La guerre des deux frères - Partie 09

BÊTA PUBLIQUE

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Roncaglia se dirigea vers une petite table où il avait posé deux verres et une carafe contenant un liquide orangé. Il remplit les deux verres et s'assit dans son canapé pour en déguster un.

- Tiens! Fit-il. Bois, ça te fera du bien.

Le regard brouillé par la sueur, elle mit une longue minute pour se redresser et se diriger, chancelante vers la petite table. Le liquide lui brula la gorge indiquant qu'il s'agissait d'un alcool puissant. Peu habituée à un tel degré, elle sentit sa tête tourner un peu.

Il n'avait pas bougé et la détaillait alors qu'elle se tenait nue et droite devant lui. La fine silhouette et les fesses si bien dessinées de cette jeune femme d'à peine 20 ans ne pouvaient qu'exciter un homme de son âge.

- D'après ce que tu m'as dit au téléphone, souffla-t-il, tu es ouverte à toutes les expériences.

Elle se tourna vers lui pour le dévisager et essayer de comprendre où il voulait en venir.

- J'ai besoin d'un petit « remontant » afin de me préparer pour la seconde manche, ajouta-t-il. J'aime bien les petites chiennes bien dociles qui obéissent à leur maître. Mets-toi à quatre pattes.

Hésitante, Caroline finit par s'exécuter et le sourire qu'elle vit sur le visage de Roncaglia indiquait qu'il était satisfait.

- Viens à moi ma petite chienne, fit-il en tendant un petit bâtonnet qui ressemblait à une croquette.

Sans chercher à se redresser, elle s'approcha de lui en comptant ses pas, de peur de ce qui l'attendait. Il se mit alors à lui flatter le crâne et à la complimenter sur son obéissance. Il lui mit alors la croquette sous le nez et elle sut qu'il escomptait bien la voir la manger. Elle déglutit et il pressa un peu sur sa nuque.

- Allez mange mon petit caniche chéri, insista-t-il. Tu as bien mérité cette réponse si goûteuse.

Caroline hésita encore une seconde avant d'ouvrir la bouche pour lui permettre d'y glisser cet aliment canin. Elle ferma la bouche et commença à mâcher, des larmes au coin des yeux. Roncaglia attendit patiemment qu'elle avalât puis il la fit se tourner afin qu'elle lui présente son fessier. Il se leva et elle sentit qu'il glissait ses doigts dans sa raie culière ce qui lui fit relever la tête.

- Non, pas ça! Osa-t-elle.

Elle n'avait pas négocié cet acte qu'elle n'avait jamais subi. Roncaglia se redressa et la fixa d'un regard qui n'augurait rien de bon.

- Mais tu es une chienne, fit-il presque choqué de son refus. C'est ainsi que les chiennes copulent.

Elle aurait voulu le contrarier, lui révéler l'étendue de son ignorance mais elle sentait qu'il ne s'agissait là qu'excuse afin de libérer chez lui des fantasmes honteux. Il sortit alors sa liasse de billet et en posant encore une demi-douzaine de billet sur le sol à côté d'elle. L'impression qu'il lui donna la foudroya : il considérait que vu qu'elle acceptait son argent, il lui suffisait de payer encore plus pour obtenir d'elle tout ce qu'il désirait. A peine eut-il posé l'argent, qu'il recommençait son exploration entre ses fesses. Elle voulut protester de nouveau mais il pressa encore sur sa nuque pour la maintenir dans sa position. Elle continua à protester mais elle n'avait pas la force de s'opposer à cet homme qui la faisait deux fois et elle sentit alors la pression du gland de son pénis contre son orifice anal.

- Mais tu es vierge du cul ma petite chienne, fit-il enjoué. Rassure-toi, tu auras droit à un petit bonus supplémentaire pour ça.

Caroline continuait à crier son refus mais il était comme possédé et il commença à s'enfoncer en elle, doucement mais inéluctablement.

