L’esprit de Famille

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

C'est vrai que cette demeure ne lui était pas vraiment inconnue sans qu'elle ne sache pourquoi. Elle avait une impression de déjà-vu mais cela arrivait à beaucoup de personnes et elle ne s'en inquiéta pas.

Alors qu'elle rangeait son sac dans l'armoire de la chambre qui lui était dévolue, elle fut prise d'un vertige sauf que cette fois elle ne dormait pas.

Une grande lueur blanche l'obligea à fermer les yeux, éblouie comme si un flash venait de se déclencher devant elle mais sans avoir la sensation de tomber contrairement à son rêve.

Une douleur dans le dos la fit sortir de sa torpeur et lorsque sa vision revint, tout son corps fut parcouru d'un frisson d'horreur.

Elle n'était plus dans sa chambre mais dans une salle de torture sans fenêtre, pendue nue par les poignets à quelques centimètres du sol. Ses reins la brûlaient mais étrangement cette souffrance lui procura un certain plaisir ce qui n'était absolument pas normal.

Plusieurs appareils de torture équipaient cette salle relativement grande et des accessoires inquiétants étaient disposés sur des tables ou des dessertes.

Ses chevilles étaient attachées et elle pendait tel un sac à la merci de son tortionnaire.

L'homme qui n'était autre qu'Alexandre vingt ans plus jeune, la regardait tristement et lorsqu'il lui parla, ce fut d'une voix pleine de compassion.

- On va arrêter là, je vais te détacher.

- Non, ne fais pas ça, punis-moi. Fais-moi mal...

Julie, horrifiée, se rendit compte que les mots qui venaient d'être dit étaient sortis de sa bouche sans qu'elle les ait réellement prononcés.

Elle poussa un cri lorsque le cuir mordit de nouveau entre ses omoplates, lui faisant horriblement mal. Pourtant, la douleur lui apporta une certaine forme de bonheur, un contentement dans le supplice.

Mais pourquoi ce rêve était-il douloureux et pourquoi aimait-elle ça.

Cette fois ce fut son ventre qui fut flagellé et même si l'homme retenait ses coups, elle jubilait de plaisir à chaque morsure du cuir.

L'homme posa alors son fouet sur la table près de lui et commença à lui détacher ses chevilles. Il estimait lui avoir suffisamment fait mal et ne voulait plus continuer.

- Non, supplia la femme par la bouche de Julie, n'arrêtes pas, fouettes-moi encore...

- Je vais te soigner, tu as assez souffert pour aujourd'hui.

- S'il te plaît, continues, j'en ai besoin...

Julie sentit d'un coup le vertige la reprendre et, effarée, elle se retrouva allongée devant sa grande armoire. Elle avait chuté sur le sol, heureusement sans dégât, lorsqu'elle avait plongé dans ce cauchemar alors qu'elle était éveillée.

En se relevant, il lui sembla sentir encore les coups de fouet dans le dos aussi, retirant son t-shirt, elle examina son corps.

Il lui sembla voir quelques rougeurs mais elle les mit sur le compte de sa chute. Décidément, ce qui se passait ici était de plus en plus étrange et pourtant elle n'avait pas envie de partir.

Se rhabillant, elle descendit dans la cuisine où elle retrouva les deux hommes en pleine discussion.

- Elle ne doit absolument pas savoir...

En voyant surgir la jeune femme, ils se turent immédiatement, paraissant gênés d'être surpris dans leur conversation. Julie préféra ne pas leur dire qu'elle avait entendu les derniers mots prononcés mais cela lui confirma qu'il y avait un secret ici et qu'elle devait impérativement le découvrir.

Depuis qu'elle avait franchi la porte de la grosse demeure, elle se rendait compte que ce qu'elle avait ressenti pouvait être effrayant mais étrangement aucune crainte ne l'habitait. Elle ignorait d'où venaient ces rêves étranges mais inconsciemment, elle se demandait s'ils n'étaient pas liés à sa tante.

Comment? Elle ne le savait pas encore mais elle espérait bien le découvrir très vite.

- Comme promis, je vais te faire visiter notre demeure.

- Je suis sûre qu'elle est magnifique.

