La Pimbêche -- 03

BÊTA PUBLIQUE

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Mais Béatrice n'était pas d'humeur à se montrer bienveillante, elle avait gagné, et elle voulait en profiter. Qu'Aline et sa salope de mère boivent la lie jusqu'au bout. Et en l'occurrence, elle avait une nette idée de ce que devait être "la lie"....

« Quand je dis que tu vas lécher ta maman, tu obéis! »

Béatrice lui mit le nez sous la chatte de sa génitrice, Aline écarquilla les yeux, horrifiée. Lécher la chatte de sa maman était ce qu'elle pouvait imaginer de plus répugnant, sans compter tout ce sperme à avaler... Mais, elle ne voulait pas désobéir à Béatrice. Et puis si elle n'aidait pas sa maman, avec toute cette semence qui macérait dans son antre duveteux, nul doute qu'elle tomberait enceinte si elle n'agissait pas...

Voyant son hésitation, Béatrice ajouta :

« Ce qui est rigolo, c'est que ta maman est venue parce qu'elle s'inquiétait pour toi. Oui, c'est à cause de toi si elle a la chatte fourrée de sperme, mais on dirait que tu t'en fiches...

— Non!

— Alors qu'est-ce que tu attends. »

Aline ne savait plus quoi faire. Elle sortit timidement la langue et récolta quelques gouttes de sperme qui s'écoulaient de la chatte distendue de Madame Houiller.

« Je vois que tu t'es décidé, » constata Béatrice. « Alors, laisse-moi t'aider. »

Elle poussa la tête de son ennemie contre l'abricot de la maman. Son nez se posa contre le clitoris, tandis que sa bouche embrassait pleinement la moule dégoulinante de jus. L'odeur de toute cette déjection de chibre était écœurante. Elle ouvrit la bouche et sa langue s'enfonça dans le con. Elle avait espéré qu'il suffirait d'un ou de deux coups de langue pour vider sa maman de toute la sauce fertilisatrice, mais cet espoir fut vite déçu quand sa langue plongea plus avant. Tout l'ovaire de sa mère était rempli, c'était une véritable décharge à foutre qu'elle avait à nettoyer. Elle passa en revue tous les mecs qui étaient entrés dans la chambre, tous ces mecs à qui elle avait demandé de baiser sa maman, à se montrer brutaux et ignobles avec elle. Elle les visualisa décharger leur bourse, l'arroser de semence. Et maintenant elle était là, à genoux, à boire tout le sperme qu'ils avaient déversé dans sa maman.

Béatrice à côté d'elle commentait :

« C'est la première fois que tu goûtes au jus de couille, non? J'espère que tu aimes ça, parce que tu ne pourras pas te plaindre de ne pas avoir assez à manger... »

Non elle n'aimait pas ça. Elle était transie de honte de devoir avaler le sperme amalgamé d'une bonne partie des mecs de sa classe. Mais ça, ce n'était que psychologique. Le plus terrible était bien plus terre-à-terre : c'était le goût. Un goût de yaourt gluant et aromatisé à la bite. Elle lapait pitoyablement ce jus blanc visqueux débordant de la chagatte de sa mère, elle avait l'impression que les spermatozoïdes se mouvaient sur sa langue avant de s'engouffrer dans son gosier.

Pendant ce temps, sa mère était tétanisée. Elle avait constaté de première main comment cette salope de Béatrice venait de manipuler sa fille. Lui faire croire qu'elle agissait pour éviter qu'elle tombe enceinte alors que son unique but était de les humilier toutes les deux. Mais elle était plus admirative qu'énervée par la fourberie de la lycéenne alors qu'elle sentait la langue de sa fille se tortiller dans sa grotte gluante. Elle pouvait sentir le foutre gonflant son fourneau se vider sous la succion de sa fille, elle admirait sa fille pour son dévouement à boire tout ce sperme. Elle, par contre, était méprisable de bêtise, honteuse d'avoir été piégée par Béatrice comme une crétine. Et contrairement à Aline, qui avait le nez plongé dans son con et ne pouvait pas voir le reste de la chambre, elle voyait les dizaines de lycéens en train de rire devant le spectacle grotesque d'une fille gouiner sa maman. Le pire est que son fourreau avait souffert ces dernières heures en subissant un pistonnage intensif, et la petite langue agile et humide de sa fille lui procurait un plaisir indéniable.

