J'appartiens à Snake désormais Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je, n'en avais parlé à personne, personne ne savait que l'on me faisait chanter et que je m'étais fait violer à répétition, que je me rendais chaque matin chez Snake, entre autre pour lui tailler une pipe, que je dissimulais des tenues de pute dans ma garde-robe.

Personne non plus ne connaissait les changements survenus en moi, mais moi je les connaissais.

Le lundi matin, je consultais ma boite aux lettres alors que Jay était parti au boulot.

J'avais un message de Snake me disant d'être là à l'heure habituelle.

Je me douchais rapidement et enfilais l'hideuse nouvelle jupe qu'il m'avait achetée, je pouvais enfiler n'importe quelle brassière, aussi fermais-je les yeux et en pris une au hasard.

Je détestais les vêtements que j'avais choisi, mais comme je haïssais tout autant les autres, J'enfilais le ce haut que j'avais pris dans ma commode.

Il s'agissait d'un bout de tissu qui s'enfilait par la tête, qui couvrait très partiellement ma poitrine et était lié dans mon dos, exposant presque entièrement le profil de mes nichons.

Je me tournais de part en part devant mon miroir.

Il s'en fallait de peu pour que mes nibards s'évadent à chacun de mes mouvements.

Ce qui me frappa, c'est que je ne semblais plus y prêter une grande attention, je pensais simplement que j'étais très sexy! ....

Lorsque je réalisais ce que je pensais, j'en fus confuse au-delà de toute expression.

Je sortis et montais dans ma voiture pour gagner la maison de Snake, arrivée à la porte je frappais, je n'entrais que lorsqu'il m'y invita.

La première chose que je vis en entrant c'est le bordel qui régnait dans la maison.

Comment quelqu'un pouvait-il semer un tel bordel en un week-end? ....

La salle était jonchée de cannettes de bières vides ou à demi-pleines, des mégots traînaient partout, je réalisais que Snake et ses amis étaient de véritables vandales.

Snake avait déjà déjeuné, il m'attendait assis me regardant fixement tandis que je le mettais à poil.

Il me dit seulement :

- "Comme d'habitude ma chérie, fais-moi une bonne pipe puis tu t'occuperas du ménage....."

Je me laissais tomber à genoux et lui suçais la bite.

Je fus toute surprise de voir à quel point cela me parut facile, ébahie, je constatais que je me réjouissais presque de le cajoler.

Cela ne me faisait même plus mal de l'accueillir au fin fond de ma gorge! .....

Lorsqu'il finalement il gicla, j'avalais prestement attendant bite en bouche, qu'il me repousse.

Il allait se lever, je pensais qu'il me serait plus facile de commencer par la chambre que je remettrais en ordre avant qu'il ne se couche.

Aussi lui demandais-je timidement :

- "Puis vous demander quelque chose maître? ..."

Il me regarda l'air ennuyé mais rétorqua :

- "Oui, que veux-tu? ...."

- "S'il vous plait monsieur, laissez-moi retaper votre chambre et changer les draps de votre lit avant que vous n'alliez vous étendre! ..... Cela ne me prendra que quelques minutes, je me hâterais....."

Si je devais faire son satané ménage, je ne voulais pas que sa chambre se retrouve dans le même état que la semaine dernière."

Il me fixa pendant une bonne minute, et décida que c'était une bonne idée.

Il se rassit, j'empoignais quelques outils de nettoyage dans la cuisine, une paire de draps propres et je m'empressais de gagner sa chambre.

Quel bordel! .....

Je travaillais aussi vite que je le pouvais mais je ne faisais que nettoyer le plus gros.

Puis je changeais les draps et retournais dans le salon lui dire que son lit était fait.

Il se leva, entra dans la chambre et ferma la porte dans son dos.

J'entrepris alors de nettoyer la maison.

Comment était-il possible de faire un tel bordel en deux malheureux jours? .....

J'avais rangé les outils de nettoyage et avais trouvé que Snake possédait même un vieil aspirateur. Il était rangé dans les toilettes et ne nécessitait que l'emploi de quelques sacs.