Durant le reste de la matinée, il la fit déambuler dans toutes les pièces, passant d'un petit salon à un cabinet de curiosités ou une chambre immense. Étrangement, Julie avait l'impression de connaître chaque endroit traversé mais cela ne voulait rien dire.

Après avoir visité les étages supérieurs, ils empruntèrent un escalier de service pour redescendre au rez-de-chaussée lorsqu'ils passèrent devant une vieille porte en bois massif qu'Alexandre ignora.

- Qu'est-ce qu'il y a derrière?

L'homme parut embarrassé et après quelques secondes d'hésitation, il lui répondit.

- C'est une porte qui mène dans les sous-sols mais il y a bien longtemps que l'on a perdu les clefs.

- Mais, vous ne l'avez jamais forcée pour l'ouvrir.

- Pour quoi faire... il y a tellement de place dans cette bâtisse qu'on n'est pas à quelques mètres carrés en plus ou en moins.

La curiosité de Julie fut de nouveau aiguisée en entendant son hôte. Personne ne laisse tomber un endroit parce qu'il a perdu les clefs mais elle n'insista pas. Encore un mystère de plus mais elle ne voulait pas forcer les choses.

Lorsqu'ils eurent fini le tour du propriétaire, l'impression de déjà-vu n'avait pas quitté la jeune femme.

- On a même une piscine de l'autre côté de la demeure pour le cas où tu aurais envie de te baigner.

- C'est génial.

Pourtant Julie n'était pas surprise d'apprendre l'existence de ce bassin car elle le visualisait très bien sans même l'avoir vu.

- j'adore nager mais je n'ai pas pris mon maillot.

- Et on ne peut pas t'en prêter lui répondit en rigolant Alexandre.

Pour préparer le repas de midi, Edmond emprunta la vieille Mercedes du manoir pour aller faire quelques courses pendant qu'Alexandre et Julie allèrent préparer la table dans la cuisine.

Lorsqu'il revint un peu avant midi avec les vivres, il tendit à la jeune femme un petit bikini dont il avait fait l'acquisition pour faire plaisir à leur invitée.

Julie était tellement contente qu'elle fit la bise au majordome, sachant inconsciemment qu'il avait pris la bonne taille sans même l'avoir essayé.

*******

Le repas avait été plutôt sympa et Julie ne regrettait pas que son GPS l'ait emmené jusqu'à cette demeure. Mais avec le recul, était-il le seul responsable, à moins que ce soit le destin ou alors....

Non, elle était stupide de penser que quelque chose d'autre avait pu la guider jusqu'ici pour se retrouver chez l'ancien petit ami de sa tante. C'était théoriquement improbable et sa présence ici ne pouvait être due qu'au hasard.

Maintenant, elle était en maillot et profitait de la grande piscine pas spécialement entretenue. L'eau était transparente mais beaucoup de feuilles et d'insectes flottaient à sa surface. Pourtant, cela ne dérangeait pas la jeune femme qui se trouvait trop bien dans le liquide si bienfaisant.

Quelques chaises longues plutôt vétustes et sales étaient alignées près du bord. Même s'ils faisaient tourner la pompe de la piscine, ils ne devaient pas souvent se baigner vu l'état de l'ensemble.

La jeune femme était tellement bien qu'une fois sa baignade terminée, elle allât s'allonger sur un transat pour profiter du soleil, ne tenant pas compte du manque de propreté.

Elle était étendue depuis quelques minutes lorsqu'un vertige l'a repris. Cette fois, elle n'eut pas la sensation de tomber et elle se demanda si son corps ne s'y habituait pas. Elle fut immédiatement projetée dans son rêve, et c'était tellement réel que si elle n'avait pas eu ses autres expériences, elle se serait sûrement crue dans la réalité.

Elle était à la piscine mais cette dernière était impeccable. Les meubles de jardin étaient tous neufs et elle était de nouveau nue, ligotée tel un rôti.

Ils l'avaient allongé sur le ventre, à même le carrelage alors qu'un sexe était en elle. Elle se mit à crier car c'était son anus qui était forcé et elle ne pouvait pas voir l'homme qui la sodomisait.

C'était horrible et pourtant elle sentait une onde de jouissance envahir tout son corps. Plus l'homme la prenait fort et plus elle aimait ça ou du moins la personne qui était dans son rêve. Décidément son esprit la transportait à chaque fois vers des songes masochistes où elle était mise à mal et elle n'arrivait pas à détester cela.

