Idriss 05 - Bisexualité

Aux lectrices et lecteurs éventuels :

Note 1 : Ceci est le cinquième épisode de la série Idriss, pour une meilleure compréhension du contexte et donc une meilleure immersion, il est vivement conseillé de lire les premiers épisodes respectivement intitulés « La rencontre » ; « À trois » ; « Sexe à volonté » et « Exigeant mais charmant »

Note 2 : Ludo est le narrateur

Note 3 : Comme le titre l'indique cet épisode contient des scènes de relations entre hommes. Celles et ceux qui n'apprécient pas devrait ne pas poursuivre la lecture

***

Comme la fois précédente, j'ai laissé à Camille de petits indices (assez explicites je dois le reconnaître) pour lui indiquer qu'Idriss l'attend dans notre chambre. Je lui précise, même si c'est probablement inutile, qu'elle doit s'y rendre propre et lisse comme il aime. En revanche, contrairement à la fois précédente, je lui ai laissé ces instructions sur un petit mot posé sur la table du salon sans lui dire où je suis. Je suis persuadé qu'à la lecture de ces lignes elle ne remarquera même pas mon absence, tellement excitée et impatiente à l'idée de sa soirée !

Je l'entends rentrer, déposer ses affaires. Je perçois le bruit d'un papier qu'on déchire et que j'imagine être l'enveloppe. Puis elle entre dans la salle de bain. Un quart d'heure plus tard elle en sort et ouvre la porte de notre chambre.

C'est avec un plaisir (peut-être un peu malsain) que je l'observe découvrir Idriss ... en train de me sucer ! C'était notre accord pour ce soir. Nous avons commencé au moment où Camille est entrée dans la salle de bain. Je dois avouer que je n'étais complètement à l'aise : le laisser me caresser le corps, s'embrasser mutuellement. Je ne suis pas vraiment attiré par les hommes de façon générale mais quand il a saisi ma queue avec une poigne d'homme et des mouvements experts j'ai bien compris tout le plaisir que je pourrais aussi en obtenir. En plus son corps est doux, pas du tout désagréable. Puis il s'est mis à genoux comme convenu pour me sucer avec un certain talent ! Savoir que Camille allait voir ça, décuplait mon excitation. Elle allait ressentir une double tromperie de la part de ses deux hommes.

Estomaquée, elle en oublie tout d'abord de se mettre à genoux. Elle écarquille les yeux et émet un « Oh ! » de stupeur. Mais quand elle voit Idriss, ma bite dans la bouche, froncer les sourcils, elle se ressaisi et s'agenouille, bouche ouverte, langue sortie. Je trouve ça plutôt excitant de la voir comme ça et j'enlève ma queue de la bouche d'Idriss pour aller la fourrer dans la sienne mais il m'arrête. « Non, quand elle est comme ça, c'est pour moi. »

