La débauche de Tania 4e partie

Informations sur Récit
Une rencontre tourne au cauchemar.
2.6k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 11/04/2015
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(4e partie de l'histoire. Merci pour vos encouragements)

*

Je me recule et m'installe, John ouvre son pantalon et sort sa bite. Elle me semble énorme, plus grande que celle de Marc, c'est clair.

Je regarde John et lui fait un grand sourire puis je me glisse entre ses jambes et commence à la léchée.

Il pousse un râle de plaisir lorsque ma langue glisse sur son gland, quand mes doigts attrapent ses couilles, quand je la glisse dans ma bouche.

- (André) quel jolie croupe, regarde Marc elle est trempée.

Il glisse ses doigts entre mes lèvres humides, cherche mon clito.

- (Marc) redresse ton petit cul ma chérie, je pense qu'André veut y glisser autre chose que ses doigts.

Je me positionne, me cambre un peu plus tout en pompant la verge de John qui râle de plus en plus fort.

André se place derrière moi, frotte son gland sur mes lèvres trempée. Il place ses mains sur mes hanche et pousse sa bite d'un coup sec au fond de ma chatte.

J'émets alors un râle de plaisir.

John place ses mains sur ma tête et pousse sa bite tout au fond de ma gorge pendant qu'André me besogne brutalement.

Petit à petit le plaisir grandis au fond de mes entrailles, je sens cette chaleur intense m'envahir.

Je ne suis plus qu'un objet entre leurs mains. John tiens ma tête de ses mains et bouge son bassin, sa bite glisse au fond de ma gorge. André me lime la chatte à grand coup de rein.

John pousse ma tête, me maintient fermement, j'ai du mal à respirer, sa bite envahi toute ma gorge.

Il lâche la sauce d'un coup, je m'étouffe, je tousse, son jus remonte par mes narines, je tente de m'extraire mais il continue de jouir par vagues.

André accélère encore le mouvement et fini par se répandre en moi.

Son sperme chaud me remplis la chatte en même temps qu'un orgasme intense me traverse le corps. Mes muscles me lâchent, ma vue se trouble à nouveau, je plane, je flotte dans un océan de plaisirs. Je pousse alors un gémissement prolongé.

John et André se retirent, mon visage, ma bouche, ma gorge sont remplis de sperme, il coule à flot de ma chatte béante.

Marc se lève et me prend dans ses bras, je me sens bien, je suis dans un autre monde.

Il monte dans la salle de bain, me lave, m'essuie.

- Tu es merveilleuse ma chérie, mes amis sont impressionnés.

- Merci dada, je suis contente aussi.

Marc me couche dans son lit et je m'endors aussitôt.

Repue et exténuée.

Au petit matin Marc me réveille et m'apporte croissant et chocolat chaud au lit.

Le réveil affiche 11h00.

- Tu as bien dormi ma chérie?

- Oui dada, un sommeil profond.

- Je m'en doute, tu as eu une rude journée hier. Est-ce que cela t'a fait plaisir?

-Oui dada, j'ai eu énormément de plaisir, merci. Mais toi? tu n'as pas participée hier soir?

-Non ma chérie, mais dada était fier de toi.

Je rougie alors

- Repose toi encore un peu, ta journée ne sera que meilleure après.

Mon anus et mes seins restent douloureux, je déjeune, me lève et enfile un t-shirt.

Marc est dans la cuisine, je me colle à lui et l'embrasse dans le cou.

- Tu ne rentres plus chez toi. Je te veux ici avec moi.

- Oui mais mes parents? ils vont s'inquiéter dada.

- On va s'en occuper de tes parents, ne t'inquiète pas ma chérie.

Il me caresse les cheveux tendrement, je me blottis contre lui.

- André a ramené quelques cadeau pour toi, tu devrais aller dans le salon, il y a des paquets pour toi.

Je me précipite dans le salon, André m'attendais dans le divan.

Je tire sur mon t-shirt un peu gênée et surprise de sa présence.

-(André) Voyons ma petite, pourquoi faire la timide?

-Excusez-moi, c'est la surprise.

-(André) Appelle moi Tonton André ma chérie.

