Initiation - 02 (en famille)

BÊTA PUBLIQUE

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« Je n'ai jamais mangé de concombre aussi bon. Ta sauce est vraiment excellente. Elle a un goût, un fumet... qui me rappelle.... euh... non, excuse-moi, je délire. Il ne reste plus de sauce? »

« Non », lui confirme sa fille, « mais je pourrais t'en refaire un autre jour ».

« Penses-tu toujours que ta recette doit rester secrète? », insiste Eric.

« Oui », répond Manon, « mais, comme je suis gentille avec mon papa chéri, je vais t'expliquer la préparation. Le produit utilisé est tout à fait naturel et tu ne sauras que ça. Ce qui fait la qualité de la sauce c'est sa préparation. En fait, c'est plutôt une crème qu'une sauce. Il faut bien tourner, presser, écraser même, battre, puis recommencer plusieurs fois, jusqu'à ce que cela soit à la fois onctueux et presque liquide. Quand on a l'habitude, on sent bien le moment où c'est prêt. Il faut alors bien étaler la crème sur le concombre que l'on coupe tout de suite en rondelles. On doit servir immédiatement pour que la crème reste toute fraîche. Tu vois, tu sais tout ... ou presque. »

Manon et son père restent un bon moment les yeux dans les yeux, cherchant à savoir ainsi ce que pense vraiment l'autre. Elle aimerait savoir. A-t-il deviné? Le goût lui est forcément familier. Manon n'ira pas plus loin pour connaître la réponse à sa question. L'incertitude est si érotique.

Leur programme de l'après-midi prévoyait une belle balade sur un long sentier qui surplombe la côte très découpée. Malheureusement, le temps en a décidé autrement. Il tombe une neige très humide, qui ressemble par moments à une pluie glaciale, très désagréable.

« Je crois que nous ferions mieux de nous installer devant la télévision pour regarder un film en restant bien au chaud », dit Eric à sa fille, qui est tout à fait d'accord.

Ils s'installent tous deux dans le canapé et Eric joue de la télécommande pour balayer les chaînes. Aucun film intéressant n'est programmé cet après-midi.

« Peut-être as-tu un abonnement pour visionner des films que tu choisis en ligne? », questionne Manon.

« Nous y avions pensé, ta mère et moi, mais nous ne nous sommes pas décidés. Désolé. Mais j'ai une clé USB qui contient quelques films, que je regarde de temps en temps avec ta mère », propose Eric.

« Et bien voilà, mets ta clé », lui dit Manon, qui s'étonne de le voir hésiter un long moment avant de dire :

« C'est que ... Manon ... ces films sont ... un peu ... spéciaux. »

« Tu veux dire qu'ils sont ... cochons ! », suppose Manon, qui reste un instant pensive avant de poursuivre :

« S'il n'y a que ça, il faudra bien faire avec ! »

« Quel genre veux-tu voir? », questionne son père.

« C'est toi qui les connaît, donc c'est à toi de choisir, papa », dit logiquement Manon.

Eric a un film préféré, celui où une mère éduque sa fille en l'initiant aux plaisirs du sexe. C'est son mari qui sert de partenaire. Ce choix trop explicite lui paraît impossible, aussi en choisit-il un autre. Dès les premières images, il s'aperçoit de son erreur. Le film est en allemand sans sous-titres. Il maîtrise bien cette langue, mais ce n'est pas le cas de Manon.

« Questionne-moi quand tu as besoin d'explications », dit-il, en plaçant son bras autour du cou de sa fille.

Manon retrouve la position qu'elle prenait, petite, pour regarder un film avec son père, se serrant contre lui et posant sa tête sur son épaule.

Sur l'écran apparaît une femme blanche, d'une trentaine d'années, étendue nue sur un lit. Un grand noir s'approche d'elle et l'embrasse. Il est nu également. Son sexe bandé est impressionnant en longueur et diamètre. Cela surprend Manon qui se dit que son concombre est battu, puis elle interroge son père :

« Ce noir a-t-il un sexe exceptionnel ou sont-ils tous comme ça? »

« Pour le film », répond Eric, « ils n'ont pas choisi le moins bien monté, mais les noirs ont fréquemment des sexes très développés, en moyenne plus gros que ceux des blancs. Il paraît aussi qu'ils sont plus endurants. C'est pour cela que certaines femmes choisissent de ne faire l'amour qu'avec des noirs. »

