La Cravache Rose Ch. 01

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Elodie m'apporte la cravache rose.
2.9k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 08/11/2023
Créé 07/28/2023
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- Bonjour Elodie

- Bonjour Louis, je te dérange? Je passais par là!

- Non bien entendu. Tu passais par là... (Elodie et Clément, son mari, habitent à près d'une heure de route) Tu sais qu'Alice est chez ses parents?

- Oh je n'y pensais plus.

- Rentre! Tu as amené ta jolie cravache rose? (Elle rougit)

- Alice t'a raconté?

- Nous nous disons toujours tout!

Elodie rentre, le regard un peu fuyant devant mon sourire en coin. Elle m'a toujours excité et là je crois bien qu'elle est venue se jeter dans la gueule du loup! Pourtant je ne l'ai jamais draguée, ni vraiment fantasmé sur elle. Ses explications sont cousues de fil blanc.

- Qu'est ce qui te ferait plaisir?

- J'ai cru comprendre que tu faisais de super cocktails!

- Tu me fais confiance?

- Oui. Complètement.

J'aime bien la façon dont elle le dit. Ce n'est pas la première fois qu'une jeune femme vient s'offrir à moi, mais là quand même! C'est la nouvelle meilleure amie d'Alice! Nous devisons pendant que je prépare les cocktails, un long drink dérivé du Singapore Sling, à ma manière. C'est long à préparer, cela se boit comme du jus de fruit, mais c'est très chargé. Cela lui fera du bien. Je la vois vite se détendre, elle en a avalé la moitié presque d'un coup!

Maintenant elle me regarde, me sourit, joue avec ses cheveux, minaude, quand tout à l'heure elle était tendue et fébrile. C'est une jeune femme petite comme Alice, à peine 1m60, Blonde comme Alice est noire de cheveux, une poitrine que je devine bien plus prometteuse qu'il n'y paraît, car j'ai pu constater qu'elle ne mettait jamais de soutien-gorge. Son charme est aussi dans l'énergie et la gaieté qu'elle dégage, son écoute et son empathie, une chouette fille. Pas surprenant qu'elle et Alice soient devenues amies si vite, et sans doute meilleures amies!

- Il paraît que Clément pensait réserver la cravache à votre chatte, et que cela t'a déçu?

- Oh (Elle rougit fortement, balbutie, puis esquive en mettant la faute sur Alice) Elle te raconte vraiment tout!

J'adore la voir déstabilisée, et aussi découverte d'une certaine façon. Le cocktail a été bu à vitesse grand V, je lui prends la main, elle ne l'enlève, je m'approche, je l'embrasse, elle soupire, elle s'abandonne. J'adore ces premiers baisers, le moment où une femme bascule, où les barrières tombent. L'aboutissement d'un processus plus ou moins long qui se termine à cet instant, et une page blanche qui vient prendre la place. Et parfois s'installe, justement, l'angoisse de la page blanche : une fois le baiser conquis, y-a-t 'il vraiment matière à une suite, ou qu'à des ennuis?

Ici, c'est facile et c'est pour cela que je n'ai pas résisté. Je l'emmène dans la chambre, je lui murmure que moi je sais quoi faire de la cravache rose, elle me regarde de côté, défaillante, sans doute une énorme boule au ventre. Je l'embrasse encore, caresse sa peau douce, m'enivrant de sa chaleur et de sa douceur, elle est ferme, musclée, elle sent tellement bon, je suis déjà tout dur dans mon pantalon, elle le sent, se presse. Je lui retire sa robe, appréciant son ventre plat, malgré sa grossesse, ses seins qui partent sur le côté mais, effectivement, bien plus lourds qu'il n'y paraît, ses hanches larges, sa taille fine, elle dégage beaucoup de sensualité.

Allongée sur le ventre, je lui ai laissé son slip noir, ultime pudeur. Je lui écarte les bras, légèrement les jambes, je lui dis qu'elle va recevoir sa première vraie correction, que je vais y aller doucement, que je veux qu'elle s'offre. Sa respiration se calme. Je caresse longuement son corps, je malaxe ses fesses fermes, je la conditionne.

- Tu es belle ainsi offerte, cela fait longtemps que j'ai envie de te voir ainsi. C'est excitant tes cuisses ouvertes, abandonnée comme tu es. Ce n'est pas par hasard que tu as fait ce lapsus avec la cravache, n'est-ce pas? Tu penses à cela sans doute depuis longtemps, envie, besoin d'être corrigée, toi qui as une si grande gueule, tu n'as envie que d'une chose : d'être matée, mise à ta place, ramper.