- NON!! Cria-t-elle alors que la douleur envahissait ses entrailles. NON!!!!

Roncaglia ne dit plus rien, se contentant de pousser toujours plus fort pour briser définitivement la résistance de sphincter anal. Elle eut l'impression de se faire pénétrer par une lame acérée. Ses entrailles en feu, elle finit par s'écrouler, mordant le tapis pour cesser de hurler.

Heureusement pour elle, la pénétration fut aussi douloureuse pour son partenaire qui renonça à l'empaler totalement pour reculer doucement mais il commença à la limer sur une profondeur de quelques centimètres. La douleur s'apaisa alors mais pas l'horrible sentiment de honte d'avoir accepté de se soumettre totalement aux désirs de cet homme banal et pervers en échange d'une somme d'argent.

Roncaglia restait concentré sur son plaisir et finit enfin par jouir et comme elle ne sentit pas l'écoulement de son sperme en elle, elle sut qu'il portait de nouveau un préservatif ce qui était déjà une consolation.

« Une bien maigre consolation, songea-t-elle, il n'aurait eu qu'à poser quelques billets de plus sur le sol et il m'aurait sodomisée sans aucune protection ni aucune protestation de ma part ».

Cette nouvelle certitude acheva de l'anéantir.

CHAPITRE 9

20. Alice avait été contrainte de subir pas moins de 20 viols depuis son réveil sur ce maudit trébuchet sans connaître le moindre répit. Dans sa position, elle ne pouvait déterminer s'il s'agissait de 20 hommes différents ou si certains de ces connards l'avaient pénétrée plusieurs fois et en vérité elle s'en fichait tant la douleur et l'humiliation ressenties ainsi que ces maudites drogues qui s'écoulaient dans ses veines réduisaient sa capacité à penser.

Finalement, après un temps qui lui avait paru des jours, les hommes qui abusaient d'elle, se moquaient d'elle et l'insultaient depuis le début sortirent éteignant la lumière derrière eux. Elle s'imagina alors avoir enfin l'occasion de reprendre ses esprits et de tenter de trouver un moyen de se sortir de traquenard infernal. Malheureusement pour elle, elle se trompait car ce fut le moment où les lumières stroboscopiques firent leur apparition. Emises d'un point situé dans son dos et se réfléchissant sur toutes les parois blanches, elles étaient tellement intenses que même en fermant les yeux, elle ne pouvait y échapper. Son environnement ne fut plus alors qu'un immense halo de lumière dans lequel elle ne trouvait aucun repère ni repos. Le pire était qu'elle comprenait parfaitement l'objectif de cette manœuvre. Elle ne doutait pas une seconde que cette lumière en apparence uniforme se décomposait en réalité en milliards d'images subliminales. Diffusées à une vitesse trop rapide pour que le conscient puisse les discerner, ces messages s'infiltraient dans son cerveau, touchant les parties les plus enfouies de son inconscient. Il s'agissait là d'une méthode classique de lavage de cerveau et elle savait que bientôt, l'épuisement, les drogues et ces messages finiraient par l'atteindre au plus profond d'elle et elle tremblait en pensant à celle qu'elle risquait de devenir.

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Anonymous
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13 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Histoire envoutante, en fait plusieurs histoires imbriquées. C'est passionnant; comme j'aimerais en connaître la suite... Les suites !!!

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
superre

Une merveilleuse histoire à la fois déchirante et remplit de suspence

objuseobjuseil y a plus de 8 ans

Hummmm, Alice devient un objet à utiliser, comme j'aimerais être.

Vivement la suite !

AnonymousAnonymeil y a plus de 8 ans

très bonne série j espère vraiment une suite

AnonymousAnonymeil y a plus de 8 ans
Vraiment captivant ..;

J'attends la suite ,avec impatiente ...c'est une sacrée imagination ,une écriture qui coule comme de l'eau ..;

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