Histoires de la Bienheureuse Agnès 04

BÊTA PUBLIQUE

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Agnès était pleine du foutre chaud de la belle coquine rousse. Elle en avait partout sur le visage, sur le cou, sur les seins, le ventre et même son pubis où la liqueur perlait dans ses poils... Agnès sentait avec un tout petit de retard sur sa branleuse, qu'elle déchargeait aussi sur le vit de Johann qui continuait de l'enconner... Elle ressentit alors un plaisir apaisant comme libérateur... En fait, elle était libérée de n'être pas sur ce coup là le centre d'intérêt et elle put alors doucement, sans faire de bruit se laisser aller à sa jouissance...

Mais ce calme fut de courte durée, quelques dizaines de secondes au plus, car sans doute excitée par la jouissance de la Brigitte, la Bernadette se mit à jouir à son tour en gueulant des insultes et des jurons comme un charretier ; ou plutôt elle réclamait à Adrien d'aller au bout de son orgasme :

- '' Ahhhhh... Putain, ta langue est bonne mon salaud!...Mets-là bien dans le trou, Oui, comme ça dans le trouoooouu! Oui, oui, bien au fond du trou!!... J'aime ça!... Oui, j'aime ça... Lèche-moi bien! Oh lala!... Oui!... Mets-moi ton nez dans le cul!! Dans le cul... Ouiiiiiiii!!! C'est trop! C'est trop! Je veux que tu me baises maintenant! Baise-moi!!... Mets ta bite dans le trou... J'en peux plus moi!... Vas-y bordel de merde! Vas-y...'', et tandis que le garçon sortait de sous elle et se mettait à genoux derrière et la prenait en levrette, elle continuait, en gueulant comme si on n'avait pu l'entendre :

- '' Vas-y baise-moi bien à fond!... Bien à fond, t'entends!!... Là, oui c'est bon! Pousse bien ta bite au fond, que je sente tes couilles taper sur mon clito... Ooooooooohh, oui ... C'est bon comme ça... Regarde le Françou, ta Bernadette se fait baiser par un jeunot...! Et bien, sais-tu...! Très bien! Il me baise bien au fond, le petit salaud!... Oh oui!... Ouiiiii, je jouis là... Je jouiiiis ... ''. La vieille garce à quatre pattes, appuyée sur ses avant bras, ses longs seins très pendants trainant presque sur la terre battue de la cave, déchargeait un foutre épais qui giclait du trou à chaque poussée d'Adrien sur ses fesses.... Lui, en avait partout sur le pubis, bien sûr, mais aussi sur le ventre et les cuisses ; la cyprine épaisse et dense coulait doucement jusqu'au sol de la cave... Mais la vieille était insatiable, on aurait dit qu'elle n'avait pas été baisée depuis des semaines, voire des mois :

- '' Là, oui... Vas-y... Doucement, chéri, doucement ...! Oh, là oui... Reste bien au fond... Je jouiiiiis! Ah putain, que c'est bon... Là... Plus vite maintenant, que je jute bien... Oui!... Oui... '' Elle dirigeait et pilotait son baiseur à sa guise. Adrien, sans doute assez novice, obéissait sans rechigner et faisait dans l'instant, tout ce qu'elle demandait...

- '' Oui... Tu bandes bien mon chéri... C'est bon... Mets-là moi dans le cul, maintenant! Oui dans le cul...!! Appuyée de ses épaules et de son cou sur le banc, elle s'écarta les fesses de ses mains, Enfile-moi le fion, salaud avec ta jolie pine... Pine-moi le cul, t'entends!... Encule-moi, j'aime ça!... '' Adrien s'exécuta et appuya son gland sur la rosette de la Bernadette qui déjà râlait de la caresse. Le trou du cul s'élargit brusquement et happa la totalité du gland du jeune gars... La bite fut immédiatement avalée en totalité par le cul de la femme mûre. Adrien commença ses va-et--vient dans les entrailles de la vieille salope. Le vit, certes pas très long ni très gros, était englouti jusqu'à la racine à chaque poussée et la vieille venait s'enculer presque toute seule sur lui... Mais dans cet antre très chaud et plus resserré, les allers et retours du garçon déclenchèrent la montée de son orgasme. En quelques instants, le bel Adrien lâcha sa purée dans le rectum de Bernadette en gueulant son plaisir. Celle-ci remonta d'un cran dans sa jouissance...

