Kidnapping et Soumission Tome 11 - Fin

BÊTA PUBLIQUE

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Maître Alexandre attendait les soumises devant un genre de portique. Il s'agissait d'un genre de tourniquet ou trolley. Des sièges fixés à une barre qui étaient relié à la roue tournaient tel un manège. Mais au lieu de chevaux ou de licorne, il s'agissait de plug sur lesquels les esclaves allaient s'empaler pour faire partie du manège. Différents ustensiles étaient fixés aux barres.

Maître Alexandre ouvrit le rideau de la scène et dit :

« Déshabillez-vous! Maîtresse Aurore va donner des vêtements à quelques-unes d'entre vous. Les autres resteront nues. Quand je vous appelle, vous passez derrière le rideau et vous suivez mes instructions.»

« Bien Maître. » dirent les esclaves à la cantonade.

Sweet Pussy, N°1 et les autres esclaves se déshabillèrent. Pendant ce temps, Maîtresse Aurore déposait des vêtements, de la lingerie sur certaines chaises.

Maîtresse Aurore ne déposa rien devant les chaises de N°1 et de Sweet Pussy.

Maître Alexandre appela la première esclave et la conduisit devant son siège. Maître Alexandre ordonna à l'esclave, habillée d'une robe rose comme une petite fille, de monter sur le premier « siège ». Elle s'empala sur les deux plugs qui dépassaient de la selle de cheval transparente. Ses jambes furent repliées et attachées aux étriers. Maître Alexandre prit ses bras et les attacha dans le dos. Il prit un masque en latex rose qu'il posa sur le visage. Ce masque avait la particularité d'avoir une bouche en forme d'anneau, l'esclave avait donc la bouche ouverte en permanence. Il lui fixa ensuite un large collier en acier qu'il relia à un anneau en haut de la barre l'aide d'une chaîne. L'esclave avait la tête tirée vers le haut, comme pendue.

La seconde esclave que prit Maître Alexandre monta sur le « manège » et s'empala sur les plugs. Maître Alexandre fixa les colliers aux chevilles et positionna ses bras dans le dos pour les lier à une chaîne qui pendait du portique. Maître Alexandre demanda à l'esclave de tirer la langue. Maître Alexandre ôta son gros piercing et mit un flesh tunnel à la place. Il attacha la langue de son esclave à la barre en inox se trouvant à quelques centimètres de son corps en passant un fin câble dans le flesh tunnel et en reliant celui-ci de nouveau à la barre.

Lola fut conduite par Maîtresse Aurore sur la table et se positionna sur le ventre. Le pierceur attitré de Maîtresse Aurore pénétra sur la scène avec sa valise.

« Mets-lui deux crochet sur les omoplates, c'est pour notre attraction.

« Bien Maîtresse Aurore. »

Le pierceur ouvrit sa mallette et en sortit des compresses et un tube de pommade. Il ouvrit celui-ci et badigeonna les omoplates de Lola. Après quelques minutes, le pierceur prit une aiguille dans ses mains et piqua Lola sur son omoplate gauche. Lola ne bougea pas et n'eut aucune réaction. Le pierceur sut que la pommade avait fait son effet anesthésiant. Il prépara deux crochets sur la table. Il prit le premier crochet, saisit la peau anesthésiée de Lola et enfonça le crochet pour transpercer la peau comme un piercing. Il plaça le crochet, anse vers l'épaule. Il fit de même avec le second crochet et essuya le sang qui coulait sur sa peau. Lola sentait qu'on lui avait ajouté quelque chose sur le corps mais elle ne savait pas quoi.

Maîtresse Aurore la fit lever et montra à l'assistance ce qui avait été posé. Un tonnerre d'applaudissement se fit entendre dans la salle de réception. Maîtresse Aurore prit un miroir et montra alors à Lola ce qu'elle avait dans le dos. Lola posa ses mains devant sa bouche pour montrer sa surprise mais aussi son désappointement. Elle fut conduite derrière le rideau et Maître Alexandre la positionna sous son manège. Deux câbles descendirent et Maître Alexandre fixa les câbles aux crochets de Lola à l'aide de deux manilles. Maître Alexandre actionna sa télécommande et le corps de Lola ne toucha plus terre. La peau au niveau de ses omoplates était fortement étirée.

