Je Partage Ma Femme - Episode 05

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Mariage candauliste – Le choix des témoins.
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Partie 5 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/12/2023
Créé 11/07/2022
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Nous avons consacré des dizaines d'heures à essayer de trouver notre couple de témoins, à envoyer des centaines de messages et à recevoir tout autant de réponses. Je comprends à présent la difficulté à trouver un amant pour sa femme sur internet, dont parlent de nombreux candaulistes...

Ce n'est donc qu'au bout de deux ou trois semaines de recherches que nous avons finalement sélectionné trois couples qui ont répondu à notre annonce. Ce qui les distinguait des autres, c'était d'abord le fait que les épouses privilégiaient toutes des relations avec des amants réguliers et que - pour toutes - ces relations avaient cessé depuis peu, pour des motifs variés.

C'était donc principalement pour ce motif qu'ils étaient à la recherche d'un nouveau partenaire. Pour l'un des deux couples, l'amant était parti à l'étranger pour des motifs professionnels, pour un autre, l'amant, lui-même marié, avait décidé d'arrêter car cela devenait de plus en plus compliqué de cacher sa relation à sa femme et pour le dernier couple, le complice commençait à éprouver des sentiments pour la femme si bien qu'ils ont décidé de tout arrêter.

Ce qui nous a aussi plu c'est qu'ils nous aient tous répondu, bien que le motif pour lequel nous les avions contactés ne correspondait pas à ce qu'ils espéraient initialement. Tous nous ont dit avoir trouvé notre démarche particulièrement originale et excitante. Cependant, après avoir longuement échangé sur WhatsApp avec chacun d'eux, aussi bien par écrit qu'en visio, nous avons finalement sélectionné Stéphane et Chrystelle.

Chrystelle avait 44 ans et Stéphane en avait 49 et tous les deux vivaient en région parisienne. Ils nous ont plu pour plusieurs motifs. Tout d'abord, par leur façon d'écrire et de parler de leur histoire et puis, il faut le dire, à cause de leurs physiques respectifs sur lesquels aussi bien Marc et que Carla et moi-même sommes tombés d'accord.

Stéphane était un bel homme, grisonnant, plutôt grand (1m78) et sportif. Chrystelle, quant à elle, une belle brune aux cheveux longs, aux yeux verts, d'environ 1m65. Nous avons donc convenu de nous rencontrer un jour, dans le même bistrot-bar où j'avais fait la connaissance de Marc.

Nous étions effectivement, tous les trois, vraiment impatients de les voir « en vrai ». Et, comme nous l'espérions, cela s'est vraiment très bien passé. Le courant est en effet tout de suite passé entre nous et nous avons passé deux ou trois heures à parler de tout et de rien, tant et si bien que Marc leur proposa de finir la soirée chez lui pour leur montrer, comme il dit, comment nous vivions à trois. Il rajouta « Bon, avant que vous me disiez si vous êtes d'accord ou non, et pour ne pas vous mettre en embarras, sachez que nous vivons nus. » Chrystelle et Stéphane se regardèrent et Chrystelle réagit en rigolant, en disant qu'il n'y avait pas de problème et qu'elle trouvait ça plutôt cool et que cela tombait bien car ils avaient envie tous les deux d'une petite soirée « pimentée ».

Nous arrivâmes chez « nous » une petite vingtaine de minutes plus tard. Marc me demanda alors d'aller me déshabiller avant de nous préparer un petit apéro.

Je m'exécutai et revins dix minutes plus tard, après avoir pris une bonne douche. La petite appréhension de me retrouver le premier à poil disparu assez rapidement car Chrystelle et Stéphane me mirent tout de suite à l'aise, en me disant, sur un ton enjoué, que j'étais parfait dans cette tenue.

Stéphane rajouta qu'il ne pouvait espérer mieux. « Tu sais, juste pour info, je suis très excité rien qu'à l'idée que ma femme puisse voir le corps nu d'un autre homme, donc, franchement, c'est un super début de soirée, crois-moi!! ».