Ces commentaires et les images du film qui deviennent plus torrides, montrant fellation puis pénétration, font mouiller encore plus la petite chatte de Manon. Il y a aussi ce bras autour de son cou et surtout cette main pendante dont la paume repose sur sa poitrine. Heureusement, ma robe est bien couvrante, se dit Manon. Elle se félicite aussi d'avoir mis une culotte ce matin, alors qu'elle avait hésité. Les acteurs du film paraissent assez convaincants, ce qui n'est pas souvent le cas. Cela n'en est que plus excitant pour les deux spectateurs. Manon a vraiment envie de caresser son clitoris, mais faire ça devant son père serait trop indécent. Et aussi bien trop dangereux, se dit-elle. C'est d'autant plus vrai qu'elle vient de sentir les doigts de son père se refermer sur son sein, faisant monter son excitation malgré les épaisseurs de la robe et du soutien-gorge. Manon devrait repousser cette main mais ce serait un peu brutal envers ce père qui l'aime et avec qui elle se sent si bien en ce moment. Alors, elle se contente de murmurer à l'oreille :

« Papa ... s'il te plaît ... »

Pour ne pas casser ce précieux moment de connivence, Manon n'a pas pris un ton de reproche. Elle a même accompagné ces mots du contact de sa main sur la jambe de son père, juste au-dessus du genou, comme pour lui faire sentir qu'elle n'est pas fâchée. Eric, lui, a mal compris, peut-être trop excité par le film. Il a pris ça pour une invite. C'est pourquoi il attrape la main de sa fille et la pose sur son pantalon, juste sur la bosse qu'y fait son sexe tendu. Comprenant le quiproquo, Manon reste un instant paralysée. Si elle retire sa main, son papa chéri va comprendre sa bévue et en sera vexé, ce qui risque de casser ce moment d'intimité qu'elle apprécie tant. Alors Manon laisse sa main immobile et ne repousse pas celle de son père sur son sein, espérant que cela en reste là.

Sur l'écran, on voit bien en gros plan l'énorme sexe noir qui coulisse rapidement dans le vagin de la femme. Voir cela de si près, tout en sentant les doigts de son père qui serrent alors fortement son sein, excite Manon, qui se crispe un peu. Inconsciemment, elle contracte un peu sa main sur le pantalon de son père. C'est un petit soupir d'Eric qui lui fait comprendre sa maladresse, aussi retire-t-elle immédiatement sa main. Manon entend alors le petit bruit d'un zip que l'on fait descendre. Un coup d'œil lui montre que la braguette est seulement ouverte, rien d'indécent, donc. Son père lui attrape de nouveau la main et la pose au même endroit. Manon ne réagit pas mais se garde bien de serrer. Il est suffisamment excité comme ça, se dit-elle. Elle en a la preuve car la main de son père caresse maintenant vraiment ouvertement sa poitrine.

Le film reste un long moment sur ce plan serré qui montre bien ce coït furieux, puis un zoom arrière fait découvre progressivement toute la chambre. Dans un coin, assis dans un fauteuil tourné vers le lit, un homme blanc, plutôt âgé, masturbe un petit sexe qui sort de sa braguette. Manon a bien remarqué la différence de taille entre les sexes des deux hommes et elle se dit que la femme a bien fait de choisir son partenaire actuel. Cependant, c'est la raison de cette scène qu'elle ne comprend pas, aussi interroge-t-elle son père :

« Pourquoi ont-ils accepté un vilain voyeur dans leur chambre? »

« Oui, c'est un voyeur », lui répond Eric, « mais c'est surtout le mari de la dame ! »

« Comment peut-il laisser un autre homme faire l'amour à sa femme? », questionne Manon.

Eric, sentant que cela va être difficile à expliquer, met le film sur 'pause' et répond :

« Il y a des hommes, comme ça, que ça excite, ma fille ! C'est un ... cocu volontaire. »

« Je n'en reviens pas. Je n'aurais jamais cru ça possible. Sa femme n'a-t-elle pas honte de faire ça devant son mari? », s'interroge Manon.

« Mais, c'est son plaisir, ma chérie. Ça l'excite encore plus et elle est heureuse de faire plaisir à son mari », explique Eric.

