Kidnapping et Soumission Tome 11 - Fin

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Fin de soumission?
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Récit n'a pas de balises

Partie 11 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/01/2017
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"Une épreuve particulière"

« J'ai mal dans la poitrine. » dit timidement Lola.

« Ca passera rapidement! » répondit sèchement Maîtresse Aurore.

« Et de toute façon, j'avais carte blanche de la part de ton Maître. Si tu veux te plaindre, adresse-toi à lui directement. Mais souviens-toi de la séance que vous avez eue toutes les trois lorsque Sweet Pussy lui avait dit qu'il était brutal....Tu veux encore y goûter? »

Le silence de Lola fut sa seule réponse.

« Je te laisse entre les mains de N°1 et Sweet Pussy qui vont prendre soin de toi. Elles vont aussi te coiffer suivant l'idée du Professeur Van Ribien. Tu seras belle comme ça!!! Reposez-vous car Maître Tumba arrive dans une semaine et c'est bientôt les 10 ans de notre petit club donc ce sera la fête pour nous mais aussi pour vous. Vous allez déguster et j'ai une surprise pour vous, elle est en train de se construire dehors et Maître Alexandre aussi en a une!!! »

Maîtresse Aurore sortit de la chambre et ferma la porte à double tour. Les trois esclaves se regardèrent et commencèrent à s'interroger sur la teneur de cette surprise. En y pensant, N°1 et Sweet Pussy avaient bien entendu des engins qui terrassaient, des martellements et autres bruits de chantier mais n'y connaissant rien en bâtiment, elles n'y prêtèrent guère attention.

Maître Tumba arriva le lundi suivant en fin d'après-midi. Après les salutations de rigueur, Maîtresse Aurore allait montrer à Maître Tumba les aménagements réalisés depuis sa dernière venue quand Maître Tumba lui posa une question :

« Vous ne me donnez pas de nouvelles de ma Lola, se porte-t-elle à merveille? »

« Oui comme un charme. Allons voir votre esclave, nous visiterons le chantier après. »

Ils se rendirent vers la chambre dans laquelle se trouvaient les trois esclaves dont Lola. Maître Tumba suivant Maîtresse Aurore et la regardait marcher dans ses boots à hauts talons qui galbaient merveilleusement ses jambes. Elle ouvrit la porte de la chambre et vit alors un spectacle auquel elle ne s'attendait pas : N°1 léchait la chatte de Lola, pendant que Sweet Pussy lui ramonait le cul de ses doigts gantés de latex. Sa main s'enfonçait complètement dans son fondement et ahanait de plaisir. Le plaisir des esclaves avait couvert le martèlement des talons de Maîtresse Aurore et l'ouverture de la porte. Toutes trois furent surprises.

« Vous ai-je autorisé à vous donner du plaisir? J'avais demandé de vous reposer car votre semaine sera dure! Vous allez payer cher votre incartade! »

Maître Tumba resta silencieux et attendit que Maîtresse Aurore en ait terminé avec ses reproches. Dès qu'il en eut l'occasion, il prit la parole.

« Alors Lola, en pleine forme, je vois! »

« Pas trop Maître. »

« Mais tu as de nouveaux nibards et une nouvelle coupe de cheveux, ma salope. Viens ici me les montrer plutôt que de te gouiner! »

Lola se leva et s'approcha de son Maître. Maître Tumba lui tâta les seins. Lola eut un mouvement de recul sous la douleur. Son Maître leva un doigt réprobateur. Lola se laissa faire et se crispa sous les caresses, loin d'être tendres, de son Maître. Maître Tumba de ses mains fit pivoter le corps de son esclave pour observer ses seins de profil. Ses tresses multicolores virevoltèrent dans l'air.

« Et les fesses tatouées en plus. Ca va me coûter combien tout cela Maîtresse Aurore? »

« 10000 pour les seins et 2000 pour les tatouages. J'avais carte blanche n'est-ce pas et avec ce que vous avez fait subir à mes deux esclaves, vous me deviez bien ça! »

« Oui Maîtresse Aurore, vous avez parfaitement raison. »

« Fini pour aujourd'hui les papouilles, demain vous aurez votre surprise bandes de petites merdes! »

Maîtresse Aurore prit les trois colliers qui pendaient à la tête de lit et les posa au cou des trois esclaves et rétrécit la longueur des chaînes.

Les trois esclaves furent enfermées dans leur chambre et discutèrent à bâton rompu de cette fameuse surprise. La longueur des chaînes les obligeait à rester allongées. Elles s'endormirent quelques minutes plus tard.

