Idriss 02 - À trois

Aux lectrices et lecteurs éventuels :

Note 1 : Ceci est le deuxième épisode de la série Idriss, pour une meilleure compréhension du contexte et donc une meilleure immersion, il est vivement conseillé de lire le premier épisode intitulé « La rencontre ».

Note 2 : Cet épisode contient une petite scène d'homosexualité masculine, celles et ceux qui n'apprécient pas devraient ne pas poursuivre la lecture

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Je me lève, me rhabille et vais chercher Idriss dans le couloir. Je retourne près de Camille et nous le regardons tous les deux entrer et fermer la porte derrière lui. Camille se lève, surprise, et réajuste le peignoir qu'elle a sur le dos. Idriss s'approche de nous et, sans regarder Camille, dit : « Mets-toi à genoux et suce-moi Camille, Ludo et moi devons parler ». Camille, comme hypnotisée, s'agenouille puis se reprend et me jette un regard honteux et interrogateur. Elle a la main sur le haut du pantalon d'Idriss avant même que je la rassure en acquiesçant discrètement. Et alors qu'Idriss me dit : « C'est quoi le plan? » j'assiste pour la première fois au spectacle de ma femme qui extrait puis suce une autre bite que la mienne. Elle semble m'avoir complètement oublié, je la vois s'appliquer, sucer, masser, lécher, branler. Je lui réponds « un plan à trois ». Et nous en discutons un peu plus en détail (sans oublier de parler de sa rémunération supplémentaire) pendant qu'elle le suce. Je me demande si elle entend ce qu'on dit ou si elle est trop concentrée. Une fois d'accords, Idriss retire sa queue de la bouche de Cam et lui demande d'aller se doucher avant de nous retrouver.

Lorsqu'elle revient, Camille nous trouve tous les deux allongés, nus sur le bord du lit. Je bande comme un malade mais Idriss pas complètement encore. C'est clair que je fais pâle figure à côté de lui. Sa bite n'a pas l'air énorme mais elle est bien plus longue que la mienne. Je me demande si c'est ce qui fait la différence. Bizarrement Camille a l'air de comprendre tout de suite ce qu'on veut. Elle s'agenouille, prend une bite dans chaque main et commence à nous branler tous les deux. Et je crois qu'à ce moment-là on a un moment de complicité absolu car elle me regarde avec un grand sourire, ravie, je pense, d'avoir deux queues pour elle pour la première fois, et je lui rends son regard incroyablement excité par la situation et d'y participer cette fois ! Puis elle nous suce alternativement. Evidemment je ne manque pas de noter qu'elle commence par Idriss et qu'elle le suce beaucoup plus souvent que moi. À un moment où j'ai la chance d'être dans sa bouche je finis par l'attirer vers moi et lui demande de me chevaucher.

Elle s'installe sur moi et je rentre comme dans du beurre. Elle se penche vers moi comme elle en a l'habitude mais Idriss lui demande de se redresser pour pouvoir la regarder. Elle me chevauche un peu maladroitement mais je profite du spectacle de ses seins qui sautent. Au bout d'un moment je prends les choses en main en la faisant se redresser un peu plus sur ses genoux et je la pilonne. J'adore la sensation de ma bite s'enfonçant en elle avec aise, sans effort. Elle ne semble pas savoir quoi faire de ses mains mais mes coups de bassins semblent lui plaire pour une fois. Idriss se lève et vient à son secours en lui présentant sa bite à sucer. Elle se jette dessus et me laisse faire tout le boulot. La vue est sympa mais j'aurais bien aimé qu'elle me chevauche en même temps, d'autant plus qu'elle a tendance à se redresser pour mieux engloutir Idriss et que ma bite, un peu courte sur ce coup je dois l'admettre, sort de sa chatte régulièrement. Je l'attire à moi en appuyant sur ses hanches pour lui faire passer le message et elle se laisse faire. Elle essaye alors de garder le double rythme des hanches et de la tête mais on voit que c'est dur et qu'elle tend à m'oublier un peu. Quand Idriss dit : « À mon tour maintenant ». On aurait dit qu'elle n'attendait que ça, elle s'éjecte de ma queue et se place à quatre pattes, prête à l'accueillir.