Maître Alexandre fit signe à Sweet Pussy et N°1 qui s'avancèrent vers le manège et virent Lola dont le visage se crispait sous la douleur de la « pendaison ». Maître Alexandre fit tourner son manège pour avoir les places libres devant lui. Sweet Pussy et N°1 virent alors les deux crochets plantés dans le dos de Lola.

« Vous serez des sœurs jumelles sur ce manège. Donc, mêmes équipements et position. »

Maître Alexandre commença par N°1. Il prit deux brins de corde de chanvre posés sur une table et entoura les seins de N°1 fortement pour qu'ils bleuissent. Il passa un masque en latex noir sur le visage de N°1. Ce masque possédait un trou au sommet du crâne pour laisser passer la tresse de N°1. Maître Alexandre ajusta le masque et le noua sur la nuque. Il prit un anneau buccal et N°1 ouvrit la bouche pour sa mise en place. Maître Alexandre serra la sangle de l'anneau. Il prit deux plugs de gros diamètres qu'il lubrifia avec du gel et les plaça dans le cul et la chatte de N°1. La sangle qui reliait les deux plugs fut serrée sur la taille de l'esclave.

Sweet Pussy regardait attentivement ce que faisait son Maître pour se préparer à subir la même préparation.

Maître Alexandre fit un nœud à la tresse de N°1, plaça N°1 sur le manège et attacha la tresse au câble du portique.

Maître Alexandre alla cherche un tabouret et ordonna à N°1 de s'y mettre à genoux. Il prit une large sangle en cuir, prit la cheville droite de N°1 et replia le bas de sa jambe sur l'arrière de sa cuisse. Il serra fortement la sangle pour qu'elle ne glisse pas. Il fit de même avec sa jambe gauche et fixa une barre d'écartement entre les jambes de l'esclave afin de bien apercevoir les plugs qui lui comblaient les trous. Puis il retira le tabouret. Le poids du corps de l'esclave tira sur sa tresse qui se tendit. N°1 poussa un cri étouffé son anneau buccal. Ses yeux furent exorbités sous la douleur. Elle respira fortement comme pour extirper la douleur venant de son crâne.

Sweet Pussy avala plusieurs fois sa salive en voyant N°1 pendue de la sorte.

« Je vais maintenant mettre la touche finale. » dit Maître Alexandre.

Il sortit quelques blisters d'une mallette. Il regarda d'un œil sadique N°1 en ôtant le blister qui protégeait l'aiguille.

Il pointa l'aiguille sur le téton droit de N°1 et transperça celui-ci d'un coup à l'horizontale. N°1 beugla. La seconde aiguille piqua le téton gauche. Maître Alexandre reprit deux blisters et piqua ensuite les deux tétons à la verticale.

Maître Alexandre se tourna vers Sweet Pussy.

« A toi maintenant! »

Maître Alexandre recommença la même opération que N°1. Les seins de Sweet Pussy furent bondagés sévèrement, deux plugs vinrent combler ses orifices. Sweet Pussy subissait sans rechigner le traitement de son Maître. Lorsqu'il apporta le tabouret et qu'elle dut s'agenouiller dessus, sa respiration s'accéléra d'un coup. Elle appréhendait de se retrouver pendue par les cheveux et de voir ses seins garnis d'aiguilles. Lorsque le Maître ôta le tabouret, Sweet Pussy cria au travers de son anneau. Et ce n'est pas les quatre aiguilles qui la firent taire. Maître Alexandre avait fini de garnir son « manège » et fit un signe de la main à Maîtresse Aurore de lever le rideau.

Maîtresse Aurore prit la parole et fit une présentation sommaire de la prochaine attraction. L'attente de l'assistance fut enfin récompensée à la vue du manège. Maître Alexandre était assis dans un fauteuil un cigare à la main. Il fit tourner le manège grâce la télécommande qu'il tenait à la main. Le manège tournait lentement et Maître Alexandre le stoppait pour regarder ses esclaves. L'assistance applaudissait à la vue de ce tourniquet d'un nouveau genre. A chaque arrêt les esclaves plissaient les yeux de douleur. Maître Alexandre présentait son produit en même temps qu'il utilisait sa télécommande. Il appuya sur un bouton et le tourniquet s'arrêta à N°1. Une seconde pression et un bras fit sortir N°1 du tourniquet. Maître Alexandre délia les jambes de N°1. Le câble qui maintenait en l'air N°1 descendit et l'esclave retrouva le plancher des vaches. Maître Alexandre fit de même avec Sweet Pussy et ses deux esclaves furent accompagnées par Maîtresse Aurore sur le devant de la scène. L'assistance applaudit de nouveau pour cette invention qui ne manquerait pas d'intéresser certains Maîtres.

