Dans la peau de Charlotte

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Comment je me suis emparé du corps de ma voisine.
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Qui n'a jamais rêvé de posséder un pouvoir magique un peu comme un super héros. Voler, traverser les murs, avoir une force surhumaine... et j'en passe.

Moi, à l'age de quinze ans, j'ai découvert que j'avais un pouvoir, mais je me suis vite rendu compte qu'il était complètement inutile.

Lorsque je m'allongeais sur mon lit, en me concentrant, je pouvais sortir de mon corps et voler dans ma chambre. Je pouvais me regarder dormir et il me suffisait ensuite de réintégrer mon corps pour que tout redevienne normal.

En fait, ça ne servait absolument à rien et lorsque je racontais à mes copains mes prétendues facultés, on se moquait de moi. Du coup, j'avais un peu laissé tomber ce super (façon de parler) pouvoir et les années passèrent ainsi.

J'avais vingt quatre ans lorsque la petite mamie, qui était ma voisine de palier, partit à la maison de retraite. J'allais la regretter car souvent on discutait sur le pas de la porte et je lui trouvais beaucoup d'humour.

Quelques jours après le départ de la vieille dame, une jeune fille qui n'était autre que sa petite fille, aménagea dans l'appartement laissé libre. Elle avait dix neuf ans et c'était son premier appartement. Charlotte était son petit nom, du moins c'est ce qui avait était écrit sur la boite aux lettres.

En vérité, elle était aussi conne qu'elle était belle et dieu sait si elle était belle.

Deux ou trois fois, en la voyant dans les escaliers, j'avais essayé d'engager la conversation mais elle m'avait rembarré à chaque fois, me faisant comprendre que je pouvais garder pour moi toutes les banalités que je voulais lui sortir.

Une fois je lui avais demandé comment elle allait et elle m'avait répondu gentiment :

« Qu'est ce que ça peut vous foutre »

Une autre fois, elle me suivait les bras chargés, et, par politesse, je lui avais tenu la porte de l'immeuble. Je n'avais eu le droit ni à un regard, ni à un merci, m'ignorant complètement.

Au début j'avais cru qu'elle n'agissait ainsi qu'avec moi mais en discutant avec le jeune couple du rez de chaussée, je m'étais rendu compte qu'elle était également comme ça avec tout le monde.

Un jour, elle les avait engueulés car ils avaient laissé leur berceau devant leur porte et que ça n'avait rien a faire là.

Je trouvais ça dommage, On avait la chance d'habiter dans un petit bâtiment de deux étages et jusqu'à ce qu'elle arrive, il y avait un assez bon état d'esprit entre nous.

Mais le pire, c'est qu'il avait fallut qu'on soit sur le même palier au premier étage et que souvent, en ouvrant la porte, je tombais sur elle.

Du coup je me mis à ne pas trop l'aimer, voir même à la détester même si le mot était un peu fort.

La seule chose que je savais d'elle, c'était qu'elle était célibataire, qu'elle ne sortait pratiquement jamais et qu'elle avait un caractère de merde. C'était peu et à la fois suffisant pour regretter ma petite mamie.

Mon histoire aurait pu s'arrêter là si un jour, en discutant avec mon pote Luc, on se remit à parler de mon super pouvoir.

Comme tout le monde, il ne me prenait pas au sérieux et comme tout le monde, il ne pouvait pas s'empêcher de me charrier.

- Et bien sur, tu te contentes de rester dans ta chambre, me dit-il. C'est nul. Tu ne peux même pas sortir...

En fait, je venais de me rendre compte que je n'avais jamais essayé de sortir de la pièce et d'un coup je me trouvais vraiment très nul.

***

Des que je fus de retour dans mon appartement, je voulus en avoir le cœur net. Il n'était pas loin de dix neuf heures et je décidais de tenter l'expérience avant de manger.

Si j'arrivais à sortir de ma chambre, je m'offrirais un apéro... avec des « cahuettes », le luxe.

Allant directement dans ma chambre je m'allongeais sur mon lit et me concentrais. Comme à chaque fois, je me retrouvais rapidement à flotter au dessus de mon lit, regardant mon corps immobile.