Idriss place son sexe à l'entrée du vagin mais retient Camille pour éviter qu'elle ne vienne directement sur lui. Il me regarde et me dit presque solennellement : « C'est TA femme, dis-lui de s'empaler si c'est ce que tu veux ». Je me place à la tête du lit, face à Camille, je la regarde droit dans les yeux et je lui dis :

- - Tu en as envie?

- - Oui ! me répond-elle dans un souffle

- - Dis-le !

- - Je veux qu'il me baise !

- - Alors vas-y : empale-toi sur lui !

Elle ne se fait pas prier, elle s'enfonce la bite en entier d'un coup sec. Je la vois se cambrer en gémissant, le souffle coupé mais elle maintient le contact visuel avec moi. Idriss commence ses mouvements, lentement. Je m'installe plus confortablement, assis, de façon à ce qu'elle puisse me sucer pendant qu'il la baise. Ma vue est extraordinaire. Camille est tellement cambrée que de là où je suis son cul à l'air plus haut que sa tête, les grandes mains d'Idriss lui malaxent le gras des hanches, je lui maintiens le menton pour l'obliger à me regarder et je vois ses seins qui se balancent au rythme des coups de reins qu'elle reçoit. À chaque coup correspond un gémissement et un plissement des yeux. Je la relâche et la guide vers mon pénis qu'elle s'efforce de sucer. Le rythme d'Idriss s'accélère, Camille m'oublie régulièrement et mon sexe reste dans sa bouche ouverte sans qu'elle s'en occupe. Ce n'est pas désagréable car elle salive énormément. Je lui redresse la tête pour qu'elle me regarde mais elle n'a plus l'air d'être avec moi. Elle halète, elle bave, ses yeux sont mi-clos, ses cris de plus en plus forts et soudain l'orgasme l'envahit, elle crie, elle hurle même de plaisir. Je la vois se tendre, frissonner, je luis saisis un sein et pince son téton avec force, je l'embrasse et enfonce ma langue dans sa bouche ouverte mais elle n'est pas avec moi. Elle retombe comme une masse, j'en profite pour remettre ma queue dans sa bouche. Elle se laisse faire sans réaction. Idriss n'a pas ralenti le rythme et ça la fait reprendre vie rapidement. Elle se remet à gémir mais cette fois s'active plus sur ma queue, comme pour se faire pardonner. Puis un deuxième orgasme monte, elle s'efforce de me garder en bouche de sorte que son cri est un peu étouffé lorsqu'elle jouit et je sens sa bouche se serrer autour de moi. Elle parvient néanmoins à ne pas me mordre !

Idriss se retire alors, la retourne et décide de la prendre en missionnaire. Elle a l'air de souffler un peu mais pour moi c'est moins sympa : non seulement la vue n'est pas top mais je dois me contenter d'une branlette peu convaincue. Les affaires reprennent en revanche quand il décide qu'il a assez bossé et qu'elle doit le chevaucher. Camille est dans tous ses états, elle est à la fois exténuée et surexcitée. Elle dégouline de sueur, elle le chevauche comme une démente, mains derrière la tête et bien droite (je la soupçonne de vouloir masquer au maximum ses bourrelets). Ses seins valsent dans tous les sens, elle respire fort, sa chatte dégouline. Je lui présente ma bite qu'elle attrape d'une main comme pour s'y accrocher et me prend dans sa bouche. Elle est survoltée et tandis qu'elle fait une pause pour se laisser pilonner par Idriss, elle me suce frénétiquement.