Le lendemain matin, c'est Maître Tumba qui vint les réveiller. Après les avoir libérer de leur collier et fait leur toilette, elles furent diriger vers le jardin du manoir. Maîtresse Aurore les attendait tout de noir vêtue la cravache à la main, une valise à ses pieds.

« En position d'inspection, les petites merdes! » Cria Maîtresse Aurore en indiquant de l'index l'endroit, ce qui surprit N°1 et Sweet Pussy qui croisèrent leur regard, inquiète du ton de l'ordre qu'elles venaient de recevoir.

Les trois esclaves se mirent en position, à genoux, jambes écartées, mains sur la nuque, seins projetés en avant. Elles firent face à un genre de bassin en béton venant d'être terminé il y a peu. Au fond de ce bassin se trouvait trois engins métalliques fixés sur un plancher bois ou plutôt trois palettes assemblées. Un câble fixé à un palonnier équipé de quatre chaînes fixées aux quatre coins du plancher courait jusqu'à la grue qui se trouvait à côté du bassin, conduite par Grégoire. Il fit tourner son treuil et le plancher s'éleva dans les airs. Grégoire déposa sa charge non loin des trois esclaves qui virent alors de plus près les pièces de métal. Sur une platine fixée à la palette se trouvait l'engin métallique. Les engins n'étaient pas tous à la même hauteur du plancher bois. Les trois esclaves virent les plugs qui se trouvaient juste au-dessus du pied fixé à la palette. Leur nom était inscrit sur le dossier de chaque engin.

« Debout et lubrifiez-moi ces plugs qui vont aller combler vos trous à bites. »

Les esclaves avancèrent chacune vers leur engin et lubrifièrent les plugs avec leur bouche. Maîtresse Aurore leur demanda alors de s'empaler sur les godes. Lorsque les trois esclaves furent pénétrées par les plugs, Maîtresse Aurore prit la tête de N°1 et la posa contre le demi-collier qui était soudé à un plat métallique sur lequel le dos de l'esclave venait s'appuyer, comme le dossier d'un fauteuil. Elle prit la seconde partie du collier qui vint entourer le cou de N°1. Maîtresse Aurore s'agenouilla et prit la cheville droite de N°1. Elle replia sa jambe et la posa dans un demi-collier fixé à un tube métallique articulé et réglable pour que le membre de l'esclave y soit parfaitement positionné, qu'elle referma de suite avec la seconde partie par une vis papillon. N°1 gémit lorsque sa Maîtresse replia son membre inférieur, pas à cause de la position de sa jambe mais parce que le poids de son corps appuyait sur son entrejambe. Elle allait se retrouver en hogtie en position verticale. Sweet Pussy regardait avec une légère inquiétude la position pas très confortable que le corps de N°1 allait avoir. Maîtresse Aurore fit de même avec sa jambe gauche. Elle prit ensuite les bras de N°1 et les attacha dans le dos sur le plat en acier dans des colliers. Pour éviter que le corps de l'esclave ne s'affaisse et qu'elle ne s'étrangle par le cou, un collier fut fixé juste sous la cage thoracique de N°1 pour bloquer son buste et le caler contre le dossier métallique. Maîtresse Aurore prit alors deux brins de corde de chanvre et entoura d'abord son sein droit et serra fortement le sein énorme qui petit à petit bleuit. Le sein gauche subit le même traitement. Maîtresse Aurore fouilla dans la valise et prit anneau buccal qu'elle fixa entre les dents de N°1.

« Puis-je vous aider Maîtresse Aurore. » Dit Maître Tumba qui se sentait inutile, regardant la Maîtresse user de son art sur son esclave.

« Oui Maître Tumba, faîtes de même avec votre esclave mais je vous conseille de ne pas réaliser de bondage sur ses seins, l'opération ne date que d'une semaine. »

« A vos ordres Maîtresse Aurore. » Dit en riant Maître Tumba.