C'était toujours stressant de voir son corps inerte mais en regardant bien, je pouvais voir mon pull monter et descendre au niveau des poumons, preuve que je respirais toujours.

C'est maintenant que mon apéro allait se jouer. J'avais déjà réussi à me déplacer dans la pièce mais je n'avais jamais essayé de franchir un mur. Avec tout de même un peu d'appréhension, je me dirigeai vers la cloison séparant ma chambre du salon.

Lorsque je me retrouvai d'un coup dans la pièce d'à coté, je réalisai alors que je n'étais qu'un imbécile de n'avoir jamais essayé de traverser des obstacles. Cela faisait des années que je passais à coté de quelque chose d'important.

C'est vrai qu'en y réfléchissant, Ça paraissait logique qu'en étant immatériel je puisses traverser les murs....

Je devais avoir le cerveau avarié pour ne pas y avoir pensé avant.

Du coup, une question me traversa l'esprit. Pouvais-je m'éloigner loin de mon corps?

La seule façon de pouvoir connaître la réponse à cette question était de tenter l'aventure et pourquoi ne pas aller dire bonjour a ma gentille voisine, ignorant d'ailleurs si j'étais visible ou non.

J'imaginais sa tête en me voyant voler au dessus d'elle, aussi, par pure curiosité, je me déplaçais devant le grand miroir de mon salon. L'image ne renvoyait rien et cela me rassura. J'étais invisible et cela ouvrait beaucoup de portes.

Je pris la direction de l'appartement de Charlotte. Je voulais savoir si je pouvais m'éloigner autant de mon corps et aussi, j'avais envie de regarder cette petite conne chez elle.

Sans aucun problème, je traversais tous les murs et me retrouvais rapidement dans la pièce à vivre de la jeune fille. C'est alors que je me rendis compte que je me comportais comme un gros pervers puis je me dis que non, vu que ce mot ne pouvait pas s'appliquer à quelque chose d'immatériel.

C'était un peu tiré par les cheveux comme théorie mais on se rassure comme on peut.

Elle portait un vieux bas de survêtement et un tee-shirt publicitaire bien trop grand pour elle et qui représentait une bouteille d'eau minérale. Elle était en train de faire cuire des légumes dans une poêle qui avait du appartenir à sa grand-mère vu son état. En fait, tout l'appartement était meublé avec des vieux meubles et charlotte avait du aménager sans rien emmener a par ses vêtements.

En parlant de vêtement, même habillée comme ça elle était belle comme un cœur.

Je restais immobile au dessus d'elle à l'admirer puis me dis que l'expérience était concluante. J'allais la laisser manger et en faire de même car mon corps devait commencer à avoir faim.

Je regagnais donc mon enveloppe, heureux de l'expérience car elle m'ouvrait beaucoup d'horizon.

Je mangeais d'un bon appétit la boite de cassoulet que j'avais réchauffé dans une casserole. Et oui, si il y a une chose que je ne maîtrisais pas, c'était la cuisine.Il faut bien que je possède un petit défaut (je plaisante).

Une fois repus, je pris une longue douche puis alla regarder un peu la télé. Vers 23h00, je regagnais ma chambre et eu envie de retourner voir ma jolie mais méchante voisine... C'est vrai qu'elle m'attirait et je voulais juste la revoir avant d'aller dormir.

Je me dis que je devenais fou car je raisonnais comme quelqu'un d'amoureux....

Une fois dans mon lit, je me concentrais et quittais mon corps. Direction l'appartement de Charlotte. Je ne mis pas longtemps pour arriver chez elle, pensant la trouver dans son salon. Ce dernier était vide et plongé dans le noir. C'est alors que je me rendis compte que l'obscurité ne m'empêchait pas de voir et j'en fus heureux. Encore un super pouvoir que je venais de découvrir..

Du coup, vu que l'appartement était plongé dans l'obscurité, j'en conclus qu'elle devait dormir, chose pas si stupide que ça vu qu'il était plus de vingt trois heures.

Je ne mis pas longtemps pour trouver sa chambre et je restais bouche bée (façon de parler) en découvrant le jeune corps allongé sur le lit.

