La Femme Du Patron d'Emilie

CHRISTIANE LA FEMME DU PATRON ET MA COLLÈGUE

Les vacances s'étaient évaporées, pour laisser place au retour à la vie professionnelle.

J'étais alors secrétaire dans une imprimerie familiale avec à sa tête Patrick la petite cinquantaine dont la femme, Christiane, de cinq ans sa cadette occupait le poste de comptable.

Malgré notre différence d'âge, nous étions devenues de vraies amies. Souvent je lui confiais mes petites aventures amoureuses avec Daniel.

Lors de ces confidences, je la sentais tour à tour choquée et excitée.

Christiane était une grande et très jolie femme mûre.

Au détour d'un couloir, il m'était parfois donnée de surprendre un brin de conversation entres les chauffeurs livreurs.

- Elle est drôlement gironde la patronne.

- C'est sûr, elle a ce qu'il faut, là où il faut

- Et puis elle est sacrément grande

- Ouais une grande et belle brune. Tu connais le dicton « Les grandes cheminées, ça tire bien»

- Tu es lourd, si on nous entendait.

C'est vrai, Christiane du haut de son mètre soixante-dix-huit, toujours perchée sur des escarpins à talons hauts était superbe. Brune aux yeux verts son corps bénéficiait de rondeurs excitantes.

Une généreuse poitrine aux lourds seins en forme de poires. De larges hanches et un cul, qu'elle m'avait confié trouver trop volumineux, accentué par une jolie cambrure de reins.

Elle bénéficiait de magnifiques jambes qu'elle ne manquait pas de mettre en valeur par des jupes s'arrêtant à mi-cuisses. Ses deux jolis pieds portaient toujours gracieusement avec la classe, des escarpins à talons hauts.

LES CONFIDENCES DE CHRISTIANE

Ce jour-là, son mari était en déplacement. Christiane et moi nous étions restés au bureau pour la pause de midi. Après un mini-repas, nous dégustions notre café.

- Tu as de la chance Émilie, d'avoir cette vie amoureuse hors du commun avec Daniel. Franchement je t'envie.

- Allons Christiane, je suis toute jeune et je n'ai pas ton expérience.

- Quelle expérience ma chérie! Franchement avec Patrick ce n'est pas le feu d'artifice au lit.

- Je suis désolée pour toi, mais ça va s'arranger non.

- Tu sais, Patrick est tout le temps en clientèle, et lorsqu'il est à la maison, il est avachi sur le canapé, devant la télé une bière à la main. J'ai eu beau faire des efforts, peine perdue.

Au lit c'est une fois par mois. Un petit coup vite fait sans imagination. Tu sais c'est déprimant, j'ai le sentiment de ne plus avoir de vie sexuelle.

- Allons Christiane ne dit pas ça tu es une jolie femme. Aller il faut se bouger. Ce soir tu es libre?

- Comme tous les soirs, tu sais bien que Patrick est absent le reste de la semaine

- Bon alors tu viens avec nous et on t'organise une virée en ville avec Daniel.

- Non tu es folle, vous êtes jeunes et puis..

- Je ne te laisse pas le choix, je préviens Dan, il va nous organiser une soirée au top. Là où nous t'emmenons, les toasts et les cocktails sont redoutables. Fais toi belle nous passons te prendre à 21h30.

- Tu es adorable Émilie, d'accord ça me changera de ma routine.

EN VOITURE POUR LA SOIRÉE

Christiane s'avançait vers nous dans le faisceau des phares.

Sa veste de cuir rouge sur les épaules laissait entrevoir son élégant chemisier blanc.

Sa mini-jupe noire fendue à hauteur de sa cuisse droite révélait ses jolis bas, qui habillaient ses magnifiques jambes.

Je descendais pour l'accueillir et l'invitais à prendre place, à l'avant de notre modeste 4L, à côté de Daniel.

- Bonsoir, tu montes à côté de mon chéri

- Bonjour Daniel

- Bonjour madame.

- Non mais tu plaisantes, c'est Christiane ou Chris, et tu me tutoies, sinon je tourne les talons

- Ok Chris, cette tenue te va à ravir.

- Merci c'est gentil

Je m'étais installée derrière au milieu de la banquette. Appuyée sur le siège avant j'observais que la veste de Chris était largement ouverte. Sa manière de s'asseoir, avait fait remonter sa jupe et je distinguais nettement la naissance de sa culotte.

J'observais que mon petit chéri, profitait de chacun des mouvements de jambes de la belle mâture.

LA SOIRÉE DANS LE CLUB

La musique rythmait les pas des danseurs qui enchaînaient tous les succès de cette année 75.

Autour de la piste de danse, des alvéoles discrètes offraient une banquette en demi-cercle avec une large table ronde. Sur celle qu'avait réservé Daniel la table était déjà dressée.