Alors que sa chatte se vidait peu à peu de toute la semence engloutie en elle, et bien qu'ait mal au cœur pour sa fille qui devait ingurgiter tout cet amoncellement de sève poisseuse, elle ne pouvait nier une profonde extase à se faire purger de toute cette saleté.

Sa fille était pourtant loin d'avoir fini sa tâche herculéenne. Ce n'était pas par paresse, sa langue n'arrêtait pas de travailler et était aussi consciencieuse que pour la rédaction de ses devoirs. La quantité à écluser était simplement gargantuesque, et elle avait encore du boulot devant elle alors que son estomac était déjà rempli par tout ce lait séminal. Ayant besoin de prendre un peu d'air, elle écarta la tête de réservoir encore bien plein de sa maman pour s'accorder une pause.

Elle constata alors qu'elle était devenue le centre d'attraction de la fête. Car quel spectacle elle offrait avec son menton barbouillé de jus de couille et sa petite langue travailleuse de lécheuse de chatte. Les spectateurs autour d'elle assistaient à sa performance en sirotant des bières et en mâchonnant du pop-corn, tandis que son repas à elle consistait uniquement en du foutre. D'ailleurs elle sentit une remontée de l'infâme liquide spermatique le long de son œsophage ; elle ouvrit la bouche et offrit à l'assistance un énorme rôt de sperme. Béatrice secoua la tête devant ce spectacle peu ragoutant, et Aline s'en retrouva mortifié. N'osant affronter plus longtemps le regard de la foule, elle replongea à la tâche avalant la résine de mâle qui continuait à goutter de l'antre visqueux de sa maman. Elle avait aussi remarqué que depuis plusieurs minutes, ce n'était pas que du sperme qu'elle engloutissait, mais que la chatte à sa mère commençait à s'humidifier de mouille. Elle réalisa que sa maman jouissait grâce à ses coups de langue. Elle se sentait gênée d'être responsable de cette humiliation supplémentaire, mais elle ne se découragea pas et s'appliqua. Elle voulait éliminer toute trace de spermatozoïdes pour ne pas que sa génitrice ne devienne enceinte d'un de ses camarades de classe.

Quand elle eut fini, qu'elle fut sûre que la chatte de sa maman était bien propre et vide de tout résidu de jus de couille, Béatrice lui confia des ciseaux comme récompense :

« Je te laisse libérer ta maman. »

Elle s'empressa de couper les liens qui la retenaient puis de la débâillonner. Elle se colla à elle malgré le sperme gluant qui recouvrait son corps.

« Maman! Je suis désolée.

— Non c'est moi. »

Les deux femmes se serraient l'une contre l'autre. Ç'aurait paru touchant, si la plus jeune n'était pas en jupe mini-courte et les nichons à l'air, et que la mère n'avait pas ses habits complètement coupés. On aurait pu les prendre en photo pour illustrer un DVD porno appelée : "Destruction par le sperme de deux gouines sexy".

« C'est bientôt fini ces simagrées? Je vous signale que vous avez du travail. Vous avez vu la file qui attend derrière la porte? »

En effet, même s'il y a déjà beaucoup de monde dans la pièce, une grande quantité de mecs attendait aussi à l'extérieur, espérant encore se vider les couilles.

« Laquelle des deux veut servir de pute? »

Madame Houiller voulant protéger sa fille cria : « Moi! »

Quant à la fille, après avoir constaté, langue la première, à quel point sa maman avait été besogné, elle s'exclama : « Prenez-moi plutôt ! »

Leur sentiment de protection l'une envers l'autre était si beau et si intense qu'aucune des deux ne songea à protester contre le sort qui leur était réservé. Béatrice avait du mal à contenir sa joie, elle avait réduit les deux hautaines et orgueilleuses femmes à être ses esclaves. Elle était crainte et respectée comme une déesse et pouvait exiger d'elles tout ce qu'elle souhaitait.