Je la sens qui gémis doucement, inconsciemment elle frotte son bassin sur le lit. Je fais attention de ne faire aucune référence à Clément, car je ne doute pas de sa culpabilité, et de sa difficulté à venir aujourd'hui : elle n'a jamais connu que lui dans sa vie. Je caresse ses fesses plus précisément, entrant dans son sillon, sentant la moiteur dans la soie de sa culotte, je me retiens pour ne pas la pénétrer violemment ainsi. Mais elle n'est pas venue pour cela. Enfin pas que pour cela!

Je promène le bout de la cravache sur sa fesse droite, qu'elle sente son poids, soit préparée au premier coup, qui est doux, elle ne sursaute même pas, exhale un soupir, comme si enfin elle recevait ce qu'elle souhaitait. Je chauffe ses fesses, je suis concentré sur ses réactions, ce serait dommage d'aller trop loin et casser mon nouveau jouet. Je suis surpris sur les coups plus marqués, elle tressaille, s'abandonne, gémit mais pas pour se plaindre, je perçois qu'elle a envie de sentir plus le poids de la cravache. J'ai souvent remarqué ce phénomène pour les premières rencontres, mais pour une toute première fois, jamais à cette intensité.

Chaque coup marque fortement la fesse visée, y compris le dessous des fesses, plus sensible et plus érogène. Elle écarte un peu plus les cuisses m'ouvrant sa raie, intentionnellement? Sans crier gare, je suis passé de la cravache de piètre qualité, à une canne en noyer. Elle a senti la différence, s'est arquée, j'ai passé la main sur la marque profonde, l'apaisant, la préparant au coup suivant.

Je n'y tiens plus, j'enfile un préservatif, je lui parle doucement dans l'oreille, lui disant comme elle est chienne et salope, qu'elle est là pour donner du plaisir aux mâles dominants, que je vais prendre ses trous l'un après l'autre, que je la veux béante, complètement ouverte à ma prise de contrôle. Elle frémit, ne bouge pas. Je resserre ses cuisses, m'installe allongé sur elle, mon sexe trouvant facilement sa grotte dégoulinante et étroite, c'est délicieux. Je la prends doucement, elle se tend, gémit, soupire, me demande de la prendre plus profondément, me sent énorme en elle, se met à trembler. Je sens le bout de mon sexe frotter sur la paroi supérieure de son vagin, lui procurant plein de sensation, et tout autant pour moi. Cette position est ma préférée. Ses tremblements sont de plus en plus intenses, je la sens se tendre d'un coup, un orgasme? Je n'en sais rien, elle n'a pas vraiment crié. Je continue tellement c'est bon, l'humiliant de mots dégradants, tandis que je vois un énorme sourire sur sa bouche, ses yeux restants fermés.

Avant que ce ne soit trop intenable, je me retire, tandis qu'elle tend ses fesses pour me retenir, je reprends la canne pour des coups, nouveaux, sur les cuisses. La douleur est moins érotique, elle gémit, elle supplie, elle pleure, mais elle s'offre. Je pourrais compter les coups sur les marques laissées. Je reviens en elle, ses fesses et ses cuisses sont brûlantes, elle s'apaise, gémit à nouveau, me crie son plaisir. Je me redresse, je mets mon pouce sur son cul, elle frémit.

- Je, je n'ai jamais...

- Tu n'as jamais quoi petite chienne?

- Je n'ai jamais rien pris par là

- Voilà une belle occasion, n'es-tu pas venue pour de nouvelles choses?

- Oh s'il te plaît?

- S'il te plaît quoi?

- Je, j'ai peur

- Ce n'est pas ce que tu voulais?

- Je, je ne sais pas... (Elle gémit en continu, mon pouce écarte ses chairs, enduit de lubrifiant, j'insère l'index, puis le majeur, elle halète) ... oh mon Dieu

- Tu n'es pas venue te faire baiser et fouetter? Tu savais très bien qu'Alice n'était pas là, tu avais besoin de te faire démonter, ce n'est pas vraie ma salope au cul tout ouvert?

- ...

- Alors?

- Oui (Elle murmure)

J'adore son sentiment de honte, je bande si dur dans son sexe, je la sens trembler de tous ses membres, elle dodeline de la tête sans savoir quoi penser, tandis que son anus est ouvert pour la première fois, et plutôt facilement je trouve. Au troisième doigt, je décide que c'est assez. Je sors de son vagin, je m'avance, et je pose le bout de mon sexe sur son cul un peu ouvert, écartant ses fesses. Elle retient sa respiration, cela fait longtemps que je n'ai pas défloré un cul! Je décide de le faire doucement, lui donner le plus de plaisir possible.