Tout le monde se mit à rire et Clara et Marc s'éclipsèrent eux aussi pour aller se doucher et se déshabiller à leur tour. J'en profitais pour servir à boire à nos deux invités et pour préparer quelques toasts. Ma femme et Marc nous rejoignirent quelques minutes plus tard. Je sentis Carla un peu intimidée, car elle arriva dans la pièce derrière Marc, en lui tenant la main, question de cacher probablement un peu sa nudité.

Puis, comme d'habitude, ils s'installèrent sur le canapé. Marc était tout à fait décontracté. Quant à Carla, elle se plaça de côté en repliant ses jambes sur le canapé et en se serrant contre Marc pour cacher sa poitrine. Marc proposa alors à nos amis s'ils avaient envie de se rafraîchir, ce qu'ils acceptèrent volontiers. « Nous vous avons laissé deux peignoirs dans la salle de bain, faîtes comme chez vous » leur dit-il.

Nous avons donc continué la soirée autour de quelques verres et, l'alcool aidant, nous avons tous commencé à échanger plus librement sur notre mode de vie et nos ressentis respectifs. C'est Chrystelle qui « ouvrit le bal » en rentrant plus dans les détails, en nous expliquant comment ils avaient franchi le pas.

Elle nous dit que Stéphane a toujours fantasmé sur le fait de l'offrir à d'autres hommes. Il le lui avait toujours tu, jusqu'au jour où elle lui avoua, il y a cinq ans, avoir couché avec un collègue de travail à la suite d'une soirée organisée par leur boîte. Elle nous dit qu'elle avait beaucoup bu ce soir-là et qu'elle s'était laissée séduire par cet homme pour lequel elle avait toujours eu une certaine attirance.

Elle ne rentrât chez elle qu'au petit matin et, en pleurs et pleine de remords, elle avoua toute suite la chose à son mari. Ils en parlèrent pendant des heures et Stéphane trouva les mots pour lui parler de son penchant candauliste.

Cela ne fût pas très facile à digérer pour Chrystelle, car elle ne concevait pas à l'époque que son mari puisse être excité à l'idée même qu'elle couche avec d'autres hommes. Elle le prit pour un manque d'amour. Il fallut de longues semaines et d'interminables discussions avant qu'elle ne commence à changer de point de vue.

Stéphane finit même par la convaincre de recontacter son ex-collègue, un certain François, avec qui elle commença une longue relation et auquel elle prit le parti de dire, dès le départ, que Stéphane était consentant. Stéphane n'avait jamais vu sa femme baiser avec François, car celle-ci n'avait jamais voulu. En revanche, dès son retour à la maison, elle lui racontait tout, et ce dans les moindres détails.

Par ailleurs, de nature très jalouse et craignant par-dessus-tout que son mari puisse être tenté, à son tour, par cette liberté sexuelle, elle nous expliqua qu'elle lui avait imposé le port d'une cage de chasteté en permanence. Elle ne la lui ôtait que lorsqu'elle avait envie de lui.

Chrystelle passait un ou deux jours par semaine chez son amant. En rentrant chez elle, elle redevenait une épouse aimante et attentionnée. Elle se découvrit cependant, petit à petit, une nature de femme maîtresse et dominatrice et fini par éprouver beaucoup de plaisir à imposer à Stéphane une certaine abstinence sexuelle, qui, dit-elle, pouvait s'étendre parfois sur plusieurs semaines.

Stéphane, pour qui cela fut très dur à endurer au tout début, surtout en écoutant sa femme lui fournir force de détails sur sa nouvelle vie sexuelle, finit par y éprouver un véritable plaisir cérébral.

Malheureusement, cette relation s'était interrompue il y a quelques mois. C'est Chrystelle qui y mit fin, car son amant commençait à éprouver des sentiments pour elle et, après en avoir longuement parlé avec Stéphane, elle décida, à contrecœur, de mettre fin à cette histoire.

« Cela nous a beaucoup affecté cette « rupture », aussi bien Stéphane que moi-même. » dit-elle. « Cela faisait plus d'un an que nous vivions cette aventure. C'était le premier homme avec lequel Stéphane me partageait. C'est avec lui que nous sommes devenus un vrai couple candauliste. Il correspondait parfaitement à ce que Stéphane et moi-même voulions, à savoir un amant régulier avec lequel j'aurais pu construire une véritable complicité sexuelle. Je suis un peu comme toi, Clara, je ne voulais pas de partenaires multiples. Nous voulions tous les deux d'une relation stable, un homme avec lequel je puisse me sentir à l'aise, qui puisse me prendre « à cru », donc sans protection car c'était le plus gros fantasme de Stéphane et, je l'avoue, c'était également le mien... ».