Viens t'asseoir sur mes genoux, on va déballer tes cadeaux.

Je m'installe sur ses genoux, il pose une main autour de ma taille et l'autre se glisse sur ma cuisse.

-(André) Je t'ai acheté tout ce que tu as besoins. Du simple jeans à la robe, de la petite culote à la lingerie raffinée, des parfums, des produits de soins et de maquillages,...

-Mais pourquoi tous ces cadeaux?

-(André) Tu es avec nous, il est normale qu'on s'occupe de toi. Tu t'es dévouée pour notre plaisir, c'est un juste retour ma petite.

Il glisse sa main sous mon t-shirt et me caresse le dos.

-(André) Tiens, on va essayer les vêtements de ce paquet.

Je déballe le paquet qu'André me tend. A l'intérieur il y a une guêpière en dentelle rouge , des bas et des escarpins unis.

André retire mon t-shirt, non sans en profiter pour me caresser les seins.

Il m'habille, fixe la guêpière, attache les bas à la jarretière, me glisse les escarpins.

La taille est parfaite, la pointure aussi.

Je me lève pour faire quelque pas et manque de me tordre la cheville, je n'ai pas l'habitude de porter des talons aiguilles.

André me rattrape de justesse.

-(André) Tu manques d'entraînement, ce n'est pas grave, ça viendra. Par contre tu es vraiment très jolie vêtue de la sorte.

-Merci tonton.

-(André) Ouvre l'autre paquet, il y a des vêtements à mettre au-dessus.

Le paquet contenait une robe de soirée en soie, assortie à la couleur de ma guêpière.

Elle était fendue sur le côté, le dos était dégagé et le décolleté assez large.

- Approche ma petite, tonton vas t'aider.

Il ajuste la robe et remonte la tirette dans le dos.

- Tu es magnifique! Splendide! craquante!

Entraine-toi à marcher maintenant.

Je marche, pas à pas, hésitante,...je cherche l'équilibre dans mes pas.

André m'observe, me guide, me complimente.

Petit à petit je trouve mes repères et au bout d'une quinzaine de minute, je marche dans le salon sans trébuchée ni me tordre la cheville.

André et Marc m'applaudissent en cœur.

- (Marc) Ma chérie, on doit traiter un gros contrat avec un client ce soir, j'espère que je peux compter sur toi pour nous aider à conclure cette affaire?

-Qu'est-ce que je devrai faire dadda?

-(André) être très gentille avec lui, comme tu l'as été avec tonton John et moi.

-Bien tonton, je serais très gentille.

-(Marc) A la bonne heure.

Bon, va te changer, il ne faudra pas froissée cette si jolie robe maintenant.

Ensuite on va manger un morceau et y aller car nous avons de la route à faire avant d'arriver chez notre client.

Avant de le voir on passera à l'hôtel pour que tu te fasse belle.

Dans les paquets je trouve un jeans et un t-shirt, un slip et un soutif. J'enfile le tout et nous mangeons.

A table, Marc et André ne cesse de tarir d'éloges sur moi.

Puis nous partons avec la voiture d'André, une grande allemande.

Marc conduit le véhicule et André s'installe derrière avec moi.

Je m'allonge, tête sur ses genoux.

Pendant tout le trajet il me caresse les cheveux, les seins, me caresses les fesses.

Après plusieurs heures de routes, nous arrivons à l'hôtel.

Il fait déjà sombre dehors, l'horloge de la voiture affiche 19h00.

André s'occupe de la réservation et nous donne les clefs.

Il a réservé une chambre pour 3.

Nous entrons dans la chambre et Marc me demande d'aller me préparer car le client nous attend à 20h00 au restaurant.

André me fait un descriptif de la situation.

On rejoint le client au restaurant, ils discutent affaire pendant le repas.

Ensuite on rentre à l'hôtel et demain on retourne à la maison.

Mon rôle consiste à sourire au client et être agréable avec lui.

20h00, nous sortons de la chambre.

Je porte la guêpière, les bas, les escarpins et la superbe robe de soirée rouge.

Marc et André sont très élégants aussi. J'ai l'impression d'être une princesse qu'on escorte.