« Je crois que je ne pourrai jamais faire ça à mon futur mari ! C'est trop ... trop ... je ne sais pas ... », s'exclame Manon.

« Chacun vit sa sexualité comme il veut. Ce sera à toi de choisir, ma chérie », lui conseille son père.

Manon pose alors une question qui vient de traverser son esprit :

« Maman et toi ... vous ... vous n'avez pas fait ça ... ou? »

« Nathalie et moi y avons pensé à un moment. L'idée nous excitait tous les deux, mais, à part quelques flirts, peut-être un peu poussés, ta mère n'a jamais osé aller jusqu'au bout. Tu pourras la questionner à son retour. Entre femmes, c'est plus facile de partager ce genre de choses », lui répond son père en toute honnêteté.

Sur l'écran, le coït se poursuit dans des mouvements longs et profonds, qui se font de plus en plus rapides, puis l'homme s'arrête et échange quelques mots avec sa partenaire.

« Que disent-ils? », questionne Manon qui veut tout comprendre.

Connaissant la suite du film, Eric sait bien que les questions de sa fille vont être nombreuses. Il va donc mettre en pause à chaque fois, pour reprendre ensuite. Ils ne voudrait pas lui faire rater la moindre de ces scènes excitantes.

« Il lui a demandé si elle prenait la pilule et elle lui a dit non, ajoutant qu'elle était au milieu de son cycle ».

Entendant cela, Manon laisse échapper un :

« Oh mon dieu ! ... Et avec un noir, en plus ! »

Elle est si excitée qu'elle a besoin de répondre à la chaleur qui la traverse, aussi passe-t-elle sa main gauche sous sa robe et glisse-t-elle son index sous sa petite culotte pour titiller un clitoris en feu. Son père caresse maintenant ouvertement la poitrine de sa fille, cherchant les tétons à travers le fin tissu de la robe et le léger soutien-gorge, puis sa main gauche quitte cet endroit pour passer sous la robe et venir glisser un doigt sous le bord de la culotte pour caresser une lèvre bien humide. Manon, ne voulant pas refuser à son père le même plaisir qu'il lui donne, ose glisser un doigt dans la braguette. Elle sent que son père ne porte pas de slip et elle commence à faire glisser son doigt le long de la hampe si tendue.

Dans le film qui a repris, le grand noir besogne de nouveau sa partenaire avec force et rapidité. Le rythme s'accroît. Les cris de la femme adultère montrent le plaisir qu'elle prend. Elle s'attend visiblement à la jouissance finale, mais son amant s'arrête pour dire une phrase qui semble faire réagir le mari, qui s'approche et s'exprime à ce moment.

« Que disent-ils? Traduis pour moi, papa, s'il te plaît » , demande Manon.

Eric hésite un instant, car il sait que cela va choquer sa fille, puis il se lance :

« Le grand noir a dit qu'il allait se retirer, mais le mari lui a demandé ... d'éjaculer dans le vagin de sa femme ... pour ... l'engrosser. »

Manon laisse échapper des « Oh ! Oh ! Oh ! » qui montrent sa surprise et une excitation si forte que son père décide de l'aider à atteindre le plaisir.

Sa main crochète la petite culotte qu'il fait vivement descendre sur les chevilles. Toute gêne évacuée, Manon se débarrasse vivement du sous-vêtement pour pouvoir écarter largement ses jambes et accueillir en elle les doigts de son père, qui s'y activent vivement. De son autre main, Eric repousse un instant celle de Manon pour faire sortir par la braguette son sexe qui n'a jamais bandé si durement. Une seconde plus tard, c'est la main de sa fille qui lui branle le sexe, du bas de la hampe jusqu'au gland sur lequel son pouce étale une humidité naissante.

Sur l'écran s'affiche une scène torride. Le grand noir a placé les jambes de la femme sur ses épaules. Dans cette position, son gros et long braquemart vient certainement buter tout au fond du vagin de la femme, si l'on en croit ses soubresauts à chaque fois que le sexe la pilonne. L'homme ahane dans l'effort et la femme hurle de plaisir.