Maîtresse Aurore prit le cou de Sweet Pussy et commença le même modus operandi que pour N°1. Sweet Pussy couina lorsque ses jambes furent repliées. Ses seins furent ligotés de la même façon que N°1 et sa bouche reçut un anneau buccal

Maîtresse Aurore recula de quelques pas et compara le harnachement de ses deux esclaves. Elle s'approcha de Sweet Pussy et tira une pièce en forme de U fixée sur le semblant d'assise de l'engin métallique. Deux lumières apparurent au niveau du sexe de l'esclave. Maîtresse Aurore toucha les lèvres piercées de la chatte de Sweet Pussy qui glissèrent dans les fentes que cachait son sexe. Les lèvres pendaient maintenant sous l'assise autour du pied de l'engin. Maîtresse Aurore prit alors dans sa valise des poids qu'elle accrocha équitablement aux deux lèvres. Les lèvres de Sweet Pussy furent garnies de dix poids de 100 grammes chacune. Le sexe de N°1 fut équipé de la même manière.

Maître Tumba attacha Lola et fixa son anneau buccal.

« Terminé, Maîtresse Aurore. »

« Ok, allons-y. Maîtresse Aurore fit tournoyer son index droit pour signifier au conducteur de la grue de lever sa charge.

Grégoire appuya sur sa commande et le plancher s'éleva doucement dans les airs. Une secousse fit crier les trois esclaves au travers de leur anneau. Cette secousse transférait le poids de leur corps sur le bassin et donc sur les deux plugs. Les poids attachés aux lèvres de N°1 et Sweet Pussy étaient aussi source de gémissement. Alors que Maîtresse Aurore fit signe à Maître Tumba de descendre dans le bassin, la grue fit une rotation pour positionner le plancher au-dessus du bassin en béton et, doucement, Grégoire fit descendre le plancher bois. Les trois esclaves bougèrent sur leur côté droit lors du mouvement de rotation de la grue, ce qui les fit hurler à nouveau. Lorsqu'il toucha le fond du bassin, Maître Tumba riait car il avait entendu de nouveau les gémissements des esclaves lorsque l'assemblage des palettes toucha la dalle béton. Les poids aux lèvres bougeaient dans tous les sens et les yeux de N°1 et de Sweet Pussy se plissaient de douleur. Les poids s'entrechoquaient et tintaient tels des cloches le jour d'un mariage. Maître Tumba décrocha les câbles fixé aux quatre coins du plancher et Grégoire le remonta. Maître Tumba, quant à lui, remonta du bassin par une petite échelle type piscine. Les trois esclaves ne voyaient qu'un mur gris avec une trappe circulaire sur le haut du mur. Elles entendirent alors un bip. C'était un bip de recul d'un engin ou véhicule. Le signalement se fit plus proche et un poids lourd arriva en marche arrière et s'arrêta à une vingtaine de mètre du bassin. Maîtresse Aurore et Maître Tumba allèrent à la rencontre du chauffeur qui était déjà descendu de son véhicule. Les esclaves n'entendirent que le bip de recul et avaient en vision une citerne sur laquelle était inscrit WAGREUX Assainissement. Le chauffeur du camion brancha un tuyau à l'arrière de la cuve et souleva un tampon pour y jeter son tuyau.

« Quelle quantité avez-vous dans votre cuve? » Demanda Maîtresse Aurore.

« 23000 litres Madame. Qu'allez-vous faire de ce produit car c'est la première fois qu'on me demande de ne pas le mettre en centre de traitement. » Il tira alors sur une manivelle et une pompe se mit en route et déversa le contenu de la citerne.

« C'est plus qu'il n'en faut. » Répondit Maîtresse Aurore quittant sans un regard l'ouvrier sans pour autant répondre à sa seconde question, suivie de près par Maître Tumba. L'ouvrier fit un mouvement de tête et leva les yeux au ciel.

Maîtresse Aurore et Maître Tumba furent à nouveau à la vue des trois esclaves. Maîtresse Aurore avait à la main un pupitre. Maître Tumba, quant à lui, photographiait la séance. Elle appuya sur un bouton. Les trois esclaves virent la trappe s'ouvrir et entendirent un son aigu. C'est alors qu'une mixture brune se déversa doucement dans le bassin. L'odeur qui atteignit les narines des esclaves ne laissa place à aucune ambiguïté. La mixture qui se déversait lentement telle de la lave n'était autre que de la merde venant des fosses septiques des environs. Des feuilles de papier toilette rose flottait à la surface des effluents. Les esclaves grommelèrent dans leur anneau des paroles inaudibles pour se soustraire à cette ignominie. Mais Maîtresse Aurore tourna un potentiomètre et le débit des effluents augmenta et se déversait dans le bassin.

