La petite chienne de Maîtresse P. 09

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Michel débute son dressage et se fait tatouer.
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Partie 9 de la série de 18 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/15/2022
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Le reste de l'après midi se passa sans sexe, de même que la soirée. Nous prîmes le souper tranquillement, ses yeux brillants plus que d'habitude.

-Ça si faisait longtemps que je t'attendais mon petit Michel et je suis tellement heureuse ce soir de t'avoir entièrement et définitivement à moi maintenant. Tu m'appartiens, tu le sais, c'est désormais ainsi, montre toi complaisant avec ce principe, obéis moi, sois bien soumis à ta Maîtresse et elle te rendra tes plaisirs au centuple de tout ce que tu pouvais imaginer. Ça deviendra pour toi une drogue et viendra un jour où tu ne voudras plus rien d'autre que d'être dévoué à moi, me servir et me vénérer, te sentir mon parfait petit toutou, me plaire avec même le besoin de souffrir pour mon plaisir, tu verras.

Je buvais ses paroles sans rien dire.

-N'oublie pas de rassurer ta mère, tiens voici ton portable pour lui envoyer un SMS. Je pense qu'à l'avenir tu pourras lui envoyer un SMS chaque mois, pour continuer à la rassurer, lui dire que tu vas bien, malgré ton absence, mais là écrit lui. Je te dicte si tu veux.

-Oui Maîtresse je veux bien.

-Ma chère Maman, je ne peux pas tout te dire, mais tiens à te rassurer. Je connais un important changement dans ma vie, je suis assez loin de la maison maintenant et je vais disparaître un peu. Mais je tiens à t'assurer qu'il ne m'arrive rien de mal et que je continue à très bien aller, je fais ce que j'aime et suis heureux dans ma vie. Ne cherche pas à me joindre car mon portable sera desactivé. Je t'embrasse. Ton fils Michel.

Je copiai toutes ses paroles dans mon portable en envoyai le message. Aussitôt après elle me le repris, l'éteint et le remis dans son sac.

-Voilà une bonne chose de faite mon toutou. Il n'y aura pas de sexe ce soir, j'ai vécu trop d'émotions moi-même, j'en ai eu ma dose. Tu n'es pas le seul à avoir vécu des choses dans tes tripes cet après-midi. Encore une fois si ce qui t'arrives te surprends car tu ne t'y étais jamais attendus et que tu découvres avec étonnement combien tu aimes; de mon côté cela fait des années que j'attendais un garçon parfait comme toi, beau, endurant, très sexe, mais aussi avec un caractère faible et soumis et que je pourrais reconditionner mentalement et physiquement, façonner et dresser pour mon seul plaisir sans velléités de rébellion. Je n'en doute pas un instant, je sais que tu es fait pour ça. Vraiment cet après-midi j'ai eu mon paquet de charge émotionnelle à un point que tu ne peux imaginer, même si j'évite de trop le montrer et je suis épuisée. Si tu veux on peut se regarder un film ensemble et ensuite aller se coucher. Ce que nous fîmes, ce soir presque comme un couple d'amoureux. Mais je savais que ce n'était qu'illusion pour encore mieux me prendre dans sa nasse.

Le lendemain matin, lundi, la routine sembla recommencer, désormais équipé de mes nouveaux « bijoux » bien visibles. Réveil à 06:00 pour être prêt au premier service sexuel de Maîtresse, léchage puis pilonnage bien fait dans son lit en missionnaire, sans jouissance bien sur. Mais une surprise m'attendait. Nous prîmes le petit déjeuner tranquillement, mais cette fois sans Cialis. A la fin du repas elle m'annonça.

-Ce matin je vais t'emmener en ville, pour procéder à quelques petits aménagements corporels supplémentaires, mais je ne t'en dis pas plus. Julien nous conduira. En attendant va t'habiller en petite salope, avec tes jolis pantalons en cuir moulant, ceux avec le double zip traversant. Tu passeras aussi une jolie chemise noire en Lycra bien moulante et brillante et tes jolies bottines. Je te veux très sexy, petite salope un peu féminisée. Lorsque je revins, elle tenait une perruque à longs cheveux, au look assez androgyne qu'elle me passa.