- '' Aaaaaahhh... Oui, défonce-moi le cul!!... Vas-y décharge, mon joli... Arrose-moi le cul... C'est si bon! Je sens les soubresauts de ta bite dans mon cul... Vas-y décharge bien à fond!... Te prive pas mon petit, laisse-toi aller ... ''. De la fente de la Bernadette la liqueur épaisse coulait toujours et descendait le long de sa jambe... Lorsque l'Adrien sortit sa queue qui commençait à s'amollir, le foutre du jeune homme pointait au trou du cul de la Bernadette. Elle poussait pour expulser le foutre chaud du garçon, qui coulait doucement du trou de son cul. Elle passait sa main dans la raie de ses fesses, recueillait de son doigt le foutre chaud qui sortait de son cul et se léchait ses doigts avec délectation...

Quand on en fut là, tout le monde était à la même place que précédemment. Agnès, Brigitte, Hubert et le Françou sur la table, Elise à côté sur le banc, enfilée en levrette par Armand. Devant la table, le Jacquot avec à ses pieds Bernadette qu'Adrien finissait d'enculer, sous la table la portugaise et son mari et de l'autre côté de la table, Hélène toujours endormie entre ses deux tonneaux... Il faut dire qu'entre le moment où la Brigitte s'était mise à jouir et le moment où Adrien finissait d'enculer la Bernadette, il ne s'était pas écouler plus de quelques minutes en tout et pour tout...

Le Jacquot interrompit la dégustation de foutre baveux de la Bernadette en appelant à la cantonade :

- '' Allez les amis, la soirée n'est pas finie!... Faudrait boire encore un coup et à ne pas se laisser abattre. Nos femmes ont déchargées, enfin certaines, il faut arroser ça! Et penser à celles qui vont encore le faire... ''. Déjà le Françou avait sauté de la table et accompagné d'Armand, ils étaient allés dénicher quelques bouteilles que l'on ouvrit de nouveau sur le bout de la table à grands renforts de rire et de jurons. On fit boire les femmes à raison de plusieurs verres chacune.

On réveilla Hélène qu'Hubert et Adrien frictionnèrent énergiquement pour la réchauffer. Ils en profitèrent pour la caresser entre les cuisses et sur ces petits seins qu'Hubert suça bien au passage sous le prétexte de les réchauffer... Elle était ivre, mais son ivresse commençait un peu à se dissiper. Elle était nue et il fallu lui mettre une couverture sur les épaule et sur le dos, tant elle risquait de se retrouver en hypothermie. Le Jacquot était allé prendre une bouteille d'eau de vie sur une étagère en disant :

- '' On va lui faire boire un bon coup de blanche!... Vas-y l'Armand, fais-lui en boire une bonne rasade! Tu va voir que ça va la requinquer! Et tu sais, c'est de la bonne, hein, de la vraie de vraie! '' Adrien maintenait la bouche d'Hélène ouverte et Armand lui versa directement une bonne goulée de la bouteille dans la bouche. Evidemment Hélène eut un haut-le-cœur et elle toussa au point qu'elle faillit vomir et qu'il fallu lui taper dans le dos pour calmer sa toux...

- '' Aller, verse-en une tournée à chacun, qu'on se réchauffe nous aussi!... ''. Armand ne se fit pas prier et versa un bon demi verre à chacun, y compris à la petite portugaise que le bruit des bouteilles et des verres avait réveillé et qui émergeait de dessous la table. Elle but son verre '' cul sec '' en se pourléchant les babines... Pourtant l'eau de vie était raide, de la bonne ''gnole'', comme l'on dit dans le pays. D'ailleurs Agnès qui avait été copieusement servie, refusa d'abord de boire. Puis, comme le Françou et Armand insistaient et surtout que son regard venait de croiser celui de la Bernadette, elle comprit qu'il valait mieux ne pas insister. Elle but l'alcool violent à petits traits, mais déjà le liquide lui brûlait l'intérieur de la bouche et elle tenta de le recracher mais en vain. Il était impossible d'échapper à la vigilance des autres, assise et nue comme elle l'était au milieu de la table, la Brigitte juste à côté d'elle et, en face, au bout de la table, la Bernadette qui ne perdait rien de ses faits et gestes... Pourtant l'alcool lui donna un brusque courage et s'en s'étonnant elle-même, posa les pieds sur le banc pour descendre de la table et dit :

- '' Bien, maintenant écoutez... Il est l'heure que d'aller faire la piqure au Pépé. Toinette a du laisser passer l'heure et a oublié de venir me chercher... '' Elle n'eut pas le temps de descendre complètement de la table que déjà la Brigitte intervenait :

- '' Toi, tu restes là!... Personne ne t'a dit bouger!... Alors tu ne bouge pas, salope! ''. Le ton était cinglant et sans appel et Agnès resta interdite, bloquant son mouvement et resta là, les pieds sur le banc, assise, les fesses nues sur la table.