Cette fois, le rêve ne dura pas longtemps car, se redressant, elle se retrouva allongée sur le transat, la piscine de nouveau mal entretenue.

Elle eut du mal à reprendre ses esprits, comme épuisée alors que ce n'était qu'un rêve. Pourtant, elle se rendit compte qu'elle avait mal au niveau de l'anus comme si elle avait été réellement enculée.

Non, cela devenait délirant et la raison lui disait qu'elle parte loin d'ici.

Pourtant, un peu comme lorsqu'elle avait voulu partir et qu'une force lui avait retenu la main alors qu'elle voulait mettre le contact, elle se leva et elle dût faire un effort incroyable pour ne pas retirer son maillot.

Une voix en elle lui disait qu'elle devait se mettre nue et offrir son corps aux deux hommes et il lui fallut de longues minutes pour reprendre son contrôle.

Il fallait qu'elle parle aux occupants de cette demeure et qu'elle leur raconte tout. Elle n'arrivait pas à avoir peur et elle savait que ce n'était pas du tout normal.

Lorsque en bikini, elle rentra dans le salon où les deux hommes se tenaient, ces derniers ouvrirent des grands yeux en découvrant le corps si peu vêtu.

- Tu es très belle, se contenta de lui dire Alexandre.

- Il faut qu'on parle de ma tante mais aussi de ce qu'il m'arrive depuis que je suis ici.

En entendant ces mots, les deux hommes devinrent blancs comme s'ils savaient de quoi elle allait parler.

- Assieds-toi et dis nous tout, lui dit le propriétaire du manoir tout en regardant le corps de Julie se mouvoir avec grâce.

La jeune femme ne sut pas trop par quoi commencer pour ne pas être prise pour une folle. Se décidant tout de même, durant presque une heure, elle leur raconta tout, que ce soit ses rêves où les sensations de prises de contrôles de son corps qu'elle avait ressenties.

Durant tout son récit, ils ne dirent aucun mot, ne la coupant même pas pour poser des questions. Lorsqu'elle finit par raconter ce qui s'était passé à la piscine, Alexandre avait une larme à l'œil ce qui surprit Julie qui ne s'attendait pas à une telle réaction de son hôte.

Une fois qu'elle eut fini, les deux hommes se regardèrent sans dire un mot.

- Vous devez me trouver folle, demanda-t-elle.

- Non, pas du tout, au contraire.

C'est alors qu'Edmond qui restait toujours silencieux d'habitude, intervint.

- J'étais sûr qu'elle était encore là, je la sentais durant toutes ces années.

- Oui.... Moi aussi.

Julie les regarda étonnée en voyant qu'ils prenaient au sérieux ses propos.

- Qui était là durant toutes ces années

- Ta tante.

- Mais je croyais qu'elle s'était suicidée.

- Elle l'a fait mais...

Alexandre lui sourit et lui dit

- Tout ce que tu nous as raconté s'est passé il y a 20 ans

- Comment ça! Vous lui avez fait mal?

- Oui, mais c'était sur sa demande. J'aimais ta tante mais elle était malade, elle avait des pulsions d'autodestruction et avec Edmond on essayait de la guérir.

- En la frappant?

- Non, en contrôlant sa douleur. Si on l'avait laissé faire, elle se serait détruite et on faisait tout pour l'éviter.

Julie resta un instant silencieuse puis demanda.

- Et comment expliquez-vous ce qu'il m'arrive.

- Je ne sais pas, tu es identique à Julia au moment où elle s'est suicidée, et je suppose qu'elle veut récupérer son corps.

- Mais! Elle est morte!

- Oui mais avec Edmond on sent qu'elle est encore là. Le suicide l'a empêché de quitter ce monde, du moins on le pense.

- Et pourquoi elle s'est suicidée.

Ce fut Edmond qui prit la parole, préférant épargner Alexandre qui était amoureux autrefois de la jeune femme.

- En fait ce n'était peut-être pas vraiment un suicide. On suppose qu'elle a cherché à se faire mal toute seule et ça a mal tourné.

- Comment ça?

- On a trouvé son corps entièrement tailladé et elle s'était vidée de son sang.

- C'est horrible...

