Histoires de la Bienheureuse Agnès 04

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Déjà, le Jacquot était à genoux entre ses cuisses et commençait à lui lécher la vulve et le cul. Elle tressaillit encore plus fort. Au point que le Jacquot s'en aperçut et s'en réjouit :

- '' Eh, eh, eh...! Ma belle, ma langue te fait un bon effet à ce que je vois!... T'as une si jolie chatte, qu'on la mangerait...! Tu préfères ma langue sur le bouton, dans ton trou de pute et dans ton joli petit cul...? Hein, choisit...! '' Agnès ne répondit pas mais fut troublée plus qu'elle s'en croyait capable. Devant le silence d'Agnès à sa question, il ajouta :

- '' Oui, tu la veux partout hein, c'est ça, salope!... Tu aimes te faire sucer ma belle! Eh bien on va s'en occuper! '' Et alors qu'il revenait vers la fente d'Agnès il lui demanda :

- '' Dis-moi, ma jolie, t'as jamais essayé de faire la putain et de gagner des sous avec ton cul?...''

- '' T'inquiète pas pour elle, va mon Jacquot!... Il y a longtemps qu'elle sait s'en servir de son cul! Hein pas vrai!'' ajouta la Bernadette, qui avait commencé à branler le Jacquot et le suçait, assise à même la terre battue de la cave entre les jambes de l'homme.

- '' Vas-y, oui, profites-en bien mon beau Jacquot, dit la Brigitte. suce-là et bouffe-lui le minou...! Moi aussi, je me fais baiser et j'aime ça, surtout avec des jeunots! Et je sais que aimes que je sois prise et que je jouisse le plus possible, hein mon Jacquot?...''. Elle était maintenant couché le dos sur la table et se faisait prendre à la missionnaire par Johann tout en suçant Adrien qui, à genoux sur la table bandait pour elle. Elle ajouta encore à l'adresse d'Agnès:

- '' Hein, petite salope, tu ne t'imaginais pas que nous ici à la campagne, nous aimions la baise nous aussi, hein?... Tu aimes ça aussi, on le sait!... Alors tu vois la petite surprise de ce soir, tu dois aimer, hein...! Et tu vas aimer encore davantage tout à l'heure, hein, la jolie putain B.C.-B.G.!... ''.

Agnès fit un effort pour tenter de comprendre tous les mots qui lui étaient ainsi balancés.... Pour l'instant elle se laissait aller à la langue du Jacquot. Il faut dire que tout rustre qu'il était, il savait sucer et lécher une femme... Et puis, Agnès était tellement en attente de jouir et de se libérer qu'elle s'abandonnait maintenant aux caresses du parton. Il lui avait mis un doigt dans le cul pendant qu'il la suçait ; et d'être ainsi limée doucement derrière, c'était pour elle un plus incontestable...

A deux travées de tonneaux, elle voyait Le Françou et l'Armand qui avaient pris Elise sous chaque cuisse, comme on aurait tenu un bébé pour lui faire faire pipi... Ainsi bien écartée, elle avait pissé en un jet dense et violent qui n'en finissait pas, entre les deux barriques, jusqu'au mur où la pisse ruisselait. Puis le Françou l'avait couchée sur un tonneau et tandis qu'elle suçait Armand, il lui léchait la fente encore ruisselante d'urine chaude. La petite brune haletait de plaisir...

Après un temps, il revint à l'esprit d'Agnès les propos de la Bernadette et de Brigitte... Où avaient-elles pris ce qu'elles avançaient l'une et l'autre? Qu'est-ce qu'elles savaient au juste pour tenir à ce genre de propos? Décidément, ces deux là étaient de connivence... Quelque chose clochait pour Agnès, dans le fait qu'elle se retrouve dans cette situation là, avec tout ce qui se passait pour elle ce soir... Plus la soirée avançait et plus elle se disait qu'elle ne se trouvait pas là par hasard... Il y avait dans ce qui se passait ici ce soir, quelque chose de pas clair et qu'elle ne parvenait pas à comprendre ni à s'expliquer. Et puis ces remarques sibyllines et chargées d'un sens qui ne se disait pas! Qu'est-ce qui pouvait bien se tramer?... Mais déjà, la langue du Jacquot, la ramenait à des choses plus terre à terre ou du moins l'empêchait de se centrer sur ses souvenirs, court-circuitait sa raison et sa réflexion et la ramenait sur son corps et ses émotions. Elle sentait qu'elle allait encore jouir et elle tenta de contrôler son orgasme pour ne pas laisser partir le flot de cyprine et se tordre comme un ver comme à son habitude. Elle essayait au contraire de distiller sa liqueur par petites décharges de façon à les rendre presqu'imperceptibles à son lécheur...