Alors, c'est vrai, depuis que c'est fini avec François, c'est comme s'il manquait à notre couple une certaine « énergie vitale ». Nous sommes, en quelque sorte, en train de faire notre deuil, chacun à notre façon... Ce qui est triste, c'est que c'est vraiment compliqué de trouver le bon partenaire. François, nous ne le l'avons pas trouvé sur internet, je le connaissais, c'était un ancien collègue. Les hommes qui ont répondu à nos annonces sur différents sites ne correspondent absolument pas à nos critères. La plupart du temps, ce sont des gars qui veulent tirer leur coup le temps d'une soirée sans lendemains. C'est pour cela, que nous avons répondu à votre annonce. En fait, nous nous sommes dit qu'à défaut de trouver l'amant idéal, cela nous aurait fait du bien de partager avec d'autres couples qui nous ressemblaient.

Et puis, votre proposition d'être les témoins de votre mariage candau, nous avons trouvé ça super excitant et plutôt original. En fait, Stéphane aurait adoré que je fasse la même chose avec François. Et nous voilà avec vous ce soir!... C'est dingue!!».

J'intervins alors en disant à Chrystelle que nous étions désolés pour ce qui leur arrivaient à tous les deux mais que nous étions très heureux en même temps que cela nous avait donné l'occasion de faire leur connaissance. « Pour nous aussi » - dis-je -- « le fait d'échanger sans filtres avec un autre couple candauliste, c'est comme une sorte de thérapie, vous savez. ».

Clara résuma alors notre histoire à tous les trois et lui raconta que notre relation, à ses débuts, avait commencé comme la leur, à savoir qu'elle fréquentait Marc sans que je sois présent, car ce dernier pensait qu'elle me trompait avec lui. Elle lui dit qu'elle comprenait tout à fait qu'elle ait préféré fréquenter son amant sans la présence de son mari. « Je pensais sincèrement que c'était très bien comme ça, jusqu'au jour où j'ai avoué à Marc que mon mari était candauliste et qu'il était au courant de notre relation. Chrystelle, tu sais, depuis que Serge et Marc se sont finalement connus et que mon mari assiste très souvent à nos accouplements, c'est, comment te dire, la panacée. J'adore qu'il me prépare, qu'il nous prépare tous les deux, avant la saillie, qu'il m'embrasse et me caresse pendant que je me fais prendre par Marc.

A présent, ce qui m'excite, ce n'est pas seulement le fait d'appartenir à deux hommes à la fois, mais également le regard de mon mari, ses attentions, son obsession de me voir prendre du plaisir et d'être attentif à ma jouissance sexuelle. Et puis, même si ce n'est peut-être pas tout à fait la même chose, j'ai l'impression de partager un peu le même désir de domination sur Serge que toi avec Stéphane.

Pour moi, c'était le besoin qu'il reconnaisse Marc comme le mâle Alpha et qu'il se soumette à lui, pour toi c'est peut-être l'abstinence sexuelle de ton homme par le port d'une cage de chasteté.

Cela dit, je n'ai jamais pensé à en faire porter une à Serge parce qu'il ne jouit que si on l'autorise et jamais (ou très rarement) en moi lorsque nous sommes avec Marc.

En revanche, vu que nous parlons de cela, serais-tu d'accord pour que Stéphane nous fasse voir sa cage? Je t'avoue que ne n'en ai jamais vu et je suis très curieuse!».

Chrystelle se tourna alors sans hésiter vers Stéphane en lui disant : « Eh bien, chéri, vu que nos hôtes se sont plus que dévoilés ce soir, je pense qu'il va falloir à présent leur rendre la pareille et leur faire voir ce quoi ressemble la jolie petite cage que tu portes... ».

L'ambiance commençait à devenir torride. Marc et moi étions en érection depuis un petit moment déjà et j'avais deviné qu'il avait placé sa main droite sous les fesses de Carla et qu'il avait commencé à la doigter, comme il avait l'habitude de le faire.