- Voilà les filles, je vous ai réservé ce petit nid douillet. Toast, fruits frais et cocktails, n'attendait plus que vous.

- C'est superbe Daniel, Émilie m'a si souvent parlé de vos cadeaux, je constate qu'elle était en dessous de la vérité.

- Tu sais Chris, pour nous, ce soir ce qui te fera plaisir, nous fera plaisir. C'est comme ça avec Daniel

- Je vois Émilie, je vois.

J'installais mon chéri entre-nous. Ce soir j'avais décidé de mettre un pantalon moulant noir, avec un chemisier assorti au décolleté sage.

Nous devisions sur tous les sujets, en enchainant les délicieux cocktails. J'étais heureuse de voir Christiane rire sur les bons mots de mon chéri. Prise par l'ambiance et la chaleur, elle avait déboutonné le haut de son chemisier. Daniel avait tout loisir d'apercevoir ses seins opulents.

J'en profitais pour chuchoter à l'oreille de mon chéri.

- Dan, ce soir je suis certaine que tu peux amener Chris à prendre du plaisir avec nous.

- Tu es sérieuse

- Oui et à l'idée de la voir jouir sous tes caresses, j'ai déjà ma petite culotte humide. Invite-la à danser sur cette série de slows. Je la sent chaude comme la braise.

- Chris venez.

Daniel l'avait prise par la main et l'entrainait sur la piste. Sans délai, il mettait sa main droite sur ses reins et la gauche sur le haut de son dos. Christiane n'avait d'autre choix que de mettre ses mains derrière la nuque de mon homme.

Je voyais excité, mon chéri glisser sa main des reins à la hanche de la belle. Elle franchissait maintenant la fente de sa jupe, pour caresser la cuisse et la culotte de Christiane.

La main gauche derrière sa nuque, Daniel se rapprochait des lèvres entrouvertes de la belle pour y glisser avec tendresse sa langue lui offrant un baiser profond.

Sa main droite avait progressé. Nul doute que ses doigts agiles, devaient maintenant investir la généreuse raie culière de la belle mâture.

Je voyais Christiane agitée de petit coup de reins, qui précipitait son entrejambe sur le membre de Daniel qui ne manquait pas d'être bandé.

Les slows étaient terminés et Dan, la main sur les reins de la belle, revenait vers moi. Christiane avait les joues rouges et son regard humide me fixait. Je l'invitai à s'asseoir entre Daniel et moi.

Installée, je me penchais vers elle et lui chuchotait

- Alors ma belle, tu as aimé les caresses de Daniel.

- Non mais Émilie, ne crois pas que, comment dire...

- Chut, ne dis rien. Va plutôt aux toilettes, enlever ton soutien-gorge et ta culotte, et reviens vite ma chérie.

Elle s'exécuta et revenait rapidement se lover entre-nous. Les joues rougies, les yeux brillants témoignaient de son excitation. Nul doute que les instants qu'elle vivait étaient une première dans sa vie sexuelle.

- Alors Chris tu as obéi à Émilie

- Oui, j'ai traversé la salle morte de honte, j'avais l'impression d'être nue.

- Donne-moi ta culotte, je suis certain qu'elle est humide de ton excitation. Profites-en pour donner ton soutien-gorge à ma chérie.

Toute tremblante, j'étais excitée de voir cette femme mûre intimidée, nous glisser le plus discrètement possible ses jolis sous-vêtements de satin rouge. Daniel froissait cette petite culotte la portant à son nez il en humait son parfum délicat, mélangé au filet de cyprine qui l'humidifiait.

J'avais reçu son soutien-gorge avec plaisir. Je m'étais légèrement reculée sur la banquette pour le glisser dans mon sac

- J'ai honte Daniel

- Honte, mais quelle idée, tu es belle et ce soir tu vas nous offrir ton corps de rêve. Maintenant tourne-toi sur la banquette vers Émilie.

- Viens penche-toi vers moi Chris, montres-moi tes jolis seins.

A présent, la belle était à demi allongée, je lui caressais généreusement les seins tout en lui offrant un baiser profond. Ma main faisait des allers-retours de ses seins à son joli petit triangle noir pour agiter mes doigts dans sa jolie chatte luisante. Elle gémissait

Les jambes en chien de fusil sur la banquette, elle offrait à Daniel son très joli cul, qu'il caressait de ses deux mains gourmandes. Il écartait ses fesses généreuses, dégageant cette longue raie culière afin de caresser le petit œillet brun qui frémissait.

Je faisait un clin d'œil à Daniel et en me penchant à l'oreille de Chris je lui chuchotait

- Dis-moi, Patrick t'a déjà enculé ma chérie.

- Oh non, jamais.

- Un autre homme peut-être.

- Non Émilie, jamais.

