Karine et Baptiste 05

Je suis dans la chambre avec Karine, pendant que Sylvain et les autres attendent dans le salon. On a une demi-heure pour prendre une douche et se changer. Je n'ai pas dit mot .

Je sors de la douche, elle finit de mettre ses jarretelles, elle me voit, se lève et tendrement m'embrasse, je lui rends son baiser.

« Je t'aime » me dit elle.

« Moi aussi, je t'aime » réponds je.

Elle s'agenouille, prend dans mon sexe dans sa bouche, le suce.

La douceur, la chaleur de ses lèvres qui coulissent, ses doigts qui caressent mes couilles, ses gorges profondes m'emportent au bord de l'extase, elle pousse un doigt dans mon petit trou et spontanément j'éjacule, elle se relève, me regarde, elle a du sperme sur le visage, elle prends ma tête et m'embrasse à pleine bouche, nos langues se mêlent, Karine répand du sperme dans ma bouche, je suis surpris, elle maintient ma tête et murmure à mon l'oreille.

«On partage tout maintenant, avales! » j'obtempère et déglutis.

« Lèches aussi ton sperme sur mon visage!», docile, je lèche, le goût n'est pas désagréable, légèrement poivré.

« C'est bien mon amour, tu es un mari merveilleux, j'ai vu aussi combien tu as apprécié que je glisse un doigt dans ton petit cul serré » dit elle en enfonçant son majeur dans ma bouche.

« Nettoies le maintenant! »

J'ai un mouvement de recule mais elle maintient toujours ma tête, fait aller et venir vicieusement son doigt dans ma bouche où confus j'enroule ma langue. Elle me regarde droit dans les yeux.

« Sylvain m'a dit que vu ton comportement pendant qu'il me baise, tu devais être un soumis , je ne l'ai pas cru, il m'a demandé de faire l'expérience et il a raison, tu t'y prêtes bien mon chéri, allez habilles toi on est attendu ».

Son attitude me laisse encore sans mot, aucune colère ne monte, je suis stoïque, je mets mon costume et m'interroge.

Tout c'est passé très vite, en vingt-quatre heure, notre vie de couple a pris une tournure improbable et mon esprit avec.

On ne sait jamais comment on réagirait dans une situation critique, émotionnellement, physiquement, psychologiquement, on pense avoir des certitudes et hop en une seconde envolées, la vie est imprévisible, ce mélange de domination, d'asservissement, d'humiliation, d'obéissance, de sexe, de perversion, de dépravation, nous fait découvrir différentes facettes de notre personnalité lorsque l'on y est confronté , fait apparaître en nous des désirs inattendus, inavoués, des plaisirs insoupçonnés, des envies perverses et des pulsions incontrôlées.

J'ai honte de ceux qui nous arrivent et en même temps, je prends un plaisir comme jamais à participer à ces débauches, Karine se révèle être une salope accomplie sans tabou, soumise au premier venu et à mon grand étonnement, j'aime la voir se faire, baiser, enculer, souiller, obéir et obliger comme une chienne à subir des humiliations.

J'ai des bouffées de chaleurs qui montent à ma tête, lorsque j'y pense, je transpire, je suis excité et fébrile à la fois, mes jambes flageolent, mon sexe se raidit ,mon anus palpite sous les battements de mon cœur, je serre les poings, je n'ai qu'une hâte, que cela continue.

Karine me sort de ma torpeur, elle est prête .

« Comment me trouves tu,? »

Elle est habillée, maquillée avec élégance, elle sourit, d'un sourire pervers qui en dit long.

« Tu es magnifique »

Lorsque nous arrivons dans le salon les compliments fusent sur sa beauté . Sylvain la fait tourner , sa robe se soulève, découvrant ses sous vêtements en dentelle, il en profite pour lui peloter les fesses.

« Waou, j'en connais qui vont apprécier » dit Sylvain en me faisant un clin d'œil, il me donne un téléphone et des clés de voiture.

« A partir de maintenant, tu es notre chauffeur, tu parles que lorsque je te le demande, tu filmes lorsque je te le demande, comportes toi en homme responsable et tout ira bien, profites , si on a besoin de toi on te fera signe, passes ce test, sinon.. tu sais ce qui t'attends!»

Lorsque j'ouvre la porte de la voiture, une casquette est sur le siège, je comprends qu'elle m'est destinée, je la pose sur ma tête et entends le raclement de gorge de Sylvain, qui me fait comprendre que leur porte ne vas pas s'ouvrir toute seule, je l'ouvre, Karine et lui prennent place à l'arrière de cette luxueuse BMW.

Je me place derrière le volant, Sylvain me donne une adresse préenregistrée dans le gps de l'ordinateur de bord .

Je n'ai jamais conduit de pareille voiture, elle est très large, il y a beaucoup de place à l'intérieur, tout est automatisé , les fauteuils sont chauffants avec options massage, il y a un mini bar au milieu, des écrans tactiles.