Chrystelle demanda alors à son mari de se déshabiller entièrement devant nous. Il s'exécuta sans protester en déposant le peignoir sur l'une des chaises du salon et s'approcha ensuite de Chrystelle qui s'empara aussitôt de ses testicules en les serrant fort dans sa main.

Le pénis quant à lui, était emprisonné dans la petite cage métallique qui naissait à partir d'un anneau assez épais qui venait enserrer la base des testicules, comme mon anneau pelvien.

Elle dit alors : « J'ai mis un certain temps à trouver la bonne cage. Il en a porté quelques-unes avant celles-ci, mais cela a été compliqué de trouver celle qui lui convenait le mieux, à savoir celle qu'il pouvait porter sans trop de problème pendant plusieurs semaines sans qu'elle ne l'irrite. J'ai fini par lui en faire faire une pratiquement sur mesure.

Alors, comme vous voyez, il n'y a que son pénis qui est « encagé ». J'ai voulu que ses testicules restent libres. J'adore les prendre et les serrer fort dans ma main, mais aussi les caresser pour le faire jouir, si l'on peut appeler cela jouissance, car il n'arrive pas à avoir une érection complète, mais seulement une sorte de pré-érection.

Lorsque je revenais de chez François, je lui racontais tout dans les moindres détails, en le serrant et en lui caressant les testicules. Il finissait toujours par jouir dans ma main. Je ne lui permettais d'éjaculer en moi qu'une fois par mois et il en est toujours ainsi, même maintenant. D'ailleurs, cela fait déjà plus de six semaines que nous n'avons pas eu de rapports sexuels. J'ai un peu honte de vous le dire, mais j'y ai pris goût moi aussi. En fait, cela me met sexuellement « sous tension » et j'ai l'impression que lorsque je lui permets de me pénétrer, cela décuple ma jouissance. ».

Entre temps, pour mieux voir, Clara s'était assise sur le canapé, les jambes légèrement écartées, de sorte que l'on voyait désormais la main droite de Marc au niveau de son sexe et que ce dernier la doigtait copieusement. Très excitée, elle semblait avoir laissé au placard sa pudeur du début de soirée. Pour ma part, je m'étais placé à la droite de Carla et j'avais moi-aussi commencé à lui caresser les épaules et le cou.

C'est alors que Chrystelle dit : « Je vous l'avoue, je suis super excitée et je pense que Stéphane et moi aimerions beaucoup vous voir copuler. Qu'en pensez-vous? ».

Marc sortit alors de son silence en disant : « Chrystelle, c'est avec grand plaisir. Je t'avoue moi aussi que c'est un peu pour ça que je vous ai proposé de venir chez moi. ». Il se tourna alors vers moi en me disant sur un ton directif : « Serge, tu peux commencer à nous préparer pour la saillie de ta femme! ».

Je vins alors me placer à genou devant lui, entre ses cuisses écartées. Je commençais alors à le sucer voluptueusement sans jamais m'aider de mes mains car il n'aimait pas trop que je le touche. Je veillais à enfoncer son pénis le plus profond possible dans ma gorge, ce qu'il appréciait, car Carla n'y parvenait pas.

Après quelques minutes de fellation, il me demanda d'arrêter pour préparer Carla qui se mit immédiatement à quatre pattes sur le canapé. Je commençais alors à passer ma langue de son sexe à l'anus en maintenant deux doigts dans son vagin. Cette phase de préparation durât, comme d'habitude, à peu près cinq minutes. Dès que j'estimais que ma « femelle » fût suffisamment lubrifiée et excitée, je me levais en disant à Marc qu'elle était prête.

Il se leva lui aussi et vint se placer derrière elle. Il s'enfonçât en elle sans problème, d'un coup et brutalement. Entre temps, je m'étais placé devant Carla et nous nous embrassâmes avec passion pendant que Marc la pilonnait de toute ses forces.

En général, il était beaucoup plus doux et lent. Il aimait faire durer le plaisir. Mais là, il semblait que la présence de nos deux spectateurs avait déclenché en lui son vrai côté Alpha.

