Je Partage Ma Femme - Episode 05

Celle-ci se mit alors à quatre pattes sur le sol et je m'empressais de me placer derrière elle pour la pénétrer aussitôt. Je lui demandais alors de s'allonger complètement sur le ventre, tout en restant en elle et à genou, une jambe de chaque côté de son corps.

J'étais tellement excité, que je redoutais de jouir en quelques secondes et de briser cette magie. C'est pourquoi, je lui tins fermement les hanches afin de lui faire comprendre de ne pas bouger.

Je restais ainsi dans cette position, immobile, une bonne trentaine de secondes, en lui massant délicatement le dos. Je sentais les petits spasmes de son vagin sur mon sexe qui trahissaient son impatience et son excitation.

C'est alors que je me retirais d'un coup pour venir écarter ses fesses et la lécher goulûment en partant de l'anus jusqu'à son sexe et de son sexe à l'anus une bonne dizaine de fois. J'avais envie d'en faire ma chienne et de me comporter comme un animal qui renifle et lèche sa femelle avant de s'accoupler.

J'introduisit alors un, puis deux, puis trois doigts dans son vagin qui dégoulinait de cyprine, tout en serrant son clito avec mon pouce. Elle se tortillait de plaisir et venait vers ma main pour essayer de s'empaler plus profondément autour de mes doigts. Je décidais alors de lui introduire un quatrième doigt. Celui-ci rentra sans problème et ma main faisait désormais office d'une pince, quatre doigts à l'intérieur et mon pouce qui serrait son petit bouton.

Lorsque j'eu la sensation que le moment était venu, je me retirais d'un coup pour remplacer mes doigts par mon sexe. Je commençais à la pilonner avec la même fougue que Marc avec ma femme et je finis très rapidement par me décharger en elle.

Cela faisait plus d'une semaine que ne n'avais pas joui et j'eu l'impression que mon éjaculation fût abondante. Nous étions tous les deux à bout de souffle et nous restâmes collés l'un à l'autre pendant un petit moment. Puis, je me décidais à lui demander, en lui chuchotant l'oreille, si elle voulait que son mari la nettoie.

Elle acquiesçât de la tête et me murmura « Dis-le lui toi ». Je me retournais alors vers Stéphane et lui dit : « Stéphane, ta femme veut que tu la nettoies, approches-toi et allonges-toi sur le dos s'il te plaît. ». C'est ce qu'il fit sans broncher. Chrystelle vint alors s'assoir sur sa bouche, comme Carla quelques minutes auparavant. Ils ne l'avaient jamais fait, mais Stéphane y mit tout son cœur et il la suça et la lécha pendant de longues minutes.

Il était tellement excité qu'il jouit même dans sa cage et nous fûmes tous surpris par l'abondance de son éjaculation. Chrystelle nous confirmât en riant que c'était toujours comme ça après six semaines d'abstinence totale et qu'elle aimait beaucoup. Elle décida alors de le libérer. Pour cela, elle se servit d'une petite clé qui pendait au bout du collier qu'elle portait.

Une fois la cage ôtée, elle commençât par le sucer puis se mit ensuit à recueillir la semence par de petites aspirations çà et là. Dès qu'il ne resta plus une seule goûte, elle s'approcha de moi et m'embrassât à pleine bouche pour partager avec moi le précieux nectar produit par son homme. Dès que ce long baisé pris fin, elle me dit « Merci, c'était vraiment super ».

Le goût du sperme de Stéphane était bien différent de celui de Marc. Peut-être, me dis-je, parce qu'il n'était pas mélangé à la cyprine de sa femme...mais, il était également délicieux...

Nous restâmes ainsi, nus, les uns contre les autres pendant quelques minutes puis je me levais et proposait d'ouvrir une bonne bouteille de champagne pour fêter l'évènement. Nous étions tous heureux, heureux d'avoir franchi une nouvelle étape, heureux de nous être tous donné du plaisir. Nous parlâmes librement jusqu'au petit matin de nos ressentis respectifs. Stéphane se réjouissait d'avoir finalement pu voir sa femme dans les bras d'un autre homme et Chrystelle s'étonna à nouveau d'avoir aimé cela, malgré ses réticences à ce sujet.

Nous finîmes tous par aller nous coucher et ils partirent chez eux vers neuf heures, après un bon petit déjeuner. Nous nous promîmes de nous revoir bientôt.