Il se dirige vers Camille et, sans crier gare, lui enfonce la bite au fond la gorge et lui maintenant la tête pour ne pas qu'elle y échappe. Il fait trois allers-retours rapide et assez violent profondément dans sa gorge. Il n'y reste, à chaque fois, pas plus d'une seconde mais ne lui laisse pas non plus de temps entre les coups. Je la vois suffoquer, paniquer, résister, écarquiller les yeux. Une fois terminé, elle a du mal à reprendre son souffle et ses esprits mais Idriss ne lui en laisse pas le temps et lui demande, avec une réelle douceur dans la voix contrastant avec ce qui vient de se passer, de continuer à le sucer. Elle le fait sans rechigner, les yeux rougis et embués, le caressant avec ses mains. C'est une pipe tendre. Elle veut clairement lui faire plaisir. Je la regarde enfourner cette queue, la caresser, malaxer délicatement ses couilles, lui caresser le ventre, les fesses, les cuisses. Elle le fixe du regard pour vérifier qu'il apprécie. J'en suis jaloux et excité. Je m'approche, le pénis tendu à l'extrême, et Camille s'en saisit d'une main pour me masturber en rythme avec sa fellation. Je dévore la scène des yeux, je vais même jusqu'à peloter les fesses d'Idriss et le pousser un peu dans la bouche de ma femme. Il lui baise la bouche en douceur et elle s'y abandonne, bouche ouverte et humide qui laisse ce membre aller et venir. Je saisi les couilles d'Idriss que je caresse pendant qu'il s'enfonce dans la bouche de Camille. Puis elle se retire et se contente de nous branler tous les deux en rythme. Elle semble hypnotisée par ce va-et-vient sur les deux glands qu'elle rapproche l'un de l'autre petit à petit. Elle finit par les frotter et je suis surpris de ce contact. Nos bites sont humides et les glands bien lisses. Ils glissent l'un contre l'autre avec douceur, le contact est agréable et Camille lubrifie régulièrement avec sa bouche. Elle nous force à nous rapprocher, nos corps sont l'un contre l'autre, elle entoure nos deux membres à deux mains pour les branler ensemble. Pas facile comme position, pas si agréable d'ailleurs car ça nous tord un peu la bite mais tellement excitant. Je sens Idriss qui force un peu vers la bouche de Camille et elle comprend le message. Elle essaye de nous engloutir ensemble. C'est sexy mais pas terrible, sa bouche a du mal à tout englober, on frotte un peu les dents.

La tentative ne dure pas et Idriss appuie légèrement sur une de mes épaules me proposant de m'agenouiller également pour mieux profiter du spectacle, ou peut-être pour y participer ! De fait, après que j'ai pu admirer de près cette longue bite se faire engloutir par ma femme Idriss dit : « Ce serait bien que tu partages un peu maintenant Camille » Celle-ci s'interrompt instantanément pour regarder Idriss, bouche bée d'étonnement. Ses premiers mots sont incompréhensibles car elle en avait oublié de retirer le pénis de sa bouche. Elle se reprend et dit : « Qu'entend-tu par-là? ». « Je veux que tu mettes ma bite dans la bouche de ton mari » lui répond-il. Effarée, elle me regarde d'un air interrogateur. Mais je la rassure d'un sourire. Elle pose la bite d'Idriss sur mes lèvres, j'ouvre ma bouche et me met à la sucer. Mais Camille de lâche pas la bite, elle le branle en rythme ; Des fois j'accompagne sa main par mes va-et-vient, parfois je ne fais que l'aspirer en jouant de ma langue sur son gland. Elle lui caresse les couilles et fini même par m'encourager en appuyant sur ma tête. Sucer Idriss n'est pour moi ni agréable, ni désagréable. Ça ne me dérange pas mais je ne cours pas après. Ce que j'aime dans un premier temps c'est essayer de sucer comme j'aimerais qu'on me le fasse, c'est assez facile de se projeter ce qui rend la pipe sympa quand même et excitante. Mais là, on est au-delà : je partage une bite avec ma femme. C'est complètement délirant mais j'ai un peu l'impression qu'on apprécie tous les deux de le faire. Camille fini par m'agripper les cheveux, m'arracher à la queue d'Idriss et se l'engloutir avec un regard de défi et des ronronnements de plaisir. Comme si elle avait un clito dans la bouche.

Je me recule un peu pour admirer la scène : ma femme à genoux, hyper cambrée, astiquant Idriss dans des gémissements et des bruits de salive. Je caresse le creux de ses reins, descend ma main pour flatter sa croupe rebondie puis je lui caresse la chatte. Elle est trempée ! Tellement que, par curiosité, je jette un coup d'œil sous elle et je vois qu'il y a une petit flaque de mouille par terre ! Je reprends mes caresses et elle finit par jouir dans un borborygme mouillé.

