La déchéance de Sophie Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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Le soleil se couchait quand j'engageais la voiture dans l'allée de notre pavillon. Mon mari en voyage et mon fils absent je n'avais pas de contrainte de cuisine et c'est donc d'un pas nonchalant que je récupérais le courrier dans la boîte au lettre et tout en le triant, ouvrais ma porte. Ce moment resterait gravé dans ma mémoire jusqu'à la fin de mes jours. Moi qui croyais avoir touché le fond, je compris en un éclair que ma vie venant de s'enfoncer plus profondément encore dans la boue.

Le courrier et mes clefs tombèrent à terre dans un grand bruit de ferraille. A quelques mètres de là, au beau milieu de mon salon se tenait une scène que je fixais sans vouloir comprendre.

Eric était assis entièrement nu sur le canapé et fumait une cigarette. A genoux entre ses jambes Sonia nue également faisait monter et descendre sa bouche sur sa queue tendue avec des bruits obscènes. En titubant, je m'approchais. Je fus prise d'un malaise quand je vis que sur la télévision passaient en boucle les photos et vidéos pornos qu'il avait fait de moi.

Suprême ironie, il regardait les images de la mère en se tapant la fille comme il avait regardé ma fille pendant qu'il abusait de moi.

Arrivée à mis parcours il m'arrêta d'un mot.

-"STOP!" M'ordonna t-il.

Instantanément je m'immobilisais. Sonia quant à elle continuait sa fellation comme si de rien était. a mon grand effarement son langage corporel trahissait le plaisir qu'elle prenait à cet acte abject.

-"C'est gentil de nous rejoindre salope. Comme tu le vois, j'ai montré à ta fille quelle pute était sa mère. Elle ne voulait pas y croire au début mais elle a bien pris les choses au final. Et pour bien les prendre elle les prend bien cette petite chienne" murmura t-il en poussant un grognement de plaisir.

-"Voilà ce qu'on va faire. Tu vas te foutre à poil en gardant juste tes chaussures. A côté de toi il y a ta laisse. Tu la prendras ensuite avec ta bouche et tu me l'apporteras à quatre pattes".

Devant mon absence totale de réaction, il ajouta machiavélique :

-"C'est bien toi qui a dit que tu voulais être ma chienne non?"

J'étais anéantie. Depuis des jours j'endurais toutes ces épreuves, ces humiliations pour protéger ma famille autant que moi et voici que ma fille, ma petite fille chérie se trouvait également à sa merci. J'étais dans un tel état détresse que j'aurais voulu me rouler en boule et disparaitre à jamais. Et malgré tout je fis comme il dit.

Morte de honte de m'afficher ainsi devant Sonia j'abandonnais mes vêtements en même temps que ma dignité. Avec mes dents je me saisis de la laisse en cuir et comme la chienne que j'étais, les seins ballotants à chaque pas, j'avançais vers mon destin. Tout en maintenant la tête de ma fille sur sa tige il me sourit et se saisit de son bien et me l'accrocha au cou.

Hypnotisée, les yeux agrandis par l'horreur je voyais son sexe s'enfoncer de plus en plus dans la bouche de ma fille et forcer sa gorge. Elle eut un renvoi quand il la fit pénétrer entièrement et que l'espace d'un instant, son nez s'écrasa contre ses poils pubiens.

-"c'est bien petite pute" dit-il en la repoussant "mais il faut partager sinon maman ne va pas être contente".

D'un coup sec sur la laisse il me déséquilibra et mon visage se posa sur sa bite luisante de bave.

-"Montre à ta fille quelle bonne salope j'ai fait de toi".

Du coin de l'oeil je vis que Sonia me regardait mi-interloquée mi-excitée.

Cet échange entre nous n'avait pas échappé à Eric.

-"Je crois que maman un besoin de ton aide".

Avec un empressement à lui obéir qui me fit frémir, Elle empoigna sa verge de sa main droite et de la gauche se saisit de mes cheveux. Inexorablement elle me forçait vers son gland et quand je voulus protester ce dernier envahit ma bouche. Assurée alors que je ne m'échapperais plus elle attrapa mon visage à deux mains et le secoua comme une furie, m'obligeant à monter et descendre sur le pieu à une vitesse folle.

Je suffoquais, bavais et le goût maintenant familier de la queue de mâle emplit mon nez et tous mes sens. Cet acte que j'effectuais avec d'abord avec réticence devint délice et à nouveau mon vagin s'inonda et s'ouvrit d'anticipation. Voyant que je gémissais et m'activais de moi même l'ado qui était notre Maître ordonna à ma fille.

-"Ne reste pas sans rien faire et suce moi les couilles"

Chose qu'elle fit immédiatement.

En extase et occupée à lui suçoter le gland, l'embrasement qui s'emparait de moi à chaque humiliation me souffla un nouveau défi. J'avais vu Sonia avaler sa queue en entier et je me devais d'en faire autant.

Manquant m'étouffer, je m'empalais sur son sexe et le poussait contre ma luette. Je crue ne pas y parvenir, de grosses larmes roulèrent de mes yeux et d'un coup ma gorge s'ouvrit et à mon tour je me retrouvais le nez contre son ventre. J'imaginais sans peine le tableau que nous faisions.

