La nouvelle vie de Louise 03

Jean se félicite du retour de la bonne humeur de Louise. Il a remarqué qu'elle avait raccourci la longueur de ses jupes et qu'elle s'habille un peu plus sexy, y compris pour aller travailler. Il a découvert, dans le panier à linge sale, des petites culottes et des soutiens gorge plus sexy qu'elle n'avait pas avant. Il a bien pensé qu'elle avait peut être fait une rencontre surtout que le soir en se couchant elle ne cherche plus de contact avec lui, mais il n'y croit pas. Il met ce retour soudain de cette joie de vivre sur le compte des sorties avec ses 2 amies.

Le meeting pour lequel il est à nouveau parti cette semaine s'est terminé avec un jour d'avance et il a décidé de faire la surprise à sa femme en rentrant le jeudi soir au lieu du vendredi, se disant que le vendredi, il l'emmènerait diner dans un grand restaurant.

Quand il arrive le jeudi soir devant la maison, la voiture de Louise est garée normalement sur la place de parking devant le garage mais une autre voiture est également là. Jean se dit que Louise étant seule, elle a du demander à une de ses amies de venir diner. Bizarrement, aucune lumière ne filtre des fenêtres du rez-de-chaussée et Jean décide de passer par le garage pour y laisser sa valise et rentrer sans faire de bruit. Effectivement, le rez-de-chaussée est dans le noir, il n'allume pas. Seule leur chambre au premier étage dont la porte est ouverte sur le palier, est éclairée. Il reconnaît la voix de sa femme mais elle n'est pas seule. L'autre voix est celle d'un homme. Il tend l'oreille et ce qu'il entend le laisse sans voix. Il monte quelques marches sans faire de bruit et la découvre nue à 4 pattes sur le lit, les jambes écartées, et un homme derrière elle, nu lui aussi qui la besogne sans ménagement.

- Oui baise moi bien mon Chéri, remplis moi, pilonne moi, fais moi crier, hurle sa femme.

- T'es une vraie salope, une chienne en chaleur.

Et l'homme lui claque les fesses à chaque aller retour, il entend le claquement du ventre de l'homme sur ses fesses.

- Vas y, change de trou, comme une chienne. J'ai envie de sentir ton pieu ouvrir mon œillet et me remplir. T'es le premier à m'enculer. C'est pas la pette bite molle de mon cocu qui serait capable de passer par là et de toute façon je ne sentirais rien tellement elle est petite.

Jean entend sa femme crier de plaisir pour la première fois, comme elle n'a jamais crié avec lui. Quand l'homme se retire pour aller éjaculer dans sa bouche, il comprend pourquoi. Son amant a une queue de plus de 20 centimètres. Il se sent ridicule avec son petit bout de 9 ou 10, et encore, quand il arrive à bander.

Ayant investi la bouche de sa femme, l'homme jouit à son tour et lui disant d'avaler toute la semence d'un mâle.

Il ne reconnaît plus sa femme qui offre ses fesses pour se faire sodomiser et sa bouche pour avaler le sperme de son amant. Elle à qui il n'a jamais osé lui demander de le sucer.

Sans faire de bruit, il ressort de la maison et décide d'aller dormir à l'hôtel.

La nuit à l'hôtel a été compliquée pour Jean. Il a peu dormi. Toute la nuit, les yeux fermés, la scène lui est revenue en boucle. Il avait bien vu que Louise était plus joyeuse depuis plusieurs semaines. Il avait l'impression de retrouver sa femme comme au début de leur mariage. Il avait mis ce renouveau sur le compte des sorties avec ses amies, mais est elle vraiment sortie autant de fois avec elles? Il avait bien envisagé un court moment que Louise avait un amant qui la comblait mais il n'y avait pas cru, même si il est conscient que sous membré, le petit truc entre ses jambes ne peut pas combler une femme normale et la faire jouir, surtout après avoir entendu les cris de Louise sous les coups de boutoir de son amant. Il ne peut pas lutter, mais ce qui le choque le plus c'est les mots employés par Louise qui demandait à son amant de l'enculer, de la pilonner comme la salope qu'elle était. Il ne reconnaît plus sa femme et appréhende la soirée. Est ce un amant de passage ou plutôt un amant régulier, et est ce le 1er?

Le lendemain soir, il rentre le premier après une journée au bureau où il a eu toutes les peines du monde à se concentrer. Quand Louise arrive, elle est toujours aussi rayonnante, ce qui lui fait dire qu'elle ne s'est pas aperçue qu'il l'avait surprise la veille avec son amant, mais il se trompe. Elle le sait, le bruit de la porte du garage a éveillé ses soupçons et elle a vu une ombre dans le miroir de la chambre pendant qu'elle se faisait pilonner à 4 pattes.

Il remarque qu'elle est particulièrement sexy pour aller au travail. Jupe courte, bien plus courte qu'avant, petits talons et chemisier ouvert qui laisse deviner la dentelle de sa lingerie. Quand elle s'assoit face à lui, dans un fauteuil du salon et que sa jupe remonte ce sont des bas qu'il aperçoit et un string transparent en dentelle, surtout que Louise ne se gène pas de croiser plusieurs fois les jambes pour lui dévoiler un pubis totalement glabre.

La soirée se passe normalement. Ni l'un, ni l'autre aborde le sujet. Jean a peur que Louise lui demande de partir, la maison est à elle.