Pendant le trajet où pour une fois il ne se passe rien en la présence de Sylvain, Karine interrompt ce silence et dit à haute voix .

« Tu avais raison Sylvain, mon mari à des prédispositions comme les miennes à être soumis, comme tu l'avais présagé, il a abondamment éjaculé de plaisir lorsque je lui ai doigté son petit trou et comme tu m'as l'as demandé , je lui est fait lécher, avaler son sperme et sucer le doigt qui sortait de son cul . »

Je me sent défaillir à ses mots, je fais tout mon possible pour rester concentré sur la route, je jette un coup d'oeil dans le rétroviseur, Sylvain capte mon regard et a un rictus pervers, mon sexe durcit.

Nous arrivons , je leur ouvre la porte. Sylvain me demande de garer la voiture et de les rejoindre dans le restaurant.

L'établissement est chic, le garçon d'entrée me fait traverser une grande salle et m'emmène à une grande table d'une dizaine de personnes, je vois Sylvain et reconnais le directeur du club, karine est la seule femme, elle est assise de l'autre côté de la table entre deux hommes bedonnants aux physiques ingrats les cheveux grisonnants d'une soixantaine d'années , elle à une coupe de champagne à la main. Sylvain me fait signe de venir s'asseoir à côté de lui. Pendant le repas, ils parlent affaires, je comprends que se sont des investisseurs. J'observe ma femme qui continue de boire et de parler à ses voisins qui rigolent à gorge déployées . A un moment elle a l'air mal à l'aise et fait signe à Sylvain qui l'ignore complètement. Je laisse tomber ma serviette pour en avoir le cœur net et regarde sous la table, je vois que chacun des hommes ont une main sur ses cuisses , Karine pour l'instant ne cède pas sous leurs pressions, mais pour combien de temps .

Lorsque je me relève, Sylvain me demande de me tenir prêt à filmer que les choses vont s'accélérer. Il se lève tape dans son verre avec son couteau pour annoncer un toast. Tout le monde fait silence, je remarque, que nous sommes maintenant les seuls dans le restaurant et que les serveurs sont autour de la table, pour subvenir à la moindre de nos demandes, il me fait signe, je filme.

« Messieurs avant de continuer notre journée et avant que l'on nous emmène les digestifs, je veux vous présenter Karine, lèves toi Karine fait voir comme tu es belle, elle est belle n'est ce pas , en plus de sa beauté Karine à plein d'autres talents ,Monsieur le directeur et moi même, avons donc décidé de mettre cette reine de beauté à votre disposition, Karine est une femme mariée qui aime être traitée comme une salope.»

Je filme ma femme qui se décompose au fur et à mesure des paroles de Sylvain

qui jubile de satisfaction.

« Enlèves ta robe! »

Ma femme s'exécute lentement ,Sylvain continue son jeu d'humiliation.

« N'est pas qu'elle est belle, penches toi, montre ta croupe!"

karine se penche , les commentaires salaces fusent.

Un homme derrière lui écarte les fesses faisant apparaître son anus et sa chatte qui suinte.

Sylvain regarde les serveurs , demande les digestifs me dit de m'approcher de Karine pour mieux filmer ce qui va se passer.

Les hommes se déplacent, certains ont déjà sorti leurs bites et se masturbent, je suis étonné que cela ce passe ouvertement dans un restaurant mais les serveurs continuent de travailler comme si de rien n'était, ou peu être voient ils souvent ce genres de scènes et ils sont habitués.

Karine est maintenant assise sur les tables les jambes écartées, à tour de rôle ils défilent pour lui lécher la chatte, son cul, malaxer ses seins, je veux des plans sales, vulgaires, je m'approche au maximum , sa croupe est luisant de mouille, de salive, des doigts s'infiltrent dans sa chatte, dans son trou du cul, on écarte les tables pour que les hommes accèdent à sa bouche, je me déplace et filme son visage en gros plan où les bites affluent , Karine ouvre la bouche, une bite large au gland violet turgescent disparaît dans sa gorge, l'homme baise sa bouche , je bande à mort, c'est un de ses voisins de table, il a déboutonné sa chemise, son gros ventre pendouille, il est bourru, poilu, autoritaire avec deux grosses couilles, il sort sa bite de la bouche de Karine et lui crache dedans, l'insulte, un autre enfourne la bouche de ma femme, lui se retrouve derrière elle, les autres lui laisse la place, il doit avoir un statut plus important, je le suis avec la caméra, il écarte avec forces les fesses de Karine, ouvrant largement sa chatte et son anus, crache sur celui ci et l'encule sans préambule , je filme et n'en perds pas une miette, Karine pousse un gémissement stopper par la bite qu'elle suce, l'homme agrippe ses hanches et lui pistonne le cul comme un marteau piqueur.