Carla semblait vraiment apprécier. Il en était de même pour moi. Le fait de voir ma femme ainsi exhibée et se faisant prendre devant deux étrangers comme une chienne en chaleur et sans aucune honte ni retenue, m'excitât au plus haut point. Je pris son visage entre mes mains et plongeais mes yeux dans les siens. Elle débordait de plaisir, sa bouche était légèrement entrouverte et elle haletait. Mon cerveau explosait. Je continuais à la pénétrer du regard, car j'adorais admirer ce visage exprimer ce plaisir intense, ce plaisir qui monte progressivement, le plaisir d'une femme qui attend avec impatience que la semence de son mâle se répande en elle.

Entre temps, Chrystelle s'était débarrassée de son peignoir. Elle avait un très beau corps, des seins lourds mais fermes, des hanches bien marquées, de jolies fesses et une petite toison taillée en triangle qui dominait un sexe parfaitement épilé. Stéphane s'était assis à ses côtés et elle avait commencé à se masturber avec sa main gauche pendant qu'elle le caressait avec sa main droite.

Marc continuât son pilonnage pendant cinq bonnes minutes avant de se raidir et de jouir. Puis il se pencha et posa délicatement son torse sur le dos de Carla, tout en caressant et malaxant ses seins et en déposant de multiples petits baisés sur ses omoplates et sur le reste du dos.

Il resta ainsi en elle pendant une dizaine de secondes, après quoi il se retira et vint se rassoir sur le canapé. Carla garda quant à elle la même position.

Je vins ensuite me placer devant Marc et me mis à le sucer pour le nettoyer. C'était notre rituel, une façon de le remercier d'avoir inséminé ma femme et de lui avoir donné du plaisir.

Une fois terminé avec lui, tout en restant à genou, je me retournai de sorte à venir poser ma tête sur le bord du canapé. C'est alors que Carla, vint poser son sexe contre ma bouche, en faisant face à Chrystelle et Stéphane. La quantité abondante de sperme de Marc, mélangée à sa cyprine, était pour moi un véritable « dessert ». J'adorais le goût sucré-salé de cette crème onctueuse, légèrement acidulée et m'appliquais à en recueillir jusqu'à la dernière goûte en aspirant et léchant tous les recoins de son sexe, en veillant à essayer de la faire jouir par la même occasion.

Ce n'est qu'une fois avoir attendu la fin des petits spasmes de ma femme que je me retirais et restais assis par terre, le dos contre le canapé. Après m'avoir embrassé, elle retourna se lover contre son chéri.

C'était pour moi le plus beau moment, celui que j'attendais toujours avec impatience, l'acte par lequel je signifiais ma soumission au mâle Alpha, en recueillant la semence avec laquelle il avait imprégné ma femme et l'avait faite sienne. Et à présent, c'était devant deux témoins.

J'étais fier d'avoir surmonté mes craintes d'être jugé, toutes mes pudeurs, heureux de révéler notre intimité, sans hontes aucunes, à d'autres personnes qui -- quelques heures auparavant -- étaient de parfaits inconnus. Et j'étais persuadé que Carla éprouvait désormais, elle aussi, la même chose.

Que de chemin parcouru, me dis-je, en particulier pour ma femme qui, il y a encore un peu plus de deux ans, n'aurait jamais imaginé ne serait-ce que de faire du topless sur une plage...

Chrystelle, quant à elle, continuait à se masturber et semblait avoir abandonné Stéphane à son sort depuis un moment déjà. La vision de cette femme en train de se donner du plaisir devant nous, nous fascina tous les trois. Nous la regardions faire sans rien dire et notre regard se porta également sur Stéphane dont le sexe gorgé de sang semblait extrêmement à l'étroit dans sa prison métallique.

C'est alors que Carla rompit le silence et s'adressât à elle et en lui disant : « Chrystelle, veux-tu t'accoupler avec Serge? ». Chrystelle, tout en continuant à se toucher, se tournât vers son mari. Il ne répondit pas, mais son regard en dit long concernant son consentement. Je tournais à mon tour le regard vers ma femme pour être vraiment sûr qu'elle était bien d'accord. Elle haussa alors le menton vers le haut en fermant les yeux pour me confirmer que j'étais autorisé à honorer Chrystelle.

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