Les genoux des esclaves furent la première partie du corps à être en contact avec la merde, puis les mains attachées dans leur dos purent toucher cette mixture ignoble. L'odeur nauséabonde leur piquait le nez. Elles comprirent alors pourquoi elles avaient un anneau buccal et pourquoi les engins ne se trouvaient pas tous à la même hauteur. Sweet Pussy étant la plus petite des trois, elle aurait été la première à avoir de la merde au niveau de la bouche. Elles redoublèrent leur plainte et leurs yeux suppliaient leur Maîtresse pour les soustraire à cette horreur. Des larmes coulaient sur leurs joues. Des mouches commencèrent à tournoyer autour du bassin, leur instinct bestial ayant trouvé de quoi se repaître. La merde atteignit bientôt leur bas ventre. Puis lentement, la mixture infecte monta jusqu'à leurs seins. Doucement la merde arriva à leur menton. Maîtresse Aurore appuya sur un bouton de son pupitre et le déversement de la merde cessa. Les centaines de mouches tournoyaient à la surface du bassin, elles venaient se poser sur la peau des esclaves et marchaient à la recherche de nourriture. Les mouches venaient sur leur visage, aux commissures de leurs lèvres. Après quelques minutes de « repos », Maîtresse Aurore appuya sur le bouton et les effluents se déversèrent à nouveau dans le bassin. Doucement, la mixture infecte arriva au niveau de la bouche de Sweet Pussy, de celle de N°1 et de Lola. Sweet Pussy essaya de tendre son visage et de relever sa bouche afin de ne pas connaître le goût abominable de la merde. Maîtresse Aurore tourna alors un potentiomètre de son pupitre. Sweet Pussy cria au travers de son anneau buccal. Elle comprit que l'engin sur lequel elle était empalée était équipé de plugs à électrostimulation. N°1 et Lola reçurent aussi de petites décharges. Leurs yeux suppliaient toujours leur Maîtresse mais c'est sans aucun remord qu'elle continua à augmenter l'intensité des impulsions et le déversement reprit. Les trois esclaves beuglaient et soufflaient fortement et respiraient par le nez alors que les effluents pénétraient dans leur bouche comme si leurs corps sombraient dans des sables mouvants. Le goût de la merde leur piquait la langue. Elles s'empêchaient de déglutir pour ne pas avaler cette fange. Les mouches, quant à elles, couraient maintenant sur le visage, puisqu'il n'y avait plus que cette partie de leur corps qui émergeait de la merde. Les impulsions parcouraient toujours le corps des trois esclaves. Maîtresse Aurore et Maître Tumba riaient aux éclats de les voir mugir au travers de la merde. Maîtresse Aurore tournait de gauche à droite et de droite à gauche pour augmenter ou diminuer la puissance des impulsions. Après quelques minutes, un bruit d'aspiration se fit entendre et le niveau des effluents diminua rapidement mais les impulsions traversaient toujours le corps des trois esclaves. Les trois esclaves crachèrent pour extraire la merde de leur bouche. Leur corps était couvert de merde et de quelques feuilles de papier toilette. La blancheur de la peau de leur visage tranchait avec la couleur brune sur le reste du corps. Maître Tumba tournait pour faire un maximum de clichés.

« J'espère que vous avez compris maintenant, bande de petite merde. Vous ne vous toucherez plus sans mon ordre. Quand je vous ordonne de vous reposer, c'est repos. Si je vous ordonne de vous gouiner, vous obéissez. C'est clair!!! » Dit Maîtresse Aurore.

Les trois esclaves répondirent par l'affirmative par un signe de tête. Maîtresse Aurore tourna de nouveau le potentiomètre pour leur faire comprendre, ce qui eut pour effet de faire gémir les esclaves. Même recouvertes de cette gangue infâme, leurs jambes se tétanisèrent sous les impulsions que leurs transmettaient les plugs. Une esclave vêtue d'une combinaison latex de couleur chocolat apparut et prit une lance pour nettoyer d'abord les parois du bassin. Une fois celles-ci propre, l'esclave descendit dans le bassin et aspergea les trois esclaves. L'eau froide nettoya leur corps. La merde et le papier dégoulinaient de leur peau. L'esclave visa en dernier leur bouche qui reçut directement l'eau. Les trois esclaves fermaient les yeux et essayaient de se soustraire au jet puissant de la lance à incendie mais l'esclave les nettoya méticuleusement. Elle attacha les élingues au câble de la grue et Grégoire remonta les trois esclaves du bassin. Maître Tumba détacha Lola tandis que Maîtresse Aurore s'occupa de Sweet Pussy et N°1.