Hubert était venu se mettre à genoux sur la table, au-dessus de la tête d'Agnès. Sa bite et surtout ses couilles à toucher la bouche de la belle bourgeoise. Il avait abandonné la blonde Hélène qui, saoule, avait fini par glisser entre deux tonneaux et y cuvait son vin, les fesses sur la terre battue, une épaule appuyée sur une barrique et les cheveux épars sur ses seins menus, ce qui lui donnait un air de petite sirène non terminée... Agnès se mit à sucer presque machinalement le membre pourtant bien bandé du jeune garçon. Non qu'elle n'en eût pas envie : il lui était agréable de le sucer et aussi de lui lécher et de lui manger les couilles, mais c'était le membre du Françou qui lui prenait l'esprit et il lui était difficile de faire la part belle au sexe du jeune homme, un peu quelconque il faut bien l'avouer...

Johann, lui, qui décidément avait une belle santé, continuait de baiser Brigitte bien à fond, sans précipitation et avec application. Manifestement il lui faisait du bien, car elle accompagnait le plus possible les coups de reins du garçon et de ses jambes passées en tenaille sur les hanches de son fouteur, l'appliquant encore davantage sur elle. Adrien, que Brigitte avait un temps sucé pendant qu'elle se faisait baiser, était parti de la table ; et depuis, Johann et Brigitte se roulaient des patins profonds et passionnés.

Adrien, était venu rejoindre la Bernadette, sous le banc où se trouvait Agnès. Il s'occupait de la grande femme qui elle-même branlait et suçait le membre du Jacquot. En réalité, le garçon brun branlait par-dessous la Bernadette, qui pour l'heure, s'était mis à genoux parallèlement au banc et proposait ainsi sa croupe large au jeune homme. Adrien, presque couché sous elle, lui embrassait les seins tandis que d'une main il lui branlait la fente. La paysanne gémissait de façon étouffée ayant dans la bouche le vit du Jacquot... Adrien devait lui faire beaucoup de bien, car Agnès l'entendait râler et marmonner à ses pieds, des interjections incompréhensibles qui allaient des : '' Haourgth!'', aux : ''Rattuouf...'', en passant par les : ''Ahouert!'' et les ''Ouhrfthg!!''... Bientôt la Bernadette, sans quitter la bite qu'elle suçait, s'arrangea pour faire passer Adrien sous elle. Elle l'enjamba et se mis au-dessus de lui comme en 69 ; il commença alors à la sucer et à la gamahucher.

C'est à peu près à ce moment qu'Agnès revint à son plaisir. Décidément le Jacquot savait faire monter en elle ce qu'il fallait pour qu'elle éclate. Elle avait beau se concentrer sur son ventre, son pubis, sa vulve et son œillet, il n'y avait rien à faire, elle ne pouvait plus contrôler la vague qu'elle sentait monter en elle... Son lécheur avait avancé sa langue profondément dans le trou de son vagin et il en lustrait l'intérieur, juste au-dessus du pipi-trou, là où se situait son ''point G.'', qu'elle connaissait bien. Pourtant elle savait ce point bien souvent difficile à atteindre de la part de ses fouteurs et plus encore de ses lécheurs... La belle infirmière savait que lorsqu'elle était touchée là au ''point G.'', elle était refaite. Impossible pour elle de se maîtriser et elle ne le savait que trop!...

Elle avait conscience que, comme d'habitude dans ces situations où le ''point G.'' était contacté, elle allait déferler et fondre dans un flot de cyprine. Elle ne tarda pas à être agitée de signes avant-coureurs : ses hanches et son ventre s'animèrent comme une marée qui boute sur la paroi d'une falaise. Sa tête, entre les jambes d'Hubert, allait d'un côté sur l'autre, les cheveux affolés. Ses bras commencèrent à faire de grands moulinets désordonnés, heurtant le bord de la table, comme s'ils n'obéissaient plus à des mouvements cohérents... Son bassin se souleva et se crispa fortement, elle faillit glisser du banc et tomber à terre. Heureusement qu'Hubert lui saisit les épaules et que Jacquot, passant ses bras forts sous les cuisses d'Agnès, la remontèrent. Ils arrivèrent à lui faire poser les fesses sur le bord de la table. Et là elle explosa littéralement. Avec des râles énormes et des cris suraigus, elle déchargea comme une folle en jets denses et puissants qui atteignirent le Jacquot en pleine face, avant de passer au-dessus des épaules de l'homme et de percuter les cuves et les tonneaux à deux bons mètres de la table... Le Jacquot en avait partout, il était aspergé de cyprine chaude, claire et légèrement baveuse, la face, les cheveux, le cou, la poitrine et même la bite en avaient attrapé. Il en était dégoulinant. Agnès sous l'intensité de la décharge s'était, comme à son habitude, tétanisée. Les coudes sur la table, les fesses au bord de la table, les pieds sur le banc, elle put s'accorder un moment de relâchement...