Je ne résiste pas longtemps à ce traitement et j'explose dans sa bouche. Des semaines que je prépare ce moment et que j'y fantasme sans trop y croire, ce qu'elle m'a raconté du début de soirée et ce que je viens de vivre tout s'échappe de ma bite en un instant. Mes couilles semblent déverser des flots de sperme en quatre ou cinq spasmes délicieux. Elle laisse nonchalamment le sperme couler de sa bouche, sur son menton puis ses seins tandis qu'elle est saisie d'un ultime orgasme dévastateur. Elle hurle dans un gargouillis baveux, s'effondre sur Idriss. Mais ce dernier n'en a pas encore terminé, il donne encore quelques coups de bassins profonds et violents. Mais avant de jouir, il décide de la repousser, d'enlever sa capote et de lui gicler sur le visage. Ensuite il étale tout le sperme sur ses joues, ses lèvres, son cou avec sa bite et la refourre dans sa bouche et lui dit : « Nettoie bien tout et fait pareil à ton mari après ». Elle s'exécute et nous nous écroulons sur le lit tous les trois. Idriss dit à Camille de dormir dans cet état pour bien se souvenir de tout ça le lendemain matin. On sombre tous les trois dans le sommeil, Camille serrée entre nous deux.

Quelques heures plus tard, elle dort profondément et j'aperçois Idriss qui s'habille. Il doit être l'heure pour lui de partir. Avant qu'il ne sorte je l'appelle et je lui dis :

- - Je peux te demander un truc peu ordinaire?

- - Essaye toujours ... répond-il

- - Je voudrais te sucer pour voir ce que ça fait.

Idriss m'adresse un sourire, se rapproche du lit, sort son sexe et me dit « Avec plaisir ! ». Je m'assieds au bord du lit et j'attrape sa queue avec un peu d'appréhension. C'est sacrément bizarre de toucher une autre bite que la mienne. La sensation de chaleur est de texture est la même mais ni l'épaisseur, ni la longueur. Actuellement son pénis se réveille tout juste, il est encore mou et c'est l'état que je préfère sur le mien. Je le branle un peu avant de parvenir à me décider. Je vois son gland rose sortir par intermittence de son prépuce foncé. Je lui attrape les couilles, mêmes sensations. C'est marrant, comme si c'était les miennes mais sans le plaisir physique qui va avec. Et puis je le prends dans ma bouche. Goût de sperme et goût du vagin de Camille mélangés. Ça va, je connais les deux. J'avais peur que ce soit pire. C'est chaud, c'est tendre, la texture de son gland sous ma langue est très douce. Mais bon, fini l'exploration, place à la pipe !

Je commence alors les allers-retours de ma bouche sur sa queue. Une de mes mains lui caresse les couilles, l'autre accompagne mon mouvement sur sa verge. Ma bouche descend sur lui en faisant glisser sa queue sur ma langue et j'essaye de saliver un maximum, lorsque je remonte j'aspire en même temps pour provoquer la succion. Lorsque je fatigue un peu trop de la mâchoire et des lèvres, je lui lèche le frein tout en continuant à le branler. Sa queue s'est bien durcie depuis le début, je trouve ça moins sympa à sucer mais c'est la rançon du succès. Je le suce encore pendant quelques minutes, je me force à le faire plus longtemps pour savoir ce que ressent Camille. Mais quelque part j'y trouve aussi un certain plaisir : l'érection du pénis, ses soubresauts et les soupirs de satisfaction d'Idriss qui montrent que je m'y prends bien, ces couilles qui montent et qui descendent dans mes mains, le liquide préséminale qui commence à s'écouler dans ma bouche, l'envie qui se fait de plus en plus pressante d'Idriss de mettre des coups de reins et de me baiser la bouche. Il n'y a évidemment pas de plaisir physique réel à le sucer, mais un vrai plaisir psychologique à être maître de son plaisir. Comme quand je fais jouir Camille. D'ailleurs, je bande. Je finis par le lâcher, la bouche endolorie.

Il se dirige vers la porte et, en sortant, dit « Rappelle-moi quand tu veux si c'est pour des jeux sexuels, je le ferai pour le plaisir uniquement désormais et plus pour l'argent mais ne le dit pas à ta femme »