« Nous allons conclure notre soirée par deux attractions qui ne manqueront pas de vous intéresser sur une idée de Maîtresse Tatiana ici présente. »

Sweet Pussy et N°1 virent alors une esclave pousser une chaise métallique sur laquelle était attachée une femme nue dont le visage était couvert d'un masque en cuir lui obstruant la vue et la bouche.

Les applaudissement de la salle déclenchèrent la panique de la femme ligotée qui essaya d'ôter ses liens mais ne vain.

« Je vous présente ma nouvelle acquisition. » dit Maîtresse Aurore en libérant le visage de sa nouvelle esclave.

« Bonjour Marjorie ».

« Lâchez-moi, libérez-moi. »

Maîtresse Aurore gifla Marjorie qui ne bougea plus d'un poil pour éviter une seconde gifle.

« Nous allons parer ma nouvelle petite chienne des attributs d'une esclave. »

Maîtresse Aurore claqua des doigts. Sweet Pussy et N°1 virent passer devant eux le pierceur attitré de leur Maîtresse. L'homme se positionna devant la chaise et posa sa mallette délicatement sur le sol. Il s'agenouilla, ouvrit sa mallette et en sortit ses outils. Le corps de Marjorie se tétanisa lorsqu'elle vit ce qu'on allait lui faire subir. Le pierceur posa sa pince trident sur le nez de Marjorie et pierçat sa narine droite, son septum, qui reçut de suite son anneau et sa narine gauche. Il fit passer la tige filetée et vissa les deux billes. Il opéra ensuite sur sa lèvre inférieure et termina par la langue en y fixant trois labrets pour son visage.

Maîtresse Aurore montra du doigt les tétons qui reçurent, eux, deux labrets en croix. Maîtresse fit un signe de la main et une esclave toute vêtue de latex rouge apparut et emmena la chaise et la nouvelle esclave hors de la scène.

Deux bancs furent amenés sur la scène. Maîtresse Aurore fit signe à ses deux esclaves, N°1 et Sweet Pussy se positionnèrent sur les bancs. N°1 et Sweet Pussy avait les fesses qui dépassaient des bancs. Maîtresse Aurore ôta les plugs qui comblaient encore le cul et la chatte des deux esclaves. Les deux orifices anaux restèrent ouverts. Maîtresse Aurore attacha solidement les poignets, chevilles, cuisses et poitrines grâce aux sangles des bancs. Maîtresse Aurore fit un signe. On entendit alors des aboiements et deux esclaves vêtues entièrement de latex de la tête aux pieds apparurent sur la scène tenant en laisse chacune un dogue allemand. Sweet Pussy cria de la détacher lorsqu'elle vit l'animal s'approcher d'elle car elle se doutait de ce qui aller se passer, elle se débattait dans les sangles pour éviter la saillie. Maîtresse Aurore fustigea du regard Sweet Pussy et leva sa cravache pour lui signifier que si elle continuait à geindre, elle tâterait de la cravache.

Maîtresse Tatiana dirigea la saillie. Elle présenta les deux mâles canins derrière le cul des esclaves. Les deux chiens posèrent leurs pattes avant sur le dos des esclaves et la Maîtresse, de sa main gantée, caressa le sexe du dogue pour qu'il ait de la vigueur. Dès que le dogue fut en forme, elle saisit son sexe et le présenta devant le cul de Sweet Pussy pour qu'il l'encule. N°1 sentit aussi la bite du chien passer par son anus. Les deux chiens étaient en train d'œuvrer lorsque Maîtresse Tatiana prit la parole.