Je nettoyais entièrement la baraque de Snake, j'étais prête à retourner chez moi sur le coup de 11 heures et demie.

J'étais sur le point de me rhabiller lorsque monsieur Steadman, le voisin d'en face, toqua à la porte.

Je ne l'avais pas vu arriver, j'étais toute effarouchée.

Je m'empressais d'ouvrir la porte, il sourit en me voyant ouvrir entièrement nue.

- "Snake est couché monsieur Steadman..." avançais-je sereinement.

Monsieur Steadman hocha la tête et répliqua :

- "Je sais... Je lui ai parlé hier soir et il m'a dit que je pouvais que je pouvais venir quand je le voulais si j'avais envie de me faire tailler une nouvelle pipe! ...."

Par Dieu, je n'aimais pas faire de fellation à ce pathétique petit homme, bon sang, il avait tant de mal à durcir.

Bon sang cela faisait la deuxième fois que j'implorais en vain le nom du christ depuis que j'avais rencontré Snake! ....

Je me reculais pour le laisser entrer, il déboutonna tout de go son pantalon et le laissa tomber sur ses genoux et s'assit.

J'allais me laisser tomber à genoux entre ses cuisses, mais il interrompit mon mouvement, me plaça de coté et me dit de me courber sur sa bite.

De cette façon il pourrait peloter tous mes appâts tandis que je le sucerais.

Je pris sa bite molle en bouche et je suçais de mon mieux sa mentule qui refusait de bander.

Elle tressautait parfois entre mes lèvres, il gémissait alors de bonheur tout en promenant ses mains sur mes charmes.

C'était dégradant au possible, mais cela ne prit pas trop longtemps pour qu'il expulse un faible jet de liquide aqueux dans ma bouche.

C'était encore plus acide que la dernière fois, peut-être bien que je réamorçais la pompe de ce vieux débris.

Monsieur Steadman me quitta prestement, je me rhabillais et regagnais rapidement ma maison où je repris une bonne douche et me brossais les dents.

Puis, je m'occupais de faire mon ménage.

Cela ne me prit pas longtemps, dès que j'en eus fini, je m'assis confortablement et me mis à penser à Snake.

Je me représentais dans ma tenue de salope baisée dans le bar des motards, puis je m'imaginais ce à quoi je devais ressembler déambulant nue dans le bar.

Dire que Snake me prostituait à tous ces hommes pour acheter de plus en plus de tenues de putes.

Tout en pensant à tout celà, je me caressais la chatoune et je ne tardais pas à jouir avec intensité.

Je ne parvenais pas à croire que je venais de me livrer à ces actes! .....

Puis quelque chose d'autre me frappa, je venais de nettoyer ma maison entièrement nue! ......

Que devenais-je donc sous la férule de Snake? ......

J'avais besoin de faire quelque chose pour m'occuper l'esprit, j'allumais mon ordinateur et vérifiais mes mails.

Mon mari m'avait envoyé le planning de son voyage à Atlanta la semaine prochaine.

Il partirait samedi de façon à être là pour le petit déjeuner du dimanche.

Ils travaillerait dès ce dimanche et ne serait pas rentrés avant dimanche matin de la semaine suivante.

Nous n'avions jamais été séparés auparavant, et cette idée me rendait anxieuse, mais en même temps je me disais que celà me ferait du bien de disposer d'un peu de temps de solitude pour réfléchir.

Depuis la semaine dernière, quand j'étais devenue la pute personnelle de Snake toute ma vie avait tourné autour de Jay, de ma maison et du seigneur naturellement.

Je ne pensais plus qu'à eux, lentement mon horizon s'était élargi, je pouvais prendre un peu de temps pour tenter de ramener un peu de sérénité et de calme dans ma vie.

J'allais éteindre mon ordinateur lorsque je reçus un nouveau mail de Snake.

Il contenait pas mal de photos de moi, la plupart prises dans le bar.

Une paire me montrait déambulant nue parmi les consommateurs, mais la plupart me montrait copulant avec un ou des hommes.

Je pris une nouvelle douche rapide, m'habillais et préparais le souper.