Vu qu'il faisait chaud, le drap avait était poussé et elle était juste vêtue d'une nuisette lui allant à mi cuisse. Le petit vêtement était légèrement décolleté et on pouvait deviner la naissance d'une très jolie poitrine avec des seins pas très gros mais mignons.

En fait, je trouvais tout sublime chez cette fille, que ce soit des pieds jusqu'au haut de la tête et c'est un peu pour ça que j'étais un peu énervé qu'elle me traite comme si je n'existais pas.

Apres avoir bavé virtuellement en l'observant sans bouger, j'eus envie de la voir de plus près. Lentement, mon aura s'approcha d'elle, voulant être le plus près possible de son corps.

Elle était si belle dans son sommeil et surtout presque sympathique.

J'étais maintenant si près d'elle que si j'avais été solide, j'aurais pu l'embrasser.

Sans savoir pourquoi, je la pénétrais comme je le faisais avec mon corps.C'est alors que quelque chose se passa. Je ressentis la même chose que lorsque je reprenais le contrôle de mon corps, que je redevenais à nouveau réel. Ne sachant trop ce qui arrivait j'ouvris les yeux et ne vis que du noir.

Qu'est ce qui se passait?

Et c'est alors que j'eus un gros doute, me demandant si je n'avais pas été propulsé dans mon corps car je m'étais trop éloigné.Pourtant je me sentais bizarre et en tendant le bras pour chercher l'interrupteur de ma lampe de chevet, je ne reconnus pas cette dernière au touché.

C'était vraiment trop frustrant de ne pouvoir voir dans le noir que lorsque je n'étais pas dans mon corps!

Je réussis tout de même à trouver un interrupteur et à allumer la lampe. Je sursautais en me rendant compte que je n'étais pas chez moi. D'un coup, je regardais ma main et ne la reconnus pas. La main était petite et fine et je la trouvais vraiment très belle.

C'est alors que je compris... je venais de prendre possession du corps de ma voisine.

Paniqué un instant je me rallongeais et lorsque en me concentrant je pu ressortir du corps, je fus immédiatement rassuré. Du coup trop heureux, je revins dans le corps de cette jolie donzelle, des idées un peu pervers dans la tête.

J'ignorais si l'âme de charlotte était dans son corps mais c'était moi qui étais au volant

(ça,c'est une image).

Lentement je me redressais pour tester mon nouveau corps. Quelle sensation étrange de se savoir dans le corps qui me faisait fantasmer depuis que je l'avais aperçu dans la cage d'escaliers. Je sortis du lit et fis quelques pas. Finalement, je maîtrisais ce corps aussi bien que le mien et je ne pus m'empêcher de me mettre devant le grand miroir pour mieux me voir.

Le reflet que la glace me renvoya était sublime, elle était vraiment très belle.

Quelqu'un de politiquement correct ce serait arrêté là mais moi je ne l'étais pas et en plus je n'avais aucune affinité avec cette fille. Mais la vraie raison était que j'étais un gros pervers...

Aussi, sans attendre, je retirais la nuisette, trop pressé de voir son corps nu. Et oui, je ne suis pas parfait.

Et là, j'eus le souffle coupé. Je me doutais qu'elle était belle mais j'étais encore en dessous de la vérité. Elle avait un corps parfait, que ce soit du grain de sa peau, de ses formes harmonieuses ou de la finesse de ses traits. Elle était à la fois juvénile par sa fragilité et femme par la beauté de son corps. Tout chez elle était exceptionnel. J'adorais sa poitrine, son ventre plat, son pubis complètement épilé Elle avait des cuisses bien galbées et des chevilles bien dessinées

J'étais amoureux encore plus de son corps

Mes mains vinrent caresser mes seins (je sais, ce ne sont ni mes mains, ni mes seins mais comme c'est moi qui suis dans son corps, je dis ce que je veux)

Et là, un plaisir m'envahit. C'était super agréable et je ne pus m'empêcher de me dire que si j'étais venu au monde femme, je me serais tripoté les seins du matin jusqu'au soir. Pour augmenter mon plaisir je pinçais légèrement mes tétons qui étaient très sensibles puis n'en pouvant plus et voulant trop savoir ce que l'on pouvait ressentir, je retournais sur le lit.