-Oh, mais tu es encore plus mignonne ainsi, il faudra que je te trouve non seulement un nom de petite chienne, mais aussi un prénom féminin pour ce genre d'occasions. Tiens je pense à Gina, Gina Putana, ça t'irait bien, qu'en penses-tu?

La question était bien entendu alibi, car je n'avais rien à dire.

-Oui Maîtresse, c'est joli et ça m'ira bien.

-D'accord, alors va pour Gina Putana, mais on officialisera ça plus tard. En attendant je garde ça dans un coin de ma tête.

Julien avança la Rolls dans la cour et nous partîmes autour des 09 :00 pour une petite ville voisine. Durant le trajet, Maîtresse m'ouvrit mon pantalon pour extraire ma bite déjà bien turgescente. Le simple contact de ses doigts était magique et me durcissait instantanément. Une fois bien raide, elle me passa une capote et se mit à me branler, sans rien dire

-Allez mon toutou, cette fois laisse-toi aller, je dois te vider tes burnes pour ce qui va suivre.

Il me fallut peu de temps pour jouir abondamment dans la capote. Maîtresse se fit évidemment un plaisir de me faire ouvrir la bouche pour me la vider dedans.

-Allez, avale ce que tu produits on ne vas quand même pas gaspiller de la si bonne semence, il faut qu'elle retourne d'où elle vient, puis elle jeta la capote par la fenêtre et en sorti une autre.

-Il te faudra être exceptionnellement un peu mou ce matin, allez, on recommence la traite. Et elle se remit à me branler après m'avoir passé une nouvelle capote. Il me fallut un peu plus de temps pour venir, mais j'éjaculais à nouveau, avec encore une belle quantité, que bien sûr je dus avaler. Elle attendis encore 10 minutes, puis recommença à me caresser pour contrôler mes ardeurs, je bandais toujours, mais moins dur cette fois. Elle me remis donc une troisième fois une capote et me branla à nouveau. Cette fois ce fut plus dur à venir.

-Allez, fait un effort, vient. Tu dois vraiment avoir les burnes asséchées et la bite molle ce matin.

Il me fallut près de 10 minutes cette fois pour juter. Il y avait un moment que je ne m'étais plus ainsi forcé, mais un troisième orgasme arriva bientôt, bien moins plaisant que les deux premiers et avec de petits jets plus transparents. Finalement elle me repompa une 4ème fois, avec plus de vigueur, et je finis par venir, en me forçant un peu, quelques petits jets remplirent encore la capote.

-Bon on y arrive finalement, c'est bien. Ma bite retomba alors, flasque, mes testicules vidées.

-Ne t'inquiètes pas de ton état, dès le retour je te fais prendre deux cialis et tu redémarreras comme si rien ne s'était passé, tu verras. Allez, remonte ton pantalon de petite salope maintenant. Je m'exécutais, regardant à nouveau passer le paysage. Nous étions quelque part au milieu de la France, avec des noms de villages et de petites villes dont j'ignorais jusqu'à l'existence. Le trajet dura une petite heure. Arrivés dans une petite ville, Julien arrêta la Rolls devant un atelier de piercing. Du coup je commençais à comprendre ce qui m'attendait.

-Voilà, nous sommes arrivés. Le pierceur est un ami, il est très professionnel, tu verras, il travaille très proprement et avec beaucoup d'hygiène. Je ne t'aurais jamais amené chez un amateur. Je dois bien trop prendre soin de toi.

Nous entrâmes dans l'atelier, Maîtresse y reçu un chaleureux accueil.

-Tu es toujours somptueuse Irina, tellement sexy, je ne connais aucune femme plus sexy que toi.

-Merci Adam lui répondit-elle, toujours aussi galant.

-Non ma chère, pas galant, mais toujours admiratif et séduit. Tes cuissardes à lacets sont sublimes, tu es un vrai appel au viol.

Maîtresse Irina sourit à la remarque.

-Tu m'as amené ton nouveau petit jouet, il est tout mignon, vraiment, j'espère que tu t'en sers bien, je connais ta situation. Je suis sûr qu'il doit assurer, sinon tu ne l'aurais pas gardé.