« Vous me touchez tellement que je n'ai pas le cœur à choisir. Alors plutôt que de sacrifier l'une ou l'autre, vous allez nous offrir un petit show... Ouais, vous allez vous baiser l'une l'autre. Oh, pas la peine de faire des mimiques de sainte-nitouche Madame Houiller. Aline vient de vous lécher un bon quart d'heure, et je vous aie vu jouir alors qu'elle vous bouffait la hutte... »

Elle tapota le lit, elle y avait posé quelques petits ustensiles. Certains qu'elle avait commandés spécialement pour cette soirée et d'autres dont elle profitait au contraire quotidiennement comme un gros gode rouge. Les deux femmes s'avancèrent vers le lit, prêtes à accomplir leur devoir. L'une et l'autre hésitaient à s'emparer des jouets, Béatrice se trouva contrainte de jouer à la metteuse en scène.

« Madame Houiller, après le soin qu'a pris votre fille pour vous nettoyer la chatte, ne vous faites pas prier pour la faire jouir.

— Béatrice, est-ce que je...

— Dorénavant, Madame Houiller, tu m'appelleras Maîtresse, ta fille aussi m'appellera Maîtresse. Car vous êtes mes deux esclaves. Et grosse salope, quand je donne un ordre tu m'obéis, compris? »

La maman fut choquée. Aucun élève n'avait jamais pris un tel ton avec elle. Le pire est qu'elle ne pouvait qu'accepter la validité des propos de sa nouvelle maîtresse. Elle prit donc le gode et s'approcha de la chatte fraîchement rasée de sa fille. Elle voulait s'assurer de sa coopération, mais comment demander à sa fille si celle-ci voulait bien se laisser goder ? elle bafouilla en demandant

« A-aline, Béatrice veut que je... »

Elle reçut un coup sur les fesses. La redoutable lycéenne venait de la frapper.

« Putain! T'es conne ou quoi? Je t'ai dit y a deux secondes de m'appeler maîtresse... J'ai l'impression que ça va être compliqué de te dresser, conne comme t'es... »

Caroline se sentit vraiment stupide. Elle qui passait une bonne partie de ses journées à expliquer aux élèves d'être plus attentifs en classe. Voilà qu'elle n'était pas parvenue à se rappeler ce que sa maîtresse venait de lui dire. Elle se rectifia immédiatement :

« Notre Maîtresse veut que je te gode... est-ce que...

— Vas-y maman. »

Au ton de sa voix, Caroline comprenait que sa fille avait pleinement accepté sa soumission à Béatrice. Elle ouvrit les cuisses pour permettre l'entrée du massif tube rouge. Sa mère eut une hésitation, elle trouvait la taille du gode vraiment trop gros pour le petit minou de sa fille.

« Aline, je suis pas sûre que le gode puisse entrer...

— Pourquoi? il est pas plus gros que le sexe de Moussa. »

Caroline frémit en se rendant compte que sa fille avait subi les coups de gourdin endiablé de Moussa. Elle se souvint aussi que les coups de matraque pénétrant son fourreau lui avaient fait vivre l'extase. Elle se demanda si sa fille avait aussi connu la petite mort sous la houlette du grand noir. Rassurée que sa fille puisse supporter la grosseur de l'engin, mais un peu jalouse de ne pas être la seule à avoir été saillie le colosse black et son énorme pieu, elle enfonça le chibre en plastique dans la fente de sa fille sans montrer de grande tendresse. Savoir que sa fille servait de repose-queue pour un noir rabaissait d'un cran son estime pour elle, il lui vint même à l'esprit que sa progéniture n'était peut-être bien qu'une salope.

Si Aline ne fut absolument pas surprise par la taille du gode, elle eut un choc quand le mode vibreur s'actionna. Elle essaya de garder bonne figure, de ne pas montrer ce qu'elle ressentait, mais elle était bien forcée de se mordre les lèvres. Les vibrations à cet endroit intime étaient si nouvelles et délicieuses... Le gode devenant de plus en plus humide, il fut aisé de constater pour Caroline que la chair de sa chair y prenait plaisir. Il ne lui laissait plus beaucoup de doute quant à sa fille... Elle avait beau lui avoir donné la meilleure des éducations, une fois une queue dans la chatte, elle se montrait aussi dépravée que la première catin venue.

