec que je n'avais jamais vu enfonçait sa queue dans ma bouche pour que je le suce, je pleurais encore... De la reine de la fac, j'étais devenu Minou Juteux, la pute de la Fac. Je devinais que d'ici la fin de l'année, j'aurais avalé plus de queues et de sperme qu'une prostituée devant une prison.

****

Minuit sonnait dans le grand Hall de la sororité Kappa Kappa Sigma.

J'étais prise dans un pilori, un bâillon dans la bouche, incapable de bouger, incapable de parler... La seule chose qui me couvrait -en dehors du sperme qui maculait mon corps- était une couronne en carton.

Brenda fit tinter sa fourchette contre un verre pour provoquer le silence. Elle annonça alors :

« Je félicite toutes nos nouvelles sœurs qui rejoignent Kappa Kappa Sigma. C'est un grand pas pour vous, en adhérant chez nous vos chances de devenir quelqu'un d'important augmentent de 80%. C'est les statistiques qui le disent, et vous le savez déjà... Mais ce n'est pas parce que le futur s'ouvre à vous que vous devez relâcher vos efforts. On ne sait jamais ce que l'avenir vous réserve... Et un bon exemple est la bimbo stupide au milieu du hall ! »

Tous les regards se tournèrent vers moi, alors que la foule rigolait. On pouvait voir du foutre s'écouler de ma chatte, j'ignorais qui et combien de personnes m'avaient baisée... Je me sentais salope encore une fois, sauf que cette fois ce n'était pas juste une impression comme quand je pensais baiser mon copain ; cela arrivait pour de vrai, j'étais devenu ce que je redoutais le plus au monde.

« Je suis sérieuse, reprit Brenda. Cette chienne assoiffée de bite est la fille adorée de notre doyen. On aurait pu croire que l'université serait une simple formalité pour elle, les meilleurs stages lui étaient réservés, le meilleur diplôme lui était assuré... À la place de quoi, elle préfère passer sa scolarité à s'entraîner pour devenir une pute... »

Même si je n'avais pas eu un bâillon dans bouche, je n'aurais rien répondu à ce monologue. J'avais trop honte de moi, ma seule envie était qu'elle arrête de parler et de m'humilier ; même si ça signifiait que les garçons allaient recommencer à me baiser.

« Pour bien vous prouver que dans la vie, rien n'ai jamais acquis, je vous offre un spectacle sensationnel ce soir : Faites entrer notre invité surprise...

Les portes de la sororité s'ouvrirent, deux mecs balaises tenaient en laisse un grand chien à taches noires... Je le reconnaissais, c'était le dalmatien de la fraternité Gamma Gamma Thêta.

« Comme vous pouvez le voir à son médaillon il se nomme « Prince » alors je crois qu'il est temps que notre Princesse passe une nuit avec son prince charmant... »