Jean devant repartir la semaine suivante plusieurs jours en voyage, il décide d'acheter trois caméras discrètes qu'il dissimule dans le salon et dans la chambre conjugale. Il veut savoir si elle a un seul amant. La scène à laquelle il a assisté l'a excité. Il pourra être voyeur aussi bien en direct qu'en visionnant les films enregistrés dans les caméras.

Le premier soir, Jean se précipite à l'hôtel pour visionner les caméras en direct depuis sa chambre. Il est presque déçu car Louise est seule et passe la soirée à lire avant d'aller se coucher. Jean est rassuré, c'était sûrement un coup d'un soir.

Mais le second soir alors que Jean se connecte en rentrant à l'hôtel après être sorti dans un pub avec un client, Louise prépare visiblement un apéritif et sa tenue est minimale, une jupe au ras des fesses, hauts talons et chemisier largement ouvert pour offrir aux regards sa poitrine dans un porte seins laissant libre les 2 tétons. Lorsque Louise va ouvrir la porte d'entrée, Jean ne reconnaît pas son amant, bien qu'il l'ait seulement aperçu de dos dans la chambre. Louise se pend au cou de l'homme pour l'embrasser sur la bouche L'homme passe ses mains sous sa mini jupe pour la soulever et Louise croise ses jambes derrière son dos, ce qui permet à Jean de découvrir qu'elle est cul nu et que l'homme n'attend pas pour lui caresser les fesses et introduire un doigt entre les deux hémisphères. Louise s'empresse de lui servir à boire avant de venir se mettre à califourchon sur ses genoux les jambes écartées et les seins à disposition de l'homme qui s'empresse de caresser et presser les deux poires avant de faire rouler les tétines et de les étirer. Louise montre sa jouissance en basculant sa tête en arrière pour se cambrer, la bouche ouverte. Elle ne perd pas de temps et descend la braguette de l'homme, à genoux entre ses jambes, pour extraire du pantalon une queue énorme comme Jean a pu en voir dans les pornos qu'il regarde en cachette, plus de 25 centimètres. Fière de l'avoir fait encore un peu plus durcir avec sa bouche et enduite de salive, Louise revient sur les cuisses de son amant, en gardant uniquement son porte jarretelles pour s'empaler sur le gourdin. Le diamètre est suffisamment important pour que Louise s'empale centimètre par centimètre. Empalée à fond, son amant passe ses mains sous ses fesses pour la soulever et entamer des va et vient jusqu'à laisser Louise remonter jusqu'au nœud et la laisser retomber d'un coup. Louise remue la tête de droite à gauche comme si elle était possédée (elle l'est bien en fait!) avant de jouir. Quand elle s'extraie de ce pieu, le préservatif est couvert d'une écume blanche et épaisse. Jean comprend alors le niveau de plaisir que prend sa femme avec cet homme.

Après quelques minutes de répit, elle l'entraine au 1er étage dans le lit conjugal. Ils semblent se disputer, mais bien vite Jean s'aperçoit que ce n'est qu'un jeu et que Louise couchée sur le ventre en travers des genoux de son amant se fait fesser sans ménagement avant de se mettre à 4 pattes pour exciter un peu plus encore son mâle. Elle lui offre ses fesses dont elle écarte les 2 lobes avec ses mains et son amant lui fait une feuille de rose pour assouplir son œillet. Jean ne peut pas croire qu'il va réussir à la sodomiser avec un tel engin. Il joue avec son gourdin dans sa raie appuyant un peu plus à chaque fois sur son œillet. Après avoir humidifié le bout de sa queue dans sa fente dont coule encore un filet se sécrétions épaisses. L'œillet assoupli s'ouvre petit à petit et l'homme rentre avec précaution. C'est Louise, toujours aussi gourmande, qui se recule pour s'enculer elle même et commencer les aller-retour. L'homme l'attrape par les cheveux pour la cambrer davantage et la fesse tout en la sodomisant. Cela dure plus de vingt minutes pendant lesquels Jean s'imagine que sa femme a joui plusieurs fois et que Louise arrache le préservatif pour lui offrir sa bouche à remplir de semence et tout avaler. Louise lèche comme une chienne le pieu de son amant pour le nettoyer et avaler les dernières gouttes.

Jean en a trop vu et arrête de regarder. Il est effondré. C'est là qu'il s'aperçoit qu'il a éjaculé sans se toucher et que sa nouille est encore dure. Lui qui s'excitait en regardant des pornos avec des cocus, il est servi. Ce n'est plus un fantasme mais une réalité.

Le lendemain matin avant de partir travailler, Louise qui avait remarqué les caméras que Jean croyait avoir bien dissimulé, copie sur son portable les enregistrements des cartes mémoires. A la pose déjeuner, elle profite d'être seule dans son bureau pour visionner les images avec le son. Elle si excitée qu'elle est obligée d'enlever sa petite culotte et de la mettre dans son sac, tellement elle est trempée. Tant pis, elle travaillera cette après midi sans culotte. Elle n'oublie pas d'envoyer le film de la chambre à ses deux amies en leur recommandant cet amant!

Le soir même, Cécile comprend que Louise sera une recrue de choix pour Eric, au caractère dominant qui cherche depuis longtemps une belle salope soumise. Louise qui prend son pied en se faisant fesser va être servie.