Le petit groupe d'Elise, avec Armand et le Françou était accourut du fond aux cris que poussait la belle bourgeoise ; ils avaient donc pu assister à la scène et à la force de la décharge de la jeune femme. Le Jacquot se tournant vers eux et en riant, dit tel un plongeur sortant de l'eau :

- '' Ahhh, la salope! Regardez-moi ça, vous autres!... Hein, c'est-y pas vrai! Une pisseuse comme ça!! J'ai jamais vu ça!... Et j'en ai partout!... Il se passa la langue sur les lèvres et ajouta : et c'est du bon jus croyez-moi!''. Les autres le regardaient les riant.

- '' Et moi non plus!... Je n'ai jamais vu ça!..., ajouta Elise, qui restait complètement médusée de ce qu'elle venait de voir. Décharger comme ça, c'est inouï!... ''

- '' Putain, continua Armand, t'as vu comment elle te balance ça... A deux mètres, au moins!... Et quand tu te le prends dans la gueule, je t'assure que tu en as pour ton argent!... ''.

- '' Ah, la cochonne, vous avez vu comme ça a fusé de sa chatte?..., reprit le Jacquou, puis, montrant aux autres la fente d'Agnès, qui écartait toujours les jambes. Ah, la garce!... Pour une pissée, c'est pas une petite!... Jamais on pourrait croire, à voir la bourgeoise comme ça, hein?! ''

Agnès était restée là, affalée, les fesses sur tout au bord de la table, appuyée sur ses avant bras, à demi hébétée par sa jouissance. Elle reprenait peu à peu ses esprits. Au pied du banc, il y avait toujours Adrien sous la Bernadette, celle-ci se faisant sucer. Ils n'avaient pas interrompu leur position et c'est tout juste, si la Bernadette avait pris le temps de remarquer l'événement qui avait arrêté tout le monde... Tout le monde sauf aussi Brigitte et son jeune fouteur. Tous deux avaient continué leur baise, sans plus s'émouvoir.

Mais passé le moment de surprise la Brigitte reprit l'avantage. Voyant que l'autre prenait un pied d'enfer, et peut-être jalouse du fait, bien qu'elle fût baisée depuis un bon moment déjà, et pas trop mal sans doute, elle repoussa Johann dont elle se dégagea. Puis, poussant de la même façon Hubert qui se tenait à la tête d'Agnès, elle vint se mettre à califourchon sur le visage de la jeune femme, les fesses sur son front et le clitoris au niveau de sa bouche, en disant :

- '' Dis-donc, la jolie dame de la ville, ce n'est pas la peine de faire tant ta mijaurée, pour ensuite jouir comme une folle et décharger partout, en aspergeant mon Jacquot, au point que tu le voies maintenant tout dégoulinant!... T'es une sacrée jouisseuse, toi!... Faut pas t'en promettre, hein, faut t'en donner, pas vrai!... Eh bien tu vas voir que je vais t'en donner aussi moi!... Aller, te fais pas prier!... Lèche-moi salope!... Lèche-moi bien la chatte! ''. Disant cela, appuyée en arrière sur ses mains et les pieds posés sur la table de part et d'autre d'Agnès, elle s'écarta encore davantage les fesses au-dessus du visage de la jeune femme. Bernadette mit son grain de sel :

- '' Oui, vas-y Brigitte, te gêne pas!... Fais-toi bien lécher le cul par la belle garce... Cela la changera de sucer les types, et puis elle verra que nous aussi, on sait s'amuser!... Pas vrai le Jacquot?!... ''