- '' Eh!... On n'en a pas fini avec toi ma jolie!'' dit le Jacquot d'une voix pâteuse. Agnès ayant repris un peu ses esprits insista :

- '' Pas fini, peut-être, mais je dois absolument aller soigner le grand-père!... ''.

- '' Laisse le grand-père tranquille!, dit le Jacquot. Ca suffit maintenant! Tu fais ce qu'on te dit! Et rassure-toi, il est pas malade, le grand-père... Juste deux ou trois verres de trop, voilà tout!... Et la mère? demanda-t-il à Brigitte, tu y as donné ce qui faut? ''

- '' Oui, t'inquiète pas, je lui ai fait prendre sa tisane, elle va dormir jusqu'à midi, la mère...!'' répondit la Brigitte...

Ainsi, c'était donc cela!... Il s'agissait d'un coup monté, on l'avait attirée dans un traquenard. Ils avaient fais saouler le pépé, l'avaient sans doute drogué pour faire croire à une attaque, avaient fait venir l'infirmière, et comme c'était un soir de fêtes et de libations, rien de plus normal, puisqu'il s'agissait du dernier jour de vendanges!... Puis ils avaient drogué la Mémé avec un somnifère...

Agnès comprenait maintenant pourquoi elle n'était pas venue la quérir pour les soins du vieux... Et soudain, il lui revint en mémoire que la Brigitte était sortie de la cave quelques instants, peu de temps après la Toinette, puis elle était revenue comme si de rien n'était... La Brigitte était donc dans le coup. A n'en pas douter, le Jacquot aussi était dans le coup, à voir ce qu'il venait de demander à sa femme... Et puis sans doute aussi la grande Bernadette, à la façon qu'elle avait de contrer systématiquement Agnès et de la prendre en défaut... Qui d'autres, encore? Le Françou, Armand, peut-être, sans doute même!... Et encore qui? Les jeunots? Non, tous les cinq, les deux filles et les trois garçons, sans doute pas? Et puis surtout Agnès se demandait pourquoi ce complot avait lieu... Dans quels intérêts? Sa pensée y revenait toujours mais elle butait là-dessus... Comment ces gens qu'elle ne la connaissait pas pouvaient lui en vouloir à ce point? Et de quoi, grand Dieu pouvait-on lui en vouloir?

- '' Alors, ça va?... T'as compris, maintenant, la petite pute?... T'as compris que ça va être ta fête ce soir?...'' lui asséna la Brigitte, la rappelant durement à la réalité du moment.

- '' Mais pourquoi?... Pourquoi?...!'' cria Agnès, presque désespéré et que cette situation kafkaïenne angoissait fortement.

- '' Ferme-là, t'en sais assez!... trancha Brigitte durement. Tu n'es qu'une petite salope, alors cherche pas! ''

- '' Et les salopes nous, on sait les recevoir! Tu peux en être sûre!'' renchérit la Bernadette. Agnès, au bord de la crise de nerfs et sentant l'alcool la chauffer et lui monter à la tête, se révolta :

- '' Ca suffit! Je ne vous permets pas de me parler sur ce ton et de m'injurier comme ça!... ''.

- '' Oh! Stop, coupa la Brigitte d'un ton sans appel, ce n'est pas toi qui commande ici! Alors tu te la boucle, hein!... Et tu fais ce qu'on te dit! Compris!! ''. Déjà la Bernadette enchaînait avec violence :

- '' Oui vaudrait mieux que tu t'écrases, hein!... On sait que tu es une traînée, une salope! Tu ne diras quand même pas le contraire, non?...'' Il y eut un petit silence. Cela allait trop vite pour Agnès qui ne suivait plus et elle n'osa pas protester assez vite... La Bernadette poursuivit :

- '' Disons que puisque l'on savait ça, on a pensé te faire plaisir en te préparant une soirée comme celle là! Hein, pas vrai les hommes que c'est sympa ce qui se passe là ce soir! ''

- ''Ah oui, pour sûr! T'as raison, la Bernadette, c'est une soirée de première!'', dit l'Armand.