« J'ai eu l'idée de cette attraction après avoir vu Sweet Pussy en vidéo sur Youtube se faire enculer par un chien dans un baraquement. »

Lorsque les deux chiens se décollèrent de leur femelle, les deux esclaves reconduisirent les chiens en coulisse. On entendit alors des bruits de sabot et les deux esclaves réapparurent avec deux ânes sur scène. Maîtresse Tatiana demanda alors aux esclaves de lécher les bites d'âne qui allaient sous peu les prendre par le cul. Sweet Pussy et N°1 léchèrent tant bien que mal la bite de l'équidé. Ensuite les équidés furent positionnés derrière les esclaves et Maîtresse Tatiana positionna le sexe des ânes, l'un après l'autre sur l'anus des deux esclaves. Les ânes déjà bien excités plantèrent leur bite dans le cul des esclaves qui grommelèrent comme des bêtes sous l'intromission. Après quelques minutes, l'assistance vit alors des giclées de sperme sortir du cul des deux esclaves et glisser sur leurs fesses pour atterrir sur le sol.

C'est à ce moment-là que les portes de la salle s'ouvrirent dans un grand fracas et que des hommes armés investirent les lieux. Un mouvement de panique se fit entendre et les Maîtres et Maîtresses essayèrent de s'enfuir mais chaque issue était gardée par un membre du GIGN armé jusqu'aux dents. Maître Alexandre prit par la main Maîtresse Aurore, mais c'était peine perdue car un homme cagoulé leur barra le passage et les mit en joug. Ils se rendirent et levèrent les bras. Un homme vêtu de noir entra par la double porte, stoppa sa marche, ôta ses lunettes fumées et dit en se frottant les mains :

« Inspecteur Chef Broussard de la police des mœurs. Messieurs, embarquez-moi tout ce beau monde! Libérez ces deux femmes, inspectez chaque recoin du château et libérez les esclaves. Je veux interroger chaque personne ici présente.»

Les Maîtres et Maîtresses furent embarqués, menottés, dans des fourgons. Les deux esclaves étaient toujours attachées. Leurs fesses dégoulinaient de sperme. Elles ne pouvaient voir ce qui se passait dans leur dos mais comprenaient qu'une descente de police se déroulait derrière elles. N°1 et Sweet Pussy furent libérées de leur banc et emmenées par une femme bien attentionnée dans une ambulance pour être examinées. Les hommes du GIGN escortaient des femmes nues ou vêtues de latex vers les ambulances.

Toutes les esclaves se retrouvèrent dans le même hôpital, réquisitionné pour l'opération. N°1, Sweet Pussy et Lola étaient dans la même chambre habillée d'une blouse bleue et de chaussons. Elles se trouvèrent ridicule dans ces vêtements. Elles furent parmi les premières à être interrogées. L'inspecteur Broussard se chargea de leur interrogatoire, dans une salle de l'hôpital. Sweet Pussy entra dans la salle et s'assis sur la chaise. En feuilletant son dossier, il fut surpris de voir que Sweet Pussy avait été déclarée décédée sept ans auparavant, pour N°1, c'était dix ans. Il s'excusa platement du manque de discernement de certains services de police et du manque de communication avec les services des autres pays.

Sweet Pussy narra alors comment elle était devenue l'esclave sexuelle de Maîtresse Aurore. L'inspecteur demanda alors à Sweet Pussy où pouvait être son mari car ses agents n'avaient retrouvé aucun homme dans le château. L'absence de question pour savoir où pouvait être son mari intrigua l'inspecteur qui lui posa donc la question fatidique :

« Vous ne me demandez pas où se trouve votre mari? »

Sweet Pussy fut bien embarrassée de répondre et baissa la tête, mais consentit à dire que son mari avait été transformé en Maître et qu'il lui avait infligé des sévices corporels.

L'inspecteur congédia Sweet Pussy et lui dit aussi qu'il avait retrouvé la trace de son fils et que si elle le souhaitait, elle pourrait se rendre à son domicile. Le commissaire vit une lueur dans les yeux de Sweet Pussy mais elle lui répondit d'un oui à peine audible en haussant les épaules...

Le lundi suivant, Sweet Pussy, Lola et N°1 étaient en train de discuter à bâtons rompus de leur avenir lorsque le commissaire entra dans la chambre. Celui-ci interrompit la conversation.

« Si vous le désirez, je peux vous emmener voir votre garçon. »

Sweet Pussy descendit de son lit.

« Je ne peux pas y aller habiller de la sorte! »

« Je vais voir avec le docteur ou une de ses infirmières. »

Il revint quelques minutes plus tard avec un sac qu'il tendit à Sweet Pussy. Elle en sortit un jogging défraîchi de couleur gris et une paire de basket en toile. Lorsqu'elle eut fini de s'habiller elle regarda N°1 et Lola qui éclatèrent de rire à la vue de leur comparse.