Agnès était décontenancée par ce que la Brigitte mettait en place. Où voulait-elle en venir? Qu'est-ce qu'elle manigançait à vouloir se faire sucer par une femme. Qu'elle fasse baiser Agnès et qu'elle l'humilie, même si cela la blessait évidemment, elle pouvait le comprendre, mais se mettre sur elle pour se faire sucer devant tout le monde, vraiment elle ne comprenait pas... Certes, dans des soirées ou des parties avec ses nombreux amants, Agnès avait déjà été amenée à sucer des femmes, à faire l'amour avec également... Mais c'était toujours dans des situations précises et librement consenties. En plus les femmes ne lui déplaisaient pas et faire l'amour avec certaines, la plupart de celles rencontrées d'ailleurs, avait été pour elle un plaisir tendre, doux dont elle gardait un bon souvenir (voir le récit : '' Des expériences très libérées '') ... Et même là, dans la situation de ce soir, elle devait reconnaître que la craquette de la Brigitte était plutôt appétissante, et que même si la vulve de la rousse était très mouillée par la baise et les léchages de la soirée, elle avait une belle forme et elle était bien dessinée...

La Brigitte d'un léger mouvement de son bassin d'avant en arrière, se frottait doucement, sans trop appuyer, sur le visage d'Agnès. De sorte que l'arrête du nez, la bouche et le menton de l'infirmière semblaient être devenus le rail de la coulisse des fesses, de la fente et du pubis de la jeune patronne... Après une courte hésitation, Agnès accepta de faire ce que les mouvements de la rousse lui imposaient : elle avait ouvert la bouche et de sa langue fouillait la caverne juteuse de la jeune femme. Son nez lui frottait doucement la rosette et le menton branlait le clitoris, où il venait y buter à chaque retour en avant du bassin de la Brigitte... Celle-ci s'abandonna aux caresses et en oublia un temps ses sarcasmes et ses sous-entendus, pour se laisser aller plus sincèrement :

- '' Oh, oui... C'est bon ma cochonne! Vas-y, vas-y!... Tu lèches bien toi, tu sais!... Ta langue est douce, fourre-moi là bien dans le trou du con et aspire...''. Agnès sans s'en rendre compte obéissait, tant elle y prenait du plaisir, elle aussi. Elle aspira les petites lèvres de Brigitte et pompa son trou à bites, pour en aspirer le nectar. Brigitte en avait un plaisir immense :

- '' Oui là, comme ça, c'est bon, c'est... Vas-y suce ma belle, suce-moi bien à fond... T'es une salope, mais j'aime ça...! Oh oui, j'aime ça... Passe bien ton bout de nez sur mon cul... Oui, comme ça tourne-le bien, là... Oh lala que c'est bon!... ''.

Un nouveau tableau s'installa : Agnès couchée en travers de la table, les pieds sur le banc, écartait les cuisses et le jeune Johann la baisait très doucement, comme s'il n'osait pas. Elise, un genou sur le banc léchait le clito d'Agnès et de temps à autre, enfournait la bite de Johann lorsqu'il désenconnait l'infirmière. La petite Elise était elle-même prise en levrette par Armand. Le Françou qui s'était remis à bien bander, était venu se mettre près de la patronne, debout sur la table. La Brigitte, en position arrière sur ces mains, les fesses ouvertes au-dessus d'Agnès, se faisait sucer qu'en même temps elle suçait le membre énorme et déformé du Françou... Derrière Brigitte, sur le banc de l'autre côté de la table se tenait Hubert, à genoux, qui l'embrassait dans le cou et surtout la soutenait aux épaules ce qui lui libérait une de ses mains, avec laquelle elle avait commencé à se branler au-dessus du visage d'Agnès qui lui léchait la fente... Au pied de la table tout près du groupe d'Agnès et presque en face d'elle, le Jacquot était debout, sucé par la Bernadette, qui était toujours tête-bêche sur Adrien. Sous la table, le portugais complètement saoul branlait la portugaise ivre morte, en essayant de caler son rythme sur ceux de l'étage au-dessus de lui, c'est-à-dire ceux du dessus de la table...