Béatrice constatant l'effet produit déclara :

« Madame Houiller, votre salope de fille est toute mouillée, il est temps pour vous de la lécher. »

Ses ordres furent automatiquement suivis, et Aline sentit son minou commencer à être dévoré par sa bonne maman. Pendant ce temps les mecs ne restaient pas sans rien branler... ou plutôt, ils restaient justement à se branler. Lorsque l'un d'eux fut prêt à juter, il se rapprocha du lit, et sans bien savoir où viser, il se mit à asperger les deux femmes de sa semence. Béatrice intervint immédiatement :

« Qu'est-ce que vous attendez! Ne laissez pas ce sperme refroidir, dégustez! »

Aline et Caroline se firent face à face. Aline commença à lécher les perles de foutre recouvrant les seins de sa mère, tandis que Caroline attendit d'être nettoyée pour passer des coups de langue sur la giclée de liquide visqueux recouvrant les fesses de sa fille. Elles se léchaient comme de jeunes chattes se régalant de petit lait. Béatrice continua à donner des ordres :

« Maintenant, je veux un bisou bien baveux, je sais que vous autres salopes vous adorez le sperme, alors soyez généreuses et partagées. »

Les lèvres des deux Houiller se rencontrèrent, puis les langues. Dans toutes autres circonstances, Aline et Caroline auraient immédiatement cessé et se seraient excusées de cette intimité. Mais devant obéir à Béatrice elles continuèrent à mélanger leur salive, et plus que leur salive, le sperme que contenait leur bouche. Elles pouvaient ainsi déguster le suc mâle passant sur leur langue. Caroline trouvait cela troublant, n'ayant pas l'habitude de sucer son mari, elle gardait longtemps le jus gluant dans sa bouche avant de le déglutir. Aline pas contre venait d'en avaler plusieurs kilos. Elle n'avait plus rien à apprendre au sujet du sperme et avalait sa portion sans rechigner.

Si elles n'hésitaient pas à obéir, elles agissaient encore comme des robots, n'osant prendre aucune initiative sans un ordre direct de Béatrice. Elles prolongeaient leur étreinte, échangeant des baisers mouillés, et quand de la semence aspergeait leur visage, elles se mettaient alors à passer leur langue sur leurs joues, nez, et menton avant de mélanger la crème blanche et juteuse entre leur deux bouches. La salive s'ajoutant au jus de foutre, elles avaient souvent la bouche pleine et de grandes quantités de liquide séminal et salivaire glissaient dans leur gorge.

Ce fut aussi des soixante-neuf. Mère et fille goûtant au même moment à leur abricot, tandis que des lycéens les recouvraient de sperme. Tout ceci, elles apprirent à l'apprécier, à se comporter comme des salopes prêtes à tout pour l'approbation de leur Maîtresse. Le plus dur pour elles, fut quand Yasmina tendit une règle à Aline et lui ordonna de fesser sa maman. Elle tenta de limiter les coups en caressant plus qu'en frappant son derrière, mais la foule s'indigna immédiatement de ce spectacle médiocre et chiqué. La méchante arabe exigea :

« Comme tu ne veux pas obéir, enfonce le gode dans le cul de ta mère, salope! »

Heureusement pour Caroline, le gode était tellement couvert de sécrétion de la moule de sa fille qu'il coulissa facilement. Malgré tout, la grosseur du gode donna à Madame Houiller l'impression d'être écartelée. On lui tendit la règle et Yasmina expliqua :

« Sois tu donnes une bonne correction à ta fille, soit tu lui enfonces ce gode dans le cul. »

Caroline ayant souffert fortement lors de l'enculage, elle se montra redoutable en voulant sauver sa fille de l'effroyable sodomie. Elle donna de grosses frappes sur les fesses de son enfant qui se mit à pleurer quand les coups se déchaînèrent. Puis Aline infligea ce supplice à sa mère quand on lui proposa la règle ou une batte de baseball pour l'enculer. Les deux femmes Houiller avaient le cul rouge à force de s'être corrigées le derrière.

Ce ne furent pas les seules marques qui couvrirent leur corps, on leur confia des feutres avec des mots à écrire l'une sur l'une. Aline écrivit "Sac à Sperme" sur le ventre de sa maman, tandis que Madame Houiller inscrivait "Petite Pute" dans le dos de sa fille. Chacun des spectateurs eut alors des idées pour décorer le corps des deux femmes. La jeune fille eut droit à : "Lécheuse de Chatte", "Avaleuse de Foutre", "Fille Indigne". La mère servit de pancarte pour : "Salope", "Garage à Bite", "Maman Cochonne", "Grosse Vache".