- Quel gâchis, je peux te dire que c'est une jouissance hors du commun.

- La plupart des femmes refusent et aucun homme ne m'a demandé cela.

- La plupart des femmes ne savent pas jouir Christiane. Veux-tu t'offrir cela avec Daniel

- Oui Émilie, grâce à vous deux je vis un instant extraordinaire.

Je regardais Daniel amoureusement, il se penchait par-dessus notre adorable mâture. Je l'embrassais et lui susurrait

- Mon chéri offre à Chris sa première sodomie, je te sais si doux, déclenchons-lui un bel orgasme.

Je reprenais mes caresses sur la chatte de la belle Chris. Daniel avait disparu et je savais qu'il lui prodiguait un anulingus tendre et profond. Elle nous gratifiait de longs gémissements et de tremblements témoins de son plaisir.

Daniel réapparaissait les lèvres brillantes et humides. Maintenant petit doigt et index recourbés sur les fesses, son index et son majeur pénétrait lentement le petit anus frémissant. Les doux allers-retours, assouplissait progressivement ce puits de plaisirs, qui maintenant s'ouvrait généreusement.

Il sortaient lentement et délicatement ses doigts, provoquant une réaction plaintive de Christiane.

- Oh non Daniel, c'était si bon revient

- Patience ma douce, le meilleur est à venir.

Daniel avait sorti son sexe en totale érection. Il s'avançait et sa main agitait alors son gland humide sur l'anneau frémissant

- Oh oui Daniel oui oui.

D'une délicate poussée, mon amour pénétrait en profondeur le cul de Christiane qui jouissait sur ma main. J'avais moi-même glissée ma main dans ma culotte gratifiant d'une masturbation, mon clitoris totalement excité.

Daniel offrait maintenant de petits coups de reins à cette délicieuse femme mûre qui, aujourd'hui, lui offrait sa virginité anale.

J'en profitais pour embrasser profondément la belle. Je sentais maintenant les couilles de mon homme frapper le cul généreux qu'il baisait.

Les mains de Christiane serraient mes hanches et dans l'excitation, me griffaient les fesses de ses ongles.

Je lui chuchotait

- Alors ma belle, tu aimes.

- Oh oui, c'est fou, jamais je n'imaginai me faire... enfin, faire cela.

- Hé bien lâches toi, dis-le, tu n'imaginais pas un jour te faire enculer. Dan adore entendre ce mot, dis-lui de t'enculer plus fort, il t'offrira le meilleur de lui-même.

- Oh! Daniel, c'est si bon, vas-y, je t'en prie, encule-moi plus fort, plus profond, viens, viens encore et encore.

- Émilie m'avait dit que tu jouirais.

Daniel maintenant déculait, il jouissait de la vue de cet anus qui se rétractait de plus en plus lentement. Puis sa main replongeait son sexe dans l'anus de Christiane qui ponctuait ses allers-retours de gémissements et de spasmes jouissifs. Elle projetait son magnifique fessier à la rencontre du ventre de Daniel, et lui caressait les bourses au passage.

J'agitais mes doigts de plus en plus vite dans la chatte de Christiane. Je sentais au travers de la fine paroi qui me séparait de son anus, les mouvements du sexe et du gland de mon chéri, qui gémissait de plaisir en prononçant mon nom à chaque poussée.

- Émilie, je t'aime ma chérie, je t'aime

Dans un dernier coup de reins, il s'enfonçait au plus profond de son fondement. Il se crispait, et éjaculait à plusieurs reprises dans cet anus dont il venait de prendre la virginité.

Il se retirait lentement, laissant cet anus béant de plaisir. De mon index, je massais alors tendrement ce petit œillet d'amour qui, à n'en pas douter procurerai bien du bonheur à ses futurs partenaires.

- Oh, c'était merveilleux, vous m'avez fait jouir comme jamais. Je ne pensais pas vivre cela un jour. Merci Émilie, merci Daniel.

Tous trois essoufflés dans le noir de notre discrète alcôve, nous remettions de l'ordre dans nos tenues.

Christiane était rayonnante, ses grands yeux nous regardaient tendrement. Daniel alors lui dit

- Dis voir Christiane, tu sais que sans ton soutien-gorge avec ton chemisier blanc, tu vas traverser la salle les seins quasiment à l'air.

- Je m'en tape, ce soir je suis prête à toutes les folies

- Voilà, lorsque je t'ai invitée, je savais que nous pourrions t'offrir de quoi te remonter le moral

- Le moral certainement, mais pour la morale j'en suis moins certaine.

C'est dans un éclat de rire, que tous trois, nous dégustions notre dernier verre bien frais.

Daniel et moi gardons encore aujourd'hui, le souvenir ému de cette soirée, en compagnie de cette jolie femme mûre que nous avions fait jouir pour notre plus grand plaisir.