« Allez ! Passons aux choses sérieuses. » s'exclame alors Idriss. Il entraîne Camille sur le lit, sur le dos et lui demande de lever les jambes pour lui présenter sa chatte. Elle ne se fait pas prier et s'expose sans vergogne. Idriss pousse ses jambes jusqu'à sa tête pour l'offrir un peu plus et me dit « Pour l'instant tu regardes, t'as le droit de te branler si tu veux » avant de s'enfoncer en elle. J'ai sacrément envie de me branler, mais je résiste. Je ne suis pas certain que je pourrai me retenir de jouir. Idriss semble plus sûr de son endurance car il ne se ménage pas. Je ne sais pas comment décrire autrement ce qu'il fait que par ces trois mots : il la défonce ! C'est comme une bête déchaînée, un marteau-piqueur. On ne sait même pas s'il prend du plaisir mais il pilonne. Camille halète sous les coups, gémis de plaisir, jouis dans de longs hurlements, trois fois. À chaque fois j'ai peur qu'elle n'arrive même pas à reprendre sa respiration. Puis je vois Idriss retirer, lentement, sa longue bite de la chatte trempée et bouffie de ma femme. Je me dis qu'il en a peut-être terminé mais, aussitôt sortie, il la replonge tout en douceur dans son anus. Je vois la bouche de Camille s'arrondir de surprise mais sans plus. Idriss fait un ou deux allers-retours calmement et me dit « Attrape son vibro, elle va en avoir besoin ». Je m'exécute et à peine l'a-t-elle appliqué sur son clito qu'Idriss reprend son assaut mécanique en lui bourrant le cul. Elle hurle de plus belle, son visage se crispe, ses jambes tressaillent, ses bras semblent pris de spasmes. Elle lâche même le vibro et je décide de l'aider avec.

Idriss s'affale soudain sur elle, en nage. Il pèse de tout son poids, la pliant en deux. Tous deux semblent avoir du mal à reprendre leurs esprits. J'ai le bras coincé entre leurs deux corps, la bite tendue à l'extrême et je me demande si je vais avoir le droit à mon tour ou si j'aurais dû me branler !

Mais Idriss est infatigable ! Il se soulève, se retire de Camille, s'allonge sur le dos au bord du lit, à côté de Camille qui semble morte. Il lui murmure un truc à l'oreille. Je vois alors Camille faire un effort surhumain pour se redresser, elle se met au-dessus d'Idriss. Elle s'accroupie en lui tournant le dos, attrape sa bite et se la remet dans le cul. Curieux et excité, je me mets face à la scène et je vois Camille, la queue d'Idriss enfoncée jusqu'à la garde, jambes écartées, dégoulinant sur les couilles d'Idriss. Celui-ci la tire en arrière, lui attrape les genoux et me dit « Vas-y, mets-toi dedans aussi ». Je me fraye un chemin entre les deux paires de jambes et je m'enfonce dans le vagin de Camille. Mes premiers coups la font déjà gémir, puis j'accélère, j'ai l'impression que mes couilles tapent celles d'Idriss et ça m'excite un peu. Idriss tire un peu plus sur les genoux de Camille pour se donner du mou et tente lui-même de faire des mouvements. Et ça marche, je sens sa bite frotter sur la mienne à travers la fine paroi. Je crois que ça nous emporte tous les trois. Idriss et moi nous mettons à pilonner frénétiquement, encouragés par l'excitation de la situation et les hurlements de Camille. Je suis emporté par une vague de jouissance hyper intense, des spasmes me serrent les couilles et j'envoie plusieurs giclées au fond de Camille. Je sens Idriss décharger aussi.

Je crois qu'on doit bien rester cinq minutes avachis les uns sur/sous/dans les autres. Ma bite rétréci et fini par sortir de Camille. Je roule sur le côté pour m'allonger sur le lit. Camille s'arrache de la bite molle d'Idriss qui lui dit « Montre-nous comme on t'a bien remplie ». Debout face à nous, les jambes légèrement écartées, Camille laisse nos spermes s'écouler de ses orifices et descendre le long de ses cuisses. Je crois que ça nous redonne à tous les deux un peu de vigueur ou en tout cas d'excitation. Idriss dit « Nettoie-nous s'il te plait ». Camille s'agenouille de nouveau et entreprend de nous lécher l'un après l'autre. Elle est vraiment parfaite, tandis qu'elle suce lentement et avec application l'un d'entre nous, elle masse et caresse l'autre.