- On pense qu'elle a voulu se torturer toute seule car on lui refusait une chose qu'elle nous demandait depuis des mois

Julie fut intriguée et insista pour savoir quelle était cette chose.

- Elle voulait subir un gangbang violent en pensant que cela pouvait la soulager, voire même la guérir.

- Et?

Alexandre, qui avait laissé parler son majordome, répondit.

- je l'aimais et je ne voulais pas que d'autres hommes que moi ou Edmond la prenne. J'ai été égoïste, je le reconnais.

Il resta une minute silencieux avant de rajouter.

- Même si elle ignorait tous les détails, ta mère nous en a tenu rigueur et elle ne nous a plus jamais parlé depuis l'enterrement. Si ta tante essaye de s'emparer de ton corps il vaut mieux que tu t'en ailles très loin d'ici.

- Je... pas encore. Je voudrais l'aider.

La jeune femme ignorait pourquoi elle ne voulait pas partir mais elle sentait que sa présence ici était importante.

- Comme tu veux mais si tu vois que tu perds le contrôle...

- Je ne le perdrais pas.

Le reste de l'après-midi, ils le passèrent ensemble en évitant de trop parler de la tante décédée. Julie aurait bien voulu visiter la salle de torture mais préféra ne rien demander. Elle savait pertinemment qu'ils n'avaient pas perdu la clef mais l'endroit devait rappeler trop de mauvais souvenirs aux deux hommes qui ne voulaient sûrement plus y remettre les pieds.

La jeune femme, même si elle ne les connaissait que depuis la veille, se sentait bien avec eux malgré leurs tenues qui dataient et pouvaient faire sourire. On était en été et un short aurait été plus adapté que leur costume vieillot.

Après le souper, Julie retourna en chambre avec l'appréhension d'être projeté de nouveau dans le passé tout en l'espérant inconsciemment. C'est vrai qu'étrangement, malgré la douleur, elle ressentait à chaque fois une sorte de plaisir malsain qu'elle ne pouvait refréner.

Comme la veille elle se coucha nue ignorant si sa nuit allait être peuplée de cauchemars ou si elle passerait une nuit agréable et plein de jolis rêves.

**********

Il était une heure du matin lorsque Julia ouvrit les yeux. Elle passa sa main sur son ventre, du moins sur celui de sa nièce pour voir si elle avait réussi. Une bouffée de joie intense s'empara d'elle en constatant qu'elle avait pris possession de la jeune femme. Après deux tentatives ratées, elle disposait enfin de ce corps qu'elle convoitait depuis deux jours.

Se pinçant fortement les tétons, elle sentit la douleur envahir ses mamelons, lui rappelant les plaisirs dont elle était privée depuis près de vingt ans.

Le corps de Julie était presque identique au sien et elle allait pouvoir se faire vraiment plaisir. Depuis qu'elle avait perdu la vie en allant trop loin dans son délire, elle était bloquée dans ce manoir et dans ses environs, ne pouvant que regarder sans réellement agir. Elle avait essayé de prendre contact avec Alexandre mais en vain, ces derniers ressentant juste légèrement sa présence.

C'est lorsqu'elle avait ressenti la présence de sa nièce près du manoir, qu'elle avait été envahie par une force nouvelle. Elle avait même été capable de l'influencer lorsque cette dernière était passée à proximité de la bâtisse, lui faisant faire des boucles tout en occultant dans sa tête les informations de son GPS.

Maintenant, elle ne savait pas combien de temps elle allait pouvoir posséder ce joli corps car elle sentait Julie tout faire pour reprendre son contrôle.

Elle se leva et quitta la chambre, se dirigeant vers la salle à manger. Il faisait nuit et même si elle connaissait chaque emplacement de meuble et chaque objet par cœur, elle préféra tout de même allumer par sécurité.

Elle savait très exactement où chercher la clef qui n'avait pas dû bouger depuis bien des années. Lorsqu'elle la vit en ouvrant le tiroir du buffet, une excitation envahit tout son corps. Elle adora cette sensation elle qui n'était qu'une âme depuis deux décennies.

Elle aimait trop le corps de sa nièce, n'ayant aucun scrupule à le lui dérober dans la mesure où sa sœur jumelle lui avait tourné le dos lorsqu'elle avait eu besoin d'elle.