-Exact mon cher, il est parfait, je t'assure, mais pour ce que je vais te demander j'ai du le purger 4 fois ce matin et il n'as pas prit son cialis, il va rester un peu mou pour les heures qui vont suivre.

-Ok, alors que veux tu que je lui mette?

Maîtresse me regarda et dit :

-Pour commencer, je verrai bien de lui percer les tétons et lui placer une paire de jolis anneaux un peu épais. Une fois bien cicatrisé, il faudra lui poser des extenseurs à tétons, mais ce sera pour dans quelques semaines. Il faudrait aussi lui placer un joli anneau dans le nombril et surtout je veux un perçage du frein, avec pose d'un joli anneau. Je crois qu'on dit sur le frenulum, tu sais sous et derrière le gland, avec un anneau pour pouvoir lui attacher une petite chaine à sa bite. J'ai vu ça sur internet, c'est très joli et ça me branche beaucoup.

-Oui, il y a diverses expression, le frein, le frenum ou le frenulum, c'est toujours la même chose.

-Parfait, il faudra encore lui percer ses oreilles, je veux deux trous dans chaque lobe pour lui poser de jolies boucles d'oreille et un troisième trou dans le haut de l'oreille. Juste pour le perçage du frenulum ça me pose aussi un problème, car j'ai peur de devoir me passer de ses services le temps que ça cicatrise. J'espère que ça ne durera pas trop longtemps, j'ai besoin de tes conseils avisés.

-Ne t'inquiètes pas. Il te faudra t'en priver durant les 10 premiers jours, ça c'est indispensable pour laisser la plaie commencer à cicatriser. Ensuite, durant un mois et demi, tu lui mets une petite compresse humide sur la plaie et tu lui passes une capote pour baiser, pour éviter que ça frotte trop. Du moment que c'est bien protégé et que ça ne frotte pas trop, il n'y a presque aucun risque. Bon je sais qu'une bite vive est autre chose qu'une bite capotée, mais si tu veux ça, tu devras bien passer par là.

-D'accord, merci tu me rassures. Je ferais ainsi. Je te propose donc de commencer par sa bite, car d'ici une heure ou deux, il va se remettre à bander. J'ai découvert ses penchants masochistes et je suis certaine que tout ça va de nouveau l'exciter comme un malade et qu'il adore ce qu'il subit intérieurement. C'est un vrai taureau reproducteur, tu sais, il bande à la demande et il est vraiment bien monté. Mais il est génial, lorsque je lui interdis de venir, il respecte à la lettre, il ne s'est encore jamais laissé aller. Bon il a quand même lâché une fois, ça lui a donné le droit de tâter de ma cravache et je crois que la leçon a été efficace.

-Ben t'as de la chance de l'avoir trouvé.

-Oui, c'est vrai.

Moi pendant ce temps j'entendais parler de moi comme si j'étais un vulgaire objet, sans que l'on s'intéresse le moins du monde à ce que je pouvais penser de ce qu'on allait m'imposer. J'imaginais aussi que ça me ferait mal. Mais ça ne me gênait pas plus que ça.

Le pierceur me fit entrer dans une pièce attenante et me coucher sur un lit en cuir.

-Ne t'inquiète pas, je ne suis pas un bourreau, je vais te faire des anesthésies locales.

Après plusieurs heures passées sur sa table je me retrouvai avec mes tétons percés, enflés et encore un peu sanguinolents, auxquels pendaient de très jolis anneaux assez épais, de 2 mm sur 15 mm de diamètre, un anneau doré transperçant mon nombril et ma bite transpercée sous le frein, avec une barrette en acier de 2mm, traversant l'ouverture de part en part et terminées par deux petites sphères en acier, pour éviter de la perdre.

-Voilà, j'en ai terminé avec les piercings, voudrais-tu encore autre chose?

-Oui, je voudrai que tu lui tatoues encore quelque chose. Pour le moment dans un endroit pas trop discret et que l'on puisse apercevoir. Tiens sur l'avant bras droit par exemple, ça se verra un peu: « Propriété privée de Maîtresse Irina ».

Peu de temps après, il me tatouait en belle lettres italiques la phrase voulue par Maîtresse Irina.

