Je m'occupe de la mère et du fils 02

Je ne savais pas trop comment m'y prendre. J'avais un peu peur de le brusquer. J'étais quand même le mec de sa mère, après tout, l'approche était étrange. Mais j'avais de plus en plus envie de lui.

J'ai essayé de lui poser des questions sur les relations qu'il avait eu, pour voir ce qu'il avait déjà vu. Il n'est pas entré dans les détails, baissant la tête quand je l'ai taquiné avec une blague de cul. Je me suis baladé torse nu quelques fois et j'ai pu confirmer qu'il était attiré par moi. Ses yeux étaient remplis de désir, même s'il faisait tout pour le cacher.

Je lui parlais de sa mère, sujet qu'il appréciait. On voyait qu'il l'aimait et qu'il était fier d'elle.

"C'est bien que vous soyez proches, moi jamais mes parents n'auraient parlé de sexe avec moi."

"Elle m'a toujours dit que je pouvais tout lui dire. Et t'aurais dû la voir quand je me suis fait emmerder au collège, une vraie furie! Y a un de ses collègues qui a fait une sale remarque sur moi une fois, elle l'a giflé. "

"Ca m'étonne pas. Mes parents savent pas que je suis bi, je compte pas leur dire. C'est pas eux qui me défendraient! "

"Elle aimait pas du tout Gaëtan. J'ai bien vu qu'elle était soulagée quand il m'a quitté. "

"Il avait l'air d'un sacré petit con. " Je lui ai mis la main sur l'épaule. "Il te faut quelqu'un qui s'occupe bien de toi. "

Je l'ai regardé droit dans les yeux et j'ai vu la panique dans son regard. Mais il a pas bougé, et il ne savait pas quoi répondre. L'atmosphère avait changé et je comptais bien tenter le coup. J'ai resserré ma main et j'ai commencé à lui caresser l'épaule avec le pouce.

"Ta mère dit que tu es trop timide, que tu dis pas ce que tu veux aux mecs. Tu me dirais ce que tu aimes à moi? "

Il gigote un peu, embarrassé, sa respiration plus rapide.

"Je sais pas. A propos de quoi? "

Ma main a glissé doucement vers son cou et il s'est laissé faire, se mordant les lèvres quand j'ai enroulé mes doigts en dessous de son oreille. Je me suis approché et j'ai posé l'autre main sur sa hanche.

"T'aimes quand je te tiens comme ça? " J'ai demandé doucement.

Il a fermé les yeux, le désir le faisant trembler un peu. Il a mis sa main à plat sur mon épaule, comme pour le repousser, mais sans y mettre de force.

"Qu'est-ce que tu fais? On peut pas. "

"Tu veux pas? J'ai très envie de toi. Tu es un très beau garçon tu sais. "

"Mais maman ..."

J'ai posé ma bouche sur la sienne et il s'est tu, suivant mon mouvement. J'ai empoigné ses fesses, le pressant contre moi pour lui faire sentir mon érection. Lui aussi, il bandait.

"Ta mère est une femme formidable et elle aime partager."

Il a écarquillé les yeux.

"Elle t'a dit de coucher avec moi? "

"Elle m'a dit que son fils méritait qu'on lui fasse du bien et qu'elle voulait pas qu'un autre connard profite de toi. "

Il a froncé les sourcils, perplexe. Je l'ai encore embrassé et je l'ai senti se détendre. Au bout d'un moment, il a gémi dans ma bouche et a commencé à se frotter contre moi. Il était un peu rouge, n'osant pas me regarder dans les yeux. Je me suis écarté et il a fait un petit bruit déçu. Il était trop mignon, mais je voulais qu'il se lâche.

"Viens. "

Je l'ai emmené par la main dans sa chambre et je l'ai gentiment poussé sur le lit. Il s'est allongé et a écarté les jambes. Il avait une façon de s'offrir qui m'excitait beaucoup, je voyais bien qu'il était prêt à encaisser tout ce que je pouvais lui faire si j'en avais eu envie. Mais je voulais lui montrer autre chose.

Je l'ai déshabillé doucement, en prenant mon temps pour l'embrasser. Il aimait ça, me cherchant du regard dès que je m'éloignais de sa bouche.

"Le lubrifiant est dans mon tiroir. "

"Tu crois que je vais te prendre comme ça, après cinq minutes? C'est ça qu'ils faisaient tes petits copains? "

Il a eu l'air gêné et il a refermé ses jambes.

"Tu veux que je te suce d'abord? "

J'ai pas aimé son ton. C'était étonnant de le voir se soumettre comme ça alors que j'avais l'habitude de sa mère, qui savait ce qu'elle voulait et n'avait pas peur de le demander. Ça se voyait qu'il aimait qu'on soit tendre avec lui, mais qu'il n'osait pas réclamer plus. Il se serait laisser limer sans broncher, c'est sûr.

Je lui ai mis un coussin sous les fesses et je lui ai demandé de tenir ses jambes bien écartées. Il comprenait pas ce que je voulais, mais il a obéi.

"Je vais te bouffer le cul comme il faut, ça va te détendre. T'aimes ça? "

"Je sais pas. "

J'ai grogné. Pauvre petit, qui n'a jamais eu le plaisir de se faire lécher. Il était gêné, mais après quelques coups de langue, il a écarté encore plus ses jambes. J'ai posé les mains sur ses cuisses et j'ai commencé à lui faire un anulingus dans les règles de l'art.