Prenant la précieuse clef, elle se dirigea vers la porte menant dans le sous-sol qu'elle connaissait par cœur. En l'ouvrant, une bouffée de bonheur l'envahit car elle allait dans l'endroit qui lui plaisait le plus au monde.

Lorsqu'elle arriva en bas et qu'elle alluma la lumière pour éclairer la grande salle de torture, elle se crut retournée 20 ans en arrière. À part la poussière et la rouille qui avaient envahi les lieux, tout était exactement comme elle l'avait laissé.

Lorsqu'elle était un pur esprit, elle avait souvent erré dans cette pièce et connaissait tous les objets présents. En étant immatérielle, elle n'avait pu que ressentir les choses sans vraiment pouvoir les voir et cela avait été une frustration sans nom. Maintenant, elle allait les toucher et même les utiliser.

Elle marcha entre les différents appareils, les caressant parfois tout en se remémorant le plaisir qu'elle avait pu en retirer tout en hurlant de douleur.

S'arrêtant devant la desserte où était stockée sa collection de godemichés, elle s'empara de son favori tout en soufflant dessus pour chasser l'épaisse couche de poussière.

Sa taille était impressionnante et elle aimait autrefois se prendre avec, s'acharnant soit dans son cul, soit dans sa vulve, en se prenant souvent sauvagement.

Écartant les cuisses, elle inséra l'extrémité de l'énorme dildo à l'entrée de sa petite chatte. Elle savait que le corps de sa nièce était encore vierge et pourtant une pulsion malsaine s'empara de son être.

Le saisissant avec sa deuxième main, un sourire étrange apparut sur son visage et prenant sa respiration, elle banda toutes ses forces.

Elle hurla de douleur lorsqu'elle enfonça d'un coup et de façon brutale l'engin jusqu'à sa garde, déchirant son hymen. Sa vulve fut déflorée de façon inhumaine et la douleur qu'elle ressentit fut pour elle de l'extase.

Elle redécouvrait les plaisirs oubliés et sans même attendre de reprendre ses esprits, elle se mit à se besogner avec hargne comme elle le faisait il y a bien longtemps.

Le plaisir et la souffrance se mélangèrent rapidement et elle hurla lorsqu'un orgasme s'empara de son corps, la faisant s'écrouler sur le sol encrassé, le gode bien enfoncé dans sa chatte malmenée.

**********

Julie ouvrit les yeux, ne comprenant pas ce qui lui arrivait. Elle était étendue à même le sol et son sexe la faisait abominablement souffrir. En se rendant compte qu'elle était dans la salle de torture, elle réalisa qu'elle ne venait pas de faire un cauchemar mais qu'elle avait été belle et bien possédée.

Glissant sa main entre ses cuisses elle comprit, horrifiée, pourquoi elle avait mal à cet endroit et lentement, elle retira l'énorme gode enfoncé au plus profond de son intimité.

Étrangement, même si elle avait des douleurs, elle en retira du plaisir lorsque l'engin glissa hors d'elle, se demandant si c'était bien normal à moins que ce ne soit des réminiscences de Julia. Passant la main sur son sexe endolori, elle put se rendre compte qu'elle avait saigné légèrement mais que la douleur s'atténuait. Elle aurait dû être horrifiée de perdre sa virginité de cette façon et pourtant elle n'arrivait pas à en vouloir à sa tante qu'elle savait malade.

Chancelante, elle se redressa et après avoir regardé cette pièce qu'elle trouva à la fois effrayante et surprenante, elle remonta au rez-de-chaussée, fermant bien la porte derrière elle tout en gardant la clef.

Elle était perdue et ne savait plus quoi faire. Si elle avouait à Alexandre qu'elle avait été possédée, il risquait de la faire partir sur-le-champ. Elle ne voulait pas laisser sa tante errer de nouveau en ces lieux alors qu'elle savait qu'elle pouvait peut-être l'aider même si elle ignorait comment.

Rester ici n'était pas sans risques car elle pouvait perdre de nouveau le contrôle de son corps tout en ignorant ce qu'elle pourrait endurer avec Julia aux commandes. Pourtant, elle ne voulait pas partir pensant sincèrement qu'elle avait les moyens de vaincre sa tante.