Lorsque Jay arriva, nous avons mangé, discutant tout le long du repas de son voyage.

Je n'étais pas vraiment heureuse d'en discuter mais je parvins à garder mon calme.

Il savait ce que j'en pensais et sentis que ce sujet m'attristait aussi finit-il par changer de sujet de conversation.

Je trouvais incroyable, qu'après tout que j'avais enduré, il n'ait pas noté de changement dans mon attitude.

Plus tard cette nuit, lorsqu'il vint au lit nous avons fait l'amour, cela ne me réjouit pas vraiment.

Tout d'abord j'avais peur qu'il ne voit combien ma chatte était distendue en me pénétrant, lorsque je réalisais qu'il ne le pouvait pas j'essayais de me décontracter pour me réjouir de faire l'amour agréablement.

Mais, quelle qu'en soit la raison je n'étais pas aussi excitée que d'ordinaire! .....

Snake avait amené trop de bouleversements dans ma vie pour que cela ne change en rien mon attitude envers mon mari.

Mais je ne parvenais pas à décider si ces différences étaient d'ordre mental ou physique.

Lorsque Jay obtint finalement son petit orgasme je fus sur le point de me pencher machinalement sur son ventre pour lui nettoyer la bite avec ma langue. Cela aurait pu être intéressant! ...

Mais au lieu de cela, je me rendis dans la salle de bain et me lavais entièrement.

Puis, je revins au lit et restais éveillée pendant longtemps en pensant à ma réaction lorsque mon mari m'avait fait l'amour.

Est-ce parce que j'étais éreintée? .....

Ou avais-je besoin de me sentir humiliée ou brutaliser pour orgasmer? ....

Mon Dieu j'espérais bien que non! .....

Je consultais ma boite aux lettres le lendemain matin, j'avais un message de Snake.

Il était allé se coucher tôt, je devais venir faire son ménage, faucher de nouveau la pelouse en portant la même tenue que la dernière fois puis, je pourrais prendre une douche en attendant qu'il se réveille.

J'enfilais de nouveau ma mini jupe ultra courte, le top transparent, mes chaussures de salope et je partis chez lui.

Je me déshabillais à la porte et nettoyais rapidement la maison.

Ma tenue de salope pendait à un crochet derrière la porte, je l'enfilais et sortis pour chercher la tondeuse.

Cela ne me paraissait plus si humiliant que cela après cette nuit.

Elle ne se trouvait pas là où je l'avais rangée la dernière fois, je remarquais que quelqu'un l'avait graissée.

Elle était beaucoup plus facile à utiliser de ce fait.

Je la poussais sur la pelouse de devant et je vis que monsieur Steadman savait que je devais tondre la pelouse ce matin.

Il était déjà installé sur son fauteuil, tout comme quelques uns de ses amis.

Je leur fis un grand signe de la main pour les saluer, et je commençais mon labeur, je les ignorais totalement concentrée sur mes mouvements.

Après quelques minutes cela devint pénible de retenir mon top sur mes nichons alors que je bougeais tout le temps.

Je pris le temps de me dire :

- "Laisse tomber, dès que tu te retrouveras derrière la maison tu seras hors de vue! ...."

Je me dépêchais de terminer la pelouse de devant puis je m'attaquais à l'arrière de la maison sur un rythme plus tranquille.

Une fois ce travail terminé je rangeais la tondeuse et me brossais les jambes et les chaussures.

Puis je rentrais dans la maison et pris une douche.

Pendant que je me rinçais, je lavais ma tenue de pute et la pendais sur un séchoir.

Je me séchais, quittais la salle de bain et gagnais le salon, il était pratiquement midi maintenant.

J'entendis bouger dans le fond de la maison, Snake apparut et gagna la salle de bain.

Il ne ferma pas la porte et j'entendis ruisseler son urine dans les toilettes, puis l'eau de la chasse.

En sortant de la salle de bain, il me jeta un oeil incisif et me fit signe de le suivre dans la chambre.

Il n'avait pas encore proféré un seul mot.