Tout en suçant le Jacquot, la Bernadette surveillait d'un œil vif ce qui se passait juste au niveau de ses yeux : et surtout la Brigitte qui se branlait sur Agnès et pompait son Françou. Les râles de la grande femme étaient montés d'un ton, sans doute parce qu'Adrien mettait tout le cœur nécessaire pour la sucer et la langotter... Il faut dire que le Jacquot, comme il l'avait fait avec la portugaise, se faisait pomper le dard par Bernadette, mais de temps en temps il lui retirait sa queue et il lui mettait un goulot de bouteille dans la bouche et lui versait ainsi de bonnes rasades de pinard. C'est dire si depuis le temps que durait ce manège, même si la vieille tenait bien le vin, elle commençait à être saoule et avait presque son compte. D'ailleurs, elle commençait à jurer et à blasphémer en gueulant presque ses propos :

- '' Vas-y, ma Brigitte... Vas-y! Branle-toi sur la petite putain! Hein, qu'elle fait souvent la putain! T'es bien placée pour le savoir, toi!... Hein, Brigitte! J'sais que mon Françou il t'a déjà souvent baisée, hein ma garce... Eh ben t'as eu raison d'en profiter! Parce que moi j'en ai fait autant avec le tien! Et d'ailleurs, c'est moi qui le suce à c'heure...! Et la putain qui te lèche, elle est bonne? En tout cas, mon p'tit brun, il me fait du bien... Rien que du bien! Vas-y mon joli ...! Oh putain, que c'est bon!... C'est bon!!!... ''

- '' Oh oui, c'est bon!! C'est bon!!!'' lui répondait Brigitte en écho... Elle se branlait maintenant très vivement, presque frénétiquement sur le nez d'Agnès. Un doigt appuyé sur son clitoris que le menton d'Agnès frottait. Le clito de la rousse était maintenant très proéminent, au point qu'Elise qui avait la tête sur le pubis d'Agnès pour gober de temps en temps le sexe de Johann, s'en aperçut :

- '' Ben dis-donc la patronne, t'as la chatte en feu, tu bandes comme une trainée!... Ton bouton d'amour est tout rouge et ressorti ; et tes lèvres sont toutes gonflées...! Oh lala! ''. Elise avait sans doute l'incrédulité de sa jeunesse : elle n'avait jamais eu encore l'occasion de voir de près la chatte excitée d'une femme de trente cinq ans sur le point de jouir. Johann tout en enconnant Agnès s'était penchée en avant par-dessus elle, pour voir de plus près, entre les jambes de Brigitte, ce qu'Elise soulignait. Le Françou, ayant retiré sa queue de la bouche de Brigitte ; lui aussi s'était penché par côté pour lui voir l'entrejambes de la patronne. De même le Jacquot regardait entre les cuisses de sa femme sans rien en perdre. Tous ou presque recentraient leur attention sur la vulve de la Brigitte. Sa fente était devenue en quelques instants le pôle d'intérêt de tous les voisins de proximité du groupe...

Et là, sans doute parce qu'elle se sentait observée, la patronne monta d'un cran dans la préparation de son extase. Rien d'étonnant pour une femme qui aime le sexe et la baise, à ce que cette centration sur son intimité en action décuple son excitation. La belle coquine fit des mouvements de hanches encore plus amples, plus appuyés et plus rapides se branlant ainsi plus fortement sur le visage d'Agnès. Elle commençait à sortir des râles plus forts, plus intenses, plus synchrones avec ses mouvements. Sa fente et son cul frottaient maintenant très fort sur les lèvres et le nez d'Agnès... La belle garce, montait son orgasme avec des '' Ahhhh!'' de plus en plus forts :

- '' Ah putain, que c'est bon!... C'est bon...! Ahhhh ... Je vais jouir! Je vais jouir... Ca y est!... Je jouis...! Regardez ma fente!... Là! Regardez-là!... Ouiiiiii... Je jouiiiiiiiiis! ''

Et là, brusquement, la jolie garce, se souleva un peu plus, au-dessus du visage d'Agnès, et se frottant le clito et l'entrée du trou d'un va et vient frénétique de son doigt, elle explosa. Elle envoya un premier jet de cyprine brûlant qui se fracassa sur la poitrine de Johann qui avait de nouveau enconné Agnès, atteignit la tête d'Elise et coula sur les seins d'Agnès avant de venir mourir sur son menton. Et déjà un autre jet tout aussi violent et chaud empruntait le même chemin, inondant tout ce qui était en face et en dessous. La rousse se contracta encore un peu plus et deux ou trois autres jets de liqueur s'échappèrent encore de sa vulve ouverte et turgescente, faisant se rengorger le clito qui palpitait, juste en dessous de la petite touffe rousse de son pubis. Brigitte s'arcboutait sur les mains d'Hubert qui lui maintenait les épaules... Elle continuait de décharger avec moins de violence et sa cyprine coulait maintenant doucement en nappes de son con très rouge et largement ouvert...