Eric fouille de plus en plus rapidement et brutalement le vagin de sa fille, qui lui branle le sexe sans ménagement. Ils sont presque en rythme avec les acteurs du film, dont, tout à coup, les corps se tendent, se crispent et se cambrent, dans un dernier mouvement qui s'arrête en une jouissance qui les fait vibrer. Puis la scène montre un amant qui se sépare de sa partenaire, après un rapide baiser sur la bouche de la femme épuisée, puis laisse la place au mari. Celui-ce écarte alors les cuisses de sa femme adultère et un gros plan montre un vagin encore largement ouvert d'où s'écoule un trop-plein de sperme.

Cette vue provoque l'orgasme de Manon qui tremble toute, alors que le sexe paternel lui inonde la main.

Après avoir repris un peu son calme, Manon dit à son père :

« Mon cochon, tu m'en as mis plein les doigts et je n'ai rien pour m'essuyer » , ce à quoi il répond :

« Pour nettoyer tes doigts, c'est tout de même facile », accompagnant ces mots d'un sourire grivois.

Alors, Manon, dont l'excitation est loin d'être retombée, regarde son père droit dans les yeux, avant de commencer à sucer lentement chaque doigt, pour finir par dire :

« C'est moins mauvais que je le craignais, mais ne crois pas que je vais recommence souvent. »

Ils restent un long moment l'un contre l'autre, pour retrouver un peu de sérénité, dans un moment de tendresse partagée.

Cependant, c'est peu à peu la honte qui les envahit. Comment ont-ils pu oser faire ça, pense-t-ils en même temps, ... de plus dans une relation père-fille? L'un comme l'autre se disent qu'il leur faut revenir à la normale, oublier ces errements inacceptables.

Chacun retourne dans sa chambre.

Lorsqu'ils se retrouvent pour le dîner, ils arrivent dans des tenues très strictes. Il n'est plus question d'exhibition, d'érotisme ou de geste mal placé. Eric n'est redevenu qu'un père sérieux et Manon une fille comme il faut. Le dîner ne donne lieu qu'aux plus banales discussions.

Après leur repas, Manon regarde un court documentaire à la télévision. Eric s'est assis assez loin d'elle pour lire un magasine. Ce soir, ils iront se coucher tôt. Lorsque c'est l'heure, Eric veut dire bonsoir à sa fille. Il tente :

« Un petit 'baiser du soir', peut-être? », pour entendre sa fille lui répondre :

« Ah, non ! Pas ce soir ! Sûrement pas ! », l'air courroucée.

Eric se dirige vers la salle de bains pour une douche dont il a grand besoin pour retrouver ses esprits. Il va rester sous l'eau bien longtemps, c'est certain.

Manon va dans sa chambre, pour y retrouver son calme. Tout ce qui s'est passé tourne trop dans sa tête. Va-t-elle se coucher nue, ou dans un gros pyjama, ou encore dans sa nuisette de soie? C'est cette dernière qu'elle choisit, tant elle aime le contact de son tissu sur elle. Après cette folie de plaisirs, il lui faut retrouver de petites joies simples. Avant de se coucher, elle se regarde dans la glace et se trouve belle, bien plus que dans les vêtements très strictes qu'elle a mis ce soir et qu'elle vient d'enlever. Elle se dit qu'ils lui font penser à sa vie d'avant les plaisirs interdits, une vie qu'elle trouvait normale auparavant et qui lui paraît maintenant plutôt terne. Peut-être y a-t-il quelque chose à garder dans ces errements récents? Ou veut-elle une vie de none? Elle est dans ces questions, plus qu'indécise, lorsqu'elle se met à penser à son père.

Pourquoi lui a-t-elle refusé ce 'baiser du soir' qu'il aime tant? Pour le punir? Mais elle est aussi responsable que lui, voire plus, se dit-elle. Manon sait que peu de choses venant d'une femme suffisent à allumer les hommes. Cela aurait dû être à elle de le repousser gentiment, se dit-elle, engluée dans une culpabilité féminine qui a traversé les siècles. Face à cette responsabilité paternelle amoindrie, elle met la tristesse qu'elle a vu dans son regard de chien battu, lorsqu'elle lui a annoncé sa 'punition'. Il lui faut rattraper cette erreur pour retrouver cette relation privilégiée entre eux. Bon, c'est décidé, elle va offrir à son papa chéri ce 'baiser du soir' qu'il aime tant. Il faudra même qu'elle améliore un peu ce rituel, pour qu'il le ressente non pas comme un simple retour à la normale entre eux mais comme une version nouvelle apportant un plus, comme un cadeau.