Il était sensible, gémissant doucement. J'avais envie de le faire hurler. Mais je suis patient. Son trou se relaxait sous ma bouche, et j'ai glissé la langue dedans.

"Oh! C'est bon..."

Il s'ouvrait sous mes assauts et je m'appliquais, me délectant de ses soupirs. Il était bien mouillé, j'ai pu glisser un doigt.

"S'il te plaît ... " Il a gémi.

J'ai pris le lubrifiant et j'ai mis une dose généreuse directement sur son cul. Il a eu petit sursaut à cause de la température. J'ai massé un peu le muscle et j'ai glissé deux doigts. Encore une fois, j'ai pris mon temps pour l'ouvrir plus en profondeur. J'aurais aimé le voir jouir sur mes doigts, mais je pouvais garder ça pour une autre fois.

Il était complètement détendu, le plaisir fleurissant sur son visage. J'ai caressé ses tétons tout en le doigtant, ce qu'il a apprécié.

"Mets-toi à quatre pattes. "

Il avait déjà l'air dans un état second, un peu étourdi par le plaisir, mais il a fini par se retourner. J'ai caressé ses fesses, écartant son trou et j'ai posé ma bite dessus, la frottant contre sa raie. Mon gland s'est accroché sur son entrée et il a gémi plus fort, repoussant son cul contre moi.

J'ai reculé, et il a fait un petit bruit, mais n'a rien dit. C'était cruel de le faire attendre alors qu'il était prêt, donc j'ai appuyé mon gland sur son trou et j'ai poussé. Son cul s'est ouvert tout seul sur ma queue, bien préparé par ma bouche et mes doigts. Il a laissé échapper un long gémissement surpris.

"C'est trop bon! " Il s'est exclamé, de la surprise dans sa voix.

Je me suis penché pour lui embrasser la nuque, passant un bras autour de lui.

"Bien sûr que c'est bon, à quoi tu t'attendais? "

"Ca fait toujours un peu mal au début, d'habitude. C'est après que ça devient bon. "

J'ai encore grogné, pensant à tous ces petits cons impatients. J'ai reculé jusqu'à n'avoir plus que le gland en lui, puis je me suis renforcé lentement, gagnant encore de la profondeur.

"Oh oui! "

Satisfait de sa réaction, j'ai recommencé, testant jusqu'où je pouvais aller. Il a tout pris. Je sentais que je tapais contre quelque chose, mais comme sa mère, il semblait aimer les pénétrations profondes. J'ai commencé à mettre du rythme et ses gémissements sont devenus plus forts. Il a mis la tête entre ses bras , me donnant encore plus d'angle avec son dos creusé et ses gémissements ont tiré sur les sanglots.

"Tu me baises trop bien, j'ai jamais pris aussi gros mais c'est trop bon! J'aime bien quand tu vas profond."

J'ai serré ses hanches pour avoir plus de poigne et le faire bouger en même temps que je m'enfonçais en lui. Il a hoqueté quand j'ai cogné fort au fond et j'ai eu peur de lui avoir fait mal.

"Encore! "

Rassuré, j'ai recommencé. Au bout de quelques coups de rein, il pouvait plus retenir ses cris. Il prenait son pied et du coup, moi aussi. J'allais prendre sa queue en main quand il a joui avant que je puisse le toucher.

"Oooooh, oooh, merde, oui, oui, j'adore ta queue! "

Il tremblait, et j'ai attendu un peu qu'il se calme pour me retirer et le faire rouler sur le dos. Je l'ai embrassé tout en mettant ses jambes autour de moi pour le pénétrer de nouveau. Il a enroulé ses bras autour de mon cou et a offert son cou à mes baisers.

Je l'ai baisé moins profond mais vite, j'avais trop envie de jouir. Il a serré ma taille entre ses cuisses mais il me laissait le manipuler. J'ai pas pu m'empêcher de faire un petit suçon sur son cou après avoir joui. Il m'a laissé l'embrasser partout, se blottissant contre moi avec des petits gémissements satisfaits.

"C'était incroyable, j'ai jamais joui comme ça, sans me toucher. Merci. "

"Quand tu veux." Je lui ai promis.

J'ai tout raconté à Anja et elle a souri tendrement.

"Mon bébé. Merci de t'occuper de lui, Adrien."

Après ça elle m'a sucé si bien que j'ai mis un moment à pouvoir bouger.

Nathan a mis un moment avant de revenir vers moi. Il n'a rien dit d'abord, mais après quelques jours, il en a parlé à sa mère. Après ça, il a commencé par demander timidement des câlins et des baisers. Je l'ai laissé aller à son rythme. J'avais hâte qu'il revienne, mais j'étais déjà comblé avec sa mère.

Je voyais qu'il bandait en m'embrassant mais il repartait toujours sans rien dire. J'ai fini par presser une main entre ses jambes et malaxer.

"Hmm." Il a gémi, en se frottant à moi.

"Si tu veux quelque chose, il va falloir que tu demandes."

Il a hésité un peu.

"Tu peux me baiser? C'est pas pareil avec un gode."

"Je t'ai déjà dit que oui."

Je lui ai mis une petite tape sur les fesses et il a fait un drôle de bruit. Curieux, j'ai glissé la main dans son pantalon et j'ai senti les contours d'un plug à travers son caleçon. J'ai sifflé.

"T'en as vraiment besoin hein?"

Vu l'heure, sa mère allait arriver dans pas longtemps. Ça m'a excité de l'imaginer nous regarder.

"Allez viens, je vais m'occuper de ton petit cul affamé. "