Il tourna autour de moi et me repoussa à plat dos sur le lit.

Il s'installa entre mes cuisses et entreprit de lécher et sucer ma foufoune.

Rapidement j'eus l'orgasme que mon mari avait été incapable de me procurer.

Il me bouffa encore le temps que je succombe à deux nouveaux orgasmes, puis il se releva sur les genoux.

Il joua un bon moment avec ma toison rousse et enfin me parla.

- "Tu es la première fille que je possède à qui je ne fais pas raser sa chatte! ..... J'ai eu un gros coup de cœur pour ta toison de rouquine! ....."

Il sourit sur ces mots et ajouta :

- "Mes amis aussi ont l'air d'apprécier! ...."

Puis il se laissa tomber entre mes cuisses et me baisa puissamment, tout d'abord l'ampleur et la violence de ses coups de reins me firent grogner, mais bientôt mes grognement se muèrent en gémissements en vagissements de chatte enamourée.

Je ne me rappelais pas l'avoir, pourtant je constatais brusquement que je le serrais fermement dans mes bras verrouillés dans son dos alors qu'un nouvel orgasme m'emportait.

Il continua à me marteler la chatoune alors que je jouissais à gorge déployée.

Puis il jouit à son tour, il gicla en moi me pistonnant brutalement comme d'habitude.

Lorsqu'il roula sur le flanc, je pris sa bite en bouche et la nettoyais en bonne petite ménagère appliquée.

Il m'envoya alors prendre une douche avant de m'habiller.

Je me ruais dans la salle de bain, puis ma douche prise dans le salon pour me rhabiller, je ne voulais surtout pas le faire attendre.

Cela ne prit pas bien longtemps, j'avais juste à enfiler un court maillot et un pagne.

Snake arriva dans ses habituels jean et tee-shirt, il me saisit le bras et me tira à l'extérieur, l'instant d'après nous avions enfourché sa moto et nous nous rendions à son habituel bar sex-shop, il me remit aux mains de Larry lui affirmant que je venais lui régler la seconde partie de mes dettes.

MES DETTES! .....

Et dire que je détestais porter ces ignobles tenues! ....

Larry fit un signe à Tom et me traîna nouveau, en arrière vers la resserre.

Cette fois Snake nous suivit caméra au poing.

Dès que nous sommes entrés, je me déshabillais, sans même qu'on le l'ordonne.

Larry aussi se dépouilla de ses vêtements et je m'agenouillais face à lui et je commençais à lui léchouiller la bite, la titillant gentiment, il se mit à bander.

Après quelques minutes je dus me disposer à quatre pattes et il me bouffa tout d'abord le cul, puis il le graissa en évasant le goulot puis il enfourna brutalement sa bite dans mon oeillet frémissant et m'encula frénétiquement.

Il se tenait à mes seins qu'il pétrissait allégrement, bientôt alors que ses mains me meurtrissaient le nichons je jouissais sous ses assauts.

C'était la première fois que je jouissais sous les coups de boutoir d'un soudard qui m'enculait âprement!

J'en fus si surprise que je ne remarquais pas l'instant ou il vomit son foutre au fin fond de mon intestin.

Il se retira et je me retournais et me baissais pour nettoyer sa mentule.

Alors que j'effectuais cette tâche, je sentis Snake se poster dans mon dos, je suppose qu'il devait penser que j'étais suffisamment préparée pour supporter son énorme chibre.

Je suppose qu'il avait raison.

Cela faisait mal, mais je commençais à aimer cette pratique!

C'était douloureux, humiliant et révoltant mais j'eus un nouvel orgasme!

Et ouvrant les yeux, je vis que Mickey enregistrait l'épisode, à cette vue je jouis de nouveau.

Larry reprit la caméra en main et Mickey commença à se déshabiller.

Je pensais qu'il allait essayer à son tour mon trou du cul à la suite de Snake.

Mais j'avais tort, en fait, il s'agenouilla face à moi et promena sa bite dans ma fentine et l'enfonça vivement dans ma foufounette.

Je hurlais sourdement, j'étais emplie par deux bites, je ne parvenais pas croire que c'était possible.