Debout devant la glace, elle se dit qu'il lui faut garder cette nuisette qu'elle aime beaucoup et qui est presque synonyme de leur relation spéciale, mais comment l'améliorer? C'est en se mettant un peu sur les pointes qu'elle s'approche de la solution. Dans cette position, sa nuisette s'arrête juste sous ses fesses, comme sous son entre-jambes. C'est comme si elle avait raccourci le vêtement d'une petite dizaine de centimètres. Ainsi, Manon sait qu'elle est l'érotisme personnifié, mais maintenir une telle position est simplement insoutenable. Il lui faut trouver quelque chose d'approchant. Une idée lui vient.

Manon se précipite dans le dressing de sa mère où celle-ci range ses chaussures. Voilà ce qu'il lui faut, des hauts talons. Comme elle font toutes deux la même pointure, ce sera facile. Manon ouvre toutes les boîtes, hésitant entre plusieurs modèles, lorsqu'elle trouve enfin l'oiseau rare. Elle a en main une paire de chaussures dont les talons dépassent largement les dix centimètres de haut. Sa mère n'a pas pu sortir avec ça, ce sont des chaussures de pute, se dit-elle. Elle les a certainement achetées pour une petite exhibition privée, pour exciter son père. C'est vraiment ce qu'il lui faut.

Manon les apporte dans sa chambre pour un essayage devant la glace. C'est parfait, bien plus que parfait ! De dos, la nuisette s'arrête au milieu des fesses. Devant, la limite est au milieu de sa toison pubienne, sa chatte bien visible. C'est plus qu'indécent, mais c'est ce qu'il lui faudra pour montrer à son papa chéri qu'elle n'est pas fâchée, lorsqu'elle va lui offrir le rituel 'baiser du soir' propice à tous les rêves.

« Papa, peux-tu venir? », crie Manon.

« Je suis sous la douche, ma chérie. Que veux-tu? », lui répond son père.

Manon se colle contre la porte de la salle de bains pour communiquer avec lui sans avoir besoin de crier.

« Quand tu auras fini », dit-elle, « tu peux passer dans ma chambre pour notre 'baiser du soir. »

Eric n'en croit pas ses oreilles. Il sort de sa douche, s'essuie au plus vite, enfile un peignoir de bain sur sa nudité et se précipite chez sa fille. Comme la porte de la chambre a été laissée entrouverte, il la pousse sans frapper. Il reste comme paralysé à la vue de sa fille, perchée sur des talons hauts qu'il connaît bien, superbe dans sa nuisette indécente. Il n'a jamais rien vu de si érotique.

Il se rue alors vers sa fille qui se tient debout face à lui, à quelques mètres de lui. Dans sa précipitation, la ceinture du peignoir tombe au sol et le vêtement s'écarte largement. Cela n'empêche pas sa fille de se serrer contre lui et de lui offrir sa bouche pour un baiser encore plus passionné que la veille. Ils pressent leur corps l'un contre l'autre. Dans cette position son sexe, plus tendu que jamais, appuie sur l'entre-jambes de sa fille qui ne se recule pas, bien au contraire. La hampe de son sexe est plaquée entre les lèvres vulvaires et le gland touche précisément le clitoris. Alors, tout en embrassant fiévreusement, mêlant sa langue avec celle de son père, Manon bouge un peu, dans un mouvement vertical, pour faire coulisser le sexe paternel contre les lèvres de sa chatte et exciter son clitoris au contact d'un gland qui s'y frotte et le mouille un peu d'un liquide pré-séminal abondant.

Jusqu'ici, ils avaient interrompu leur baiser quand leur souffle venait à manquer. Là, avec une même envie, ils reprennent leur respiration avant de plonger dans un second baiser. Manon n'a l'intention ni d'arrêter de mélanger leurs salives, ni de s'abstenir de faire bouger son bas-ventre. Lorsqu'elle est presque à bout de souffle, elle se soulève sur la pointe des pieds. Dans ce mouvement, le gland quitte le clitoris qu'il caressait, pour venir plus bas se placer entre des lèvres vulvaires qui s'écartent un peu pour l'accueillir. Il est logé, là, à l'entrée d'un vagin trempé par l'excitation.