- '' Oui, reprit l'édenté, c'est vrai! La dernière veillée comme ça pour les vendanges, j'avais 35 ans! Alors tu vois qu'il y a du temps...! Et la Bernadette qu'en avait trente à peine était saoule comme une grive...''

- '' Ca va, ça va!... Ce soir, il ne s'agit pas de moi!...'' ronchonna la Bernadette, pour couper court aux propos du Françou.

- '' Oui, aller en s'en occupe un peu ou pas?, râla le Jacquot. J'ai la queue qui demande à servir avant tout! Putain, la jolie garce, me donne la trique!... J'ai envie de la baiser pour de vrai, moi!... Lui mettre mon truc dans sa foufoune!... Voilà ce que je veux!... Hein, ma Biche, depuis le temps que tu me la promets cette soirée!... J'ai très envie de me la faire, moi!... Je me suis tellement branlé certains soirs en y pensant... Té, là dans le fond de la cave... Je venais me branler là justement! Il montrait la rangée de tonneaux au fond à une dizaine de mètres. Là où la petite brune est allée pisser tout à l'heure!! ''. Il parlait décidément beaucoup. Le vin et l'eau de vie sans doute... De façon discrète la Bernadette qui était à côté de lui, avait recommencé à le branler. Le salaud bandait de nouveau beaucoup...

- '' Aller, on boit encore un coup, un dernier pour la route dit-il en riant de façon énorme, et on s'en occupe!... Putain!... Armand, Françou, servaient nous, bordel...! ''

Les deux servirent ce qui restait dans les bouteilles et aussi celle de gnôle. Agnès revenait sans cesse sur ce qu'elle avait pu faire ces derniers temps... Qu'avait-il bien pu se passer pour en arriver là? Est-ce à propos de ces derniers amants... Elle n'en n'avait pas eu beaucoup de nouveaux ces derniers temps... Les deux ou trois partouses en juillet à Villefranche puis à Lyon, fin août... Peut-être, mais à ce moment là, elle ne serait pas la seule à être là! La dernière soirée chez le notaire où saoule, elle était tombée dans un traquenard. Deux mecs qu'elle ne connaissait pas avaient ''abusée'' d'elle?... (Voir le récit : '' Une notoriété de Notaire ''). Non, ce serait trop bête d'être embarqué dans un complot de ce style juste pour cela... Et puis ces gens on ne peut pas dire que ce soient des puritains qui voudraient la punir d'être une débauchée, alors qu'ils le sont eux-mêmes au moins autant!... La belle Agnès avait beau se creuser les méninges et essayer de se rappeler ce qui avait bien pu avoir lieu, en vain...

Elle revint dans le présent au moment où Armand lui mettait un verre au bord des lèvres. Elle avala machinalement le vin âcre et fort, qui déjà lui tournait la tête. La Brigitte était en train de dire à son homme :

- '' Mais oui, mon Jacquot... Tu vas pouvoir la prendre bien à ton aise... Ton beau membre complètement au fond de sa grotte de cochonne... Ne te gêne pas, tu vas en profiter tant que tu voudras...''. Agnès eut un mouvement de révolte qu'elle réprima rapidement. Ainsi, la rouquine disposait de sa personne comme d'une chose! La coquine tirait les ficelles... Mais pour qui Bon Dieu et pourquoi?! Enfin si on lui disait de quoi il retourne, sans doute n'accepterait-elle pas davantage ce qu'on lui faisait subir, mais au moins elle pourrait comprendre... Le plus dur, c'était ça : de perdre son libre arbitre et de ne pas comprendre... La baise et la partouse, encore si ce n'était que ça, mais ce truc, ce coup monté, c'était au-dessus de son entendement...

Le Françou se manifestait à son tour :

- '' Eh... Moi aussi, j'aimerais bien en avoir un peu aussi...! Pas vrai la Bernadette, tu m'avais dit que je pourrais aussi la baiser, la jolie dame!... Hein que c'est vrai! ''. La Bernadette haussa les épaules sans répondre. Et voilà, pensa Agnès, elle était bien dans le complot avec les deux autres et le Françou aussi... Déjà Armand en demandait aussi :

- '' Moi aussi, patronne, vous me l'aviez dit... Que si on vous aidait pour la soirée, à la faire boire et...''.

- '' Tais-toi donc, imbécile! Tais-toi! Bien sûr que tu en auras aussi!... Ne sois pas impatient!...'', coupa la Brigitte.