J'appuie par de petits mouvements, le gland rentre à peine, elle gémit, difficile à interpréter. J'essaie d'éviter les à-coups qui sont souvent douloureux. Je remets du lubrifiant, je reviens encore et encore, le gland rentre en entier, elle respire difficilement. Je me retiens de jouir tant la sensation et la pression sont délicieuses. Je ne sors pas le gland, je passe les anneaux successivement, doucement, tout en la massant, en lui disant des mots doux cette fois, même si je la traite d'enculée. Enfin elle sent mon pubis cogner, une de ses mains part en arrière, pour me presser les fesses, comme pour mieux m'enfoncer, ou simplement vérifier cette sensation folle.

Mes allers et retours sont lents, toujours profonds, ses cris changent, je la sens partir dans un nouvel orgasme, ou ce qui lui ressemble. Mon sexe, toujours comprimé, circule facilement, ses sécrétions naturelles sont actives, j'accélère, je me mets à la défoncer de toute la longueur de mon sexe, vidant ses poumons à chaque intromission, je deviens déchainé, excité de voir ce petit corps se faire prendre ainsi, ma grosse bite s'enfoncer en elle, ses cris de détresse à se sentir ainsi enfournée, prise, possédée. Je me retire presque, multipliant les petites pénétrations, juste du gland, au niveau de l'anus, il se ferme et s'ouvre à un rythme effréné, envoyant de multiples sensations dans son corps, sensations qui deviennent insupportables tellement elles sont fortes, elle me supplie, elle est épuisée, elle n'arrive plus à tenir même sa tête, enfin elle s'abandonne, son cul durement malmené. Je sais qu'elle aura très mal pendant quelques jours, je veux qu'elle sente cette douleur la prochaine fois qu'elle verra Alice.

Je me retire enfin, elle croit qu'elle en a fini, mais j'ai bien d'autres projets. Je me dépêche de prendre une photo de son cul pas encore refermé, avant de l'investir à nouveau. Elle s'offre malgré l'épuisement, je lui ordonne de se caresser, une main sous le corps, j'aime la voir trembler ainsi.

- La photo de ton cul ouvert est magnifique, pour une défloration tu es gâtée

- Oh Louis, tu es un démon

- C'est ce qui t'attire, non?

- Oh Oui, tu me défonces, c'est tellement fort!

- Je viens d'envoyer la photo de ton cul à Alice, je me demande ce qu'elle va en penser?

- Non! Tu n'as pas fait cela? (Elle se redresser, le regard paniqué, comme elle m'attire quand elle est en détresse)

- Mais si, je ne t'ai pas dit que nous n'avions pas de secret en nous.

- Oh mon Dieu

Elle est interrompue par la sonnerie de mon téléphone, je décroche à Alice, tout en continuant à la sodomiser doucement, tendrement. Je mets le haut-parleur, Elodie enfonce la tête dans l'oreiller, comme si elle n'était pas là.

- C'est vraiment Elodie?

- Oui elle est venue m'apporter la cravache rose!

- Je me doutais que c'était une salope, mais à ce point, quand même!

- J'avoue, une salope maso et très soumise

- Si j'étais là, elle prendrait une torgnolle! Se faire mon mec dans mon dos!

- Tu parles! Cela t'amuse, non?

- Oui mais quand même. Elle mérite une punition.

- Elodie? Tu mérites une punition de te faire sauter par le mec de ta meilleure amie

- Je... je suis désolée

- Désolée? (Alice rit) Je suis certaine que tu es au septième ciel là...

- Oh mon dieu

- Tu as utilisé la cravache avant?

- Oui, la canne aussi, elle a les fesses et les cuisses bien marquées.

- Mmmhhh cela va être bien quand elle va retrouver Clément

- Comme cela il saura à quoi sert vraiment une cravache!

- Du coup comme punition, je voudrais que tu lui donnes vingt coups de canne sur le ventre et le pubis, et vingt sur les seins. Et de vrais coups.

- Qu'en penses-tu Elodie?

- Je... tout ce que vous voudrez

- Tu vois je te dis, je t'envoie les photos ensuite

- Amuse-toi bien, je vais me faire jouir en pensant à ce que je vais lui faire subir à cette pute.

Elodie est au fond du gouffre, j'ai bien fait attention à ce qu'elle n'arrête pas une seconde de se caresser, et sur cette dernière humiliation, je la sens à nouveau jouir. Quelle baise!