Ils adoptèrent alors un rythme adéquat, je supposais que ce n'était pas la première fois qu'ils prenaient une fille ne sandwich.

Vous ne pouvez pas savoir à quel point c'était bon lorsqu'ils accordèrent leurs mouvements.

Je criais sourdement, je rebondissais d'orgasme en orgasme jusqu'à ce que je m'évanouisse.

Je ne sais pas combien de temps je restais inconsciente, mais lorsque je revins à moi, j'étais étendue sur le dos et ils regardaient tous un inconnu qui me chevauchait âprement.

Je les regardais, puis je regardais l'homme qui me baisait, je l'enserrais de mes bras et mes jambes et je baisais comme une folle, nous avons joui tous deux en même temps.

Puis je me relevais et nettoyais toutes les bites qu'elles sortent de mon cul ou de ma chatte, une bonne ménagère ne termine jamais sa journée de travail!

Ils m'ordonnèrent de me rendre dans les toilettes pour dames, de me laver puis de revenir avec eux.

Nous sommes tous retournés dans le magasin et je me ruais, entièrement nue dans les toilettes pour dames.

Une fois de plus une nuée de sifflements et de commentaires graveleux m'accompagnèrent.

Lorsque je revins à l'endroit où se tenait Snake, le gars qui venait de baiser regardait les vêtements exposés.

Il semble qu'en remerciement d'avoir accepté qu'il baise mon corps inconscient il devait m'acheter quelques nouveaux articles que je devais enfiler et porter avant que nous quittions le bar.

Je me tenais nue en attendant qu'il ait fait son choix, finalement il se décida pour une tenue extrêmement chère.

Il aurait pu choisir une tenue moins coûteuse et moins transparente, il y en avait plein!

Mais il choisit un soutien-gorge fait de cuir et de chaînes.

En fait il y avait des sangles de cuir là où normalement on trouvait les bretelles et les attaches, mais les bonnets étaient ouvert seulement traversé de fines chaînes.

Mes nichons étaient mis en valeur par ces chaînes qui les décoraient, j'aurai tout aussi bien pu être torse nu.

Il regarda l'effet que cela faisait, et me pinçant cruellement les tétons il constata :

- C'est vraiment chouette, j'aime ça!

Sur ces mots il paya Larry et nous sommes retournés au bar écluser quelques godets.

Alors que nous étions assis à une table avec une paire de demis, des clients s'approchèrent et discutèrent avec Snake.

Ils prenaient tout leur temps pour contempler sans vergogne mes nibards, ils n'hésitaient même pas à les pincer et à en étirer les mamelons.

Il y en a un même qui m'a mordu!

Il se faisait tard, Snake se releva, je le suivis jusqu'à la moto et on rentra tranquillement chez lui.

J'essayais d'oublier le top que je portais, être exhibée en public me paraissait maintenant tout à fait banal.

En rentrant chez lui il brancha sa caméra sur la télé et visionna l'enregistrement tandis que je le suçais tendrement, il me dit de me tourner de profil pour que je puisse voir aussi le spectacle se déroulant sur l'écran.

C'était terrible, jamais je n'avais été aussi humiliée, mais je remarquais aussi que jamais je n'avais été aussi sexy!

Finalement Snake se vida à nouveau les couilles dans ma gorge et je me rhabillais lorsque monsieur Steadman frappa à la porte.

Je regardais Snake, il se contenta de me sourire aussi je reposais ma jupe sur le crochet et je me penchais en avant pour sucer monsieur Steadman, puis je me rhabillais et me pressais de rentrer chez moi.

4 décembre 2008

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Vulgus

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Terreur à Ténérife Un jeune couple se risque à sortit des sentiers battus.
Le voyage de noce La jeune mariée continue à subir le chantage de son maître
Les Infortunes de L'infirmière Ch. 01 Une infirmière est prise à son propre jeu lubrique.
Un entretien tourne Mal Impuissante, une femme en prend plein les trous.
En Panne Sur La Route deux femmes et le fils de l'une d'elle sont en panne.
Plus d'histoires