- '' Oui, il y en aura pour tout le monde, ne vous tracassez pas!... Et vous aussi les jeunots, y en aura pour vous aussi!...'', appuya Bernadette.

- '' Aller, aller!!... Assez discuté! On y va!!...'', dit le Jacquot, dont le membre avait repris de la vigueur grâce aux attouchements et à la langue de la Bernadette.

- '' On y va, j'ai dit! Armand, Françou, amenez-la au bout de la table, les fesses bien au bord que je la visite un peu.! ''. Il était de plus en plus saoul et Agnès avait horreur de se faire prendre par un homme ivre. Elle n'entendait plus se laisser faire et elle commença à repousser de ses bras de ses jambes, les deux hommes qui s'emparaient d'elle. Elle cambrait son corps, envoyait ses pieds à travers l'espace et s'arcboutait. Les deux hommes avaient beaucoup de mal à la maîtriser. Voyant cela, Bernadette avait enjambé le banc et empoignait la petite infirmière. Elle lui saisit les poignets qu'elle emprisonna, dans ses mains aussi dures que le fer. Et pour mettre Agnès à la raison, elle monta complètement sur la table, bloqua de ses deux jambes les épaules d'Agnès, les genoux à hauteur des seins de la petite bourgeoise et le bas ventre juste au-dessus du visage de celle-ci.

D'un seul coup, Agnès fut vaincue et cessa de se débattre. Les deux hommes s'emparèrent chacun d'une jambe et lui écartèrent les fesses juste à la lisière du bout de la table. Elle était maintenant paralysée par la force titanesque de la Bernadette, certes, mais aussi parce que celle-ci lui donnait à voir, accroupie qu'elle était juste au-dessus de ses yeux, les cuisses largement écartées.

La grande paysanne était très poilue. Les poils lui descendaient jusque sur l'intérieur des cuisses. Mais c'était surtout la vulve qui était remarquable. Une moule gigantesque, à l'image de la femme qui en était dotée. La fente était énorme dans toutes ses dimensions, en longueur comme en largeur et en épaisseur... Agnès en avait vu pas mal des chattes, et même des grosses et des longues, mais des comme celle-là, jamais! Les grandes lèvres étaient très renflées et volumineuses, occupant tout l'entrejambe et même au-delà, touchant nettement les cuisses. Entre elles, les petites lèvres se présentaient en lames brunes, très longues et épaisses, aux bords très découpés et dentelés. Ces lèvres sexuelles étaient à peu près aussi larges et grosses que la menotte toute menue d'Agnès. Entre elles, un trou immense et bien ouvert du fait de l'écartement des cuisses de la géante. Un trou à y mettre le poing, tant il était béant. Il ne devait jamais pouvoir se refermer, pensa Agnès. Immédiatement, elle fit le lien avec la biroute énorme du Françou, son mari. Vu le calibre du vit, il n'y avait plus rien d'anormal à voir un trou à bites pareil!... Et puis au-dessus des petites lèvres, à leur commissure, siégeait là-haut comme un pacha dominateur, un clitoris énorme... Là encore, du jamais vu pour Agnès, jamais. Il était démesuré : de la taille du pouce de l'infirmière au moins. Et comme à cet instant il bandait, il n'en était que plus monstrueux. Il surplombait le con ouvert et même les petites lèvres d'au moins cinq centimètres... Une vraie bite en miniature pensa Agnès. Immédiatement son esprit focalisa sur cet organe, qui l'attirait autant que la bite d'un mâle... Elle dût faire un effort pour chasser cette envie de son esprit. Elle comprenait pourquoi, tout à l'heure, le petit Adrien avait autant sucé la Bernadette...Le jeune brun n'avait jamais dû voir un clito aussi extraordinaire dans sa jeune vie...

Le Jacquot s'était préparé debout au bout de la grande table, le vit à quelques centimètres de la fente d'Agnès, dont les fesses étaient quasiment dans le vide. C'était la petite Elise, qui accroupie aux pieds du Jacquot, lui préparait la bite. Elle la suçait, la branlait et l'humectait de salive. Elle-même se faisait lutiner la chatte et sans doute aussi sucer sa petite fente brune, par le portugais toujours allongé sous la table près de sa femme. D'ailleurs son visage à lui, le Pedro était juste à l'aplomb des fesses d'Agnès qui le surplombaient. Celle-ci était couchée, dos sur la table, les avant-bras maintenus sous les genoux de la Bernadette, elle-même à quatre pattes; le Françou et l'Armand lui tenant les jambes hautes et écartées.