Enfin nous étions sur le point de quitter l'atelier. Les plaies étaient quand même en train de se réveiller et je commençais à avoir vraiment mal. Il me fit avaler un antidouleur et donna les dernières instructions à Maîtresse Irina :

-Il doit laver les plaies à l'eau bouillie et salée et désinfecter 2 fois par jour, durant les deux premières semaines. Pour le frenulum, pas de pénétration durant une dizaine de jours, tu devras faire avec, mais il y a d'autres manières de se faire du bien, je te fais confiance, ensuite tu pourras recommencer à l'utiliser comme je te l'ai dit.

Sur ces dernières recommandations, nous quittâmes l'atelier pour rentrer à la maison. Je n'étais pas vraiment bien, j'avais mal. Dans la voiture elle me serra contre elle en me disant :

-Tu sais mon petit Michel, ce que je fais là, tu pourrais t'imaginer que je te fais du mal, mais sache que je le fais pour toi. Bien sur ça m'excite un maximum de te voir souffrir pour moi. mais tu verras, une fois habitué et bien cicatrisé, tu vas adorer tes décorations. Ce n'est qu'un petit mauvais moment à passer pour de futurs plaisirs.

Une fois rentrés, Maîtresse me laissa tranquille pour la soirée, mais auparavant elle me fit avaler deux pilules de cialis, pour récupérer mes ardeurs. Elle avait bien sur conscience qu'elle m'avait maltraité et que je souffrais. Mes piercings me brûlaient toujours, malgré les pilules antidouleur, j'avais mal. Une heure après, le cialis faisait déjà effet. Je bandais à nouveau. Mais en gonflant, mon membre tendait inévitablement le piercing du frenulum et me faisait souffrir le martyre, tout en empêchant la plaie de bien se cicatriser. Je sais aussi que Maîtresse assumait pleinement cette forme d'insensibilité qu'elle montrait envers ce qu'elle faisait subir à son esclave, celui-ci étant destiné à vivre encore ce genre de traitements et de modifications corporelles pour l'amener à devenir cet objet sexuel parfait qu'elle rêvait de créer et « posséder » depuis longtemps.

Le lendemain matin, je ne fus pas non plus appelé à son chevet pour lui prodiguer le premier service sexuel de la journée. Au petit déjeuner elle me dit :

-Je sais que tu souffres toujours et que je t'ai assez maltraité hier. Montre moi quand même ton joli tatouage.

Je retroussai la manche de ma chemise en faux cuir pour lui révéler la phrase, encore boursouflée : « Propriété privée de Maîtresse Irina ».

-Mmhh que c'est joli, avec ça tu es marqué à vie, j'espère que tu en as bien conscience (elle cherchait toujours à vérifier que je m'identifiais à ses envies).

-Oui Maîtresse, j'en suis tout à fait conscient.

-Tu connais mes besoins sexuels. Pour ces 10 prochains jours je vais devoir me passer de ta belle bite, ça va être terriblement frustrant pour moi maintenant que tu m'as habituée à me donner ces sublimes orgasmes. Mais je ne vais pas m'en passer pour autant et donc c'est ta langue, ta bouche et ta tête qui vont me donner mon plaisir désormais.

Sans rien dire d'autre, elle se dirigea vers le sofa et s'y cala, découvrant une fois de plus et sans aucune pudeur sa chatte brillante et humectée. A côté d'elle se trouvait une boîte qu'elle saisit, dans laquelle se trouvait plusieurs sex toys, dont un baillon gode à double bite noires en silicone, séparées par une paroi. Elle me fit m'approcher d'elle pour bien me sangler l'instrument autour de ma tête, en y plaçant le petit gode bien enfoncé dans ma bouche, le plus gros pointant devant.

-Je sais que jusqu'à ce jour tu n'as encore jamais eu une bite dans la bouche, donc c'est bien ca te familiarisera un peu avec cette pratique, que tu découvriras sans doute bientôt. Je pense que tu as déjà vu comment cet instrument s'utilise dans les films pornos, non?

-Oui Maîtresse, je sais comment ça s'utilise.

-Alors viens, baise moi avec ta tête.