De nouveaux gémissements se firent entendre lorsque les jambes des trois esclaves furent libérées de leur carcan. Elles eurent toutes les peines du monde à se lever et libérer leurs orifices des plugs car les muscles de leurs jambes ne les soutenaient plus beaucoup. Lorsqu'elles retrouvèrent totalement leurs forces, elles se désaccouplèrent des plugs et leur Maîtresse leur ordonna d'aller se laver et de se reposer quelques heures en vue de la fête de ce soir sans pour autant se gouiner sous peine de retourner dans la fosse.

Les esclaves se rendirent donc dans la salle d'eau et se reposèrent sous une bonne douche en se savonnant abondamment car elles se sentaient encore sales. Puis elles allèrent se reposer dans leur chambre.

« Et maintenant repos et j'ai bien dit repos jusqu'à ce soir 18h00. »

Les trois esclaves furent attachées à leur collier, forcées au repos.

A 18h00, Maîtresse Aurore entra dans la chambre et déposa trois uniformes de soubrette en latex et leur donna les consignes pour le dîner.

Fête d'anniversaire

« Ce soir, nous fêtons les 10 ans de notre club. Je ne veux donc aucune erreur de votre part. Vous avez déjà servi pendant un de nos dîner donc ce n'est pas difficile pour vous, Sweet Pussy et N°1. Pour toi Lola, ce sera une première, je te donnerai les consignes à suivre. Je dois encore m'occuper de toi car Maître Tumba a un rendez-vous et il ne peut donc être présent à notre petite sauterie. Ensuite, vous deux, en montrant du doigt Sweet Pussy et N°1, serez l'attraction de cette soirée! Allez vous laver et vous maquiller. »

Les trois esclaves allèrent sous la douche, puis se vêtirent de leur uniforme en latex. Bas, robes, jupons et chaussures parèrent leurs corps. Un collier en inox fut posé par Maîtresse Aurore en personne. Les trois esclaves suivirent Maîtresse Aurore. Elles pénétrèrent dans le couloir menant à la grande salle de réception et entendaient déjà une musique en fond sonore et des conversations inaudibles. Maîtresse Aurore ouvrit les portes de la salle, les Maîtres et Maîtresses l'applaudirent lorsqu'elle entra tenant en laisse ses trois esclaves. Maîtresse Aurore les mena chacune à leur table et se mirent en position d'inspection. Maîtresse Aurore monta sur l'estrade et prit un micro.

« Je vous souhaite la bienvenue pour le dixième anniversaire de notre club chers Maîtres et Maîtresses. Nous allons déguster un excellent dîner pendant lequel vous pourrez vous distraire avec nos soubrettes, ensuite vous assisterez à deux attractions particulières, une concoctée par Maître Alexandre, l'autre par moi-même. Je vous souhaite un bon appétit. »

Les convives applaudirent à nouveau, les soubrettes se levèrent et allèrent au bar prendre leur chariot respectif. Elles poussèrent leur chariot vers leur table. Les convives pouvaient voir les fesses et sexes des soubrettes onduler.

N°1 et Sweet Pussy avaient l'habitude de ces dîners et ne faisaient plus grande attention aux attouchements qu'elles subissaient. Doigt dans la chatte ou dans le cul étaient monnaie courante, poireau, asperge, concombre, aubergine ou courgette faisaient aussi partie des pénétrations anales ou vaginales courantes pendant ces dîners. Lola, elle, n'avait jamais connu ce genre de prestation qui l'a quelque peu déstabilisée. Lola s'offusquait des attouchements qu'elle subissait et avait parfois un regard réprobateur. Les convives ont vite informé Maîtresse Aurore des désagréments que cette esclave occasionnait et Maîtresse Aurore recadra Lola de suite afin de ne plus nuire à ses invités en lui pinçant les seins au travers de son habit de soubrette. Lola essaya tant bien que mal de soulager la douleur qui traversait ses seins en se mettant sur la pointe des pieds mais Maîtresse Aurore pressa si fortement que Lola hurla ce qui attira l'attention des convives de sa table qui applaudirent. N°1 et Sweet Pussy furent doigtées, un Maître demanda à Sweet Pussy de se coucher sur la table pour recevoir dans sa chatte et dans son cul un concombre. Les autres esclaves subirent le même genre d'attouchements. Lorsque le dîner fut terminé. Maîtresse Aurore fit un signe de la main et ses soumises allèrent vers l'estrade et se rendirent en coulisse.