« Reine du shooping!! Tu es magnifique Sweet Pussy dirait Cristina Cordula. » Dit N°1 qui se souvenait de l'émission vue la veille à la télé.

Sweet Pussy fit une moue qui en disait long et regarda le commissaire d'un œil inspirant la pitié. Le commissaire écarta les bras pour lui signifier qu'il n'y pouvait rien et qu'il était désolé.

Le commissaire accompagna Sweet Pussy vers la sortie de l'hôpital et la fit monter à l'arrière de son véhicule. Sweet Pussy avait relevé la capuche de son jogging pour ne pas montrer sa coupe de cheveux. Ils roulèrent pendant plus d'une demi-heure. Le commissaire jetait de temps à autre un œil dans son rétroviseur intérieur et pouvait apercevoir Sweet Pussy qui regardait d'un oeil distrait le paysage défiler devant elle. Il se disait qu'elle se trouvait physiquement dans son véhicule mais que son esprit était ailleurs. Le véhicule pénétra dans un lotissement formé de petites maisons, toutes identiques. Le véhicule du commissaire stoppa devant le N°11 mais sur le trottoir d'en face. Lorsque Sweet Pussy vit son fils faisant marcher une petite fille, sa main prit la poignée de porte et commença à la tirer pour ouvrir celle-ci. Voir son fils et sa petite fille raviva son instinct maternel. Mais lorsqu'elle leva les yeux, elle vit son visage dans le rétroviseur intérieur. Elle ne vit qu'une soumise avec ses piercings sur le visage, sur le front et son crâne presque rasé. Elle baissa la tête et lâcha la poignée de porte.

« Roulez s'il vous plaît. » Dit Sweet Pussy en pleurant amèrement.

Le commissaire enclencha la première et démarra. Le fils de Sweet Pussy leva la tête et vit alors le véhicule avancer et vit alors un visage à moitié caché dans une capuche. Il regarda le véhicule s'éloigner et recommença à faire marcher son enfant.

Sweet Pussy retourna dans la chambre avec N°1 et Lola. C'est Sweet Pussy qui engagea la conversation :

« Que va-t-il advenir de nous lorsque les flics nous auront relâchées? Il va falloir que l'on retourne à notre vie d'avant, retrouver un travail. »

« Mais que crois-tu retrouver Sweet Pussy? »

« Je travaillais au service paie d'une entreprise, ce n'est pas le travail qui manque dans cette branche. »

« Oui c'est ça, tu vas te présenter avec tes piercings et ta tresse dans un beau tailleur! »

« Mais je peux mettre une perruque et les enlever les piercings. »

« Et pour tes gros seins, tu comptes aussi les enlever peut-être. Tu seras embauchée comme pute de l'entreprise avec des nibards pareils pas comme assistante de direction. Et de toute façon, lorsqu'on te demandera ce que tu as fait depuis ces sept dernières années, tu diras quoi? Euhh, j'étais soumise dans un château et je faisais la pute chaque jour. »

Sweet Pussy fit une moue de désapprobation, tout en réfléchissant sur ce que venait de dire N°1.

« Eh, vous n'oubliez pas quelqu'un là? » Dit Lola.

« Il n'y a pas cinquante solutions. Il faut retourner au manoir et voir ce qu'on peut y trouver. On est des soumises depuis X années et on ne sait faire que cela! Un des clubs aura peut-être besoin de nous.»

« Mais tu n'y penses pas, N°1, on ne va pas retourner là où les flics nous ont sorties!! » Dit Sweet Pussy.

« Ah oui et qu'est-ce que tu as à proposer de mieux! »

Après mûre réflexion, Sweet Pussy et Lola se rendirent à l'évidence, elles ne pouvaient que trouver une solution dans la débauche pour vivre car le monde les avait oubliées, elles n'avaient même plus d'identité. Elles appelèrent l'infirmière pour demander leur bulletin de sortie et des vêtements. Elles sortirent toutes les trois de l'hôpital avec pour seul vêtement, un jogging gris et des baskets blanches. Elles passèrent le portail d'entrée, regardèrent à gauche et à droite, se regardèrent en se demandant de quel côté il fallait aller. C'est à ce moment-là qu'un 4x4 noir stoppa devant elle dans un crissement de pneus. La vitre se baissa et le visage de Grégoire apparut.