Écartant mes cuisses, je me mis à me caresser la chatte

Au début, je reconnais que je ne savais pas trop comment m'y prendre mais le plaisir finit par guider ma main. Je me rendis compte qu'il ne fallait pas y aller comme une brute mais avec douceur.Je mouillais rapidement et tout en me caressant, je passais mes doigts sur le clitoris

Petit à petit le plaisir montait en puissance et je me mis à gémir, chose que je ne faisais jamais quand je me branlais

Putain que c'était bon d'être une femme surtout avec un corps comme le sien

Puis je m'enhardis et enfonçais mes doigts assez profonds entre mes lèvres, simulant une pénétration. C'était vraiment génial.

Je me caressais ainsi pendant de longues minutes jusqu'au moment ou je ne sais trop ce qui m'arriva mais une onde de chaleur remonta du plus profond de moi, me faisant me cambrer et une jouissance comme jamais je n'en avais connu jusqu'à aujourd'hui envahit tout mon corps.

C'était trop génial et je restais immobile, appréciant le plaisir que je venais de découvrir.

Une fois que j'eus repris mes esprits, je retirais mes doigts du sexe et je constatais qu'ils dégoulinaient de jus...

Finalement la charlotte m'était plutôt sympathique quand elle n'était pas dans son corps.

Restant nue, j'allumais toutes les lumières et commença à visiter son appartement, regardant dans ses armoires.Son dressing n'était pas folichon. Rien qui ne soit digne d'une jeune fille de dix neuf ans. A croire que sa mamie lui avait léguée sa garde robe.

Je plaisante, c'était bien celle de charlotte mais il n'y a avait presque que des pantalons, des jupes longues qui devaient descendre jusqu'en bas des mollets ou des survêtements qui eux étaient en grande quantité.

Pour les hauts ce n'était pas mieux. On aurait pu croire qu'elle avait honte de son corps alors qu'au contraire elle était sublime.

En ouvrant un des tiroirs de sa commode, j'examinais ses sous vêtements et je fus affligé. Rien de sexy, que ce soit dans les culottes qu'elle choisissait confortable ou dans les soutiens gorge, qui n'étaient vraiment pas affriolants.

Finalement la vie de charlotte devait être d'une tristesse, et heureusement pour elle, j'allais changer tout ça.

Comment une aussi belle jeune femme ne profitait pas plus de sa beauté. En se mettant un peu en valeur elle aurait pu avoir le monde à ses pieds. Au lieu de ça elle faisait la gueule, était détestable et faisait en sorte de ne pas avoir d'ami, du moins le supposais-je.

Je décidais de la laisser pour cette nuit, commençant à avoir une idée derrière la tête. Cette petite conne allait peut être regretter d'avoir agit ainsi avec tous les gens de l'immeuble

En sortant du travail, j'irais faire quelques courses et je pense que j'allais bien m'amuser.

J'éteignis toutes les lumières de son appartement, ne laissant que celle de la chambre éclairée puis je rangeais la nuisette qu'elle portait dans sa commode.J'avis décidé de la laisser nue dans le lit. J'imaginais sa tête lorsqu'elle allait se réveiller, se demandant ce qui lui arrivait.

La première chose qui lui viendrait à l'esprit était qu'elle était somnambule et je trouvais ça marrant.

Je m'allongeais sur le lit en laissant sciemment la lumière allumée et je quittais son corps. Je l'admirais quelques instant avant de retourner chez moi.

Une fois de nouveau dans mon corps, je m'endormis assez content de moi. Non seulement j'avais pu trouver une raison d'être à mon don mais en plus j'avais maintenant le moyen de calmer cette petite malpolie.

***

Le lendemain, après ma journée de travail, je me garais devant une boutique de vêtements féminins. J'avoue que ce n'était pas l'endroit ou j'étais le plus à l'aise.

Une fois dans la boutique, je me rendis compte que j'étais le seul homme ce qui augmentait encore plus mon malaise. Malgré ma gène et vu que j'étais là pour la bonne cause, je commençais à déambuler a travers les rayons sans trop savoir quoi choisir.