Puis Aline vit Yasmina embrasser Maxime. Elle en eut le souffle coupé. Ils ne se cachaient pas, et après le fougueux baiser, Yasmina se rapprocha d'Aline pour la narguer :

« Tu ne vas pas être jalouse quand même? Si tu t'étais intéressée un peu à lui, tu aurais su que c'était mon petit copain depuis des mois. Mais j'ai bien voulu lui accorder un break, pour voir si derrière tes airs de pimbêche, tu n'étais pas une salope prête à niquer pour le premier beau parleur venu. Je crois qu'on a la réponse... »

Aline comprit que Maxime s'était joué d'elle, et l'avait amenée dans cette maison pour qu'elle devienne la pute de Béatrice. Et à la place de se révolter, elle l'accepta. Si elle avait des récriminations à faire, c'était contre elle ; de ne pas s'être rendu compte plus tôt d'à quel point ses médisances contre Béatrice et Yasmina étaient indignes. Qu'elle n'aurait jamais dû les dénoncer, et au contraire tenter de se lier d'amitié avec elles ! Maintenant, il était trop tard, elle était devenue leur esclave.

Caroline était occupée à tout autre chose : brouter le minou de sa fille. Pour les spectateurs, la ressemblance physique entre la mère et la fille rendait ce spectacle saisissant. Voir une mère faire jouir sa fille en lui enfonçant les doigts ou la langue dans la foufoune avait une saveur torride. Mais pour les deux femmes qui se gouinaient et se repaissaient l'une de l'autre, ce summum de perversion s'estompait peu à peu. Elles se rendaient compte qu'elles avaient passé un point de non-retour. Lorsqu'elles s'embrassaient, la mère ne considérait plus sa fille comme celle qui avait soufflé sur les dix-huit bougies d'anniversaire il y a deux mois, mais comme une autre salope à la botte de Béatrice. Quant à Aline, jusqu'à présent elle avait toujours eu un respect immense pour sa maman, c'était son modèle à suivre. Mais ce modèle s'écroulait dans le caniveau, non pas qu'elle ait cessé de l'aimer, mais une femme supérieure lui était apparue, Béatrice. Sa maman en comparaison n'était qu'une salope avec laquelle jouer. Béatrice était maintenant leur Maîtresse, et quand elles se léchaient en 69 ou s'enfonçaient des godes jusqu'à hurler, elles étaient transies de respect et de vénération envers leur souveraine.

Alors quand celle-ci demandait : « Qu'est-ce que vous êtes?! » Elles répondaient en cœur et presque avec fierté : « Des salopes, Maîtresse! »

Quand la fête fut finie, Béatrice ne se montra pas vache. Maintenant qu'elle avait obtenu leur entière subordination, elle se montra généreuse en leur offrant de la baume apaisante à appliquer sur les zébrures causées par les règles. Les deux femmes appliquèrent la crème l'une sur les fesses de l'autre avec amour, et frisson quand leur doigt touchait la chair sensible.

La seule ombre au tableau apparut quand Béatrice donna 50 euros à Aline.

« Tiens, c'est ta part pour tous les mecs qui ont baisé, ta maman. J'espère que ça en valait le coup. »

Le retour à la maison en voiture se montra orageux. Caroline était en colère que sa fille ait participé à sa prostitution. Celle-ci protesta et répliqua : « Genre, c'est ma faute si t'as décidé de servir de trou à bite pour une tournante maman.

— Et t'as pas baisé Moussa en premier, salope?

— Ouais, et je suis sûr qu'il m'a préféré. »

Les deux femmes étaient tellement en colère qu'elles ne se réconcilièrent qu'à la maison en échangeant un nouveau baiser baveux, et en s'enfonçant deux-trois doigts dans leur chatte respective. Elles faillirent réveiller le papa, mais heureusement, il dormait du sommeil du juste. Il n'eut aucune idée que sa femme et sa fille rentraient à leur domicile en vêtements qui n'étaient plus que des haillons et en sentant le foutre à cent lieues à la ronde.

Épilogue : Madame Houiller

Caroline reprit le travail lundi, comme si de rien n'était, espérant mettre tout ça derrière elle. Mais cet espoir fut de courte durée, à la pause de dix heures sa secrétaire lui annonça qu'une élève prétendait avoir rendez-vous avec elle.