Les coups de la punition sont sauvages. D'abord elle est sur le dos, bien plus vulnérable, même si elle ferme les yeux. Les zones, ensuite, sont très sensibles et je lui explique qu'une punition a pour but de marquer la mémoire, qu'elle s'en souviendra. Qu'elle ne doit pas bouger non plus. Chaque coup laisse une marque rouge très nette et très fine, cette fois-ci, Elodie crie, je vois des larmes couler, c'est excitant. Je lui fais écarter les jambes, pour voir son sexe, mais là c'est trop difficile, elle ne mouille pas. Mais ne bouge pas, s'offre magnifiquement, je le lui dis. Les quarante coups terminés, je jette la canne, et je m'allonge sur elle, la pénétrant rapidement. Son sexe ne reste pas sec bien longtemps, elle m'enserre de ses jambes, nos bouches se trouvent, notre câlin est tendre. Je jouis en elle, sans préservatif, j'espère qu'elle se protège.

Je roule sur le côté, nous dormons enlacés l'un à l'autre, cette fille a beaucoup de potentiel, j'espère que ce n'est pas juste une pulsion en passant et qu'elle ne va pas retourner à son petit train train quotidien.

Quand j'émerge, il est deux heures du matin, Elodie est blottie contre moi, toute chaude, appétissante. Je ne résiste pas, je me glisse de l'autre côté et je la prends en cuillère par son cul sans doute déjà très douloureux. Je veux voir si elle m'accepte, ou bien me rejette. J'avoue que son con tout serré m'excite tout autant. Je rentre de façon étonnante dans son conduit interdit, je l'entends respirer fort, d'abord pour calmer la souffrance, ensuite pour canaliser le plaisir, elle aime être prise ainsi, je lui susurre qu'elle est ma petite chose, ce à quoi elle me répond qu'elle est toute à moi. Je suis divinement bien. Je fais durer le plaisir longuement, mes mains prenant plaisir à découvrir ses seins, marqués par les traces de la punition. Je lui murmure que si elle veut revenir, elle doit s'occuper de l'épilation définitive de son sexe, mais aussi que je veux dorénavant la voir toujours avec des brassières pour mettre en valeur ses très jolis seins. Elle sursaute pour les brassières, mais ne dit rien, et me dit qu'elle fera ce que je veux. Il est temps de la libérer, elle travaille dans quelques heures, et je ne doute qu'elle souffre le martyre de ses fesses et de son cul. Je me retire avec regret.

Je prends sa tête pour lui indiquer que je veux qu'elle me suce. Je m'attends à une résistance bien évidente, pourtant la raison de son sursaut est autre.

- Mon Dieu, comme tu es gros

- (Je ris) Tu le découvres maintenant?

- J'avais tellement de sensations nouvelles et extraordinaires, ton sexe est absolument magnifique!

- Je veux que tu l'idolâtre!

- Mon Dieu vénéré

Et sans plus hésiter elle le gobe, le lèche, le nettoie méticuleusement, cette fille a un vrai potentiel!

Je l'accompagne au parking, elle se sent honteuse sans culotte, et pour cause, celle-ci est en lambeau. Dans l'ascenseur, je l'embrasse et soulève sa robe pour lui caresser les fesses, elle a un mouvement de recul et veut baisser ma main. Sans même réfléchir je lui décoche une gifle, puis une autre, et plusieurs autres. Pas très appuyées, mais ses yeux se remplissent de larmes, elle baisse la tête sans chercher à se protéger. Je lui appuie sur les épaules, elle baise mes chaussures quand le porte s'ouvre, sans personne à cette heure de la nuit. Je la relève en la prenant au niveau du cou, je lui souris.

- Tu m'appartiens maintenant, je ne veux aucune résistance.

- Pardon Louis, je ferai ce que tu veux

Dès le premier capot accueillant, je l'allonge sur le ventre, sa robe se relève toute seule, elle écarte les jambes d'elle-même. Sa chatte est dégoulinante, je craignais qu'elle prenne mal le coup des gifles, mais apparemment non! Je m'engouffre dans son sexe serré, c'est tellement délicieux, je jouis vite, quand une voiture passe, elle n'essaie même pas de se relever. Nous nous regardons en souriant, elle me remercie, je l'embrasse.

Je regarde partir sa petite voiture noire, le cœur un peu vide, j'ai hâte de raconter tout cela à Alice, qui, à mon humble avis, va être à la fois très excitée, mais aussi furieuse que son amie ait agit ainsi dans son dos. Je suis vidé.

meo75
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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 9 mois

J’espère une suite car il me tarde de découvrir la réaction du son mari Clément lorsqu’il l’a découvrira marqué et son anus boursouflé par les multiples pénétration. Je voudrais aussi découvrir les quelles perversions va lui faire subir Alice.

AurailiensAurailiensil y a 9 mois

Oui toujours aussi excellent. Personnellement ça peut s'arrêter là les débuts sont tellement plus excitants.. Sauf peut-être si Alice a de l'imagination...

AnonymousAnonymeil y a 9 mois

Excellent !

J’espère une suite

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