Je suis un peu stressée, Marc le remarque immédiatement et me fait un petit calin dans le cou pendant que l'ascenseur descend.

-(Marc) Tu verras, tout ira bien.

On entre dans le restaurant, le maître d'hôtel nous accueille et nous guide vers la salle.

On nous installe dans un salon privé, une table ronde garnie avec élégance se trouve au milieu.

Un homme vêtu d'un costume blanc et d'une chemise noire se lève alors.

-Entre mes amis, entrez donc.

-(Marc) Monsieur Mutumba, je vous présente Tania, notre associée. Vous connaissez déjà Monsieur André.

Mutumba s'approche de moi et me fait le baisemain, il retire la chaise et m'invite à m'assoir.

Marc et André s'installe, je suis face à eux et il est à côté de moi.

-(Mutumba) Vous m'avez caché que votre associée était aussi ravissante.

(je rougie)

On nous apporte l'entrée.

Pendant le repas, la conversation porte sur les détails techniques que je ne comprends pas.

Le dessert approche, Marc et André sont partis chercher des documents.

Je suis en tête à tête avec le client, Monsieur Mutumba.

Nous discutons, j'apprends qu'il est le patron d'une société active dans le cuivre, qu'il aime la gastronomie et voyager en Europe.

Il me demande ce que je fais, ce que j'aime.

-(Mutumba) Je pense qu'André et Marc ne seront pas de retour avant plusieurs heures, entre-temps je vous invite à prendre le dessert dans ma suite.

Nous y serons plus à l'aise pour faire connaissance.

-Oui mais si Marc ou André me cherchent ou vous demande?

-(Mutumba) ne vous inquiétez pas, j'ai transmis les consignes au maître d'hôtel.

Il me tend la main et m'aide à me lever, un véritable gentleman.

On traverse le restaurant et prenons l'ascenseur jusqu'au dernier étage.

La porte s'ouvre sur une suite énorme. Je suis subjuguée par le luxe.

Il m'invite à entrer et me propose de se rendre au salon pour prendre le dessert.

Le salon est somptueux, un grand divan en demi-cercle fait le tour d'une table basse.

Le sol est en marbre.

-C'est merveilleux, c'est inouï.

Je m'installe dans le divan, il se pose à côté de moi. Sur la table plusieurs petits fours, tous aussi attirant les uns que les autres.

-Alors Tania, Marc m'a dit qu'il était très fier de toi. Que tu étais une jolie jeune fille très gentille.

Il glisse alors ses doigts sur mes épaules.

Je frisonne au contact de ses mains.

-Heuu..oui, mais on ne devrait pas aller voir si Marc ou André ne sont pas revenu?

Il m'attrape le visage et le tourne vers moi.

-Tu es mon dessert ok! si tu pars je casse le contrat avec Marc et André. Et j'imagine qu'il ne seront pas très content.

Sa phrase finie il me gifle.

Je tombe dans le divan et commence à pleurer.

-Tu as 10secondes pour te décider salope.

-(sanglotant) Bien Monsieur, je ferai ce que vous voudrez.

-Bien, c'est mieux comme ça. Lève-toi et danse pour moi.

Il allume un appareil qui diffuse une musique douce dans toute la pièce.

Je me lève et commence à danser devant lui.

Il me regarde, assis profondément dans le fauteuil, jambes croisée, mains jointes.

Je me balance au rythme sensuel de la musique.

Il se lève et me rejoins, se colle derrière moi et pose ses mains sur ma taille.

Il se penche et m'embrasse dans le cou. Je frissonne au contact de ses levres.

Il me murmure :

-Soit gentille ma petite, soit très gentille avec Monsieur Mutumba et tu ne le regrettera pas.

En me disant cela il remonte une main sur ma poitrine, attrape un sein et le malaxe brutalement.

Je me cambre à ce moment-là et son autres main m'attrape à la gorge.

-Qu'est-ce que je t'ai dit petite salope!

Je n'ai pas le temps de protester qu'il me pousse et me fait tomber sur le sol.

Il m'attrape par les cheveux et me tire dans sa chambre.

Je proteste, crie, pleure, mais il n'écoute pas.

Il me jette sur son lit ou je m'étale à plat ventre.