Une mère et sa fille nues, à quatre pattes suçant de tout leur coeur un ado maître chanteur dans leur propre salon.

J'entendais comme dans un rêve les bruits d'aspiration que faisait Sonia à côté de moi en s'acharnant sur les testicules bien pleines. Ce duo tabou fut trop stimulant pour lui. En criant il se leva d'un bond et pressa nos visages l'un contre l'autre.

-"OooOOoohhh, espèce de putes, putain, je viennnnnnnssss!!!"

Sans réfléchir, elle comme moi nous ouvrîmes grand la bouche pendant que de longues giclées s'écrasaient sur nos joues, notre nez et même nos yeux. Au moment ou son sperme m'aspergeait je manquais jouir sans même me toucher et c'est à grand coup de langues mutuels que nous nous débarbouillâmes.

Un silence s'installa un moment, seulement troublé par la respiration saccadée d'Eric. Lui comme nous, semblait stupéfait par ce qui venait de se produire. Mais cet instant passa bien vite. Sa jouissance avait été telle qu'il n'avait débandé qu'à peine deux minutes. La vision de deux belles chiennes aux poitrines généreuses à ses pieds lui redonna vite de la vigueur. Il se renfonça dans le canapé et donna ses instructions en indiquant ma fille.

-"Fait face à ta chienne de mère et vient t'assoir sur ma queue. Je vais te défoncer tous tes trous petite salope".

Mon instinct maternel prit le dessus. Mon instinct et, je dois l'avouer pitoyablement, une pointe de jalousie. Sans réfléchir je me jetais au sol et gémissait en lui léchant les pieds.

-"Je vous en prie Maître, laissez la tranquille. Je vous en supplie, prenez moi à sa place, je ferais tout ce que vous voudrez...tout!"

Honte et plaisir se mêlaient en moi alors que je m'abaissais plus bas que je pensais qu'il était possible.

-"Oui je sais que tu feras tout. Tu ne peux plus te passer de ma bite. Et tu le feras crois moi mais pour l'instant c'est de la jeune dont j'ai envie".

Toujours à terre je vis Sonia monter sur le canapé dos à lui et doucement s'accroupir sur le pieu tout raide. Sa petite chatte aussi lisse que la mienne s'ouvrit de manière obscène pour accepter l'intrus et lentement il disparut en elle alors qu'elle poussait un cri animal.

La saisissant aux hanches, notre Maître la prit de plus en plus vite, ses seins tendus rebondissaient à chaque mouvement. Sans m'en rendre compte je m'approchais de plus en plus. J'avais tellement envie qu'on me prenne que s'en était douloureux. Sans y être conviée, et comme douée de sa propre volonté, ma langue titilla ses bourses. Ce n'était pas assez pour moi, comme l'après-midi dans les toilettes du bureau je voulais être salie au delà de l'imaginable.

Je m'approchais encore, forçant ma tête entre ses cuisses et me mit à lui lécher l'anus avec dévotion. Il gémit et je sentis son anneau se contracter. Soudain Sonia aussi cria de douleur et de désir quand fidèle à sa promesse, il se retira de son vagin pour se planter jusqu'à la garde dans son petit trou. Entre mes jambes, ma main trouva mon clitoris gonflé que je tordis pour me punir.

En hurlant, tous les deux jouirent en même temps et leur plaisir déclencha un tsunami dans mon corps qui tressauta en tous sens. La tête sur le canapé, je restais sans bouger quand ouvrant les yeux je vis la queue d'Eric sortir de l'anus de ma fille. Aussitôt un flot de foutre s'en échappa et vint recouvrir mes lèvres. Je n'essayais même pas de résister. J'ouvrais grand et dégustais jusqu'à la dernière goutte.

Il nous fallu longtemps, je ne sais combien au juste pour retrouver nos esprits marqués par cet orgie. Dehors il faisait nuit. Je pensais qu'il rentrerait chez lui quand il annonça.

-"Je dors ici ce soir" Il me regarda, dominateur. "Demain j'ai prévu une petite fête en ton honneur".

A l'unisson Sonia et moi répondîmes.

-"Bien Maître"

Nous échangeâmes un regard complice et je frissonnais, me demandant ce que la journée et la nuit allaient nous réserver.

A suivre...

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Anonymous
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8 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Pour moi ce chapitre est un sommet surtout la première partie. Je l'ai relu de nombreuses fois et il m'excite toujours autant. Bravo et merci à son auteur et son traducteur Aurailiens

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
LES DEUX !

Bravo, il a eu les deux ! ! !

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
Exellent comme il les a dressé !

Super histoire, je crois que le fils et le pere doivent etre mis au courant de qui est le male alpha de leurs femmes, qu'il leurs montre qui c'est le boss !

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
belle dechéance

tres tres bon recit , ce dernier épisode est particulierement reussi. comme cocu forever je verrais bien le mari rentrer davantage dans le récit. - encore merci pour cette série ! hate de lire la suite

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
génial

Excellente suite. J'adore. Vivement la suite

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