Soit parce qu'elle me prenait pour un pervers, soit parce que sur mon visage se lisait une grande détresse, une petite vendeuse mignonne comme tout, se dirigea vers moi, un sourire aux lèvres.

- bonjour monsieur, puis je vous aider.

Bizarrement je me sentis mieux d'un coup

- Avec plaisir, je veux faire un cadeau à mon amie mais je ne sais pas trop quoi acheter

- Quel type de vêtement désirez vous

- Elle aime les vêtements sexy mais je suis perdue.

La vendeuse, rassurée de voir que je n'étais pas là pour mater les clientes, me dit avec un sourire.

- donc on partirait pour une jupe

- voir même une mini-jupe, elle adore ça

- et qu'elle taille fait-elle?

Et là, ce fut le moment de solitude. Je me traitais d'andouille, n'ayant même pas pensé à regarder sa taille sur ses vêtements.

- heuuu je ne sais pas, elle est un peu de votre taille, un peu plus menue.

- Je vois...

Elle se dirigea vers un rayon et me proposa différentes mini-jupes devant correspondre à sa taille. Après pas mal d'hésitation, j'en pris une en tissu que je trouvais jolie et qui avait l'air assez souple.

- bonne idée mais elle est légère, si il y a du vent il faut faire attention.

- Je ferais attention

- Vous?

- Heuuu non, vous avez vu mon gabarit...

La vendeuse se mit à rire

- vous voulez aussi un haut qui irait avec

- s'il vous plait, un petit truc sexy

- comme ce petit top blanc à fine bretelle? me dit-elle en me montrant un ravissant top assez court et qui devait laisser voir le nombril.

- J'achète.

- Attention, ce petit top, à cause des bretelles, se porte sans soutien gorge. Votre amie a une forte poitrine?

- Heu non, je dirais comme la votre.

Je ne voulais pas choquer la vendeuse qui se mit à rougir.

- et bien ça ira alors, dit la vendeuse en se reprenant.

Je me dis qu'il faudrait que je revienne dans ce magasin car je trouvais la petite vendeuse très sympa. Mais je serais passé pour un gros blaireau si je l'avais draguée alors que j'étais sensé acheter un cadeau a ma copine.

De retour dans mon immeuble, je croisais ma jolie voisine alors qu'elle sortait. Elle ne me jeta même pas un regard et je constatais qu'elle paraissait plus perturbée que d'habitude. Avec sadisme, je me demandais si ce n'était pas son petit problème de somnambulisme qui la travaillait.

Que c'est agréable d'être un enfoiré lorsque la personne a qui l'on fait du tord est une personne que l'on aime pas.

Arrivé dans mon appartement je déposais les deux vêtements sur la table basse de mon salon.

La chose la plus importante était de ne pas fermer la porte de mon appartement à clefs avant d'aller me coucher.

J'étais excité à l'idée de reprendre possession du corps de ma voisine mais il fallait attendre qu'elle soit endormie.

Pourquoi devait-elle dormir?

A vrai dire, je n'avais pas essayé de prendre son contrôle alors qu'elle était éveillée et je me décidais de tenter le coup. Je savais que ma voisine n'était pas chez elle vu que je l'avais croisée et je ne voulais pas le faire à une personne avec qui je m'entendais bien.

Je passais donc une partie de mon temps à regarder par la fenêtre si je voyais ma promise revenir (Attention, quand je dis promise, je ne parle pas de ma future femme)

Il était pas loin de vingt heures lorsqu'elle rentra enfin. Ne pouvant plus attendre, je m'allongeais sur le lit et pris mon envol, tel un aigle ou un corbeau.

Je ne mis que quelques minutes à me déplacer jusque dans son appartement ou je la trouvais assise sur son petit canapé en train de regarder un vieux poste de télé. En la voyant désoeuvrée, je me dis qu'elle avait du manger dehors vu l'heure et je décidais de tenter l'expérience.

Je me rapprochais d'elle pour prendre possession de son corps mais alors que j'étais presque en elle, je sentis une résistance. Il y avait une force qui me repoussa et je compris que c'était la conscience de la fille.

J'insistais encore un peu mais je sentais la force toujours présente et je me retrouvais repoussé à plus d'un mètre.

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