Je tente de me retourner.

-Reste comme ça ou tu le regrettera encore plus!

L'ordre était ferme et le ton si sec que je n'ai plus osée dire ou faire quoique ce soit.

-Vois-tu l'avantages d'être riche c'est qu'on peut tout se permettre.

Cette suite par exemple est totalement insonorisée, tu pourrais hurlée à t'en déchirer les cordes vocales sans que personne ne t'entende.

Il tourne tout autour du lit.

-(sanglotant) Monsieur Mutumba, je vous en supplie, je ferai tout ce que vous voudrez.

Je serais gentille, c'est promis.

-Mais j'y compte bien!

Il commence à découper ma robe de soirée avec un couteau.

Il retire mes escarpins, ses mains remontent sur mes mollets, l'arrière de mes cuisses, s'attardent sur mes fesses.

-André ne m'a pas menti, tu as un cul de rêve.

Il me donne une claque assez forte sur les cuisses.

-Ecarte-moi tes jambes poufiasse!

A partir de ce moment-là mon esprit a switché en mode automatique, obéissant immédiatement.

Ma robe de soirée est complètement déchirée, il l'a coupée dans le dos, elle ne tient plus que par les brettelles.

Il tire alors sur la ficelle de mon string et le coupe aussi.

Sans ménagement il force ses doigts dans ma chatte, je pousse alors un petit cris de douleurs, il y répond en claquant sa main sur mes fesses.

Il me fait mal, ses doigts me pénètres sans retenue, sans douceur.

Je retiens mes cris en me mordant les lèvres. Des larmes coulent de mes yeux, ruinant mon maquillage.

D'une main il me plaque le bassin et de l'autre il me défonce la chatte.

Je pousse ma tête dans le coussin pour retenir les cris de douleurs.

Il sort ses doigts puis les enfoncent d'un coup sec tout au fond, à chaque fois il pousse plus fort.

Le plaisir arrive progressivement, remplace la douleur.

Ma chatte s'ouvre, mes muscles se détendent, ses doigts entrent plus facilement. Je ne pleure plus, je gémis de plaisir.

Il me tartine alors la raie du cul avec un liquide froid et visqueux, je sursaute à ce contact si froid.

Son autre main glisse entre mes fesses, étale le gel progressivement.

Il pousse alors 2 doigts dans trou, le gel facilite la pénétration.

Je me cambre un peu pour lui montrer que j'ai envie, que j'ai du plaisir.

Il glisse alors 2 autres doigts et les écartes bien fort.

Ma chatte et mon cul sont remplis de ses doigts, seul ses pouces restent dehors.

Il alterne les mouvements de vas et viens, alterne les accélérations et les mouvements lents.

Je miaule de plaisirs.

- La petite salope aime ce que Monsieur Mutumba lui fait.

J'hurlais un « ouiiiii » de plaisir.

Il se retire, ma chatte et mon cul reste ouvert, suintant et dégoulinant.

Il fait le tour de lit et se place juste devant moi, pantalon baissé.

Sans attendre un signe de sa part, mes doigts glissent sur sa verge et le caresse.

Elle est noir, on dirait un tronc d'ébène avec des grosses veines.

Je glisse ma langue depuis son gland jusqu'à la garde et remonte ensuite.

Il pose ses mains sur ma tête, je la glisse dans ma bouche.

Il reste de marbre, rien ne transparait, même sa respiration reste calme.

Je m'avance pour mieux l'avalée, elle est grande, plus grande que celle de Marc.

Il pousse plus fort, elle passe ma glotte et touche le fond de ma gorge.

Je commence un mouvement de vas et viens en faisant glisser ma langue en dessous, mais rien n'y fait...il ne réagit pas.

Je n'ose lever les yeux, je me concentre, accélère le mouvement, mes doigts le masturbe en même temps.

Pas un bruit, pas un râle de plaisir. J'ai l'impression de sucer un mur.

Je me redresse un peu, essaie une autre position, mais en vain.

Il finit par s'énerver et ses mains agrippent mes cheveux.

-Tu n'es qu'une idiote! même pas capable de me faire plaisir.

Je vais te le faire payer cher petite sotte.

...à suivre

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