Je m'approchai d'elle, dirigeai le gland artificiel dans sa chatte et y entrai. Cela glissa comme toujours, avec un râle de plaisir. Elle saisit immédiatement ma tête pour m'imprimer le rythme qu'elle voulait, m'enfonçant au plus profonds de ses muqueuses. Le jeu dura plusieurs minutes ainsi. Puis elle lâcha ma tête et me commanda.

-Continue exactement ainsi ma petite chienne, garde le rythme, vas jusqu'au fonds et ne change rien.

Elle repris la boîte pour en extraire un de ces gros vibromasseurs dotés d'une boule vibrante qu'elle plaça sur son clitoris. L'effet fut redoutable, sitôt son petit bouton stimulé par les vibrations, elle se mit à grimper vers son orgasme. Elle promenait le vibro autour du bouton, appuyant parfois avec force (j'entendais le vibreur être un peu à la peine, tellement elle pressait dessus...), puis elle relâchait la pression et poussait ma tête aussi profondément que possible en elle, mes narines saturées du mélange d'odeurs animales et de cyprine, pour faire pénétrer le gode dans les profondeurs de ses muqueuses vaginales. Il ne lui fallut guère que quelques minutes pour jouir à nouveau bestialement, sans retenue et sans aucune pudeur, s'abandonnant encore une fois. C'était une véritable nymphomane, chez qui l'orgasme était un vrai besoin. Elle se lova dans le sofa, repue de plaisir et me commanda de retourner dans ma chambre.

La période d'évaluation de 15 jours que je venais de terminer fut aussi pour moi l'occasion de réfléchir à beaucoup de choses sur ma vie. Maîtresse me prenait souvent le soir pour discuter de ma manière de percevoir la sexualité. J'avais reçu une éducation stricte, catholique, dans laquelle on m'avait convaincu que le sexe servait à faire des enfants, point barre. J'avais même été un servant de messe très apprécié du curé (mais qui ne m'avait jamais ni tripoté, ni fait des allusions osées). Je me souviens que dans ma tendre enfance je regrettais presque de ne pas être né fille, surtout à cause des beaux habits qu'elles pouvaient porter, des chaussures à talons et aussi de se maquiller pour se faire belles. Lors d'une soirée scoute je m'étais même déguisé en femme et j'avais adoré ce moment. Puis toutes ces envies ont été effacées par mon éducation de garçon et je les ai complètement refoulées et enfouies sous une chape de déni. Mais cela était toujours présent quelque part au fonds de moi, cette envie m'habitait toujours secrètement, sans que j'en aie vraiment conscience. Maîtresse m'avait « cuisiné » avec beaucoup de doigté, au fil de quelques questions apparemment insignifiantes sur mes fantasmes et s'en était aperçue, sans que je ne m'aperçoive de rien. Je dois encore dire que je ne suis absolument pas gay, dans le sens où je ne suis pas du tout attiré par les garçons, mais l'idée et l'envie d'être habillée très sexy, voire salope, commençait à titiller mon esprit. J'étais attiré par les beaux habits très sexy, les matières comme le cuir, le faux-cuir, le spandex, le lycra, tout ce qui brillait et moulait les formes, ainsi que les talons très hauts, les bottes et les sublimes cuissardes, sans oublier le maquillage que j'aimais très prononcé et sophistiqué, ni les milliers d'accessoires possibles. Je crois que le premier phénomène déclencheur a été la vision de Maîtresse à Lausanne, dans ses sublimes habits de cuir. Ce jour là il y a eu un déclic dans ma tête et un processus inconscient s'est mis à retirer la chape que j'avais mise sur ce qui, vers mes 8-10 ans, avait été décrit comme de la perversion et le mal absolu dans les discussions d'adultes et que je me suis employé à rejeter bien sur, pour obéir et plaire aux dits adultes. Mais maintenant toutes ces frustrations remontaient à la surface, soutenues et de plus en plus révélées par les inquisitions discrètes de Maîtresse Irina.

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2 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Hétéro mais excité par la féminisation, ressembler à une petite salope... ça me parle

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Le pseudo de l'auteur est donc le nom que Maitresse Irina a prévu de donner à sa petite chienne.

Irina n'a pas tardé à marquer son nouveau jouet, le voilà avec des piercings multiples et un tatouage explicite bien visible...

J'ai hâte de découvrir la suite du dressage de Michel

OlivX

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